Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-LardAshton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Dim 24 Juin - 1928 Le charme d'Ashton fit comme prĂ©vu son effet trĂšs rapidement. S'il Ă©tait du genre Ă se vanter il aurait pu dire qu'au fil du temps cela devenait lassant et qu'il aurait parfois prĂ©fĂ©rĂ© avoir un peu de challenge, mais ce serait mentir et il n'Ă©tait pas un menteur. Le sorcier apprĂ©ciait volontiers les facilitĂ©s que la vie lui avait accordĂ© au niveau de la sĂ©duction entre autre. C'Ă©tait probablement grĂące Ă cela qu'il avait pu rĂ©pandre aussi facilement ses gĂšnes. En mĂȘme temps ce n'Ă©tait que justice qu'il possĂšde quelques qualitĂ©s Ă©lĂ©mentaires pour contrebalancer son passĂ© sombre et mystĂ©rieux. Ce n'Ă©tait pas facile tous les jours d'avoir perdu toute sa famille dans un incident tragique comme cela avait Ă©tĂ© son cas. Heureusement que l'une de ses sĆurs avait survĂ©cu, mĂȘme si elle Ă©tait actuellement encore dans le coma en attendant d'ĂȘtre rĂ©animĂ©e pour des besoins narratifs. S'il y avait bien une chose qu'on ne pouvait pas reprocher Ă Ashton c'Ă©tait d'avoir su aller de l'avant malgrĂ© les difficultĂ©s. Cette capacitĂ©, il la devait probablement Ă son QI de 287 qui lui avait permis d'obtenir ses ASPICs sans mal alors qu'il avait manquĂ© la moitiĂ© de sa derniĂšre annĂ©e Ă Poudlard. Mais revenons-en Ă nos PrĂ©pare-toi Ă passer la meilleure nuit de ta s'Ă©tait approchĂ©e et venait Ă prĂ©sent de s'installer Ă califourchon sur ses jambes. C'Ă©tait une situation qui convenait plutĂŽt trĂšs bien Ă l'ex-Gryffondor mĂȘme s'il ne s'attendait pas Ă ce que son regard charmeur fonctionne de maniĂšre aussi efficace. Le sang-mĂȘlĂ© trouvait cela un peu louche la rapiditĂ© avec laquelle la jeune femme avait dĂ©cidĂ© qu'il n'Ă©tait pas un danger mais elle avait beaucoup de charme et il n'allait pas s'en plaindre. Naturellement, Ashton se rapprocha d'elle avant de l'embrasser comme elle n'avait jamais Ă©tĂ© embrassĂ©e. De rien, c'Ă©tait un cadeau de sa part. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Jeu 28 Juin - 1313 Alors j'Ă©tais Ă l'aise sur ces jambes, de toute façon nuls doutes que si il Ă©tait un danger, il me faudrait moins de trois secondes pour le plaquer au sol et le livrer aux autoritĂ©s mangemorts, parce qu'ils Ă©taient tous mes amis super dark, on se retrouvait parfois le soir sur des terrains vagues pour souffler nos mĂšches en Ă©coutant de l'opĂ©ra, le tout en fumant des cigarette Vogue aussi longue que le nez du masque de voilĂ l'union des lĂšvres roses pĂąles et piquante que bien peut pouvaient toucher de cette façon. Parce que les embrasser c'Ă©tait comme effleurer une fleur empoisonnĂ©e. S'approcher de moi ne garantissait pas la vie, parce qu'il y avait toujours cette colĂšre noir qui grondait en moi, symbole d'une multitude de frustrations dĂ» Ă mon enfance passĂ©e enfermĂ©e dans les bibliothĂšque Ă accumuler beaucoup de savoir, car 'javais eu bon espoir de devenir professeur Ă l'Ăąge de neuf ans, mais il parait que cela m'Ă©tait impossible tant que ma majoritĂ© n'avait pas Ă©tĂ© coupje me laissealleren pensant en goutteen saut de ligne parce qu'il parait que ça accentue toute ma noirceur. Son baiser est passable, mais je le rends avec d'avantage de fougue, parce qu'il lui est interdit de me surpasser dans quelque domaine que ce soit, de toute façon il se rendra bien compte un peu plus tard que cela lui est impossible. Alors en l'embrassant je cherche oĂč j'ai pu voir son visage. Puis je comprends, je me souviens. alors je commence Ă sourire en passant son tee-shirt par dessus sa tĂȘte. Car il a au moins le mĂ©rite d'ĂȘtre tout aussi tĂ©nĂ©breux que moi. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Jeu 5 Juil - 2308 Parmi les miracles divins encore visibles au vingt-deuxiĂšme siĂšcle, on pouvait compter les fois oĂč une semaine de grand beau temps Ă Londres s'enchaĂźnait avec une autre semaine de grand beau temps, les fois oĂč un directeur de Poudlard ne mourait pas dans des circonstances dramatiques en cours de fonction, et Ă©videmment Ashton Parker. Il essayait du mieux qu'il pouvait de rester humble malgrĂ© sa condition mais c'Ă©tait parfois bien difficile. MĂȘme pour son entourage, cela avait dĂ» ĂȘtre terriblement dur de vivre et mourir constamment dans son ombre. Il savait d'ailleurs trĂšs bien qu'Ă sa naissance sa mĂšre avait pleurĂ© parce qu'elle savait dĂ©jĂ qu'elle ne serait jamais meilleure que lui, la pauvre. *signe de croix en levant les yeux au ciel*Il en allait de mĂȘme pour les diffĂ©rents partenaires du sang-mĂȘlĂ©. Il lui arrivait de temps Ă autre de prendre du bon temps mais la plupart de ses conquĂȘtes devaient avoir un arriĂšre goĂ»t amĂšre en pensant au fait qu'il ne connaĂźtraient plus jamais un aussi bon orgasme de leur vie. Parfois, lorsqu'il lui arrivait de s'ennuyer entre un mĂ©fait particuliĂšrement malicieux et une apparition publique Ă©blouissante, l'ex-Gryffondor pensait Ă tous ces gens qui croisaient son chemin et dont la vie serait Ă tout jamais en parlant de Gryffondor, ce n'Ă©tait pas pour rien qu'il Ă©tait allĂ© lĂ -bas puis que c'Ă©tait la maison dans laquelle on retrouvait tous les sorciers aux pouvoirs et talents hyper cheatĂ©s et agaçants comme lui. Pour en revenir Ă l'action du moment, Ashton venait de donner le meilleur baiser de sa vie Ă une inconnue qui le lui rendait assez acceptablement. Elle ne pouvait d'ailleurs pas s'empĂȘcher de lui enlever son t-shirt, ce qui paraissait normal puisqu'elle souhaitait admirer son magnifique torse. Le sorcier fit de mĂȘme pour le haut de la jeune femme avant de retirer son soutien-gorge en quelques instants parce qu'il Ă©tait trop douĂ© et que s'il avait voulu il aurait largement pu le faire mĂȘme sans les mains. Et puis bon il fallait bien admettre que sa conquĂȘte du soir valait le dĂ©tour. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Dim 8 Juil - 1623 Il est des choses inoubliables, Ă©blouissantes, si dĂ©concertantes qu'on oublie de les saisir dans l'instant et que l'on regrette. Il Ă©tait trĂšs clair que l'inconnu regretterait Ă jamais de n'avoir pu me saisir et me garder Ă ces cĂŽtĂ©s toute sont existence afin d'avoir au moins le privilĂšge de vivre dans l'ombre majestueuse qu'est la mienne. Mais je suis insaisissable, j'ai de nombreux de part mes performances exceptionnelles, mais personne ne peut toucher mon cĆur de glace. Il a Ă©tĂ© brisĂ© parun amour impossible et au moins tout aussi dramatique d'une tragĂ©die shakespearienne. VoilĂ ses mains qui glissent sous mon haut et entreprennent de me l'ĂŽter, et je pense une seconde Ă le prĂ©venir que mon torse pĂąle l'Ă©blouira Ă coup sĂ»rs, tant de splendeurs que de ces cicatrices multiples qui me font paraĂźtre si badass. Il y avait en effet de quoi ĂȘtre mille fois admiratif. alors j'expose mes fĂȘlures pour montrer que j'ai beau ĂȘtre un ĂȘtre torturĂ© et sombre, je suis aussi sensible. J'ai l'air de rien des faiblesses qui cependant me prĂ©sentent toujours Ă mon avantage trop trop sexy, trop Je suis cellui qui aurait pu inspirer le personnage de Bella Swan si j'Ă©tais Ă la bonne Ă©poque. Le corps se fait fĂ©minin alors que les Ă©treintes continuent, disparition de la bosse contraire Ă ce que l'on veut appeler l'ordinaire. Mais je suis parfaite, jamais trop excentrique, toute est une histoire de juste mesure. Et voilĂ mon torse nu que je le laisse effleurer, car il n'en aura l'occasion qu'une seule fois dans sa vie. Mes mains continue Ă parcourir son dos et son ventre, parce qu'il faut reconnaĂźtre que le dĂ©tour vaut le coup aussi de ce cĂŽtĂ©-ci. Les lĂšvres continuent Ă chercher les siennes alors que mon pantalon tend Ă disparaĂźtre. Il y a cette fougue Ă vouloir exposer ses talents. profite, je suis inoubliable et tu ne me rattraperas jamais. c'est vrai je suis sauvage au fond, j'attire les gens avec mes mystĂšres, ils frĂŽlent la glace de mon cĆur et deviennent accro Ă moi. Meilleur façon de se crĂ©er une cour chez les Ă©lĂšves et les autres dans laquelle tout le monde se dispute mes faveurs. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Mer 11 Juil - 1524 A prĂ©sent qu'il Ă©tait torse nu, sa partenaire pouvait admirer la grande cicatrice qu'il arborait sur le flan. Cela montrait qu'il avait du vĂ©cu de badass, qu'il ne fallait pas le chercher sinon il serait capable de se battre sacrĂ©ment violemment. Cette cicatrice il se l'Ă©tait fait en tombant de son balai en cinquiĂšme annĂ©e en combattant un ours polaire Ă mains nues. La seule raison pour laquelle il ne l'avait pas achevĂ© Ă©tait que son espĂšce Ă©tait menacĂ©e par les moldus et qu'au fond c'Ă©tait un mec en revenir Ă l'action qui se dĂ©roulait en ce moment mĂȘme, les vĂȘtements Ă©taient Ă prĂ©sent bien plus prĂ©sents sur le sol que sur eux et c'Ă©tait mieux comme cela. On pouvait largement mieux admirer le corps digne d'un dieu grec d'Ashton lorsqu'il n'avait rien sur lui. Certains haters diraient que sa plastique de rĂȘve Ă©tait Ă cent pourcent fake Ă©tant donnĂ© qu'il avait entiĂšrement remodelĂ© son apparence Ă l'aide de la MĂ©tamorphomagie mais lui considĂ©rait que c'Ă©tait plutĂŽt l'inverse puisqu'il avait fait tout cela lui-mĂȘme simplement grĂące Ă son Profite, je suis inoubliable et tu ne me rattraperas n'Ă©tait pas Occlumens facultĂ© qu'il avait d'ailleurs appris en autodidacte comme un bg, Parker aurait jurĂ© que sa conquĂȘte du soir lisait dans ses pensĂ©es. Certes elle Ă©tait pour l'instant un excellent coup mais bon, de lĂ Ă la qualifier d'inoubliable le sang-mĂȘlĂ© ne se prononçait pas Ă©taient Ă prĂ©sent passĂ© aux choses sĂ©rieuses et Parker envoya balader d'un geste de la main les cousins qui encombraient le canapĂ© afin qu'ils aient la place de s'y Ă©taler. Tout en embrassant fougueusement la propriĂ©taire des lieux, le sorcier changea de position pour se retrouver au-dessus d'elle. Il devenait difficile de rĂ©flĂ©chir dans le feu de l'action mais en parlant d'inoubliable, la personne collĂ©e Ă lui commençait Ă lui dire quelque chose. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 23 Juil - 103 tw - sexeLA de Ashton accordĂ©Les choses s'accĂ©lĂšrent et j'en ai presque la tĂȘte, tant ça fait longtemps que je ne l'ai pas fait avec quelqu'un capable de satisfaire mes dĂ©sir si Ă©levĂ©s. Alors quand tu bascules au dessus de moi en m'embrassant, je comprends. Il y a quelque chose dans ta gestuelle que je connais dĂ©jĂ mais que je ne comprendrai que plus tard. Parce que pour l'instant y a mon dos qui se cambre alors que tes lĂšvres descendent parce que ça fait longtemps qu'on s'est pas occupĂ© de moi ainsi. Le cou, le ventre, tes lĂšvres suivent le cours de la cicatrice jusqu'Ă mon aine, puis descendent plus bas encore. Comme si ta bouche avait le don de lire et que je sois ton livre favori. Trouve la page que tu prĂ©fĂšres dans la douceur de mon Ă©crin et lis-la attentivement, avec fluiditĂ© aisance et enthousiasme. Ne t'avise pas d'omettre un seul mot et je jure que le dĂ©nouement sera exquis. Les mots vont jaillir, recouverts de miel ambre. Couler sur tes lĂšvres. Et quand tu n'en pourras plus assieds-toi. Parce que ce sera mon tour de jouer de la musique avec toi, les genoux comme souvent s'Ă©gratignant au sol. Mais avant que je me redresses, alors que tu seras assis, il y aura l'interrogation unique un Parker ? entrecoupĂ© par le souffle saccadĂ©. Parce qu'il n'y avait qu'une seule personne capable de m'Ă©galer dans tout ce qui touchait au plaisir charnel. Je le savais. Et puis cent fois sur le mĂ©tier, je remettrai mon ouvrage, mes lĂšvres trouvant Ă leur tour ton corps, en dessinant les contours d'abord pour mieux saisir et comprendre la complexitĂ© de cette nouvelle apparence. Je te trouverai mieux comme ça, il y avait d'avantage de douceur dans tes yeux, d'avantage de courbures sur tes hanches. Alors je descendrai encore, te rendant la monnaie de ta piĂšce, les lĂšvres dociles et agiles, et malgrĂ© la rĂ©pĂ©titions des gestes une nuit aprĂšs l'autre sur des inconnus avides d'eux mĂȘme, il y aura ce soir la rĂ©elle envie de te donner du plaisir. Parce qu'avec toi il y aura l' que je garde un excellent souvenir de notre derniĂšre nuit ensemble. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Mer 29 AoĂ» - 1803 LA de Shae pour clĂŽturerIl devenait Ă prĂ©sent difficile pour Ashton de garder la tĂȘte froide, malgrĂ© son QI exceptionnel on pouvait quand mĂȘme dire quâĂ prĂ©sent la majeure partie de sa rĂ©flexion sâeffectuait avec son entrejambe. Il avait cependant la satisfaction de voir que sa partenaire semblait apprĂ©cier ce quâil faisait, preuve quâil nâavait pas perdu la main et quâil Ă©tait toujours le meilleur coup du pensĂ©e persistait pourtant dans lâesprit du MĂ©tamorphomage. Il avait comme une sensation de dĂ©jĂ vu bien quâil soit certain de nâavoir pas rencontrĂ© lâinconnue avant ce soir ; quelquâun comme ça ne sâoubliait certainement pas. Câest alors que, au milieu de lâaction qui unissait leurs corps, elle prononça son nom bien quâil Ă©tait certain de ne pas lui avoir donnĂ© plus tĂŽt. Et soudain cela fit clic dans son esprit, les piĂšces du puzzle sâassemblant Keats ? demanda-t-il dans un fois leurs Ă©bats terminĂ©s, alors quâil reprenaient leurs esprits, toujours allongĂ©s sur le canapĂ©, la propriĂ©taire de lâhabitation lui expliquait quâelle Ă©tait bel et bien la personne quâil connaissait auparavant sous le nom de Leo. CoĂŻncidence incroyable câest fou comme le monde est petit ! elle Ă©tait aussi MĂ©tamorphomage et se prĂ©nommait Ă prĂ©sent Shae. Bien Ă©videmment Ashton lui expliqua Ă©galement ce quâil lui Ă©tait arrivĂ©. Tout compte fait le destin avait bien fait les choses et il Ă©tait ravi dâavoir recroisĂ© la route de du RP Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 12 Nov - 1129 Pv FilsLa nuit n'est jamais complĂšte, au bout de chaque antre bleue se reflĂšte une fenĂȘtre. Rebord de bronze, ou de rouille, on a oubliĂ© depuis le temps, mais peu importe. Il y a au bout de la nuit, juste aprĂšs un Ă©niĂšme mauvais rĂȘve du chiard, une ouverture sur le dehors. L'extĂ©rieur guĂšre plus clair que ne l'est la luciditĂ© matinale, obscurcie par la fumĂ©e que crache Ă pleins poumons la cheminĂ©e dĂ©laissĂ©e depuis le retour sur le sol fenĂȘtre Ă©clairĂ©e oĂč un rĂȘve veille toujours. L'Ăąme vivante se rĂ©approprie peu Ă peu les lieux. Les murs s'imprĂšgnent de la nouvelle maĂźtresse du fort alors que rien n'est officiel. Il n'y a que l'odeur du dimanche matin hivernale, du froid et de cendres sur la petite bourgade dont le corps exquis n'Ă©tait pas encore parvenu Ă franchir le seuil. Deux ans et demi trop tard. L'existence du hasard prĂ©fĂ©rĂ©e aux rendez-vous, j'attendais, un quart de thĂ© sur les lĂšvres, le dernier sur les genoux. Le jour pĂąle ne tarderait plus, mais nul bambin Ă enterrer Ă l'aube. Ă l'heure oĂč blanchit la campagne il ne se passera rien, les drames se sont volatilisĂ©s entre moi et ici. Il y a pleus qu'une nouvelle routine Ă se forcer Ă avaler, jusqu'Ă en trouver le goĂ»t un tant soit peu supportable. La crainte du matin a remplacĂ©e le dimanche soir. ĂpretĂ© des lever du jour, sans comprendre pourquoi lui se lĂšve quand l'autre tombe passĂ© dix-sept heures. Le nuit guillotine qui s'abat sur la conscience et berce dans un pays oĂč les paroles n'ont plus lieux d'ĂȘtre. La communication imagĂ©e, et rien n'a la moindre importance. Porte d'Ă©bĂšne refusĂ©es Ă l'Ă©phĂšbe, assis sur sa chaise, un thĂ© en main. Celle qui ce matin se contentera des cendres, de la nausĂ©e dĂ©licieuse de n'avoir point assez dormi. La gueule de bois sans avoir bu et les dĂ©lices de la sobriĂ©tĂ© fragile et toute nouvellement acquise. Le manque-chaleur, le manque fournaise, l'impression que le creux remplace l'oxygĂšne. Et le Hodor le fils perdu. Perdu en mĂȘme temps que le miroir. Le Pinnochio joueur noyĂ© dans les Ă©clats de verres. Le fils Ă qui l'on aurait dĂ» dire, mais Ă qui on ne dira pas. La peur d'en mourir pour des mots prononcĂ©s bien trop bas. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Mer 12 DĂ©c - 2133 SURFACE DURE â pv. dans les rues de PrĂ©-au-Lard comme si c'Ă©tait Paris, New York ou Copenhague. Les briques rouges se remplissent de brume Ă la javel et blanchissent lorsqu'on les passe Ă la lumiĂšre du crĂ©puscule. La lune danse sous les Ă©toiles ce soir. DĂ©but de soirĂ©e. Une bouteille vide de whisky traĂźne comme un vieux mort entre les pavĂ©s et la bouche d'Ă©gout. â Il y a un Ă©norme fossĂ© entre ce que l'on est et ce que l'on croit espoirs de retrouver son ElhĂ«na vont de dĂ©sillusions en dĂ©sillusions. Il sait qu'elle a irrĂ©mĂ©diablement changĂ©, qu'elle n'est plus du tout comme avant et pourtant, il se l'accorde pour la premiĂšre fois c'Ă©tait peut-ĂȘtre une erreur. Le pire dans tout ça, c'est qu'il n'a pas l'air d'ĂȘtre peinĂ© par cette sensation si terrible, suffocante et terrifiante. Non. Plus rien ne le traĂźnera vers le fond, parce qu'il y a passĂ© tout son temps et qu'il sait comment sortir de lĂ . Le visage aussi froid qu'un glaçon de neige, le regard et la mĂąchoire qui se durcissent. Les yeux qui croisent une lumiĂšre brisĂ©e Ă travers la vitre d'une habitation qu'il croyait abandonnĂ©e depuis des pour l'intrusplutĂŽt que le sixiĂšme annĂ©e sort sa baguette, une nouvelle d'ailleurs, qu'il a renommĂ©e Ontamo. Celle qui créé. Celle qui sculpte. De sa main d'artiste, la crĂ©ation est nĂ©e. Elle est aussi spĂ©ciale que lui, aussi unique. Aussi Ă©lĂ©gante. Aussi dĂ©licate et redoutable Ă la fois. L'esthĂ©tisme est assez incroyable, entre le cĆur et le corps. Traverser le portail Ă pas de chat. De son autre main, il rentre par effraction avec son canif magique - place Ă l'humeur fracassante. La tempĂȘte. Qui risque d'Ă©clater, dans la salle Ă tĂȘteUne tĂȘte bien trop connue pour ĂȘtre sienne est une surface comme un bout de bois, de glace ou d'effroi masque de tufais lĂ . Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Mer 26 DĂ©c - 1455 Le serment a en soit Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ©. Nulle dĂ©rogation aux mots ni aux attentes DisparaĂźtre n'est pas trahir. C'est s'Ă©carter, laisser la place Ă une autre entitĂ© qui supporte les matins d'hiver. Qui n'utilise pas la vapeur de son thĂ© comme paravent pour se cacher du monde. Nul refuge non plus derriĂšre l'Ăąpre de la cigarette Ă moitiĂ© consumĂ©e. Celle qui outrepasse Ă peine ses droits en se rĂ©pandant en miettes de soi dans l'atmosphĂšre. Ostensoir improvisĂ© pour cĂ©lĂ©brer un retour Ă une vie dans laquelle l'ĂȘtre se cantonne. Le gris avale tout sur son passage, bientĂŽt recouvert de couleurs froides alors que l'aube point. Insupportable de lenteur. Une fois le soleil apparu, tout sera plus simple. La maisonnĂ©e insupportable de silence s'animera un peu. Mais il y a un silence religieux dans l'attente de la vie et du rĂ©veil des paysages. Un silence que la voix qui s'Ă©trangle dans la gorge ne parvient Ă briser. Qu'accompagne la nausĂ©es des nuits trop blanches lorsque les jours noirs sont refusĂ©s par les qu'on aura tout le temps de rattraper ses nuits une fois les deux moustiques lĂąchĂ©s au monde. Il ne neige plus sur les tables non plus, la sobriĂ©tĂ© accompagnĂ©e d'une rĂ©alitĂ© fade. Plus de poudreuse ni de flocons survivants au milieu des traces de doigts. Ne plus confondre les molĂ©cules avec l'atmosphĂšre. Il semblerait qu'il s'agisse de grandir. Ne plus se perdre dans la poussiĂšre de l'autre bout d'un monde. Et commencer Ă bĂątir dans la qui grince- tranche en pointe mĂ©tallique dans le silence gris et vie. vie qui s'immisce par la porte quand on ne l'attend plus. Celui Ă qui on a pensĂ© mais Ă qui on a rien dit. Ne pas trop savoir quelles excuses prĂ©senter. IncapacitĂ© Ă dire le vrai car admettre avoir voulu tendre une main que l'on a toujours prĂ©sentĂ© tremblante sous ce visage-ci. Question Ă©vidente et rĂ©ponse tout autant. On est rentrĂ©s. Les gosses se construisent pas tous seuls. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Lun 7 Jan - 1341 SURFACE DURE â pv. est surpris mais il ne le montre pas. Il n'est plus du genre Ă laisser ses pensĂ©es intĂ©rieures immerger son visage pĂąle. L'envie de tout lui balancer Ă la gueule aussi, qui le prend aux tripes. Une nausĂ©e qui survient - tant par la colĂšre que pas la douleur. La douleur d'une perte. D'une absence. Parce qu'iel Ă©tait sans accord, sans rien et sans bruit dans la nuit morte. Laissant derriĂšre iel, deux pauvres employĂ©s aux Trois Balais. C'Ă©tait pas censĂ© ĂȘtre un cocon familial, ce truc ? Tout Ă l'air plus triste ici. Une maison laissĂ©e forcĂ©ment Ă l'abandon pendant tout ce temps. Et les petits, dorment-ils sur de la paille ? En tout les cas, ils sont toujours bien vivants, bien lĂ . Les gosses ne se construisent pas tout seuls et pourtant, iel avait fait son choix Ă l'Ă©poque, de fuir l'Ă©tablissement, le village, la rĂ©gion, le pays et toute cette m*rde qui colle Ă la peau. â Depuis quand ? Depuis quand sont-ils revenus ? Ce n'est que la premiĂšre fois qu'il voit de la lumiĂšre par ici, comme si quelque chose n'allait pas. Comme si quelque chose clochait. N'Ă©tait pas normal. Une Ă©trange lumiĂšre. Une lumiĂšre sans vie. Malsaine. Hypocrite. Qui attend quelqu'un, quelque chose, un espoir. Inexistant. Il bouillonnait Il bouillonnait sur placecomme une marmiteun chaudron aux parois lisses et douteuses qui ne laissentparaĂźtre aucune rĂ©flexion. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 18 FĂ©v - 2214 Retrouver l'enfant prodige coincĂ© entre les aiguilles d'un matin gris, d'une nuit blanche et d'un jour noir. Poser la tasse un peu plus loin parce que les paratonnerres ont Ă©tĂ© laissĂ© lĂ -bas, oĂč que cela puisse ĂȘtre. L'envie d'incarner un instant un philippides, de fuir les non-mots Ă©lectrique que la nausĂ©e et les silences portent, se fait sentir. Mais l'aller-simple pour l'ailleurs n'a mĂȘme pas rĂ©ussi Ă se suffire. Il a fallu courir, en sens arriĂšre, pour venir remonter l'horloge qui elle n'a jamais pu s'ancrer ailleurs. Les respiration paisibles de l'Ă©tage ramĂšne les considĂ©rations Ă des tons plus bas, et si elle s'en rĂ©jouit elle n'en dira rien, il n'y a plus d'Ă©nergie pour les cris, les Ă©clats de cĂ©ramiques sur la langue. Nul avis Ă attendre concernant un choix qui n'appartient qu'aux trois branches du mĂȘme saule dĂ©racinĂ©. Electron libre, qui tente toutes ses folies avant de fixerl'inavouablel'idĂ©al de sagesse. User les souliers, perdre la muse, elle se perd en mille barrage de liĂšge et oublie le tronc mĂȘme de la ronce, la prĂ©sence de l'enfant qu'il faudra cesser de voir comme tel. Car les grains s'amenuisent et les esprits changent, elle rĂ©alise qu'elle ne connait plus ce qu'elle n'a jamais prĂ©tendu connaĂźtre. Elle s'interroge sur les crises de fronts, si l'enfant Ă rĂ©ussi Ă prendre soin sans l'ombre pantin qui l'entourait. L'ombre malsaine mais qui crĂ©e des monstres de terre pour remplacer les autres en vain. LâĆil unique du loup ne parvient Ă saisir l'histoire que les interrogations envoient. Et l'interpellation muette reste en suspend. ĂniĂšme piĂšce de Beckett, bien que l'envie de rejouer les beaux jours se perde en idĂ©aux plus confortables. Mais le silence couvre la scĂšne de son suaire que le regard ne supporte pas. Et il y a dans les fondations mĂȘmes des liens quelques chose qu'elle n'a pas su prĂ©server. Les voĂ»tes d'ogives se sont peu Ă peu Ă©miettĂ©es en remords d'un cĂŽtĂ© et en reproches de l'autre. Bien trop peu de temps. Mais l'esprit du vaisseau-mĂšre n'est pas reconnu pour sa rapiditĂ©. Et les rĂ©alisations mettent un temps Ă prendre leur sens. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Jeu 14 Mar - 2031 SURFACE DURE â pv. regard livide. TĂȘte penchĂ©e. Le cerveau ne fonctionne plus comme avant, le cĆur non plus. L'Ăąme s'est modelĂ©e diffĂ©remment, en une sorte de coulis de miel gĂ©nĂ©reux et mallĂ©able. Plus rien ne lui ressemble. La colĂšre lui grimpe des chevilles aux racines de cheveux clairs - sans en Ă©mettre le son vulgaire. Une formule qu'on dit bien trop souvent. Il a cette incapacitĂ© Ă assumer ses Ă©motions, bien plus que ses actes. Un roman dĂ©cousu, voilĂ leur relation Ă©tablie jusqu'Ă maintenant. Qu'en est-il du Leo de jadis ? Qui riait dans les couloirs de l'Ă©cole. Ă outrance. Qu'en est-il de ce grand garçon qui lui a tout appris lors de son intĂ©gration ? Qu'en est-il du parrain spirituel qu'il avait rĂ©ussi Ă trouver au dĂ©but ? Et du directeur de maison ? Du concierge ou du gardien ? De son ami ? Qu'est-il devenu ? Pourquoi est-il si Ă©tranger aujourd'hui ?Le rythme cardiaque dĂ©cĂ©lĂšre au fur-et-Ă mesure de la conversation absurde. Elle se fait sourde et muette, Beethoven et l'enfant pauvre boivent tous deux leurs paroles insensĂ©es. Il n'y a plus grand chose Ă dire parce qu'il n'y a plus grand chose Ă faire. Je pense que je vais partir. Allait-il seulement rĂ©agir ? Re [Habitation] The Sphinx's RiddleContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumDemandeconseil pour acheter des poignĂ©es Ă pompes de haute qualitĂ©. CamĂ©ra surveillance parking. Besoin d'avis/conseil pour surveillance parking. Surveillance massive par la NSA: souriez, vous ĂȘtes sur Ă©coute. Plus de sujets relatifs Ă :
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Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie dâun nouveau ... Voir le deal RPG - Long Island UC Divers [Saison2] Centre Ville AuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet Avant tout... Jeu 1 Nov - 2359 Avant de trouver le chemin du campus, c'Ă©tait le chemin du bar que S avait repĂ©rĂ©. elle perdait pas le nord la demoiselle. Justice serait enfin faite, aprĂšs quelques heures d'avion - non mais sĂ©rieusement, elle a une tĂȘte Ă faire le trajet de NY Ă Long Island en voiture ? -, elle pourrait enfin se dĂ©tendre. D'ailleurs, en parlant de ça, la premiĂšre classe ce n'Ă©tait plus du tout ce que c'Ă©tait, ou peut-ĂȘtre que les avions Ă destinations de la cĂŽtĂ© Ă©taient...disons, moins bien frĂ©quentĂ©s. En tout cas, elle Ă©tait restait assoiffĂ©e, cette foutue hĂŽtesse refusant de lui servir plus de trois coupes de champagne. Croyez-moi, on a vu pire dans les classes affaires. Ce n'Ă©tait pas un tour Ă jouer Ă S. Mais enfin, elle Ă©tait tellement pressĂ©e de se dĂ©tacher de l'Upper East Side qu'elle ne fit pas la moindre histoire. Elle avait abaissĂ© son turban personnel - ceux proposĂ©s dans les avions pouvaient trĂšs bien ĂȘtre tripotĂ©s par n'importe qui - et s'Ă©tait endormie jusqu'Ă ce que cette mĂȘme foutue hĂŽtesse ne lui annonce l'atterrissage de l'appareil. Ses cheveux bruns avaient bu ĂȘtre en pagaille, il lui suffit d'adresser un petit sourire Ă son voisin pour que celui-ci rayonne tout simplement. Elle avait quittĂ© l'aĂ©roport, on lui avait portĂ© ses bagages et puis, elle avait du se trouver une voiture parce que, les taxis, ça ne lui convenait qu'Ă NY. Bien heureusement, papa Woodsen avait bien prĂ©vu le coup. Contacts? vous avez dit contacts? Exactement oui. allez savoir comment il avait usĂ© de son argent pour qu'Ă son arrivĂ©e la jolie demoiselle ait un cabriolet noir, neuf qui l'attendait dĂ©cida de s'arrĂȘter dans le centre ville. Garant la voiture, laissant ses affaires dans le coffre. MĂȘme pas peur. De toute façon, mĂȘme si il arrivait quelque chose, elle aurait vite fait de remplacer sa collection de fringues. Voyons S, ce ne sont pas lĂ des pensĂ©es de demoiselle aux revenus moyens. Elle se mordilla la lĂšvre infĂ©rieure, comme si elle venait de prendre conscience de son attitude. Elle poussa les porte du bar, il Ă©tait 21 heures. Inutile d'aller au campus, c'est bien ce qu'elle se disait. Elle se dirigea directement vers le bar - bah, sinon pour quoi faire? -. Elle s'asseya sur un de ces tabourets qu'elle affectionnait tant -plus pour les avoir usĂ©s que pour l'objet en tant que tel-. elle tourna doucement sur elle-mĂȘme, ou plutĂŽt, sur le pied du tabouret. s'attirant les regards des quelques personnes prĂ©sente. Un sourire lui fendit le visage tandis qu'elle retirer ses Gucci de son Bonsoir...DĂ©clara-t-elle en posant son regard sur le barman. Elle pinça lĂ©gĂšrement les lĂšvres, pour bien rĂ©partir son rouge Ă lĂšvres, et se pencha lĂ©gĂšrement pour faire le tour des boissons entreposĂ©es derriĂšre le jeune homme. Hum..Autant espĂ©rer qu'il Ă©tait Ă jour niveau alcool ce bar. Quelques secondes entre temps, le garçon trouva la salive suffisante pour articuler un vague bonsoir Ă S. Elle sourit une nouvelle fois. DĂ©posant son sac sur le comptoir, elle hĂ©sita-Hum...une vodka tonic... Fiouh. dans un petit geste de la main. Une simple Tequila Sunrise fera l'affaire pour le moment. Voyant qu'il ne bougeait pas, son sourire s'Ă©tira, dĂ©voilant ses dents parfaitement blanches. S'il vous plaĂźt. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Ven 2 Nov - 1332 Voila que la journĂ©e commencait et aussi vite qu'il s'Ă©tait rendu au campus, aussi vite il en Ă©tait sortit. Matteo avait faite toutes ces heures, sans en louper une. La journĂ©e avait tellement paru longue, et dĂšs la derniĂšre heures, Matteo se disait que ca avait passĂ© vite. Il commencait Ă se faire au mode de vie de l'universitĂ©. Il s'Ă©tait rendu d'un pas lent et dĂ©tendu vers sa chambre et c'Ă©tait alongĂ© quelques minutes. Le calme, y rĂ©gnĂ© et il n'avait allumĂ© qu'un petite lumiĂšre. Quelques instant de rĂ©flĂ©xions surment. Mais de courtes durĂ©es car il c'Ă©tait dĂ©cidĂ© Ă sortir de sa chambre ce soir. Il n'aimait pas rester cloitrĂ© dans un endroit. Matteo rĂ©flĂ©chit Ă l'endroit ou il pourrait se rendre, seul. Pas envie de contacter des amis, surtout qu'il n'en avait pas vraiment dans cette ville. Bonne raison de sortir un peu. Bon deja, Matteo allait marcher jusqu'au centre ville, aprĂšs il verrai ce qu'il ferai. Il sortit de sa chambre et sortit rapidement de l'universitĂ© avant qu'on ne le remarqua. Les rues Ă©taient inondĂ©s de personnes, la nuit Ă©tait tombĂ© et les rĂ©verbaires c'Ă©tait alumĂ©s. Voila qu'un bar se tendait devant les yeux de matteo. Pourquoi pas y faire un tour. Et il rentra donc, comme il pensait, l'endroit Ă©tait bondĂ©s. Quelques Ă©tudiants qu'il avait reconnu mais sans plus. Et beaucoup de visages sans nom. Lui qui aimait connaitre beaucoup de gens comme dans son ancienne ville, c'Ă©tait un peu ratĂ© pour le moment. Matteo se dirigea vers le contoire et s'asseya sur un tabouret. Il appela le serveur qui Ă©tait occupĂ© avec la personne Ă cĂŽtĂ© de lui. c'Ă©tait une jeune femme, dĂ©cidement elle semblait fatiquĂ©, mais il ne fit qu'attention que aprĂšs quelques minutes. Car le barman, toujours fixĂ© sur la demoiselle ne semblait pas vouloir le servir. Olala il Ă©tait tombĂ© sur un fan incontournĂ© de jolie fille. Qui ne l'Ă©tait pas en mĂȘme temps. Matteo resterai poli, au moins quelques minutes, mais pas plus. Il s'Ă©nervait facilement mais sa n'en valait pas la peine. Il attendit calememant, le regard perdu ailleurs et son coude posĂ© sur le comptoir. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Ven 2 Nov - 1352 AprĂšs quelques secondes le jeune homme quitta des yeux S et s'affaira pour ton cocktail. Quelques secondes qui lui avaient parut interminables mais...soit sans crainte petit, pour S les secondes sont bien futiles.. La jeune femme se contenta donc d'attendre, que pouvait-elle faire de plus en mĂȘme temps? Elle fit un autre demi-tour avec son fauteuil - cette fois encore, attirant les regards suspicieux de quelques personnes -, elle croisa doucement les jambes, se fĂ©licitant d'avoir enfilĂ© un jean pour le trajet en remarquant quelques regards en biais. Quelle honte....En quelques minutes, le bar s'Ă©tait un peu rempli. Des quelques personnes Ă©parpillĂ©es dans la salle apparut une bonne dizaine d'Ă©tudiants. Ses prochains compagnon de campus vraisemblablement, elle n'allait pas s'en plaindre - voyons, ils aimaient les bars, de quoi d'autre pouvait-elle rĂȘver?-. Une chose Ă©tait sur, elle ne serait pas obligĂ©e de mettre ses habitudes de cĂŽtĂ©. C'Ă©tait une rĂ©alitĂ© pour elle, d'un cĂŽtĂ© il y avait les cours, et elle Ă©tait bien dĂ©cidĂ©e Ă faire son maximum, il Ă©tait grand temps qu'elle se mette au boulot maintenant, de l'autre cĂŽtĂ©, il y avait sa vie privĂ©e. Bien heureux, elle garderait contact avec D et O bien que A soit bien dĂ©cidĂ©e Ă ne plus jamais lui adresser la parole. Cette petit incartade il arracha un petit garçon la sortit de ses pensĂ©es en poussant le verre de Tequila vers elle. Elle afficha un sourire radieux en approchant le cocktail de ses lĂšvres. Bordel! qu'est-ce qu'elle aimait ça =D Elle hocha vaguement la tĂȘte, reprenant une position face au bar. Un battement de cils plus loin-Merci beaucoup...-Mais de rien Mademoiselle. »Charmant...Elle rebut une gorgĂ©e, laissant son regard vagabonder sur les gens qui Ă©tait prĂ©sent. Enfin, une personne s'Ă©tait assise Ă cĂŽtĂ© d'elle sans qu'elle ne s'en rend compte. Une nouvelle qui la fit sourire Ă nouveaux. Visiblement, ce jeune homme attendait le barman qui s'Ă©tait encore mit en mode off. Qui a dit que les hommes n'Ă©taient pas complexes parfois? >..< mais non plutĂŽt qu'il n'as pas toujours adhĂ©rĂ© Ă la boisson. Ătant donnĂ© son passĂ© on peut le comprendre mais pourquoi alors Re-boit-il maintenant. Et bien tout simplement parce qu'il c'Ă©tait une idĂ©e "Ne jamais ressembler Ă ces parents" Ohlala tant de pensĂ©e comme ca vers les parents, c'Ă©tait habituel chez les jeunes. Pourquoi penser aux parents, avec le temps Matteo s'Ă©tait fait Ă l'idĂ©e qu'il pourrait se dĂ©brouiller seul. ce n'est pas l'impression qu'on a quand monsieur passe d'un appartement pas trĂšs a envier Ă une maison de bourge Ă Long Island. Le petit avait donc bien changĂ© mais il se refusait Ă y croire. Encore un tourment dans sa petite tĂȘte. Par contre, les cours sa il devait si mettre. Des notes mĂ©diocre n'allait pas l'aider Ă finir ces Ă©tudes. Depuis quand on a besoin de finir l'universitĂ© quand on veut devenir rock star. Hum, il avait de l'ambition lui mais aussi indiscutablement tĂȘtu. Fibou, Matt resta Ă peine quelques minutes vers la jeune fille qu'ils dĂ©signaient tout deux et reposa son regard sur Serena. Parler d'implant, sa, sa le faisait rire aussi. mais pas de le sens de la conversation, plus pareil ne parlait pas de sa en gĂ©nĂ©ral, heureusement ! MĂ©chante ? Je dirais jute rĂ©aliste Ouh il cachait bien son jeu lui. Pas toujours gentil Ă ce que je voyais, ben c'est vrai qu'il Ă©tait franche. sa ne servait Ă rien de mentir. Au moins, il ne l'avait pas dit vraiment fort pour que la personne dite l'entende. Il regarda une derniĂšre fois, elle semblait plongĂ© dans autre chose donc aucune chance qu'elle stars Ă ce que ces deux la bien Serena se dandinait sur sa chaise comme une petite fille. Matteo Ă©couta alors plus attentivement, c'Ă©tait un bon rythme ca c'est pour toi aussi parce que une fĂ©tichiste ! J'ai une chambre double mais toujours pas de colocs...Vive le calme xDSerena semblait re-visiter ces classiques avec moral et colgate mais Matteo ni preta qu'un peu attention. Matteo ria lĂ©gĂšrement quand celle ci lui fit une confidence. Elle s'adaptait bien contrairement Ă monsieur. Ah il Ă©tait d'accord pour la suite, il s'intĂ©grait mieux dans un bar. Il souria lĂ©gĂšrement et rapporta son verre une fois plus vers lui, il Ă©tait dĂ©jĂ presque vide mais on allez pas lui reprocher de boire un peu pour commencer la soirĂ©e InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Lun 5 Nov - 220 Serena ne put s'empĂȘcher de remarquer que M avait tendance Ă partir dans ses pensĂ©es, laissant vagabonder sa main quelque part prĂšs de son verre sans vraiment faire attention Ă ce qu'il se passait autour de lui. Et bien sur, loin d'elle l'idĂ©e de l'y sortir. Elle ne savait que trop bien le besoin qui pouvait submerger et inciter Ă garder pour soi des pensĂ©es qui nous traversait l'esprit y laissant une marque amĂšre et, parfois, indĂ©lĂ©bile. Elle lui laissa donc le temps de reposer les pieds sur terre en s'occupant. Les jambes croisĂ©es, son pied gauche portait sur la petite barre transversale du tabouret, battant la mesure. Le claquement de la semelle de ses Gucci contre le fer provoquait un petit tintement que MattĂ©o aurait certainement trouvĂ© agaçant, mais il Ă©tait bien trop occupĂ© et le bruit occupĂ© Serena qui n'avait pas l'habitude des silence. Il fallait bien avouer qu'elle Ă©tait plutĂŽt bavarde la demoiselle. TrĂšs, trop peut-ĂȘtre mdrrrr Et puis surtout, dans son habitude de parler -pour ne rien dire- elle en oubliait parfois la sensibilitĂ© des gens et pouvait devenir trĂšs indĂ©licate. Que voulez vous? Chacun ses dĂ©fauts non? oO Elle Ă©tait trop direct et se souciait bien peu de ce que pouvait reprĂ©senter, ressentir les autres personnes qui occupaient sa planĂšte. Oui, oui, elle se sentait bien dans sa petite bulle, entourĂ©e de personnes qui comprenait l'angoisse suprĂȘme Est-ce que ces personnes m'aiment pour mon argent? -_- C'Ă©tait rĂ©confortant de ne sortir qu'avec des personnes similaires. Mais 'tention , grand tournant dans la petite vie de la demoiselle. Non, non, elle allait changer, tout simplement. Elle remua un peu plus son verre, puis le vida d'un trait en tournant cette fois son visage vers j'ai Ă faire Ă une petite blonde, c'est tout ce que je sais de la potentielle fĂ©tichiste xD Rah, je suis sur que j'aurais mieux fait de ne pas en parler. Avec la chance que j'ai, ça va me porter la poisse. Elle pointa son index vers la poitrine de son voisin en prenant un faux air apeurĂ©. Je te le dit, ça va me porter malheur cette histoire. Allez, allez, rattrapes-toi mĂ©chant garçon et dis moi qu'elle sera tout ce qu'il y a de plus adorable. Puis prenant une fausse moue suppliante. Allez, je la laisserais mĂȘme dĂ©corer la chambre de trucs hideux si c'est ce qu'elle aime. »Reprenant son expression lĂ©gitime, elle afficha un grand sourire. Ca avait quelque chose de rĂ©confortant de la voir sourire. On l'imaginait facilement gardant son sourire mĂȘme perdue en plein milieux d'un dĂ©sert. On lui avait mĂȘme affirmĂ© un jour qu'elle serait certainement la seule Ă sourire si une troisiĂšme guerre mondiale nous tombait sur le nez XD Fallait bien chercher si c'Ă©tait un compliment bien dissimulĂ© ou bien une remarque plutĂŽt..pĂ©jorative . Elle, elle s'en foutait. Jusqu'Ă prĂ©sent, un seul et unique Ă©vĂšnement avait rĂ©ussit Ă dĂ©crocher ce sourire de ses lĂšvres et ce n'Ă©tait pas demain la veille que ça recommencerait. C'Ă©tait promis. Son regard bleutĂ© quitta son verre pour aller sonder le regard du jeun MattĂ©o. Il semblait, comment dire..Ă©tonnĂ© de la voir se dandinait TT Pourtant, elle n'Ă©tait pas la seule. Non non, regardes bien, il y avait cette mamie lĂ -bas funny Allons du calme S. Elle se tourna lĂ©gĂšrement afin d'apercevoir le barman, qu'elle avait dĂ©cidĂ© d'appeler James, sans vraiment vouloir connaĂźtre son nom. Elle lui adressa un sourire malicieux, incitant Ă venir d'un signe de la main. Elle indiqua du doigt son verre vide et celui de son compagnon Ă demi plein [XD].- Ca serait peut-ĂȘtre une bonne chose de nous amener deux nouvelles vodka, histoire qu'on ne se dĂ©shydrate pas. Puis tournant la tĂȘte vers MattĂ©o. Avoues que ça serait ennuyeux. Vodka ça te va ou tu prĂ©fĂšres autre chose MattĂ©o?»Qu'est-ce qu'elle Ă©tait serviable cette petite alors. Elle attendit que le jeune homme donne sa rĂ©ponse, cela servirait d'ordre pour James et ainsi, elle n'avait plus besoin de s'en occuper. Elle posa sa main sur le comptoir, reprenant sa petite manie de marquer le rythme de ses doigts fins. tiens tiens..Les cours de piano ne se perdaient pas tant que cela finalement. Elle Ă©tait soucieuse de continuer une conversation superficielle. Elle ,n'aimait pas qu'on sache des choses sur elle et elle Ă©tait trĂšs peu habile quand il s'agissait de savoir des choses sur les autres alors comme ça, ça ne faisait qu'arranger tout le monde. Elle dĂ©boutonna sa veste, les effluves d'alcool commençant lĂ©gĂšrement Ă lui donner hum...Au fait MattĂ©o. Je croyais que les Ă©tudiants sĂ©rieux, les soirs de semaine, Ă©taient occupĂ©s Ă rĂ©viser dans leur chambre avec leur copine et leurs bouquins sur les genoux...» InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Lun 5 Nov - 2216 Personnellement, qualifier Matteo de quelqu'un de sĂ©rieux sa n'irait pas. Il est plutĂŽt calme quand il veut mais c'est surtout un garçon trĂšs discret. Distrait par tout et rien, toutes choses qui bouges ou toutes pensĂ©es importantes ou non. c'Ă©tait bien la le problĂšme, il Ă©tait que trĂšs peu sur terre et pourtant Matteo n'Ă©tait pas triste. Non, juste pensif, un peu trop peut-ĂȘtre et on lui avait souvent dit d'ailleurs. Se moquant de ce que les gens pensent de lui, au fond tous le monde fait bien un minimum attention à ça. Bien sur, il fait des efforts pour ĂȘtre Ă l'Ă©coute, et parle un peu trop quand il veut. ce n'est quand mĂȘme, un moment silence et un autre bombardements de phrases sans respiration. En faite, comment savoir quand il parlera ou non et si il dira une connerie ou non. Ah une connerie c'est presque sur tout le temps. Devons qu'il ne fait pas attention Ă ce qu'il dit mĂȘme aux dĂ©pend des autres. Pourtant il dĂ©teste blesser son entourage. Matteo Ă©coutait des deux oreilles, et oui, ce que Serena lui racontait sur son Ă©ventuelle colocataires. Lui, prĂ©fĂ©rait ne pas y penser au sujet du sien. Ces goĂ»ts, ces humeurs ou mĂȘme sa personnalitĂ© et bien sa resterait un mystĂšre pour le moment. Il ne rĂ©pondit pas vraiment, quoi dire, tout Ă©tait a peu prĂšs dit. Il afficha juste un sourire Ă celle qu'il avait devant lui et gigota les glaçons de son verre. Depuis petit il faisait toujours sa et sa agaçait les personnes prĂšs de lui. Bref, des souvenirs des souvenirs qui nous en apprennent plus sur ce jeune serait des nĂŽtres pour les prochaines minutes, oui. A quoi bon ĂȘtre partit dans un monde meilleure alors qu'il est en conversations avec une jeune fille. Hum, il finit son verre presque d'une traite, il devait avoir soif. Peu de temps avant, il avait apprit que la vodka ne se buvait pas comme de l'eau. le pauvre, il devait se demander pourquoi il Ă©tait tant ivre. Non, on ne va pas le faire passer pour un alcoolique, c'est juste un mec. Serena semblait appeler le barman, une autre boisson ne serait pas de refus. Un dĂ©tachement, ou la elle pensait bien elle. Toujours accompagnĂ© d'un sourire, c'Ă©tait mieux que de faire une tĂȘte de dĂ©terrĂ©. Matteo rĂ©pondit alors, Ă Serena et au barman en mĂȘme bien sa sera deux vodka !Et le "SVP" Matteo. Heureusement qu'il n'avait pas ajoutĂ© "mon brave" comme une autre fois. Il ne se foutait pas de lui mais comme dit auparavant, Matteo disait trop de choses. Quelques fois, il sortait de bons trucs, encore heureux. Ah elle est bien bonne celle la. AprĂšs que Matteo rĂ©ponde, Serena avait retorquer une phrases, quelques peu dĂ©routante de la rĂ©alitĂ©. Il suffisait de la mettre sur le bon chemin xD Hum, le jour ou Matteo sera sĂ©rieux, je doute que ce jour existe alors ne donnons pas de date. Et tu parles de qui en disant ça ?Il la regarda avec un lĂ©ger sourire, tout en faisant un minimum de faux doute que tu parlais de moi ?!Matteo prit un air faussement grand. Hum, pas le mot exact mais ce n'est rien. Enfin...Bref, Matteo attendit une rĂ©ponse. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Dim 18 Nov - 1545 Serena ne put rĂ©primer un nouveau sourire en voyant MattĂ©o rĂ©pondre au barman. Une question lui brĂ»lait les lĂšvres mais elle prĂ©fĂ©rait se retenir avant de sortir encore une de ces remarques idiotes qui permettent de couper court net Ă la conversation. Elle prĂ©fĂ©rait nettement s'amuser et ne souhaitait en aucun cas le mettre mal Ă l'aise. de toute façon, elle Ă©tait quasiment sur d'elle. Rah..C'est dans ces moments qu'elle se disait que faire Psycho n'aurait, finalement, pas Ă©tĂ© une mauvaise chose mais bon..Chacun son chemin. Et bref, pour en revenir Ă MattĂ©o, il lui faisait vraiment penser Ă la jeunesse dorĂ©e dont elle Ă©tait issue. Ceci dit, ça ne lui dĂ©plut pas le moins du monde, au moins, elle ne se sentait pas dĂ©paysĂ©e le moins du monde. Mais c'Ă©tait Ă©trange comme situation. Il avait l'air adorable et serviable aux premiers abords, serait-ce possible alors qu'il soit arrivĂ© ici odieux et prĂ©tentieux comme l'Ă©taient tout ceux de la trempe de la jeune demoiselle. Ha oui, ça l'intriguer. Elle se concentra sur la musique pour Ă©viter de poser des questions dĂ©rangeantes. L'Ă©ducation de ses parents lui aurait au moins appris une chose. Elle hocha la tĂȘte vers le barman qui semblait quelque peu..endormi ou bien Ă©tait-ce les relents d'alcool qu'il supportait mal? Elle regardait un peu autour d'elle. Les jeunes Ă©taient..sages front Aucun d'entre eux n'auraient eu la bonne idĂ©e de monter sur les table pour nous faire une petite danse du ventre. quel dommage -_-. Elle reporta son attention sur MattĂ©o avec une expression mutine, les yeux emplis de Bien sur que je parle de toi. Tu as l'air du parfait gentleman qui prend ses Ă©tudes Ă coeur et surtout, qui ne dĂ©sobĂ©i pas Ă la demoiselle qui lui a mit le grappin dessus quand elle lui interdit de boire avec d'autres jeunes femmes. Elle attrapa son verre, en quĂȘte Ă une petite irritation Ă cause du bruit que M faisait avec ses glaçons mais elle y Ă©tait bien trop habituĂ©e pour dire quoi que ce soit. Elle le porta Ă ses lĂšvres et but une nouvelle fois sans se soucier de l'Ă©tat dans lequel elle serait lorsqu'elle essayerait de rentrer cette nuit. Rah Serena, on t'a dĂ©jĂ dit que c'Ă©tait pas du p'tit lait front Prend le temps d'apprĂ©cier ta boisson; c'est ce qu'on lui disait avant. Oui avant qu'on ne comprenne que la fĂȘte et l'alcool, elle avait dĂ©jà ça dans le sang alors Ă quoi bon. Elle le reposa en souriant, prenant un petit air A moins que je ne me soit trompĂ© bien sur... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Avant tout... Avant tout... Page 1 sur 1 Sujets similaires» A lire avant tout» Lorsque tout va bien et que tout s'efface [PV Sam et Dydy]» Avant Halloween [Pv Dylan]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumRPG - Long Island UC Divers [Saison2] Centre VilleSauter vers