🏆 Chanson La Guerre Des Boutons Mon Pantalon

Jesuis née dans le Nord de la France et j’y ai passé toute mon enfance, rêvant à des ailleurs bleus. Lectrice assidue, j’ai marqué une préférence pour la féerie, ce qui affleure dans tous mes ouvrages. Enfin libre, je trouve le temps d’écrire, puisant dans le quotidien et l’univers légendaire mes sources principales d’inspiration. lundi 8 juin 2020. La chanson des boutons
- MILITARIA ARMEE FRANCAISE 39-45 There are 430 products. VENTE DE MILITARIA FRANCAIS, 1939-1940-1944-1945, DE DUNKERQUE AU DEBARQUEMENT DE NORMANDIE DES PLAGES DE TUNISIE AUX PLAGES DE PROVENCE ... New! New! New! New! New! New! New! New! New! New! New! New! New! New! New! New! New! New! New!
2010LA GUERRE DES BOUTONS - Yann SAMUELL 1997 LE PANTALON - Henri HELMAN 2010/11 CHANSONS DES JOURS AVEC ET CHANSONS DES JOURS SANS - Philippe Meyer - mise en scène : Philippe MEYER Comédie Française En 1914, le pantalon de l'infanterie française, couleur rouge sang, provoque la mort de milliers de soldats. Le pantalon garance est tellement visible sur les champs de bataille que l'ennemi ne peut pas le rater. Ce beau pantalon, à la couleur rouge sang a provoqué la mort de milliers de soldats. C’est le fameux pantalon garance, tellement visible sur le champ de bataille que nos ennemis ne pouvaient pas le rater. Pourquoi l’Etat-major a-t-il laissé son armée partir au feu ainsi accoutrée ? C’est toute une histoire qui a duré plus de dix ans Au début du XXème siècle, tous les pays changent d’uniforme, et passent à la tenue camouflée. Une seule nation résiste encore et toujours, la France, bien ce n’est pas faute de réfléchir. Des commissions sont créées, des tenues essayées. En 1903, on tente un mélange de gris et de bleu, puis on passe à un mélange de beige et de bleu. durée de la vidéo 01 min 38 Le pantalon rouge Histoires 14-18 • ©France 3 En 1911, c'est la couleur verte qui tient la corde. Le ministre de la guerre est un fervent partisan du projet, mais il meurt, tué par un avion, qui atterrit en catastrophe. Pas de chance. En plus, l’opinion s’en mêle. La France doit venger l’affront de 1870 dans ses couleurs historiques. Le pantalon garance, c’est la France, assène un ancien ministre, pour le coup, pas très inspiré. Finalement, l’ordre est donné de confectionner des tenues plus discrètes, le 27 juillet 1914. Il est beaucoup trop tard. La guerre éclat. Beaucoup d’hommes mourront avant de porter l’uniforme bleu la collection des 670 vidéos Histoires 14-18 le site Histoires 14-18 le compte twitter Histoires1418 la page facebook Histoires 14-18 d'infos la carte interactive de la ligne de Front 14-18+ de vidéos la chronologie de la Grande Guerre en imagespour en savoir + sur l'uniforme du fantassin français en 1914 Auteur Alfred Ingemar Berndt, Nom: Das lied der Front - liedersammlung des großdeutschen rundfunks, heft 2, Éditeur: Georg Kallmeyer Verlag, Wolfenbüttel und Berlin, An: 1940, Couverture: C. Buy at Espenlaub militaria Peau de couille La Votre navigateur n'est pas compatible Reproduction interdite Y ’a que la peau de couille, pour conserver le tabac, Voilà, voilà, voilà la chanson militaire. Y’a que la peau de couille, pour conserver le tabac, Voilà, voilà, voilà la chanson du soldat. Moi je m’en fous, j’ai du poil au cul, Ca me tient chaud l’hiver. Et l’été je me les fait couper, pour mieux respirer. Tiens, Titine, voilà cent sous, Pompe-moi le noeud, Rends-moi trois francs. Mais non monsieur, c’est bien trop peu, Pour pomper un si gros noeud. Poil au barbizon, mon cul sur la commode, Poil au barbizon, mon cul sur le gazon. Tripote-moi la bite avec les doigts, Ah la belle biroute ! Tripote-moi la bite avec les doigts, Ah la belle biroute en bois ! L’as-tu vu, oui je l’ai vu, L’abricot de la cantinière. L’as-tu vu, oui je l’ai vu, Son petit abricot fendu. Il est tout noir, il est tout blanc, Il est fendu par derrière. Il est tout noir, il est tout blanc, Il est fendu par devant. Ma mère, j’ai le con qui baille. Ma fille, fous-y de la paille. Cré nom de nom ! Quelle drôle d’invention, Que de se foutre de la paille dans le con. J’aimerais mieux un bon gros vit, Que toute la paille du pays. Oui, non, nous en avons des gamelles et des bidons Des gamelles plein le cul, des bidons plein le con. Trou du cul, poil, poil, trou du cul, poil, poil, Trou du cul, poil, poil partout. Par devant, par derrière, par dessus, par dessous Trou du cul, poil, poil partout. Tarara dzim, ma femme a cent quarante de tour C’est ma faute, c’est de la faute à l’amour. Tarara dzim, ma femme a cent quarante de tour C’est ma faute, c’est de la faute à l’amour. Re, re, regarde donc, La petite bonne du second, Elle a le regard fixé Sur le troisième bouton, De la braguette De mon pantaqui, de mon pantaquoi, De mon pantalon. Cré nom de Dieu, Les jolis yeux ! Cré nom d’un chien, Comme elle est bien ! Nom d’un bordel, Comme elle est belle Nom d’une putain, Je la baiserais bien. Elle est pucelle, non, non, vous vous trompez, Je sens ma queue qui se dresse dans mon pantalon. Ra, ra, rabats-la donc ta queue, cochon Dans ton pantaqui, dans ton pantaquoi, Dans ton pantalon. Y a-t-il des cocus parmi nous ? Lesquels que c’est ? Lesquels que c’est ? Tous, tous, tous ! Ce n’est pas par le cul Que se font les cocus, Traîne tes couilles par terre, Mais c’est bien par le con Que les cocus se font, Rabats-les donc tes roustons. Traîne tes couilles par terre, Prends ta pine à deux mains, mon cousin Nous partons en guerre, Contre les putains. L’as-tu connu, la putain de Nancy ? Qui a foutu la vérole à toute la cavalerie ? Les cavaliers qu’étaient pas dégourdis, S’étaient pas aperçu qu’elle avait mal au cul. Et les hussards qu’étaient plus démerdards, S’en étaient aperçu, mais il était trop tard. Mais les dragons qu’étaient pas des couillons, Ont fichu la putain à la porte du boxon. Baise, baise Marie-Thérese, Baiseras-tu le trou de mon cul. Quand je bande, Ma pine touche mon ventre. Quand je ne bande plus, Ma pine touche mon cul. C’était un chasseur qui n’avait pas peur De se branler la pine dans sa carabine. Le foutre coulait dans le bassinet, Servant de liqueur aux autres chasseurs. Quand je bande, je me demande Où ma pine va s’arrêter. De mon vit ferme jaillit le sperme Comme la source jaillit du rocher. Chasseur as-tu vu Le trou de mon cul ? Il est ovale, mon trou de balle. Il n’est ni rond, ni carré, ni pointu. Il est ovale, mon trou de balle. Il est ovale, le trou de mon cul. Trou de mon cul, madame Camus, Elle est morte, elle est morte, Trou de mon cul, madame Camus, Elle est morte, elle ne baisera plus. Tout ça lui bat dans les fesses Trou de mon cul, madame Camus, Elle est morte, elle est morte, Trou de mon cul, madame Camus, Elle est morte, elle ne baisera plus. Ma grand-mère m’a fait voir son cul. Ah ! Bon dieu, bon dieu qu’il était large Grand-Papa joue du billard dessus Ah ! Bon dieu, bon dieu qu’il était large son cul ! Le trou trou de Grand-Maman Fait lever la bite, fait lever la bite, Le trou trou de Grand-Maman Fait lever la bite à Grand-Papa. La bibite à Grand-Papa Fait mouiller le trou, fait mouiller le trou, La bibite à Grand-Papa Fait mouiller le trou à Grand-Maman. La bite, la bite, la bite, la bite, c’est la bite à mon père, La bite, la bite, la bite, la bite, c’est la bite à Papa, C’est la bite à mon père, c’est la bite à Papa, C’est la bite à mon père, c’est la bite à Papa, Qui fait plaisir à Maman. Non Maman, ne pleurez pas tant, Nous allons couper la bite à Bertrand. Mais avant de la lui couper, Nous allons la lui attacher, Attacher la bite à Bertrand, Avec un ruban blanc. Plaisir d’amour, ne dure qu’un instant ! La syphilis dure toute la vie. De tous les animaux qui pissent, Y a que la femme qui foute la chaude-pisse, Mais... Y’a que la peau de couille, pour conserver le tabac, Voilà, voilà, voilà la chanson militaire. Y’a que la peau de couille, pour conserver le tabac, Voilà, voilà, voilà la chanson du soldat. De tous les animaux qui baisent, Y a que la femme qui demande de la braise, Mais... De tous les animaux qui chient, Y a que l’homme qui se l’essuie, Et quand le papier est trop menu, Il se fourre son petit doigt dans le cul. Laguerre des boutons en chansons | Patapouf. Streamez en Hi-Fi ou téléchargez en vraie qualité CD sur qobuz.com Des années qu’on ne sait plus à quel sein se vouer. La féminité ne se nicherait plus dans notre décolleté, mais dans nos fesses. L’automne 2015 sonne le glas de cette guerre chaude, notre nouvel atout sexy c’est notre taille, de guêpe évidemment. Cette révolution quasi culturelle a commencé, l’an passé, avec la réapparition dans les rayons du jean qui monte et emboîte bien les hanches, façon Drôles de dames ». La rentrée 2015 signe la disparition du nombril ! Avec l’explosion des seventies dans la mode, la taille haute est de retour. Les pantalons à pattes d’eph ou carrément à pinces grand come-back, filez chez Vanessa Seward se boutonnent presque sous les omoplates. Du coup, les braguettes qui montent qui montent n’en font qu’à leur tête et s’ornent de boutons de toutes les couleurs. Les jupes, crayon, portefeuille ou plissées, se portent haut et bien serrées. Quant à la ceinture, c’est the » accessoire voir notre compte rendu des défilés printemps-été 2016 p. 28 dans le magazine en kiosque. Elle do ne un coup de moderne aux vestes, chandails, manteaux. Tu peux même ceinturer ton trench avec une grosse corde achetée au BHV », m’a dit un des grands gourous de la mode à ELLE, une fille à l’allure folle qui peut porter n’importe quoi. Parce que moi, perso, avec mon imper et ma corde, je ressemble à Frère Tuck, le moine de Robin des Bois ». Mais, si on s’en tient à ses classiques, tout ça c’est bien joli, ça allonge la gambette et ça fait une tournure de reine. Problème, après des années de jean tombant sur les fesses, notre tour de taille a pris quelques centimètres. Morphologiquement, nos silhouettes se sont transformées, nos ventres se sont arrondis et il faudra se remettre à la gym pour rentrer dignement dans les pantalons de la saison. Plus sérieusement, ce changement de lignes n’est pas un détail. En cette année du centenaire de la naissance de Barthes, offrons-nous un moment de sémiologie du placard. On connaît la chanson, Roland, tout a un sens ! Alors, que signifie cette renaissance ? C’est cousu de fil blanc, endettée, la France se serre la ceinture ! Et se remémore avec nostalgie les années 50, celles de la croissance, du plein-emploi, du New Look de Christian Dior qui étranglait la taille et faisait virevolter les jupes. Il y a juste un hic pourquoi François Hollande n’arrive-t-il, lui, quasiment plus à fermer sa veste ? Serait-il le seul Français à ne pas se serrer la ceinture ? On préfère croire que ce Président rebondi annonce un rebond de l’économie. De taille nouveau numéro de ELLE célèbre le retour de la féminité. A découvrir en kiosque ce vendredi 02 octobre

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Description de la tenue des officiers généraux grande tenue et tenue de ville. GRANDE TENUE. TUNIQUE DE GRANDE TENUE. a Tunique en drap. Confectionnée en drap satin bleu foncé, la tunique est composée de deux devants, deux petits côtés, un dos avec basque rapportée, un col et deux manches. La tunique dessine la taille suffisamment pour permettre le port du ceinturon par-dessus l’effet ; dans ce but, chaque devant comporte une ou deux pinces verticales permettant l’ajustage à la conformation de l’officier général. Le bord inférieur de la tunique s’arrête à dix centimètres au-dessus des genoux longueur totale du dos pour la taille moyenne 0m,90. Devants. – Les devants se ferment droit sur la poitrine au moyen de neuf gros boutons d’uniforme. Ils sont coupés d’une seule pièce dans toute leur longueur. Le devant de droite qui porte les boutons s’engage de 40mm environ sous celui de gauche ; ce dernier est percé de boutonnières correspondantes faites en drap ; la première boutonnière est placée à 35mm de l’encolure et la dernière à hauteur de la taille. Petits côtés. – Les petits côtés sont coupés d’une seule pièce dans toute leur longueur ; ils sont placés sous les bras. Dos. – Le dos est coupé d’une seule pièce jusqu’à la taille ; sa largeur à cet endroit mesure 90mm environ entre les deux coutures latérales. Il est prolongé par une basque. La basque du dos est composée de deux morceaux rectangulaires rapportés au dos par une couture à hauteur de la taille. Le morceau de droite s’engage sous celui de gauche de 30mm en haut et de 60mm environ en bas. Chacune des deux coutures d’assemblage de la basque avec les petits côtés est ornée d’une patte à la soubise » en drap du fond et qui présente en haut une tête à trois pointes avec un gros bouton d’uniforme au milieu, et plus bas une pointe saillante sur le derrière portant aussi un gros bouton d’uniforme. Dimension de la patte à la Soubise ». Distance verticale entre les deux boutons, environ 120mm Largeur de la tête de la soubise 55mm Largeur de la pointe saillante, au 2e bouton 40mm Largeur entre la tête et cette pointe 20mm Largeur au-dessous de cette pointe jusqu’au bas 15mm La pointe supérieure de cette soubise est doublée en drap du fond ; elle n’est pas appliquée contre le corsage pour que le ceinturon puisse reposer sans masquer cette pointe, sur les deux autres qui sont fortement arrêtées au niveau de la tige du bouton. Les deux boutons placés au milieu de la tête des soubises sont éloignés l’un de l’autre de 90mm environ de milieu en milieu. Le tour des soubises est passepoilé en drap du fond. Manches. – Les manches sont en cieux morceaux, un dessus et un dessous ; elles se terminent au bas par un parement droit. Les parements sont en drap du fond ornés de la broderie décrite plus loin au paragraphe Broderies » Largeur de la manche pour une taille moyenne En haut 200mm Au coude 190mm Au bas 150mm Parements droits Hauteur apparente 65mm Hauteur du rempli en dedans. 20mm Col. – Le col, de forme droite, est en drap du fond. Il est orné de la broderie décrite plus loin ; sa hauteur est en moyenne de 50mm. Il se ferme carrément par-devant au moyen de trois agrafes ; il est garni intérieurement d’un cuir et reçoit sur sa doublure cinq petits boutons en métal blanc destinés à fixer le col blanc en toile. Ce col blanc ne doit dépasser tout autour que de 2 à 4mm. Brides d’épaulettes. – Les brides d’épaulettes sont constituées par une broderie de 16mm environ de largeur exécutée sur du drap du fond et décrite ci-après Le drap est remplié de chaque côté de la broderie de manière à former doublure et passepoil dépassant la broderie de 3mm environ de chaque côté. La largeur totale de la bride est de 22mm environ. Ces brides d’épaulettes doivent être cousues sur le vêtement de manière que l’épaulette soit placée bien droite sur l’épaule. Un petit gousset en drap du fond est cousu sur chaque épaule pour recevoir l’agrafe de l’épaulette. Patte de ceinturon. – Une patte de ceinturon en drap du fond et doublée de même, dont les bords sont passepoilés en drap du fond, est fixée sur le devant de gauche à l’aplomb de l’aisselle et, immédiatement au-dessus de la hanche. La tête de cette patte a trois pointes ; elle est percée d’une boutonnière faite en drap. Un petit bouton d’uniforme correspondant est cousu sur le devant qui, en cet endroit, est renforcé par un droit-fil en toile placé entre le drap et la doublure. Longueur apparente de la patte 100mm Largeur de la tête mesurée aux pointes 40mm Largeur au-dessous de la tête jusqu’au bas 15mm Doublage. — Le pourtour de la tunique est remplié et piqué à cordon, sauf le bord du devant de gauche qui est passepoilé en drap du fond. Le corps de la tunique est entièrement doublé en béatrix ou en satin de Chine noir ; les manches sont doublées en satinette. Les devants sont parementés en drap du fond sur une largeur de 70mm. Une poche de portefeuille de 160mm de profondeur sur 150mm de largeur est piquée sur la doublure de chaque devant. Broderies. — Maréchaux de France et officiers généraux. Le col et les parements de la tunique de grande tenue sont ornés de broderies en or séparées par des intervalles laissant voir le drap du fond, savoir 1° Une baguette d’encadrement formée d’un rang de cannetille figurant une torsade de 2mm de largeur, d’une rangée de paillettes de 3mm de largeur et d’une rangée de dents de 5mm de largeur tournée en dehors, exécutées en filé dit au passé ». La largeur totale de cette baguette est de 10mm environ ; 2° Une branche de chêne de 31mm de largeur pour le col et de 40mm de largeur pour les parements. La broderie des brides d’épaulettes est en cannetille et paillettes d’or, sa longueur est de 90mm et sa largeur de 16mm environ. Les feuilles de chêne sont brodées mi-partie cannetille mate et mi-partie brillante en filé dit au passé » avec nervure et paillettes. Boutons d’uniforme. – Demi-bombés, dorés au bruni et mat ; la coquille porte comme empreinte estampée pour les maréchaux, deux bâtons croisés entourés de lauriers; pour les généraux, un trophée formé de drapeaux et d’un bouclier surmonté d’un casque. Gros boutons Diamètre 21mm Hauteur 9mm Petits boutons Diamètre 15mm Hauteur 7mm Insignes de grade. – Les insignes de grade sont formés par des étoiles à cinq branches en argent massif diamètre du cercle circonscrit, 20mm placées sur chaque manche au-dessus du parement, de la façon suivante Général de brigade deux étoiles placées sur une ligne parallèle au bord supérieur du parement et à 120mm environ du bord inférieur de la manche. Elles sont espacées entre elles de 70mm environ de centre à centre. Général de division trois étoiles en argent placées en forme de triangle, dont les côtés ont 70mm environ. Général commandant un corps d’armée quatre étoiles en argent, placées en forme de losange. Les trois premières sont placées comme celles du général de division. La quatrième forme au-dessous le quatrième sommet du losange. Général membre du conseil supérieur de la guerre cinq étoiles en argent. Les quatre premières sont placées comme celles du général commandant un corps d’armée. La cinquième est posée à 60mm environ au-dessus de celle qui forme le sommet supérieur du losange. Maréchal de France sept étoiles en argent. Les quatre premières sont posées en losange comme celles d’un général commandant un corps d’armée. Les trois dernières sont posées en triangle au-dessus des quatre premières ; elles sont écartées entre elles de 70mm environ.

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Le fait qu’Israël fasse partie du concours européen de la chanson qu’est l’Eurovison, est déjà aberrant. Israël ne fait pas pas partie de l’Europe, que l’on sache, et sa politique criminelle disqualifie a fortiori cet Etat pour toute participation dans la fameuse Europe ». Mais qu’en plus, on admette qu’il soit représenté par une chanson sur la menace nucléaire que constituerait l’Iran est un véritable scandale. Il existe des dirigeants déments qui aspirent à nuire avec des technologies diaboliques et ils vont presser le bouton » va chanter devant des dizaines de millions de téléspectateurs le groupe israélien Teapacks», le 10 mai prochain, à Helsinki.. Le morceau intitulé Push the button », sous prétexte de représenter la peur » israélienne que leur pays soit rayé de la carte » par l’Iran on prend vraiment les gens pour des imbéciles ! est en fait une invitation à attaquer l’Iran, de manière préventive », comme on tente de nous y habituer désormais quand l’administration américaine ou les dirigeants israéliens veulent introduire le chaos dans un pays trop indépendant à leur goût. Le monde est plein de terreur », chante le chanteur Kobi Oz, en s’en prenant au président iranien, Mahmoud Ahmadinejad. Je ne veux pas mourir, je veux voir les fleurs grandir, je ne veux pas être kaput-kaboom», ose-t-il poursuivre, après que son pays eût fait mourir plus de 1200 civils cet été, utilisé des technologies diaboliques » que sont les bombes à fragmentation qui continuent à tuer des habitants du sud Liban, et transformé des villages entiers en champs de ruines ! Et ça au Liban l’été dernier, c’était l’Iran ? Est-ce que Rachel Corie, pacifiste américaine de 23 ans, voulait mourir » écrasée volontairement par un bulldozer israélien, à Rafah Bande de Gaza il y a 4 ans jour pour jour ? Le nouveau sondage international montre que l’opinion publique, qui place Israël en tête des pays dangereux, ne s’y trompe pas. Israël est le principal fauteur de guerre et de terrrorisme dans le monde, et tous les gouvernements qui l’encouragent sont criminels. Et on ne voit pas enquoi la bombe atomique possédée par Israël serait plus rassurante que celle de l’Iran, bien au contraire ! Cette propagande de guerre est nauséabonde, intolérable. Nous devons la dénoncer, et le faire d’abord auprès du gouvernement français qui accepte de collaborer sur le plan militaire, économique et culturel avec un pays qui pratique le terrorisme d’Etat. A l' »Europe » sous la coupe de l’OTAN et de la logique impérialiste, nous avons déjà dit NON majoritairement. A une France collabo et prête à s’engager dans des entreprises guerrières pour que puissent se perpétrer tranquillement l’occupation et l’oppression des Palestiniens et d’autres peuples, nous devons également dire NON. Commençons par balayer devant notre porte ! C’est le moment ou jamais de s’adresser aux candidats et de leur exprimer notre refus d’écraser tous ceux qui résistent aux volontés busho-sionistes. Rappel des coordonnées des candidats aux élections présidentielles -M. Nicolas Sarkozy, Place Beauveau. 75008 Paris -Mme Ségolène ROYAL, Siège du PS 282 Boulevard St-Germain -75007 – Paris -M. François BAYROU Assemblée Nationale, 126 rue de l’Université – 75007 – Paris -Mme Dominique VOYNET Sénat 15 rue de Vaugirard -75006 – Paris -Mme Marie-George BUFFET Parti Communiste Français Place du Colonel Fabien -75019 – Paris -M. Olivier BESANCENOT abs LCR-Rouge, 2 rue Richard-Lenoir – 93100 – Montreuil -Mme Arlette LAGUILLER abs Lutte Ouvrière BP 233 – 75865 Paris cedex 18 -M. José BOVE Confédération Paysanne, 104 rue Robespierre. 93170 Bagnolet CAPJPO-EuroPalestine LaGuerre des boutons. 1960, un village dans le sud de la France. Une bande de garçons, âgés de 7 à 14 ans, menée par l\'intrépide Lebrac, est en guerre contre les enfants du village voisin, leurs ennemis jurés. Une guerre sans merci, qui dure depuis des générations. On se bat pour l\'honneur et la fidélité et, pour gagner, tous les Les mariés de Vendée, paroles chanson LES MARIES DE VENDEE j’écrivais ton nom sur les pierres sur tes cheveux de lierre des ruines abandonnées je t’attendais à la rivière dans le bleu des fougères auprès d’un champ de blé j’écrivais... La Noce de la petite Victoire, chanson ancienne La Noce de la petite Victoire A la noce de la petite Victoire Après le dîner le garçon d’honneur Nous proposa d’aller à la foire et toute la noce partait en cœur Sur la... Mon père m’a donné un mari Mon père m’a donné un mari, Chanson en patois vendéen Mon père m’a donné un mari , au mé évie bis Au mé évie que je vole moulin sur la maison de l’école bis... Chansons vendéennes d’autrefois Tout en passant Chansons vendéennes d’autrefois Tout en passant Tout en passant près d’un petit bois bis Tous les coucous chantaient bis Et dans leur joli chant disaient coucou coucou coucou coucou Et moi je croyais... La danse de la brioche Traditions vendéennes, la danse de la brioche Quadrille Vendéen Brioche vendéenne Autrefois, en Vendée, la brioche était un cadeau de noces, du parrain ou la marraine. Le boulanger devait confectionner une brioche qui pesait... Chanson de mon enfance en Vendée CHANSON de mon enfance en Vendée sur le compère Guileri Il était un p’tit homme Appelé Guilleri Carabi Il s’en fut à la chasse A la chasse aux perdrix Carabi Refrain Toto carabo, Titi... Chansons Vendéenne Quand Margoton s’e va t’à l’eau » QUAND MARGOTON s’e va t-à l’eau Quand Margoton s’en va t’à l’eau Elle prend sa buie Elle court toujours ,ton ta ri va ri re Sommes nous pas au mardi gras Ton ta ri va... Chanson l’aéropiane L’Aéropiane l’avion Dans nout’ville, ben tranquille, O y a combien d’aviateurs Qui durant de grandes journailles L’faisont des envolailles. Tout le monde s’grouille, s’ébouille Pour applaudir en chœur. Au d’sus de la place Saint-Hilaire... Chanson la vieille Jement Chanson vendéenne LA VIEILLE JEMENT » la vieille jument Chez nous, dans l’temps Y’aviant in, vieill’ je ment A la fi d’garce de j’ment Falait la vouère falait la vouère y l’ach’tirant A la fouèr... Partons la mer est belle, paroles chanson Partons la mer est belle – Paroles Chanson Amis, partons sans bruit, La pêche sera bonne, La pleine lune donne Le reste de la nuit. Je veux qu’avant l’aurore Nous soyons de retour, Pour... Monpantalon est décousu et si ça continue on verra l'trou d'mon. Pantalon est décousu. film La guerre des boutons Citations similaires : Si le crocodile achète un pantalon, c'est qu'il a Publié le 24/09/2014 à 1345 VIDÉO - Pour le vingtième anniversaire du film de Quentin Tarantino, la costumière raconte la façon dont a été pensée l'apparence de la détonante Uma Thurman. Sans oublier la référence à Jean-Luc Godard plutôt qu'à La Fièvre du samedi soir. Pulp Fiction fête ses vingt ans cette année. À cette occasion, le ELLE américain rend hommage au film mythique de Quentin Tarantino en tendant le micro à Betsy Heimann. C'est à cette femme que l'on doit la tenue androgyne et sexy d'Uma Thurman dans la scène de danse endiablée avec John Travolta, récompensée par le MTV Movie Award de la Meilleure scène de danse. Moment iconique inclassable où Mia Wallace, la femme du truand Marsellus, participe à un concours de twist Vincent Vega, chargé de lui tenir compagnie.Je voulais qu'il y ait une tension. C'est la femme du patron - un élément intouchable - et pourtant, elle est canon et elle a un petit côté bad girl. Ce sont les paramètres avec lesquels j'ai travaillé. Alors je l'ai visualisée assise en train de boire un milk-shake avec Vincent, jouant un peu la séduction avec sa perruque noire», résume la costumière. La vision de Quentin [Tarentino] était que Mia ressemblerait à une star de vieux film muet.»Devant le peu de moyens à mettre dans le vestiaire et la grande taille de l'actrice, Betsy Heimann décide tout simplement de couper un pantalon noir déjà trop court. Des mules Chanel aux pieds pour rappeler son statut de femme du parrain et le tour est joué pour le à la chemise blanche, il s'agit de la version féminine d'une chemise d'homme, structurée grâce à un col aux pointes évasées. Petit détail qui compte le haut noir que l'on aperçoit sous le chemisier déboutonné et qu'on retrouvera plus tard lorsque Vincent lui administrera la fameuse piqûre d'adrénaline.Mia est une version féminine d'un Reservoir dog [gangster du film éponyme de Tarantino pour lequel elle a aussi réalisé les costumes]. Je pense que Lauren Bacall était un Reservoir Dog à sa façon. Je pense que le regard de Mia était fidèle à l'histoire emblématique des femmes fatales dans les films», ajoute la scène inspirée de Bande à partMythique, la scène a souvent été perçue comme une référence au Travolta de Grease ou de La Fièvre du samedi soir, tandis que Tarantino dit s'être inspiré de la scène de danse dans un café du film Bande à part 1964 de Jean-Luc Godard avec Anna Karina et ses amis un long papier disséquant le film dans le Vanity Fair français, Uma Thurman explique qu'elle appréhendait cette scène. J'étais tellement maladroite, raide et timide», avoue-t-elle. John Travolta raconte Quentin voulait un twist. Je lui ai dit Écoute, à 8 ans, j'ai gagné un concours de twist, j'en connais toutes les versions. Mais à mon avis, tu devrais ajouter d'autres danses populaires de l'époque.» Alors il m'a demandé De quelles danses tu parles?» Je lui ai répondu qu'il y avait le batusi, le hitchhiker, le swim et le twist. Je lui ai fait une démonstration et il les a toutes aimées. Donc je lui ai dit Je vais les apprendre à Uma et quand tu voudras qu'on change de pas, tu n'auras qu'à demander.» Tarantino tournera autour des deux acteurs en criant Watusi! Hitchhiker! Batusi!» Pour finalement aboutir au résultat génial que l'on connaît. À lire aussiInterdit en Iran, Leïla et ses frères arrive dans les salles françaisesCensuré dans son pays natal, le film de Saeed Roustaee, qui dresse le portrait d'une société iranienne en crise, débarque en France au cinéma mercredi 24 août. Présenté au festival de Cannes, il avait séduit la Gina Lollobrigida, 95 ans, candidate au Sénat en ItalieLa légende du cinéma italien, connue pour son rôle d'Esmeralda dans le Notre-Dame de Paris de Jean Delannoy en 1956, retente sa chance en Chronicles, Là où chantent les écrevisses… Les films à voir ou à éviter cette semaineUne adolescente confrontée à la fin du monde, une jeune femme, ayant grandi loin de la civilisation, accusée de meurtre… Que faut-il voir cette semaine? Découvrez la sélection cinéma du Figaro. Jecherche les paroles de la chanson la guerre des boutons (Francis Lemarques), pour mon fils qui est fane du filem (7ans). J'ai parcouru les messages et des personnes (probablement respectable par ailleurs humour) ne connaissait pas Lemarques tout en connaissant certaines chansons. lorsque je chante en me balladant dans panamme ou que je siffle sous la douche
Publié le 02/06/2015 à 0630, Mis à jour le 04/10/2016 à 1519 Il est le héros de la série The Vampire Diaries et l'idôle des jeunes filles en fleurs. Son récent mariage avec Nikki Reed qui interprète aussi une vampire, mais dans Twilight a fait exploser les retweets sur Twitter. Par chance, la nouvelle égérie Azzaro était sur la Croisette pendant le Festival de Cannes. Si certains fans se sont plaints parce qu'il avait refusé de poser avec eux, Ian Somerhalder a pris le temps, en revanche, de répondre à nos extravagantes questions. Saviez-vous que sa chanson préférée était... La Mer, de Charles Trenet ?! À lire aussi À 14 ans, Knox Pitt-Jolie apparaît aussi grand que sa mère Angelina Jolie lors d'une virée shopping à Los AngelesAngelina Jolie a été aperçue accompagnée de son benjamin, Knox, le frère jumeau de Vivienne, lors d'une sortie courses à Los Angeles, ce 15 août. Jane Fonda dévoile son étonnante astuce de l'élastique pour lutter contre un chagrin d'amourDans une interview à The Daily Telegraph, l'actrice de Grace and Frankie est revenue sur ses trois mariages, notamment celui avec Roger Vadim, et a donné quelques conseils inattendus pour lutter contre les chagrins d'amour. That's Amore» pour ses 64 ans, Madonna s'offre des baisers passionnés avec deux amies en ItalieL'interprète de Material Girl a célébré son anniversaire ce mardi 16 août, lors d'une folle soirée d'été en Sicile, où elle passe des vacances auprès de son fils Rocco Ritchie.
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Publié le 19/04/2015 à 1102, Mis à jour le 19/04/2015 à 1119 Lors de notre partenariat avec La Fête de la chanson française revise ses classiques diffusée samedi soir sur France 2, vous avez pu désigner la chanson de révolte qui vous tient le plus à coeur. Celui qui est en tête pour le moment est...Samedi soir, France 2 proposait à ses téléspectateurs son émission La Fête de la chanson française revise ses classiques présentée par Daniela Lumbroso et Virginie Guilhaume. À cette occasion, TV Magazine et France Bleu se sont associés à ce programme pour vous proposer d'élire la chanson engagée» la plus aviez le choix parmi dix classiques piochés dans le grand répertoire de la chanson française Comme ils disent de Charles Aznavour, Le déserteur de Boris Vian, Un jour au mauvais endroit de Calogéro, Le France de Michel Sardou, Aux arbres citoyens de Yannick Noah, Manhattan-Kaboul d'Axelle Red et Renaud, Lily de Pierre Perret, Nuit et brouillard de Jean Ferrat, La chanson des restos des Enfoirés et Foule sentimentale d'Alain l'heure actuelle, ce n'est autre que Michel Sardou avec sa chanson Le France, hommage au célèbre paquebot France» qui est en tête de ce sondage. Celui qui a eu les honneurs de voir son répertoire mis en lumière dans le film à succès La famille Bélier bénéficie peut-être de l'incroyable succès de cette comédie pouvez encore voter pour votre chanson engagée» préférée ici...
Le21 janvier 2013, Philippe Deman, passionné d'aviation et membre de l'association " Belgians in R.A.F. and S.A.A.F. 1940 - 1945 ", m'avait envoyé un lien.Celui - ci menait au site de TVCOM, chaîne d'information télévisée de la province du Brabant wallon.Le lien en question concernait des témoins de la Seconde Guerre mondiale, vivant dans le Brabant wallon.
Les sites de paris en ligne sont formels les Ukrainiens de Kalush Orchestra sont bien partis pour être les vainqueurs de l’édition 2022 de l’Eurovision, dont la finale se déroule ce samedi 14 mai à Turin, en Italie. Suivi chaque année par près de 200 millions téléspectateurs, l’événement offre une respiration bienvenue sur le Vieux Continent en proie à la pop ukrainienne sous les bombes russesUne guerre qui reste pourtant dans tous les esprits. Au-delà des qualités musicales de sa chanson, Kalush Orchestra bénéficie d’un capital sympathie puissant lié à l’agression russe. Ecrites avant l’invasion lancée le 24 février par Moscou, les paroles de sa berceuse rap Stefania » prennent une résonance particulièrement forte La suite après la publicité Je retrouverai toujours mon chemin vers la maison, même si toutes les routes sont détruites. »Barbara Pravi L’effet Eurovision est dément » Nous sommes ici pour montrer que la musique ukrainienne et la culture ukrainienne existent », explique le chanteur Oleh Psiuk. Elles sont authentiques, originales et vraiment uniques, ajoute-t-il, et c’est ce que nous voulons mettre en valeur », comme on le découvre dans la vidéo ci-dessous. Le visionnage de cette vidéo est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de l'opérateur de la plate-forme vidéo vers laquelle vous serez dirigée. Compte-tenu du refus du dépôt de cookies que vous avez exprimé, afin de respecter votre choix, nous avons bloqué la lecture de cette vidéo. Si vous souhaitez continuer et lire la vidéo, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. Une troisième victoire ?Si le groupe de rap folklorique l’emporte samedi, l’Ukraine enregistrerait une troisième victoire, après celle de 2004 puis celle de 2016 – deux ans après l’annexion de la Crimée par la Russie, avec Jamala et le titre 1944 », une chanson racontant la déportation des Tatars par Staline. Kalush Orchestra a reçu une autorisation spéciale du gouvernement de Kiev pour participer au concours. En revanche, l’Union européenne de radio-télévision UER, qui organise l’Eurovision, a exclu la Russie du concours dès le 25 février, au lendemain de l’entrée des troupes russes en Ukraine. Cesdrôles d'oiseaux sillonnent les festivals et concerts avec leur baluchons à chansons pétil-lantes et troublantes, oniriques et lyriques, en mode punk musette. Parmi eux, une voix et un visage que les fidèles de l’émission « The Voice » connaissent bien : PaulO, quart de finaliste cette année dans l’équipe de Vianney. A l’occasion du festival « La semaine acadienne », avec Y 'a que la peau d'couille, pour conserver le tabac, Voilà, voilà, voilà la chanson militaire. Y'a que la peau d'couille, pour conserver le tabac, Voilà, voilà, voilà la chanson du soldat. Moi je m'en fous, j'ai du poil au cul, Ca me tient chaud l'hiver. Et l'été je me les fait couper, pour mieux respirer. Tiens, Marie, voilà cent sous, Pompe-moi le noeud, Rends-moi trois francs. Mais non monsieur, c'est bien trop peu, Pour pomper un si gros noeud. Poil au barbizon, mon cul sur la commode, Poil au barbizon, mon cul sur les roustons. Tripote-moi la bite avec les doigts, Ah la belle bibite ! Tripote-moi la bite avec les doigts, Ah la belle bibite en bois ! L'as-tu vu, oui je l'ai vu, L'abricot de la cantinière. L'as-tu vu, oui je l'ai vu, Son petit abricot fendu. Il est tout noir, il est tout blanc, L'abricot de la cantinière. Il est tout noir, il est tout blanc, Il est fendu par devant. Ma mère, j'ai le con qui baille. Ma fille, fous-y de la paille. Cré nom de nom ! Quelle drôle d'invention, Que d'aller se faire foutre de la paille dans le con. J'aimerais mieux un bon gros vit, Que toute la paille du pays. Oui, non, nous en avons des gamelles et des bidons Des gamelles plein le cul, des bidons plein le con. Oui, non, nous en avons des gamelles et des bidons Des gamelles plein le cul, des bidons plein le con. Trou du cul, poil, poil, trou du cul, poil, poil, Trou du cul, poil, poil partout. Par devant, par derrière, par dessus, par dessous Trou du cul, poil, poil partout. Tarara dzim, ma femme a cent quarante de tour C'est pas d'ma faute, c'est de la faute à l'amour. Tarara dzim, ma femme a cent quarante de tour C'est pas d'ma faute, c'est de la faute à l'amour. Re, re, regarde donc, La petite bonne du second, Elle a le regard fixé Sur le troisième bouton, De la braguette De mon pantaqui, de mon pantaquoi, De mon pantalon. Cré nom d'un chien, Comme elle est bien ! Nom d'un bordel, Comme elle est belle Cré nom de Dieu, Les jolis yeux ! Cré nom d'un chien, Je la baiserais bien. Elle est pucelle, vous, vous, vous vous trompez, Je sens ma queue qui se dresse dans mon pantalon, dans mon pantalon. Ra, ra, rabats-la donc ta queue, cochon Dans ton pantaqui, dans ton pantaquoi, Dans ton pantalon. Y a-t-il des cocus parmi nous ? Lesquels que c'est ? Lesquels que c'est ? Tous, tous, tous ! Ce n'est pas par le cul Que se font les cocus, Traîne tes couilles par terre, Mais c'est bien par le con Que les cocus se font, Rabats-les donc tes roustons. Traîne tes couilles par terre, Prends ta pine à la main, mon cousin Nous partons en guerre, Contre les putains. L'as-tu connu, la putain de Nancy ? Qui a foutu la vérole à toute la cavalerie ? Les cuiraciers qu'étaient pas dégourdis, S'étaient pas aperçu qu'elle avait mal au cul. Et les hussards qu'étaient plus démerdards, S'en étaient aperçu, mais il était trop tard. Ce sont les dragons qu'étaient pas des couillons, Qu'ont foutu la putain à la porte du boxon. Baise, baise Marie-Thérese, Baiseras-tu le trou de mon cul. Quand je bande, Ma pine touche mon ventre. Quand je ne bande plus, Ma pine touche mon cul. C'était un chasseur qu'était plein d'ardeur Qui s'branlait la pine dans sa carabine. Le foutre coulait dans le bassinet, Servant de liqueur aux autres chasseurs. Quand je bande, je me demande Où ma pine va s'arrêter. De mon vit ferme jaillit le sperme Comme la source jaillit du rocher. Chasseur as-tu vu Le trou de son cul ? Il est ovale, mon trou de balle. Il n'est ni rond, ni carré, ni pointu. Il est ovale, mon trou de balle. Il est ovale, le trou de mon cul. Chasseur as-tu vu Le trou de son cul ? Trou de mon cul, madame Camus, Elle est morte, elle est morte, Trou de mon cul, madame Camus, Elle est morte, elle pettera plus. Quand elle s'en va à la messe, Tout ça lui bat dans les fesses Trou du cul, d'la mère Camus, Elle est morte, elle est morte, Trou du cul, d'la mère Camus, Elle est morte, elle pettera plus. Ma grand-mère m'a fait voir son cul. Ah ! Bon dieu, bon dieu qu'il était large Mon grand-père joue au billard dessus Ah ! Bon dieu, qu'il était large son cul ! Le trou trou de Grand-Maman Fait lever la bite, fait lever la bite, Le trou trou de Grand-Maman Fait lever la bite à Grand-Papa. La bibite à Grand-Papa Fait mouiller le trou, fait mouiller le trou, La bibite à Grand-Papa Fait mouiller le trou de Grand-Maman. La bite, la bite, la bite, la bite, c'est la bite à mon père, La bite, la bite, la bite, la bite, c'est la bite à Papa, C'est la bite à mon père, c'est la bite à Papa, C'est la bite à mon père, c'est la bite à Papa, Qui fait plaisir à ma Maman. C'est la bite à mon père, c'est la bite à Papa, C'est la bite à papa, c'est la bite à mon père, Qui fait plaisir à ma Maman. La bite, la bite, la bite, la bite, c'est la bite à mon père, La bite, la bite, la bite, la bite, c'est la bite à Papa. Non Maman, ne pleurez pas tant, Nous allons couper la bite à Bertrand. Mais avant de la lui couper, Nous allons la lui attacher, Attacher la bite à Bertrand, Avec un ruban blanc. La bite, la bite, la bite, la bite, c'est la bite à mon père, La bite, la bite, la bite, la bite, c'est la bite à Papa. Chagrin d'amour, ne dure qu'un moment ! Plaisir d'amour dure toute la vie ! Parmis tous les animaux qui p___ent, Y a que la femme qui foute la chaude-p___e, Oui mais... Y'a que la peau d'couille, pour conserver le tabac, Voilà, voilà, voilà la chanson militaire. Y'a que la peau d'couille, pour conserver le tabac, Voilà, voilà, voilà la chanson du soldat. De tous les animaux qui chient, Y a que la femme qui se l'essuie, Oui mais... Y'a que la peau d'couille, pour conserver le tabac, Voilà, voilà, voilà la chanson militaire. Y'a que la peau d'couille, pour conserver le tabac, Voilà, voilà, voilà la chanson du soldat. Parmis tous les animaux qui baisent, Y a qu'la femme qui prend de la braise, Oui mais... Y'a que la peau d'couille, pour conserver le tabac, Voilà, voilà, voilà la chanson militaire. Y'a que la peau d'couille, pour conserver le tabac, Voilà, voilà, voilà la chanson du soldat. See also JustSomeLyrics 78 Various Artists Little River Band - Reminiscing Lyrics National Skyline Some Will Say Lyrics
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La tenue du fantassin Avant-propos Nous continuons la description de l’équipement du fantassin, celui qu’il avait au tout début de la guerre. Pour le moment, c’est l’uniforme de l’homme de troupe qui nous concerne, les particularités de celui de l’officier sera abordé plus tard. Certaines descriptions présentées ci-dessous se retrouvent dans certains sites toujours remarquablement bien faits. Nous en signalons quelques-uns mais il en existe bien d’autres que nous citons au gré de notre avancement dans la présentation de ce sujet. Blog Artois 1914, Les Français à Verdun – 1916, Les collections de Wab, L’armée française de l’été 14, Le Nous essayons de donner les informations, en notre connaissance, les plus exactes mais sommes néanmoins toujours à la recherche d’informations complémentaires pour améliorer les descriptifs dont nos sources restent parfois parcellaires ou imprécises. Nous vous remercions de contribuer à cette recherche de précision par l’intermédiaire de l’onglet contact. Photo d’un mannequin montrant un fantassin en août 19147 [Fantassin du 27e © musée de l’Armée Dist. RMN-Grand Palais photo Emilie Cambier et Pascal Segrette] Officier d’Infanterie en août 1914 Équipement en cuir Les jambières Au début de la guerre, elles ont subi 2 modifications depuis 1887, date de leur mise en service. En juillet 1912, une fente est ajoutée sur l’arrière au centre, afin qu’elles s’ajustent mieux aux brodequins. En juin 1913, le mode de fermeture est modifié. Un côté est désormais composé de haut en bas de un oeillet, deux crochets et deux œillets. L’autre est composé de haut en bas de trois crochets et un œillet. Le tout est toujours fermé par un lacet en cuir. A l’usage, les jambières s’avèrent très inconfortables, trop petites, elles scient les mollets. Beaucoup de fantassins étaient munis des fameuses bandes molletières qui nécessitaient temps et dextérité pour les ajuster ! Le ceinturon A l’entrée en guerre, les soldats sont équipés du ceinturon modèle 1845. C’est l’effet le plus ancien de l’uniforme français. Il est en cuir côté chair à l’intérieur et vers l’extérieur ciré en noir. Un côté est muni d’une grosse plaque en cuivre alors que l’autre d’un anneau plat cousu au ceinturon. Cet anneau vient se crocheter dans un crochet plat soudé sous la plaque en cuivre. Le principal inconvénient du ceinturon réside dans la manière d’ajuster sa longueur, qui n’est pas du-tout pratique. En effet, l’ajustement se fait en faisant coulisser et glisser en force le cuir sous l’attache de la boucle. Le surplus de cuir est ensuite maintenu plaqué grâce à un passant mobile. La boucle en cuivre n’est donc pas solidaire du cuir, et avec le temps, le ceinturon se desserre petit à petit, obligeant d’être souvent réajusté. En plus de cela, la boucle en cuivre est assez imposante et ne passe pas dans les passants des cartouchières et du porte-baïonnette. A chaque fois que l’équipement doit être monté, il faut désolidariser la plaque du ceinturon, passer les éléments à charger et réajuster la longueur du ceinturon. Autant dire qu’avec cet effet, rien n’est fait pour faciliter l’habillement des soldats ! Il faut attendre 1903 pour que la plaque en cuivre soit enfin remplacée par une boucle en cuivre à 2 ardillons, permettant cette fois ci le passage dans les passants des éléments de charge. Ce nouveau modèle est distribué en 3 tailles 110, 115 et 125 cm. Le modèle moyen comporte 2 rangés de 11 trous et ce nombre varie sur les 2 autres modèles. Modèle 1845 à boucle coulissante source Système d’attache du ceinturon à boucle Ceinturon à ardillons Ceinturon et bretelles Il pourrait apparaître étrange de parler si longuement de cet élément de l’uniforme du soldat. Il ne faut pas non plus le confondre avec ceinture et bretelles qui ont vocation à empêcher le pantalon de tomber. Ceci pourrait être plaisant et risible, mais perdre son pantalon lorsque l’on monte à l’assaut est un risque de se faire tuer supplémentaire. Le rôle du ceinturon est tout autre, il fait partie de l’uniforme à part entière. Laissons de côté son aspect esthétique relevant de considérations d’apparat pour nous attacher à son côté utilitaire. Ce ceinturon sert à y accrocher tout ce dont le soldat aura besoin dans les moindres déplacements. Y sont accrochés les 3 cartouchières pouvant contenir jusqu’à 40 cartouches chacune, 5 paquets de 8, donc 120 en tout. Les cartouchières sont si lourdes que des bretelles de suspension sont nécessaires pour aider à maintenir le tout. Ces bretelles ont également le nom de brelage. Ensemble ceinture et brelage photo actuelle Le ceinturon du fantassin date de 1845 et ses dimensions sont réglementées. Cuir noir de 53 mm de large. Pour le fermer, on a retenu le système de boucle coulissante en cuivre. Système pratique lorsque l’on ne porte rien mais qui devient inadapté quand on voit le poids de l’équipement à soutenir. Ce ceinturon se desserre tout le temps. Il sera peu à peu remplacé par le modèle 1903, modèle dont l’attache est à double ardillon pointe de métal qui s’insère dans des œillets. Sur le devant du ceinturon, se trouve une plaque en cuivre du plus bel effet. On tenta de moderniser le ceinturon en 1873 mais la plaque de cuivre avait la mauvaise idée de refléter un peu trop bien le soleil ce qui en faisait un point de fixation idéal pour un tireur lointain. A la mobilisation, le modèle 1873 est le plus courant, cependant, jugé trop voyant à cause des reflets des rayons du soleil sur la boucle en cuivre, il est petit à petit remplacé par le modèle 1903. Cependant, la quantité impressionnante du ceinturon modèle 1845 dans les entrepôts de stockage ne rend pas facile cette réforme et ce modèle sera encore fréquent durant tout le premier semestre de l’année 1915, mais avec sa boucle repeinte en noir. Le modèle antérieur reprit ’hélas’’ du service ! Ce ceinturon sert de point d’attache à tout ce qui doit être rapidement accessible. Y est accrochée tout d’abord l’indispensable gourde, compagne de la gamelle que nous verrons plus bas et les 3 cartouchières. Les bretelles de suspension Les bretelles de suspension, que l’on peut également appeler brelage », servent à soutenir le poids des 3 cartouchières. Elles sont confectionnées en cuir noir retourné. Elles sont formées de 3 branches en Y qui sont reliées ensemble par un anneau dorsal en laiton. A chaque extrémité, un crochet en cuivre vient se crocheter à l’anneau de la cartouchière. Des trous percés dans chaque branche permettent de régler en hauteur des crochets. A l’entrée en guerre, c’est le modèle 1892 qui équipe le fantassin français. Le modèle antérieur reprit du service ! Ce ceinturon sert de point d’attache à tout ce qui doit être rapidement accessible. Y est accrochée tout d’abord l’indispensable gourde, compagne de la gamelle. Bretelles de suspension modèle 1892 collection éric Les 3 cartouchières A l’entrée en guerre, les soldats sont équipés des 3 cartouchières modèle 1888. Deux sont ventrales et une est dorsale. Elles sont fixées au ceinturon grâce à 2 passants en cuir, et aux bretelles de suspension par 1 anneau métallique. Chacune peut contenir jusqu’a 5 paquets de 8 cartouches, soit 40 cartouches par cartouchière. La cartouchière dorsale est très gênante, car elle empêche le soldat de se coucher, et même de s’asseoir sans qu’il la sente en permanence au bas de son dos. En 1905, une modification est apportée. Les 2 passants en cuir sur la face arrière de la cartouchière sont remplacés par un triangle de cuir plus large enfin de permettre à la boucle en cuivre du ceinturon modèle 1845 de pouvoir passer voir le paragraphe sur le ceinturon ci-dessus. Très vite, un défaut est constaté si le crochet de la bretelle de suspension vient à se décrocher, le haut du triangle, en raison du poids de la cartouchière, glisse sous la bande de cuir verticale, puis sous le ceinturon et la cartouchière tombe au sol. Pour remédier à ce problème, il est préconiser de tordre l’anneau en fer à 90°, mais cette mesure de fortune n’est pas entièrement fiable et sera peu utilisée. Cartouchière, cuir brun, devant Cartouchière, cuir brun, arrière Les 2 types d’attaches source Autour du ceinturon La musette Sur le devant, chacun s’est adjoint une sacoche personnelle en toile où s’y trouve ce que chacun juge indispensable à son quotidien. Qui y met son tabac, sa pipe son briquet. Le fameux Scaferlati dont on bourrait les bonnes bouffardes. Nous en reparlerons avec l’article sur l’alcool et le tabac des tranchées. Indispensable, le briquet qui deviendra objet culte après quelques mois. Le briquet méritera un article complet lors de l’étude de l’Art des tranchées ! Le briquet à mèche amadou volant la vedette au briquet à pétrole. L’allumette sujette à l’humidité étant bannie ou presque. Certains poilus préfèrent tabac à chiquer tandis que d’autres restent fidèles à la cigarette, la fameuse troupe » qui existait encore dans les années 1980 parmi les derniers conscrits de l’Armée Française ! Je vous parle d’un temps que ceux de moins de 50 ans ne peuvent pas connaître ! Nous reparlerons du tabac un peu plus tard. Revenons au contenu de la sacoche personnelle. Certains y gardent précieusement, qui une mèche de cheveux de la bien-aimée, qui un peu de terre du pays. On y place un peu de nourriture ou beaucoup pour certains Et bien d’autres choses encore dont les crayons, calepins, médicaments et aussi un peu d’argent pour améliorer l’ordinaire ou jouer aux jeux de hasard… Bien moins risqué que le jeu, à la vie à la mort, qu’ils jouent tous les jours contre les Allemands. Ce qu’emportent les poilus nécessite parfois l’utilisation d’une deuxième puis d’une troisième musette pour ceux que l’on surnomme affectueusement les écureuils ». La musette de début de guerre est le modèle 1892 de couleur variable de beige clair à marron foncé selon le tissu qui la confectionne. Les coutures ont été améliorées au niveau de la sangle pour en améliorer la solidité. Même si l’on donne l’impression de s’attarder sur cet élément de l’équipement, il est avec la gourde et la gamelle, l’élément de l’équipement du soldat dont l’utilisation est la plus fréquente. Sacoche source La gourde et la gamelle La gourde est un élément de survie indispensable à toute personne vivant sur le terrain ». Elle l’est d’autant plus pour le militaire qui parfois et même souvent, n’a pas la possibilité de se ravitailler. Et un problème supplémentaire est de se procurer de l’eau potable sous risque de contracter des intoxications digestives de toutes sortes dont la fameuse diarrhée, insupportable pour qui ne peut se déshabiller. Le modèle de gourde fourni aux fantassins est un modèle datant de 1877. Il est un des rares équipements qui fassent l’unanimité par son côté pratique. Il est constitué de 2 coquilles embouties en tôle inoxydable car étamées recouvertes d’une couche d’étain inoxydable. D’une contenance d’un litre, elle se pose facilement grâce à son fond plat. Il existe aussi un modèle de 2 litres que portent les Africains ». Pour la transporter, elle est menue d’une sangle en cuir de vache noir ou vache fauve demi-nourri » selon le descriptif officiel ! Avec la gourde, est fourni le quart » en acier inoxydable aussi qui permet de boire eau, café ou autre… Cette gourde sera aussi une amie de beaucoup de soldats qui préféraient la remplir de gnôle ou plus souvent de vin distribué sans retenue à la troupe. Le choix du vin n’est pas un mauvais choix en soi. Le vin se révélant moins dangereux à boire que de l’eau souvent souillée et impropre à la consommation. Nous reviendrons en son temps sur les consommations de tabac et d’alcool dans les tranchées. Un sujet bien plus qu’anecdotique ! source Les photos suivantes proviennent du site Les collections de Wab Bidon modèle 1877, contenance 1 litre Avec le modèle pour 2 litres La gamelle réglementaire au début du conflit date de 1852. Elle est de forme ronde et elle aussi est fabriquée en fer étamé. Un couvercle la complète. Pour ne pas se perdre, corps et couvercle sont reliés par une petite chaîne accrochée à une des 2 poignées. Une courroie non visible sur la photo, permet de l’accrocher en haut du havresac. La fixation est étudiée pour la fixer à l’arrière du soldat et ainsi permettre le tir couché. D’une capacité d’un litre environ, elle est accompagnée des indispensables cuillère et fourchette en fer blanc. S’y ajoutent un ouvre-boite, parfois partagé à plusieurs. L’intendance n’a pas prévu de couteau. Il est coutumier que le fantassin se serve d’un qui lui appartient ou aussi du couteau de combat réglementaire Lebel. Au ceinturon, y sont accrochés encore la baïonnette, la fameuse Rosalie », et parfois différents outils comme des pinces coupantes pour les barbelés etc… nous reviendrons plus en détail sur l’armement et les outils du fantassin ultérieurement. Gamelle modèle 1852 et couverts Quarts modèle 1888, fer blanc Revenons aux vêtements ! La vareuse Cette partie de l’uniforme est une de celle qui pose le plus de problème avant l’adoption de la vareuse. En 1914, elle n’est pas une pièce officielle » de l’équipement. Elle est comme le bonnet de police, considérée comme un vêtement de casernement, de repos. Elle est peu appréciée par les soldats de par sa coupe qui se termine au bas du dos ce qui lui vaudra son surnom de ras de cul » et qui laisse dénudé le dos au niveau des reins. Et comme les chambrées sont parfois mal chauffées ! Sur le devant, elle se fermait par une rangée de neuf boutons et de couleur gris de fer bleuté ». Vareuse 1870 gris de fer bleuté » dite »ras de cul » Modèle officier source En 1897,les troupes disposeront d’une veste un eu plus longue dite de sortie qui ne possède plus que 7 boutons et qui a l’avantage de descendre plus bas dans le dos et qui rotège ainsi plus du froid. Mais son usage n’est pas généralisé. Modèle 7 boutons source Modèle à 7 boutons du 19éme Une confusion s’installe souvent avec la vareuse des Chasseurs Alpins entrée en service le 28 janvier 1891 et qui est connue sous le nom de vareuse dolman » elle est confectionnée en drap bleu foncé. La vareuse ferme par sept petits boutons d’uniforme, comporte deux poches sur chaque devant et une patte de ceinturon à trois pointes. Sur le côté gauche est pratiquée une fente verticale de 200 mm de long. Les manches se terminent par un parement-botte de 130 mm de hauteur. Le collet qui est rabattu haut de 110 mm reçoit sur ses deux angles une patte en drap découpé en triangle, avec numéros de régiment en drap jonquille. Placée sous le collet, une patte volante sert à fermer le col lorsqu’il est relevé. Les chasseurs alpins sont très satisfaits de par son confort et son côté pratique. Au point que d’autres unités essayent de s’en pourvoir. La volonté d’uniformisation des uniformes de l’Armée française voulue par le haut commandement dès la fin de 1914 fait adopter un modèle unique de vareuse pour toutes les armes. La description officielle est Veste à col droit avec une Patte de ceinturon côté gauche, une fermeture à cinq boutons, une fente de chaque côté pour donner de l’ampleur, deux poches extérieures de hanches rapportées et fermant avec un bouton, deux poches de poitrine intérieures en toile fermant également par un bouton mais par souci de simplification, pas de doublure. L’apparition de nouveaux effets en drap bleu clair mécontente les chasseurs qui obtiennent une exemption aux motifs de maintenir l’esprit de corps très développé de cette troupe d’élite ! L’argument de l’impact psychologique de ces tenues sur les Allemands lorsqu’ils doivent affronter les diables bleus » sic les allemands ont employé en réalité l’expression die schwarzen teufels », ce qui littéralement signifie les diables noirs » ! Le remplacement de ces vestes prévues en drap de laine prendra un certain temps il en fallait plusieurs millions ! et l’hiver sera particulièrement froid. L’intendance va se résoudre à se fournir auprès du maximum de fournisseurs possibles ce qui amène à voir des modèles en velours ou en lin ou autre et aussi avec du tissu de couleurs variées ! On réquisitionnera un peu de tout parmi ceux qui s’équipaient pour affronter le froid chasseurs, ouvriers d’extérieur, ouvriers agricoles… De mauvaises langues trouvaient à notre armée une allure d’armée mexicaine ! Veste toutes armes modèle 1914 source La capote modèle 1877 La capote qui équipe les fantassins n’est pas très différente de sa devancière, celle de la campagne de 1870. Elle est plutôt chaude car fabriquée en laine, mais elle a l’inconvénient d’être lourde et encombrante mais surtout mal adaptée pour le combat. Elle aussi surtout adaptée à la parade avec ses deux rangées de 6 boutons ceux à la grenade, décrits plus bas qui remplacent les précédents où était inscrit le numéro de l’unité. L’élégance se traduit par l’existence d’une martingale à l’arrière. Une martingale est une bande de tissu ou de cuir, placée de manière horizontale dans le dos des vestes ou des manteaux, à hauteur de la taille. Selon une description puisée dans un article de les vestes à martingales vont particulièrement bien aux personnes de haute taille, qui cherchent à casser un peu une silhouette longiligne. Il est assez difficile de trouver des martingales en France, où elles sont moins répandues qu’en Angleterre. Ceci n’arrangeait pas nos soldats qui auraient préféré une fente à l’arrière, plus efficace pour courir ! Dos de capote modèle 1877 avec sa martingale Elégant manteau à Martingale Le devant de la capote est très élégant avec ses 2 pans qui se chevauchent et qui peuvent se relever et s’accrocher sur le côté comme nous pouvons le voir dans les 2 photos présentées plus bas. Mais l’inconvénient est qu’il rend le rouge du pantalon plus visible. Il y a dans la capote des équipements bien pensés dans leur utilité pour le combattant. On remarque les pattes pour enserrer le ceinturon et l’empêcher de glisser et tomber. La capote est doublée de toile de lin, pour ralentir l’usure due aux frottements sur la laine. Les manches sont fendues et sont fermées par un petit bouton, ce qui en plus de l’élégance facilite les collet est droit et se ferme par un crochet métallique. Il est d’un beau rouge garance où figure le numéro de l’unité. Sur les épaules, sont présents des passants permettant de faire passer les sangles du sac ou du fusil. Les passants servent aussi à maintenir les épaulettes dont on se pare durant les défilés comme nous pouvons les voir sur la photo du caporal Peugeot. pans relevés source Mais l’usage » va rapidement mettre en lumières d’autres défauts. Les boutons sont trop voyants, eux-aussi brillent face au soleil,tout comme la couleur du col qui en plus ne protège pas assez du froid. Une fois tout installé, les poches devenaient inaccessibles ! Il ne faut pas croire que tous les défauts dont les articles précédents et suivants n’étaient pas connus de la hiérarchie. Les soldats effectuaient régulièrement des manœuvres avec ces équipements et la plupart des imperfections étaient connues. Les services techniques de l’armée essayaient d’en solutionner certains, d’autres étaient méprisés. Souvenez-vous de la remarque à propos du rouge garance du pantalon La gloire de la Nation obligeait à se montrer héroïque, donc c’eût été faire preuve d’une lâcheté d’avancer masqué sur l’ennemi. » Mais à l’époque, personne n’avait imaginé le scénario de cette guerre qui débutait et qui serait finie en quelques semaines. Alors à quoi bon engager d’inutiles dépenses pour le pseudo confort du soldat ! En décembre 1914, la capote Poiret emplacera petit à petit celle qui était en service depuis 1877 ! Les boutons et insignes Les boutons source Taille réelle 22 mm Le bouton dit à grenade » est caractéristique de l’uniforme du fantassin. En 1914, ce sont de magnifiques boutons dorés légèrement bombés en laiton. Le conflit durant, on en fabriqua dans d’autres matières, en aluminium, en fer et encore en corne en cuir, en bois ou en corozo graine provenant d’un arbre d’Amérique du sud’ bien adaptée à la fabrication de boutons. Parler des boutons paraît anecdotique mais chaque arme possède le sien propre. Les fantassins sont très fiers de leurs représentant une grenade qui explose. Grades et insignes Chaque soldat a le numéro de son unité visible sur sa tenue. Il est après l’uniforme un autre moyen d’identifier un soldat. Le numéro de l’unité est inscrit sur le képi et le col de la vareuse. Ceci pourrait paraître être un détail. Mais il permettait de localiser les régiments en début de conflit et organiser les mouvements de troupe. Et petit à petit, ces inscriptions permirent d’identifier les morts au combat et de confondre bon nombre de déserteurs. Soldats du 113ème de Toulon numéros sur képi et veste Ici exemple de numéro de régiment inscrit sur képi et col de la tenue. Et qui appartenait à un capitaine du 33ème ! source Bertrand Malvaux, antiquaire passionné de la Grande-Guerre Les grades Sur cette vielle gravure, on voit le système de reconnaissance de grades mis en place pour l’infanterie. Almanach Hachette 1917 Détail des insignes du soldat au général Ces signes distinctifs sont cousus sur les bras des soldats. Durant le conflit, des chevrons d’ancienneté et de blessures au combat. Ils ont été créés par décision ministérielle du 21 avril 1916. Signes distinctifs qui prennent le nom de brisques » qui sont des chevrons dont la pointe est orientée vers le bas. Leur création permettait de distinguer les anciens » qui les cousaient sur le bras gauche et pour ceux qui ont déjà payé le prix du sang » qui les cousaient eux sur le bras droit. Pour les lire, il faut compter les chevrons. Sur le bras droit, un chevron = une blessure ! Sur le bras gauche, Le premier chevron correspond à une année passée au front vient ensuite s’y ajouter une brisque » tous les 6 mois passés au front. Les brisques Certains soldats arboraient même juste en dessous de leurs brisques » officielles une petite barrette horizontale correspondant à un trimestre passé au front ; une pure fantaisie que la hiérarchie tolérait toutefois car 3 mois passés au front était déjà une épreuve en soit. Mais ne sont retenues que les périodes passées en première ligne ou toute période effectuée en zone des armées, manœuvre ou entrainement, repos compris. Les temps passés en hospitalisation ou en permission sont comptabilisés. Sont exclus, les temps passés en convalescence ou aux arrêts. Et toutes les périodes qui se passent à l’arrière des zones exposées bien entendu, et la liste est longue ! Beaucoup auraient préféré ne pas avoir ce si peu enviable privilège ! Plus tard dans le conflit seront créées d’autres distinctions, nous abordons le sujet un peu plus bas. La plaque d’identification A l’exemple de nombreuses armées, l’Armée Française éprouve au XIXème siècle, le besoin d’identifier les hommes tombés au combat. En France, en 1881 est adopté un système utilisé au début de la guerre en1914 et qui sera modifiée par décret le 6 juillet 1916. En 1914, le soldat ne portait qu’une seule plaque, de forme ovale avec un cordon en coton qui fait figure de chaîne. Mais par décret du 14 mai 1915 chaque militaire devra porter 2 plaques d’identification autour du cou. La seconde sera munie d’une chaînette en métal. Beaucoup en porterons celle, avec le cordon de tissu, au poignet. Et l’autre autour du cou. Plaque vierge d’identification de l’Armée Française Sur ces plaques sont notés Au recto Le nom, le prénom et l’année de la classe d’appartenance du soldat Au verso Le nom du bureau de recrutement et le numéro de matricule du soldat au registre de recrutement Exemple recto verso Son utilité intervient malheureusement à la mort du combattant. L’une des 2 plaques reste sur le cadavre du mort, la seconde était retirée par le gradé témoin de la mort du soldat. Elle permettait de renseigner le livre de marche du régiment et de prévenir la famille. Les récompenses La guerre s’étalant dans le temps, la création de récompenses et de distinctions se répandit. Elles répondaient à de nombreuses raisons qui sont aussi vieilles que la guerre elle-même et flattent parfois plus l’égo de ceux qui les accordent et distribuent que ceux qui les reçoivent. Ce conflit ne dérogera pas à la règle ! Il y a les multiples citations à l’ordre du Régiment, de la Brigade, de la Division, de l’Armée de la Nation. Elles s’accompagnent de multiples attributs, l’acte officiel, le diplôme, le ruban, l’étoile, les palmes, les médailles, le collier, le bâton et diverses distinctions… Pour les régiments, on verra se généraliser des signes de reconnaissance qui étaient parfois tombés en désuétude La fourragère, le caducée, la pucelle, l’inscription sur le drapeau et les étendards du Régiment. Un article entier serait nécessaire pour faire la genèse de tous ces signes distinctifs et honorifiques. La chronologie de la participation du 33ème au conflit nous permettra de signaler certaines citations et récompenses obtenues. Pour le moment on peut signaler quelques signes distinctifs du régiment. Nous comptons beaucoup sur les connaissances des lecteurs du site pour faire évoluer cette partie de l’article. Apparaîtrons ou réapparaîtrons durant le conflit la Croix de Guerre la fourragère et la pucelle. La fourragère telle que nous la connaissons apparaît en 1916. La circulaire de création en date du 21 avril de la même année spécifie Il est créé un insigne spécial destiné à rappeler d’une façon permanente les actions d’éclat de certains régiments et unités formant corps cités à l’ordre de l’armée. » Cet insigne sera constitué par une fourragère aux couleurs de la Croix de Guerre. Le 4 février 1915, Émile Driant présente et soutient devant l’Assemblée nationale, le rapport de la commission de l’armée Créons un ordre récompensant la valeur militaire, mais en lui donnant un nom bref qui sonne clairement et qui, à lui seul, exclut la faveur de l’ancienneté. On l’appellera la Croix de guerre, ce sera une croix de bronze clair, à quatre branches, surmontée d’une couronne de lauriers, et suspendue à un ruban vert uni, le vert de la médaille de 1870-1871, débarrassé des rayures noires qui symbolisaient le deuil de l’autre siècle. Ci-après, diverses distinctions relatives au 33ème Malheureusement, nous ne possédons pas les photographies ou représentations datant de la première guerre Mondiale. Ces illustrations, même si elles sont actuelles semblent conformes à ce qu’elles devaient être en 14-18. La fourragère du 33ème aux couleurs de la Croix de Guerre Croix de Guerre Amicale des anciens de la Légion étrangère Insigne du 33ème date indéterminée Drapeau du régiment dans sa forme la plus récente musée de l’armée Et maintenant, passons sous l’uniforme De haut en bas ! La cravate La cravate est une bande de 1,50 mètre sur 21 centimètres, en calicot teint en bleu marine. Elle a pour vocation de protéger un peu du froid et les frottements sur le col. Elle se noue par un nœud plat. cravate le nœud-plat La chemise La chemise réglementaire est en flanelle de coton. La flanelle est douce au toucher . Elle a la particularité d’être chaude en hiver. A col droit, elle se ferme au col par un petit bouton en porcelaine. Au niveau de la poitrine, une ouverture de 30 centimètres est fermée par deux boutons identiques à celui du col. Elle se rencontre sous différents motifs. A rayures noires, bleues ou rouges et parfois à petits carreaux. Pas par effet de mode mais pourquoi pas ? Je vous laisse juge ! Le règlement fixe à deux le nombre de chemises perçues par homme. Modèle rayé source Modèle uni La ceinture de flanelle En 1914, il existe un modèle réglementaire qui s’ajuste à la taille par un système de boutons et de bretelles de toile. Elle fait un mètre de long sur 38 centimètres de hauteur. Cet effet très peu pratique est rapidement, et cela dès les premières semaines du conflit, remplacé par un modèle dit algérien de 3 mètres de long qui s’entoure autour de la taille. La ceinture abdominale est un vêtement tombé en désuétude de nos jours ! Mais un rapport du médecin chef de la 6ème armée nous en montre l’utilité. source C’est ainsi que, le 30 septembre 1914, un aide-major écrivait au colonel du 63ème bataillon de chasseurs la lettre suivante Une épidémie de gastro-entérite a atteint presque tous les membres du bataillon ce qui se traduit par des vomissements et de la température. On peut craindre une épidémie de dysenterie. Les causes en sont le froid humide des nuits, l’immobilité dans des abris précaires et une mauvaise nourriture à base de conserves. La solution consisterait à mettre au repos les hommes atteints dans des baraquements fermés et à leur donner une alimentation variée et des boissons chaudes. Autant proposer d’arrêter la guerre ! Pour la même période, et à l’échelon d’une division, la 14, le rapport du médecin-chef Les causes en sont le refroidissement de la température surtout la nuit et les conditions nécessairement précaires et presque antihygiéniques des hommes stationnant presque en permanence dans les tranchées. Le moyen de lutter contre de pareils accidents paraît limité. Il y a cependant lieu de veiller au port de la ceinture de flanelle. Les ceintures de flanelle ? Justement, il en manque 4 600 pour la division ! Et l’hiver, le dur hiver de l’Aisne n’a pas encore fait sentir sa rigueur. Malgré quelques timides mesures prises par le commandement, le nombre de malades grandit au fur et à mesure que le froid augmente dans la 63ème division, on en compte 331 en octobre 1914, 508 en novembre, 520 en décembre, 778 en janvier 1915… Service historique de l’armée de terre 22 N 382,7’ 1er bureau Cet extrait montre à lui seul l’utilité de cette ceinture abdominale si contraignante à mettre il est vrai ! Le caleçon Il est en cretonne de coton écru avec ou sans rayures bleues. La cretonne étant un tissu costaud, un mélange de coton et de lin qui servait à faire aussi les draps. Il se serre au mollet par un lacet. Le règlement de 1914 prévoit la perception d’un seul effet par homme. Il faudra attendre la circulaire du 20 décembre 1920, pour que le soldat perçoive un second caleçon ! Mais heureusement le système D », lui, avait prévu du rechange, venu du milieu civil. Sous le caleçon, en 1914 rien n’est réglementé ! Alors ? Caleçon du soldat en 1914 Les chaussettes En 1914, dans le paquetage, il n’est pas fait référence aux chaussettes. Par contre, en 1917, les commandes seront de 40 millions de paires. Chaque soldat en recevant 2 à 3 paires régulièrement. Comme pour la ceinture abdominale, la guerre de position et le froid vont rendre cette partie de l’équipement primordial aux yeux et aux pieds des soldats. Comme nous le verrons, va se développer une maladie qui était pratiquement inconnue à l’entrée du conflit et qui prendra le nom de Pied des tranchées » où l’insalubrité des tranchées, particulièrement due à l’humidité froide et persistante, provoquait la maladie qui prit ce nom du pied des tranchées, infection apparentée aux engelures qui dans les cas les plus graves pouvait causer la gangrène et nécessiter l’amputation.nous en reparlerons avec le sujet de l’hygiène dans les tranchées. Fournir des chaussettes en laine chaudes l’hiver devint une priorité, lété le coton était plus répandu et mieux adapté. Ce problème obnubilait les soldats comme le témoigne leurs courriers. Au point que tricoter pour fournir des chaussettes aux piou-piou » de 1914 était considéré comme faire preuve de Solidarité Nationale ! » Comme les modèles de crochet présentés par Cousine Claire dans la revue paraissant durant la guerre sous le nom La Femme et la Guerre , Comment travailler pour nos soldats. Photo La femme et la guerre » source l’Express 2011 Les mouchoirs De coton ou de lin, chaque soldat en recevait 3 dans son paquetage. Il pouvait être un simple carré de 20cm de côté, uni ou avec motifs. Lors de revues de paquetage, il était obligatoire de les présenter et pas seulement pour des raisons réglementaires mais parce qu’il est un élément d’hygiène indispensable dans un pays où la tuberculose faisait des ravages avant qu’en 1921, Albert Calmette et Camille Guérin de l’Institut Pasteur de Lille essayent avec succès le premier vaccin contre la tuberculose sur lequel ils travaillaient depuis 1908 le fameux BCG. L’ordre de présentation du paquetage est immuable sous peine des plus sévères sanctions cartouches, sacs à pain de guerre, bonnet de nuit, martinet pour dépoussiérer la tenue, guêtres, brosses et autres… Ils peuvent aussi servir de pansement et certains seront de forme triangulaire pour cette raison. En faisant des recherches sur cet élément de l’équipement du soldat qui pouvait paraître insignifiant, il est apparu que la réglementation sur cette petite étoffe avait été en France plus qu’anecdotique ! L’armée française, avait confectionné des mouchoirs dits d’Instruction ». Il en existe 13 réglementaires suivant la liste ci-dessous N° 1 Démontage remontage fusil 1866 Chassepot N°1bis Démontage remontage du revolver 1873 N°2 Démontage remontage du fusil 1874 Gras N°3 Cavalerie instruction sur le cheval N°4 Démontage remontage de la carabine de Cavalerie 1890 N°4bis Instruction pour le paquetage N°5 Artillerie de Campagne N°6 Aide-mémoire du réserviste N°7 Secours aux blessés, hygiène N°8 Placement des effets N°9 Fusil 1886 Lebel N°9bis Fusil 1886 modifié 1893 Lebel N°10 Pont militaires – Passage des rivières Tous n’étaient plus d’actualité en 1914 Leur fabrication date de la déroute de 1871 et la nouvelle organisation de l’armée de conscription qui en résulta en 1872 Le commandant Perrinon imagina la création du Mouchoir d’Instruction », véritable manuel pour l’appelé qui y trouvait les informations nécessaires pour la connaissance indispensable des instructions de base à l’exécution stricte du service. Nous en reproduisons certains ci-dessous. Il est à noter qu’ils sont devenus de véritables objets de collection ! Le bonnet de police C’est le 22 juillet 1891 qu’il fait partie de l’équipement du fantassin. Il est lui aussi de couleur Gris de fer bleuté ». Sa forme réglementaire est en arc de cercle. Il est de forme plus basse devant et derrière, le dessus formant soufflet. Il est pourvu de 2 rabats sur les côtés. Pour les maintenir droits, se situe à l’intérieur un crochet métallique qui s’accroche à un passant cousu sur l’intérieur du rabat. Les soldats abaissent les rabats en cas de grand froid pour protéger leurs oreilles. source copie ? Il est la coiffe réglementaire lors de la présence au repos à la caserne ou lors des exécutions de corvées. On l’appellerait bonnet de police » car elle aurait été portée tout d’abord par les soldats qui étaient punis et consignés au poste de police ! Il sera remplacé en 1915 par un bonnet de couleur bleu horizon que nous présenterons lors de la présentation de la tenue de 1915. Cet équipement paraît lui aussi anodin mais en fait, c’est la coiffe qui est la plus utilisée par les soldats qui somme toute passent heureusement plus de temps à l’arrière qu’en première ligne. Il ne faut pas le confondre avec le bonnet de nuit fait en coton dont dispose chaque fantassin dans son paquetage. Il permet surtout de se préserver des poux lorsque le soldat réussit à trouver un endroit où s’allonger. Modèles de bonnet de nuit en service en 1914 Les chaussures de repos Très visibles dans les photos représentant le contenu du havresac n°27 ci-dessous Nous venons de passer en revue une partie de l’équipement et de la tenue du fantassin en 1914. Ce descriptif est loin d’être complet et exhaustif. Mais certains équipements sont hors de cette présentation ou seront illustrés plus tard. Il s’agit surtout d’éléments d’entretien souvent indispensables pour entretenir la tenue soumise à rude épreuve ! Ce qui n’exclut pas d’en dresser la liste. Manquent donc le descriptif de Cube de fonte 11 Trousse en cuir contenant la bobine 12 Boutons de rechange 13 Ciseaux 14 Dé 15 peigne 16 Le nécessaire de cirage et les lacets Le seau en toile dit aussi vache à eau » traité au moment du creusement des tranchées Les chaussures de repos Boîte à graisse 19 courroie de capote 18 Brosses à habits 23, à lustrer 24, double 25 ,à laver 28, d’armes 26, à boutons Sac de petite monture 22 Baguette à fusil 21 Patience 29 Martinet 20 Les vêtements chauds abordé avec sujet sur la vie dans les tranchées Le nécessaire de couture traité avec sujet sur la vie dans les tranchées Les pansements traité avec sujet sur la vie dans les tranchées A cela s’ajoute les effets personnels timbre, crayon et argent entre autres… Le nécessaire de toilette sera également présenté dans la vie des tranchées » dans un sujet sur l’hygiène des tranchées. Le mois prochain sera abordée la partie concernant le matériel collectif. 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Lesaimables passent et repassent, gesticulant, énumérant leurs maîtresses et leurs parents guillotinés, parlant ensemble de la journée du 10 août, de leur coureur qui vient de chez Franconi, et de la clé de leur loge à Feydeau qu'une dame leur demande, contant, en grasseyant, le dernier Jacobin rossé, et Melle d'Espagne frustrée par Abolin, et le pantalon de Charette vendu vingt
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