🩇 Je Ne Supporte Pas Mon Mec Quand Il A Bu

Laquestion de notre internaute : Je suis en couple depuis trois ans. Depuis huit mois, je ne supporte plus le contact physique. Mon petit ami s'en trouve trÚs frustré
Mis Ă  jour le 14 fĂ©vrier 2021 Ă  18h00 © Getty Quand Anne s'installe chez sa copine pour garder son chat, elle n'imagine pas qu'elle va trouver l'homme de sa vie Ă  l'Ă©tage du dessus. Encore moins qu'elle serait en tenue d'Eve. Et pourtant... Par Nathalie HĂ©lal En sentant une caresse appuyĂ©e sur mes seins, j'ai pĂ©niblement ouvert un oeil. Il Ă©tait en train de se rhabiller et affichait un air autosatisfait qui m'a dĂ©plu sur-le-champ. Nous venions de passer une nuit torride, mais il se comportait comme s'il n'avait dĂ©jĂ  plus rien Ă  me prouver tout Ă  fait le genre de garçon avec lequel l'aventure s'arrĂȘte au saut du lit ! J'avais hĂąte qu'il s'en aille, et aucune envie de le revoir. Par chance, il ne savait rien de moi. L'appartement qui venait d'abriter nos Ă©bats n'Ă©tait pas le mien et, d'ici Ă  vingt-quatre heures, dĂšs que StĂ©phanie dont je gardais le chat serait rentrĂ©e de son escapade Ă  Marrakech, je serais introuvable Ă  cette adresse. Nue, je l'ai raccompagnĂ© jusqu'Ă  la porte, oĂč j'ai Ă©courtĂ© les adieux. Je me suis ensuite dirigĂ©e vers la salle de bains. C'est Ă  ce moment prĂ©cis que j'ai senti que quelque chose clochait Jean-Claude n'Ă©tait pas venu se frotter Ă  mes jambes comme d'habitude. Beau spĂ©cimen de race europĂ©enne », Jean-Claude Ă©tait un chat idolĂątrĂ© par sa maĂźtresse. Gentil mais tĂȘtu, il avait une fĂącheuse tendance Ă  essayer de se faufiler dehors Ă  la moindre occasion. Si ma copine se fichait pas mal que je ramĂšne des amants chez elle en son absence, en revanche, elle faisait une fixation sur le bien-ĂȘtre de son chat ! Que faire si je croisais quelqu'un ? »AprĂšs l'avoir cherchĂ© dans chaque recoin de l'appartement, il a fallu me rendre Ă  l'Ă©vidence Jean-Claude avait disparu. Il avait dĂ» profiter du moment des adieux pour prendre la poudre d'escampette. PaniquĂ©e, j'ai foncĂ© jusqu'Ă  la porte que j'ai entrouverte. Il Ă©tait lĂ , sagement assis sur les marches, et a miaulĂ© en me voyant. Pendant une fraction de seconde, j'ai pensĂ© Ă  rentrer pour m'habiller en vitesse, mais la crainte que Jean-Claude ne profite de ce moment pour fuguer encore plus loin m'a retenue je n'avais qu'Ă  m'avancer pour le rĂ©cupĂ©rer, Ă  deux enjambĂ©es du seuil. Ce que j'ai fait, non sans mal car Jean-Claude se dĂ©battait. J'Ă©tais Ă  environ cinquante centimĂštres de la porte, quand quelqu'un, Ă  l'Ă©tage au-dessus, a refermĂ© un peu trop fort la sienne j'ai vu la porte me claquer au nez, comme dans un film. En tenue d'Eve, Ă  7 heures du matin, un chat noir dans les bras, j'avais l'air malin ! Le pire, c'est que je ne connaissais personne dans ce foutu immeuble. Et je savais par StĂ©phanie que la gardienne Ă©tait du genre pas commode, donc, toquer Ă  sa loge Ă©tait mission impossible. Que faire si je croisais quelqu'un ? J'ai inspirĂ© profondĂ©ment pour me calmer, sans lĂącher Jean-Claude. Il fallait Ă  tout prix que je trouve quelque chose pour paraĂźtre un peu moins dĂ©vĂȘtue... J'ai attrapĂ© le paillasson le moins dĂ©gueu de tout le palier, et j'ai pris mon courage Ă  deux mains pour sonner Ă  la porte d'en face. Sans succĂšs. Me tournant vers la porte de gauche, j'ai perçu des pas lĂ©gers, et une voix enfantine a retenti Maman ! Y a une dame toute nue ! » Je n'ai pas attendu la rĂ©ponse pour me dissimuler dans l'escalier. AprĂšs avoir frappĂ© Ă  la porte de droite, j'ai eu droit Ă  une menace, venant d'une vieille dame flippĂ©e "Allez-vous-en ou j'appelle la police !" Il ne me restait plus qu'Ă  tenter ma chance Ă  l'Ă©tage du dessus... Je me suis donc retrouvĂ©e seule dans l'appartement d'un parfait inconnu »J'ai grimpĂ© l'escalier en rasant les murs. J'avais la hantise que Jean-Claude ne m'Ă©chappe pour de bon. J'ai choisi au hasard la porte du milieu et m'apprĂȘtais Ă  toquer quand celle de droite s'est ouverte. Un homme d'une trentaine d'annĂ©es, la rĂ©plique de Hugh Grant, est apparu, un attachĂ©-case Ă  la main. Je ne sais pas lequel de nous deux a Ă©tĂ© le plus surpris lui, qui a esquissĂ© le geste de se frotter les yeux, ou moi. Avez-vous besoin de quelque chose ? » m'a-t-il demandĂ©, avec un dĂ©licieux accent. En plus de ressembler au plus sexy des play-boys anglais, il en Ă©tait visiblement un compatriote. Je suis Anne, votre voisine du dessous, ma porte s'est refermĂ©e et... J'aimerais bien passer un coup de fil... et me mettre quelque chose sur le dos », ai-je dĂ©bitĂ© Ă  toute vitesse. Pas de problĂšme ! Entrez, faites comme chez vous. Au fait, je m'appelle Colin. Ne vous inquiĂ©tez pas pour le chat, il est le bienvenu lui aussi ! » Je n'avais pas le choix, et j'avoue que son charme ne me laissait pas indiffĂ©rente. L'urgence pour moi Ă©tait de rĂ©intĂ©grer l'appartement de StĂ©phanie, avec son chat. Colin s'est effacĂ© pour me laisser entrer mais je lui ai fait signe de me prĂ©cĂ©der, le paillasson ne couvrant que le devant de mon corps... Il a eu le tact de ne pas se moquer de moi et s'est prĂ©cipitĂ© dans la salle de bains pour me tendre un peignoir. Pendant ce temps, Jean-Claude faisait le tour du propriĂ©taire. Vous voulez un cafĂ©, un thĂ©... grignoter quelque chose ? » Un peu rassĂ©rĂ©nĂ©e, j'ai acceptĂ© un thĂ©, et souri en voyant Colin, dans la cuisine, camoufler la vaisselle sale de la veille. Pendant que je soufflais sur ma tasse, il avait dĂ©jĂ  composĂ© le numĂ©ro d'un serrurier. Bon... VoilĂ  ce que nous allons faire... Je dois partir travailler, mais vous allez rester ici en attendant que le type arrive. MĂȘme s'il met la journĂ©e, prenez tout votre temps et reposez-vous. Vous avez l'air d'en avoir besoin... - Je ne sais pas comment vous remercier... et pour le chat, dites-moi, vous n'auriez pas quelque chose Ă  manger... et pour le reste ? » ai-je questionnĂ©, inquiĂšte pour les dĂ©gĂąts que Jean-Claude pouvait causer. Ah ! Vous avez raison, je vais arranger ça tout de suite », a dĂ©clarĂ© mon sauveur. En un clin d’Ɠil, il avait passĂ© commande sur Internet d'un paquet de croquettes, d'un sac de litiĂšre et d'un bac en plastique. Le tout allait ĂȘtre livrĂ© en moins d'une heure. Je me suis donc retrouvĂ©e seule dans l'appartement d'un parfait inconnu, avec un chat pour toute compagnie. Colin m'avait confiĂ© ses clĂ©s, avec la recommandation expresse de ne pas les oublier Ă  l'intĂ©rieur, si je sortais... Le parfait cĂ©libataire, bon Ă  marier ! »Vers 19 heures, quand il est rentrĂ©, j'avais eu le temps de mĂ©diter sur le charme de notre rencontre. J'avais surtout fait la visite approfondie de son appartement. N'ayant pas grand-chose pour tromper mon ennui, et dĂ©sireuse de savoir Ă  qui j'avais affaire, je ne m'Ă©tais pas gĂȘnĂ©e pour fouiner dans ses placards et ses tiroirs. Verdict le parfait cĂ©libataire, bon Ă  marier ! Cette dĂ©couverte m'avait d'ailleurs fait m'incruster plus que de raison, y compris aprĂšs le dĂ©part du serrurier. J'avais trĂšs envie de lui montrer qu'en dĂ©pit des apparences j'Ă©tais tout sauf une blonde idiote, capable de s'aventurer sans ses clĂ©s, nue sur le palier. Alors je suis allĂ©e faire des courses, j'ai cuisinĂ© tout l'aprĂšs-midi, je suis passĂ©e me doucher, me changer et me maquiller chez StĂ©phanie, et j'ai dressĂ© la table... chez lui. Quand il a sonnĂ© Ă  la porte, il a eu un second choc. J'avoue qu'objectivement, ce que j'avais fait Ă©tait assez gonflĂ©... je n'Ă©tais pas censĂ©e savoir qu'il Ă©tait un coeur Ă  prendre ! Heureusement, l'idĂ©e de ce petit dĂźner improvisĂ© en tĂȘte Ă  tĂȘte l'a enchantĂ©. Il m'a confiĂ© plus tard qu'il avait l'impression de ne pas ĂȘtre au bout de ses surprises avec moi, et que c'est ce qui l'avait sĂ©duit. Il m'a dit aussi qu'aprĂšs m'avoir vue nue, il avait eu envie d'aller voir si j'avais aussi une tĂȘte bien faite. Nos vĂ©rifications rĂ©ciproques ont tellement bien fonctionnĂ© que nous ne nous sommes plus quittĂ©s un mois aprĂšs cet Ă©pisode improbable, je m'installais chez lui. Et dĂ©sormais, quand StĂ©phanie n'est pas lĂ , je prends Jean-Claude en pension chez nous. Avantde trouver le chemin du campus, c'Ă©tait le chemin du bar que S avait repĂ©rĂ©. elle perdait pas le nord la demoiselle. Justice serait enfin faite, aprĂšs que. RPG - Long Island UC: Vous souhaitez rĂ©agir Ă  ce message ? CrĂ©ez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. RPG - Long Island UC : Accueil Rechercher . S'enregistrer bon suite tjrs dans le pĂ©trin, ça ne va tjrs pas je lis des tonnes d'articles notemment dans notre magazine fĂ©tiche psychologie sur les couples, comment ils font pour durer, comment aimer librement, la pĂ©rennitĂ©, l'acceptation de l'autre, moi dans le couple enfin bref des tonnes d'articles qui me reboostent et me donne envie de faire le max pur maintenir un cap que je pourrais qualifier d'optimiste mais en ce moment cette navigation devient houleuse, bon j'arrĂȘte sur les allĂ©gories ou mĂ©taphores je ne sais plus je me demande tout simplement si mon homme m'aime il est si distant, si froid, si egoiste, si blessant parfois que je ne peux que comprendre qu il ne ressent rien pour moi il n'a de l'attention que pour notre fils ce qui est bien mais moi je n'existe pas, j ai l'impression de ne pas aovir le droit de dire quoi que ce soit sauf pour exprimer de la satisfaction mais les sentiments nĂ©gatifs il n'en veut pas! j en ai assez de vivre sur la banquise!! aucun geste tendre, il ne prend pas dans ses bras, ne me dis aucun mots d'amour, il ne fait meme plus attention Ă  ma prĂ©sence, j ai l'impression d etre invisible et qu il est devenu sourd.... ce we il nous a pourri le we car il avait un rhume avec mal Ă  la gorge, il ne fallait pas de bruit les enfants font du bruit il c montrer pas tres cool, il boude, rouspete, soupir, c ça la vie Ă  deux? en plus des que je lui parle de nos disonances tout est de ma faute, je ne sais pas comment il s'y prend mais Ă  chaque discussion il arrive Ă  faire tourner la situation Ă  son avantage en se posant en victime et je suis Ă©videmment la grande coupable de notre mal ĂȘtre en couple!!! du coup Ă  chaque fois je prends le coup en pleine face et la grosse remise en question arrive et je culpabilise, je me trouve envahissante, je m'en veux de lui reclamer de l'amour, de la tendresse, de l'attention et de l'Ă©coute, du soutien. mais un couple c ça non, il me demande de l'accepter tel qu il est avec ses besoins, chose que j'essaye de faire au mieux en essayant de conjuquer ses envies avec les miennes et vous qq1 Ă  t il connu ça?
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Monconjoint fume du cannabis de façon chronique depuis de nombreuses annĂ©es. Il ne souhaite pas arrĂȘter, il diminuera un jour. Lorsqu'il fume son comportement " absent" me dĂ©range. de plus comme sa consommation est importante, souvent matinal, j'interprĂšte cela comme un mal ĂȘtre et cela m'angoisse quotidiennement.
Dans le cas d’une personne saine, qui n’est pas diagnostiquĂ©e comme un pervers narcissique, l’insulte fait suite Ă  un sentiment de colĂšre. "Une personne Ă©nervĂ©e ne maĂźtrise pas ses Ă©motions, elle n’est pas dans le rationnel. Il devient alors difficile de communiquer avec elle", rappelle Kenza faire "Dans un premier temps, il vaut mieux prendre de la distance avec les propos prononcĂ©s par son conjoint." Vous pouvez vous Ă©loigner de lui voire changer de piĂšce, si vous avez du mal Ă  garder votre calme ou si les mots sont trop sur le mĂȘme ton que son partenaire risque de faire plus de mal que de bien. Insulter Ă  son tour son conjoint, c’est rentrer dans son jeu au risque de rompre la communication."Il est difficile de faire prendre conscience que ses paroles sont dĂ©placĂ©es si on agit comme lui", rappelle la psychologue. La bonne attitude est de rester intĂšgre pour montre "l’exemple" et rĂ©ussir Ă  faire un effet "miroir". Cela ne veut pas dire se laisser faire ni subir la situation mais permettre une prise de conscience chez l'autre et faciliter la communication communication est la base du couple. Certaines personnes ne se rendent pas compte qu’elles vont trop loin. Or, "si des paroles nous blessent, il ne faut pas hĂ©siter Ă  en parler Ă  son conjoint pour lui en faire prendre conscience" explique la ça ne marche pas si votre partenaire se rend compte qu’il va trop loin mais qu’il ne peut s’empĂȘcher de recommencer, une thĂ©rapie de couple peut ĂȘtre recommandĂ©e afin de dĂ©samorcer le malaise. Egalement, si vous n’arrivez pas Ă  lui faire prendre conscience que ses propos sont blessants, en parler avec une personne extĂ©rieure pourra lui permettre d'en prendre fuyez pas la confrontation, elle est essentielle pour avancerSi dans un premier temps, fuir la confrontation permet de passer plus rapidement Ă  autre chose, Ă  long terme cette attitude peut ĂȘtre prĂ©judiciable au couple. En clair "si on ne dĂ©samorce pas le problĂšme, il ne va pas se rĂ©gler de lui-mĂȘme et risque mĂȘme de s’amplifier" prĂ©vient Kenza Rafi. "Insulter son partenaire n’est jamais bon, car cela dĂ©montre une forme de mĂ©pris pour l’autre. Le risque est de voir sa relation de couple se dĂ©tĂ©riorer."À noter Un conjoint qui insulte devant les proches, les amis ou les enfants, leur donne une autorisation implicite de le faire Ă  leur vous sentez pas obligĂ© de rester"L’insulte est le dĂ©but de la violence conjugale", rappelle la psychologue Kenza Rafi. Une insulte vise Ă  blesser l’autre, Ă  lui faire perdre confiance en lui afin de le dominer. C’est une forme de rejet de son partenaire. "Comme on ne l’accepte pas comme il est, une relation malsaine s’instaure."Cependant, pour la spĂ©cialiste "mĂȘme si on aime une personne, il ne faut pas tout accepter et surtout si cela nous fait du mal". "Une fois qu’on a tout essayĂ© pour sauver son couple chercher Ă  comprendre l’autre, lui parler, lui proposer une thĂ©rapie de couple
, il faut oser quitter la personne qui nous blesse."Ne vous rabaissez pasSe respecter l’un l’autre est primordial dans un couple. Et le respect passe par l’estime de soi comme celle de l’autre."Si on se sent coupable parce qu’on est insultĂ©, c’est qu’on ne s’aime pas assez, explique Kenza Rafi. La premiĂšre Ă©tape est de retrouver confiance en soi pour pouvoir comprendre qu'il n'est pas normal d'endurer la maltraitance de l'autre."Des insultes au lit, acceptables ou non ?"La premiĂšre question Ă  se poser est Qu’est-ce que je peux accepter ?"", conseille la psychologue Kenza Rafi. Dans l’intimitĂ©, pour donner du piment Ă  la relation, les deux conjoints peuvent se mettre d’accord pour prononcer certains mots par exemple. Il faut cependant que chacun dĂ©finisse ses limites dĂ©finir un cadre Le couple doit prendre un moment pour en dicuter et se poser les bonnes questions. Qu’est-ce que je peux dire ? Qu’est-ce que je ne peux pas dire ? A quel moment je peux les dire ?, doit savoir jusqu’oĂč l’autre est prĂȘt Ă  aller. Aucun des deux conjoints ne doit se sentir rabaissĂ© ou humiliĂ©. Si c’est le cas pour l’un des deux, il doit pouvoir dire stop Ă  tout ne veut pas dire insulte"Insulter son conjoint, c’est toucher Ă  son intĂ©gritĂ©", explique la psychologue Kenza Rafi. L’insulte est un dĂ©nigrement de l’autre, un signal qui montre qu’on ne l’accepte pas comme il est. La prononcer comme l’entendre n’est jamais bon pour l’estime de soi-mĂȘme, ni pour celle de l’ personne peut ressentir de la colĂšre pour une quelconque raison et ne pas arriver Ă  la formuler. "Ce sentiment est tout Ă  fait normal et on peut en parler avec son partenaire, indique la spĂ©cialiste. En revanche, cette colĂšre ne doit pas se manifester sous forme d’insulte susceptible de blesser son conjoint."A nuancer L’insulte n’est pas nĂ©cessairement un nom d’oiseau. Cela peut ĂȘtre un mot qui ne sonne pas mĂ©chamment, mais qui est prononcĂ© avec l’intention de rabaisser l’autre. Par exemple, "tu es vraiment qu’une grosse !" dit sur un ton blessant n’est pas la mĂȘme chose que "chĂ©ri, tu devrais faire attention Ă  ce que tu manges parce que j’ai l’impression que tu as un peu grossi."
7 Epurez votre emploi du temps. Quand on souffre de dĂ©pression, on ne peut plus tout assurer. Acceptez-le, et ne vous imposez pas des choses que vous ne pouvez plus faire pour le moment.Si vous en avez les moyens, la possibilitĂ©, dĂ©lĂ©guez les tĂąches qui vous sont ingrates comme le repassage, les courses, le mĂ©nage, les factures Ă  d’autres

Forum / Amour, Couple Bonjour, je suis nouvelle sur ce forum. J'ai decidĂ© de m'inscrire car j'avais besoin de solution tout en gardant mon anonymat. J'Ă©vite d'en parler avec mes voilĂ , je suis une jeune Ă©tudiante de 22 ans qui est en couple avec un magnifique homme qui a 24 ans. On s'est mis ensemble y a une annĂ©e et il me supporte vraiment pas mal. Etant Ă©tudiante, mes moyens sont trĂšs limitĂ©s et lui veuille Ă  ce que je mange bien et je m'habille bien. Il me fait de petits cadeaux par ci par lĂ  et quand j'en ai un peu marre de mon rĂ©sidence Ă©tudiante. Je vais chez lui passer quelques jours tout en participant financiĂ©rement les courses et tout.Bref, si mon mec est trĂšs beau, trĂšs intelligent et en plus, m'aime et s'occupe bien de moi, alors c'est quoi le problĂšme ?C'est simple, Je le connais depuis 6 ans maintenant et Ă  l'Ă©poque, c'Ă©tait un peu le mec populaire qui avait beaucoup de succĂšs avec les filles. La premiĂšre fois qu'on a parlĂ©, c'Ă©tait Ă  l'anniversaire d'une amie. On a fait la fĂȘte et on a un peu bu, et Ă  cette soirĂ©e lĂ , il s'est tapĂ© 2 de mes amies. Le trouvant assez beau Ă  l'Ă©poque et ayant bu, je lui ai dis que je voulais le faire aussi. Et du coup, j'Ă©tais sa 3Ăšme conquĂȘte Ă  cette fameuse soirĂ©e. je ne regrette absolument pas ceci dit ! Mon ex Ă©tait nul Ă  chier au lit.Du coup, je connais trĂšs bien son passĂ© de Jon Duan, je dirais pas que c'est un courreur de jupon. Loin de lĂ , c'est plutĂŽt les filles qui tombent comme des mouches sans qu'il ait Ă  faire quoi que ce soit. Et lui, Ă  l'Ă©poque, en profiter pas aujourd'hui, je vois clairement qu'il a changĂ© en bien, il a Ă©normement muri, parle trĂšs bien et est assez ambitieux et pragmatique comme personne. Il ne cesse de me montrer son amour mais j'arrive pas Ă  lui faire confiance ou plutĂŽt Ă  ĂȘtre assez bien pour Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidĂ©o. Tu te compliques trop la vie ! Estimes toi heureuse que ton mec s'occupe bien de toi. J'aime Les femmes sont compliquĂ©es, voilĂ  un cas fille Ă  tout ce qu'il faut et ..... non ça suffit pas encore. J'aime Bah tu es passĂ©e en 3eme ce soir lĂ  il avait dĂ©jĂ  bien trempĂ© sa nouille. Maintenant il est avec toi et tu doutes ? Je ne sais pas pourquoi... J'aime Vous ne trouvez pas votre rĂ©ponse ? En rĂ©ponse Ă  alyxia_13649326 Bah tu es passĂ©e en 3eme ce soir lĂ  il avait dĂ©jĂ  bien trempĂ© sa nouille. Maintenant il est avec toi et tu doutes ? Je ne sais pas pourquoi... C est exactement ça... J'aime En rĂ©ponse Ă  mathildeperi Bonjour, je suis nouvelle sur ce forum. J'ai decidĂ© de m'inscrire car j'avais besoin de solution tout en gardant mon anonymat. J'Ă©vite d'en parler avec mes voilĂ , je suis une jeune Ă©tudiante de 22 ans qui est en couple avec un magnifique homme qui a 24 ans. On s'est mis ensemble y a une annĂ©e et il me supporte vraiment pas mal. Etant Ă©tudiante, mes moyens sont trĂšs limitĂ©s et lui veuille Ă  ce que je mange bien et je m'habille bien. Il me fait de petits cadeaux par ci par lĂ  et quand j'en ai un peu marre de mon rĂ©sidence Ă©tudiante. Je vais chez lui passer quelques jours tout en participant financiĂ©rement les courses et tout.Bref, si mon mec est trĂšs beau, trĂšs intelligent et en plus, m'aime et s'occupe bien de moi, alors c'est quoi le problĂšme ?C'est simple, Je le connais depuis 6 ans maintenant et Ă  l'Ă©poque, c'Ă©tait un peu le mec populaire qui avait beaucoup de succĂšs avec les filles. La premiĂšre fois qu'on a parlĂ©, c'Ă©tait Ă  l'anniversaire d'une amie. On a fait la fĂȘte et on a un peu bu, et Ă  cette soirĂ©e lĂ , il s'est tapĂ© 2 de mes amies. Le trouvant assez beau Ă  l'Ă©poque et ayant bu, je lui ai dis que je voulais le faire aussi. Et du coup, j'Ă©tais sa 3Ăšme conquĂȘte Ă  cette fameuse soirĂ©e. je ne regrette absolument pas ceci dit ! Mon ex Ă©tait nul Ă  chier au lit.Du coup, je connais trĂšs bien son passĂ© de Jon Duan, je dirais pas que c'est un courreur de jupon. Loin de lĂ , c'est plutĂŽt les filles qui tombent comme des mouches sans qu'il ait Ă  faire quoi que ce soit. Et lui, Ă  l'Ă©poque, en profiter pas aujourd'hui, je vois clairement qu'il a changĂ© en bien, il a Ă©normement muri, parle trĂšs bien et est assez ambitieux et pragmatique comme personne. Il ne cesse de me montrer son amour mais j'arrive pas Ă  lui faire confiance ou plutĂŽt Ă  ĂȘtre assez bien pour queutard qui couchait avec 3 nanas dans la mĂȘme soirĂ©e, c'Ă©tait il y a 6 qui demandais Ă  ce queutard de te sauter aprĂšs 2 autres filles, cela fait aussi partie du a Ă©voluĂ©, changĂ©, mĂ»ri, il fait son possible pour te rendre heureuse et te prouver son amour. Le problĂšme ne vient pas de lui, mais de ne serais tu pas assez bien pour lui? J'aime

Reprisedu message prĂ©cĂ©dent : Fin de carriĂšre pour OCO en 2021 . Il a la moitiĂ© des points de RIC, faut arrĂȘter Et encore avec un podium casquette. Renault perd 2 places au championnat Ă  cause de lui. SyndromeSyndromeLes stores poussiĂ©reuxLe Cuba ClubL'Ă©lĂ©ment perturbateurProverbe chinoisCafĂ© noirIvresseMauxLa couleur de l'argentLe dĂźnerIdylleProverbe chinois, 2La maison de vacancesAu bord de l'eauCauchemars du rĂ©elAbĂźmeEn chute libreAmertumeTic-tacLe framboisierUn mauvais pressentimentÉpiloguePage de copyrightSyndromeLes stores poussiĂ©reux De faibles rayons lumineux traversent les stores et Ă©clairent la piĂšce d’une douce lueur matinale. Des piles de papiers, magazines, photos et brochures, jonchent le sol dans un vĂ©ritable dĂ©sordre. Quelques vĂȘtements sales, comme des chaussettes et une paire de jeans dĂ©lavĂ©e, traĂźnent Ă©galement ici et lĂ , comme si rien n’avait de place. Les murs, un peu trop blancs, sont recouverts par quelques peintures et affiches de festivals littĂ©raires qui dissimulent maladroitement le papier qui se dĂ©colle Ă  bien des endroits. Sur la table de chevet trĂŽnent un rĂ©veil holographique et un volume impressionnant intitulĂ© L’art de l’écriture sur lequel est posĂ©e une paire de lunettes. Dans le lit deux places aux draps chamboulĂ©s, un homme encore sur le ventre vient de se rĂ©veiller William. Dos nu, l’une de ses mains dĂ©passe des couvertures. Il a la tĂȘte enfoncĂ©e dans l’oreiller et le souffle court. Il est encore abasourdi par son rĂȘve, ou son cauchemar, il ne sait pas trop comment le dĂ©finir. Dans quelques minutes il ne s’en souviendra dĂ©jĂ  plus. Il amĂšne sa main jusqu’à son visage pour se frotter les yeux, puis se retourne avec des gestes lents. Il n’a pas envie de se lever, pas aujourd’hui
 Il plisse les yeux, s’acclimate Ă  la lumiĂšre. VĂȘtu du mĂȘme caleçon depuis deux jours, il s’assoit sur le bord du lit en soupirant. Un coup d’Ɠil au rĂ©veil 13 heures. Depuis quelque temps, il se force Ă  veiller tard la nuit, les yeux grands ouverts devant une Ă©ternelle page blanche. Il vit en dĂ©calage avec le monde sans vraiment en avoir conscience. L’inspiration n’a pas d’heure, se dit-il toujours. Ça fait d’ailleurs longtemps qu’il n’a pas fait une nuit complĂšte et sereine avec des horaires rĂ©guliers. Il en aurait sans doute besoin. Ce soir, peut-ĂȘtre. Les cheveux encore en bataille et mal rasĂ©, il finit par se lever avec regret pour rejoindre le sĂ©jour d’un pas nonchalant. Son petit studio parisien est assez sobre, dĂ©sagrĂ©ablement simpliste, presque aseptisĂ©. L’homme, encore endormi, se traĂźne pĂ©niblement jusqu’à son rĂ©pondeur. Vous avez 4 nouveaux messages
 Bip
 Il se dirige ensuite derriĂšre le bar et verse avec lassitude le contenu d’une cafetiĂšre de la veille dans une tasse mal lavĂ©e. Monsieur Dessains, la sociĂ©tĂ© Libre Écrit a Ă©tudiĂ© votre manuscrit. MalgrĂ© les nombreuses qualitĂ©s qu’il prĂ©sente, nous avons le regret de vous annoncer que nous ne souhaitons pas donner suite Ă  votre projet
 Il se laisse tomber mollement sur le canapĂ© et il allume la tĂ©lĂ©vision. D’un Ɠil vitreux, il fixe la premiĂšre chaĂźne sur laquelle il tombe, c’est un dessin animĂ©. Bip
 Bip
 AllĂŽ ? AllĂŽ, Monsieur Dessains, allĂŽ ? Bip
 Bip
 Notre comitĂ© de lecture est en train d’étudier votre manuscrit. Nous vous recontacterons ultĂ©rieurement
 L’homme porte Ă  ses lĂšvres son cafĂ©, il grimace tandis que le liquide froid lui coule dans la gorge. Bip
 William, c’est GaĂ«l ! J’espĂšre que t’es debout parce que j’arrive dans dix minutes, le temps de prendre ma bagnole ! T’as intĂ©rĂȘt Ă  ĂȘtre en forme pour ce soir, ça va ĂȘtre la folie, tu vas pas le regretter. Et bon anniversaire frangin ! William s’étouffe brusquement et manque de tout renverser. Quelques gouttes de son cafĂ© Ă©claboussent le plancher au moment oĂč le tintement de la sonnette d’entrĂ©e se fait entendre. Merde ! Il traĂźne les pieds jusqu’à la porte. Un beau mec, la petite trentaine, l’accueille avec un sourire un peu forcĂ©, laissant entrevoir toutes ses dents blanches. On dirait un putain de commercial. − Comment tu vas, frangin ? Il le serre un peu trop fort dans ses bras. William a envie de l’étrangler, lui et sa chemise bleue Ă©clatante, toute propre, et trop bien repassĂ©e. GaĂ«l est son frĂšre aĂźnĂ©. Il aurait prĂ©fĂ©rĂ© ĂȘtre fils unique, mais il Ă©tait lĂ  et fallait faire avec. Ça fait plusieurs dĂ©cennies maintenant qu’il le supporte, qu’il doit se taper des dĂźners de famille avec Monsieur Parfait, et Ă©couter ses exploits d’infirmier avec, en prime, les Ă©loges de papa et maman. Qu’il est merveilleux, charmant, Ă©lĂ©gant, et ci, et ça. Ils auraient dĂ» se limiter Ă  un seul gamin ces deux-lĂ . Ça aurait au moins Ă©vitĂ© Ă  William d’ĂȘtre aussi dĂ©sagrĂ©able avec eux, et de devoir entendre Ă  tout bout de champ Mais qu’est-ce qu’on va faire de toi ? ». Bah rien, justement, ils pouvaient le laisser lĂ . Il s’en sortait trĂšs bien tout seul. − T’es un peu pĂąle, ça va pas ? Tu viens de te lever ou quoi ? − Et alors ? GaĂ«l pĂ©nĂštre chez lui sans prendre la peine d’échanger les banalitĂ©s d’usage, il jette un rapide coup d’Ɠil au sĂ©jour. Son regard reste figĂ© sur quelque chose. IntriguĂ©, il s’approche des cartes de visite intactes de son frĂšre prĂšs du rĂ©pondeur. Il en saisit une, puis la repose avec un petit sourire moqueur. − Ça avance ? − Oui. − C’est vrai ? − Oui. − J’espĂšre que t’as un peu plus de vocabulaire sur papier, sinon ça va faire court pour un roman, dit-il en dĂ©voilant son sourire Ă©clatant. Leur dentiste avait un jour dit Ă  maman que son fils devrait faire des publicitĂ©s pour du dentifrice. Il avait probablement dĂ» dire ça sur un ton blagueur, que sa mĂšre avait pris trop au sĂ©rieux. Elle l’avait fait courir les castings pendant un temps, mais ça n’avait pas marchĂ©. Depuis, GaĂ«l avait gardĂ© cette sale habitude, ce sourire forcĂ© qui avait fini par devenir le sien. Ça donnait envie Ă  William de l’étriper. − Ce soir, 20 heures, au Cuba Club. J’ai rĂ©servĂ© ! − Pas question ! − Ce serait con, j’ai invitĂ© toute la smala. En plus, c’est ton anniversaire, donc t’as plutĂŽt intĂ©rĂȘt Ă  ĂȘtre lĂ  ! Allez, Ă  ce soir. Putain. La porte claque. S’il savait Ă  quel point il a envie de lui faire bouffer son satanĂ© sourire ! Voir des gens, sortir, c’est bien les derniĂšres choses dont il a envie. Ce qu’il veut, c’est s’isoler, penser, et l’inspiration finira bien par se manifester. Ce dont il a besoin, c’est d’une bonne idĂ©e. Et Ă©crire deux cents pages sur le sourire Ă©clatant de son frĂšre, non seulement ça ne l’inspire pas du tout, mais en plus ça ne va pas faire dĂ©coller sa carriĂšre. William se sert un nouveau cafĂ© qui lui reste en travers de la gorge. Il devrait faire attention, il va finir par faire de la tachycardie Ă  ce rythme-lĂ . Il ouvre les stores recouverts de poussiĂšre, et laisse entrer la lumiĂšre du jour dans son salon. Il reste lĂ  un moment, dans le vague, les yeux encore mi-clos, Ă  observer les particules de poussiĂšre danser au travers des rayons lumineux. Il aimerait bien pouvoir flotter, lui aussi. Ce serait comme ĂȘtre hors du temps, hors du monde. Son regard s’arrĂȘte sur son bureau et son tas de paperasse. C’est son petit univers Ă  lui, ses bouquins, ses notes, ses photos, ses idĂ©es, et c’est dans cet univers lĂ  qu’il se sent le mieux. William s’y installe et commence Ă  Ă©crire frĂ©nĂ©tiquement sur un carnet, semblant rĂ©pondre Ă  un appel soudain l’inspiration. Brrr. Brrr. C’est son tĂ©lĂ©phone portable. Il le cherche du regard, soulĂšve ses carnets et son tas d’histoires pĂ©rimĂ©es qu’il ne publiera jamais. Nouvelle notification. William ouvre une application, il vient de matcher avec une superbe brune. Encore une idĂ©e brillante de son frĂšre de l’avoir inscrit sur ce truc qu’il n’utilise jamais. Il fait dĂ©filer quelques photos de son profil lĂšvres pulpeuses, dĂ©colletĂ© Ă©vident, et un regard entre la mignonnerie et la coquinerie. Bref, une femme demandeuse d’aventures. Nouvelle notification. Sa brune vient justement de lui envoyer un message. William l’ouvre. Si tu veux baiser, clique sur ce lien
 Avec un soupir, il laisse tomber son portable sur le sol. Application Ă  la con ! Jamais il ne fera confiance Ă  ces rĂ©seaux et Ă  toutes ces plateformes de rencontres basĂ©es sur des algorithmes pourraves. Ce n’est pas pour lui. William a besoin de contact, de regards, il a besoin de ressentir. Au contraire, la technologie le dĂ©shumanise, le prive de toutes ces sensations dont il a besoin pour vivre et pour Ă©crire. Il est peut-ĂȘtre vieux jeu, mais c’est comme ça. De toute façon il n’a pas besoin de rencontres en ce moment. Il veut juste une idĂ©e assez brillante pour Ă©crire un nouveau roman, et ce n’est pas cette application qui va la lui donner. Il jette un coup d’Ɠil furtif derriĂšre lui pour vĂ©rifier l’heure indiquĂ©e par son horloge Cuba Club MĂ©tro, boulot, dodo. Pas Ă©tonnant que tous les Parisiens tirent la gueule. Se lever le matin en titubant, avaler son cafĂ© et son croissant en se rasant, embrasser vite fait sa femme, aller bosser dans un bocal Ă  poissons, se faire charrier par ses collĂšgues, se faire discrĂ©diter par son patron, rentrer avec des cernes sous les yeux, devoir remonter les cinq Ă©tages de son immeuble sans ascenseur, entendre ses mĂŽmes brailler, devoir gĂ©rer la crise existentielle des femmes du XXIe siĂšcle et surtout de la sienne, aller se coucher sans faire de folies, penser Ă  la tromper, et finalement oublier son rĂ©veil pour tout recommencer. Dire que ce mec, ça aurait pu ĂȘtre toi. Peu importe si les gens pensent que c’est un ratĂ©, William n’échangerait sa vie contre la leur pour rien au monde, et il ne s’en inspirerait pas non plus pour ses Ă©crits. C’est le rĂ©el qui l’intĂ©resse, mais le rĂ©el dans sa beautĂ© pure, son inconstance, son humanitĂ©. Son roman ne peut pas raconter une vulgaire histoire, il doit avoir quelque chose de plus, quelque chose d’un ordinaire extraordinaire. Si seulement c’était possible. Il se masse le crĂąne tout en fronçant les sourcils. Peut-ĂȘtre que ça lui ferait du bien de sortir, finalement. Ça fait plusieurs jours qu’il est chez lui Ă  se prendre la tĂȘte comme ça, assis Ă  son bureau, Ă  refaire le monde. MalgrĂ© ses efforts, son idĂ©e salvatrice ne vient pas. William descend du mĂ©tro et remonte l’allĂ©e d’une marche solitaire, les mains au fond de ses poches. Il va falloir y aller. Ce n’est qu’une soirĂ©e, ça va passer vite, se rĂ©pĂšte-t-il. Demain, il sera de nouveau devant sa page blanche Ă  s’inventer une nouvelle aventure, un Nouveau Monde. C’est juste pour une soirĂ©e. La devanture du club lui fait mal aux yeux, comme si toutes ces couleurs fluorescentes lui explosaient Ă  la figure en mĂȘme temps. VoilĂ  ce que ça fait de passer son temps enfermĂ© dans le noir. Des gens branchĂ©s fument des clopes Ă  l’extĂ©rieur. Sans surprise, ils sont exactement comme il les a imaginĂ©s. William les dĂ©passe sans les regarder. Il fronce les sourcils face Ă  l’interrogation du videur − Votre nom ? − William
 Dessains. Il secoue la tĂȘte − Vous n’ĂȘtes pas sur la liste, dĂ©solĂ©. − Quoi ? − C’est une soirĂ©e privĂ©e. − Hey, hey, hey ! William ! Mon frĂšre ! GaĂ«l fait finalement son apparition au bon moment. Il enlace le videur avec un verre Ă  la main. − Tout doux Bijou, c’est lui la star de la fĂȘte. − Excusez-moi, monsieur, je n’ai pas Ă©tĂ© prĂ©venu ! − T’inquiĂšte ! Allez, amĂšne-toi ! GaĂ«l agrippe son frĂšre par le cou et l’embrasse sur la joue en riant − Tu sais que j’ai grave flippĂ© ! J’étais pas sĂ»r que tu viennes
 Son haleine empeste un mĂ©lange nausĂ©abond de biĂšre et de rhum. William recule, il a l’impression qu’il se tient Ă  lui pour ne pas tomber. Visiblement, il n’a pas Ă©tĂ© conviĂ© Ă  ce dĂ©but de soirĂ©e. − Alors je t’explique, c’est open-bar toute la nuit ! J’ai nĂ©gociĂ©. Et tout ça, lĂ , dit-il en montrant les clients du bar, bah c’est mes potes. J’ai tout privatisĂ© juste pour toi frangin
 ça te fait pas plaisir ? Super. Une soirĂ©e branchouille avec les potes de son frĂšre et un karaokĂ© gĂ©ant. William fait la grimace, mais apparemment GaĂ«l ne le remarque pas. Ou alors il n’en a rien Ă  faire, ce qui est plutĂŽt son genre. − Mettez-nous deux shots ! Le barman Ă  la barbe de hipster et aux tatouages de gros dur s’exĂ©cute. GaĂ«l engloutit d’une traite, tandis que William le boit plus lentement. L’alcool lui brĂ»le la gorge. Il se sent mal Ă  l’aise et voudrait rentrer chez lui pour s’asseoir Ă  son bureau et Ă©crire dans le silence le plus total. − Sweetie! Son frangin agrippe une blonde par le bras, elle se retourne vers eux avec un sourire dĂ©mesurĂ©. À croire qu’ils ont tous ce mĂȘme putain de sourire, comme des clones. Il faut faire gaffe, William ne veut pas ĂȘtre contaminĂ©. − Je t’ai jamais prĂ©sentĂ© ! Mon frĂšre, Will, Victoria ! Tu vas voir, il est un peu timide, mais c’est un super mec. Tu pourras pas me dire que je ne te les prĂ©sente pas, allez ! Il s’éclipse en lui laissant, en guise d’encouragement, une petite tape sur l’épaule. Merci. La blonde aux yeux de biche le fixe en papillonnant des cils. Elle porte une robe vulgaire Ă  strass et ses yeux sont tellement grands qu’on dirait qu’ils coulent sur ses joues. William ne sait plus oĂč se mettre. Il a envie que le sol l’aspire et l’engloutisse Ă  tout jamais. − C’est toi l’écrivain ? demande-t-elle avec un accent bizarre. − Faut croire. Elle se met Ă  pouffer niaisement. William dĂ©tourne le regard. GaĂ«l est en train de faire son show, il parle fort et rit avec tout le monde, aussi Ă  l’aise qu’un poisson dans l’eau. C’est sa soirĂ©e, pas la sienne. C’est sympa de m’avoir conviĂ©. William balaye le club du regard. Entre les projecteurs aveuglants et les tables froides en alu, il ne connaĂźt personne. Il en a peut-ĂȘtre croisĂ© quelques-uns par-ci par-lĂ , mais personne qui lui inspire rĂ©ellement de la sympathie. Hormis son frĂšre, bien sĂ»r, avec lequel il est un peu contraint de cohabiter. Au fond, ce qu’ils partagent, ce n’est rien de plus que les liens du sang. Il a toujours eu tendance Ă  s’enfoncer dans des conflits relationnels son frĂšre, les femmes, les Ă©diteurs, mais surtout sa mĂšre. Elle et son pĂšre ont toujours refusĂ© sa vocation d’artiste, son dĂ©sir de devenir Ă©crivain. Ils pensent que leur fils n’a aucun talent, qu’il est, pour les citer un rĂȘveur et un bon Ă  rien ». AprĂšs l’universitĂ© il a pris son appartement et s’est mis Ă  Ă©crire. Depuis, il n’a publiĂ© qu’un misĂ©rable recueil de nouvelles qui ne lui rapporte rien. Les rares repas de famille, auxquels il est conviĂ© avec son frĂšre, sont pour le moins tendus. On ne cesse de lui demander si ses Ă©crits avancent, et la rĂ©ponse est toujours la mĂȘme. Sauf que les annĂ©es passent
 − Tu bois quoi ? Il l’a presque oubliĂ©e, celle-lĂ  ! William lui montre son verre encore plein. Elle commande deux shots de plus, comme s’il en avait besoin. Il aurait pu faire un effort sur la tenue. C’est vrai, au moins mettre une chemise propre et repassĂ©e comme son frangin. Ils auraient eu l’air presque pareils comme ça. C’est leur mĂšre qui aurait Ă©tĂ© fiĂšre. Soudain, les lumiĂšres dĂ©croissent, l’ambiance se tamise, la musique s’arrĂȘte. GaĂ«l fait son intĂ©ressant au milieu de la foule, il a un micro Ă  la main. La blonde Ă  cĂŽtĂ© de lui, dont il a dĂ©jĂ  oubliĂ© le nom, siffle. William la dĂ©visage furtivement, elle a l’air d’avoir chaud, il a l’impression qu’elle transpire. Son verre est dĂ©jĂ  vide. − Je voulais juste vous dire merci d’ĂȘtre lĂ  ce soir. C’est vraiment merveilleux qu’on soit tous ensemble Ă  nouveau, ça n’a pas Ă©tĂ© sans mal. J’espĂšre que vous allez passer une bonne soirĂ©e, et je voulais passer un message tout spĂ©cial Ă  mon frangin Joyeux anniversaire tĂȘte de nƓud ! C’est William, le mec lĂ -bas au bar. Et la blonde Victoria, vous fatiguez pas, il est dĂ©jĂ  dessus. Les gens tournent la tĂȘte vers eux et se mettent Ă  rire. William est mort de honte, il regrette dĂ©jĂ  d’ĂȘtre venu. Il serait mieux chez lui, loin de tout et loin du monde. − On a mis en place un super karaokĂ©. Donc, ceux qui veulent en profiter, c’est maintenant ! La musique redĂ©marre, un Ă©cran gĂ©ant s’allume et affiche un clip sous-titrĂ©. GaĂ«l commence Ă  chanter et tout le monde se rapproche pour voir la star faire son show. MisĂšre. C’est exactement le genre de soirĂ©e qu’il redoute et qu’il dĂ©teste par-dessus tout. − Tu viens ? lui demande la prĂ©tendue Victoria William secoue la tĂȘte. Déçue, elle s’éloigne. Il en profite lui aussi pour s’éclipser sans mĂȘme avoir touchĂ© Ă  son verre. L’air frais qui vient lui chatouiller le visage lui fait du bien. Il respire enfin ! La nuit vient juste de tomber. William regarde les lumiĂšres de la ville et les gens pressĂ©s dans la rue. La nuit est bien plus propice Ă  l’imagination. Il laisse s’égarer plus librement son esprit et se demande s’il ne va pas rentrer. GaĂ«l ne s’en apercevra mĂȘme pas. Son regard s’arrĂȘte sur une femme Ă  un mĂštre de lui Ă  peine. Il la fixe quelques instants avant de la distinguer rĂ©ellement. Sa silhouette semble se dĂ©tacher de l’obscuritĂ©. Elle fume tout en tapotant sur son tĂ©lĂ©phone portable. Se sentant observĂ©e, elle relĂšve briĂšvement la tĂȘte vers lui, esquisse un sourire, du bout des lĂšvres, qu’il ne peut que deviner. − Vous fumez ? lui demande-t-elle comme si elle voulait qu’il se joigne Ă  elle. − Non, merci. William n’a jamais vraiment eu de chance avec les femmes trop amoureux, trop sensible. Il s’attache trop rapidement Ă  celles qu’il rencontre et qui, bien souvent, ne cherchent pas une relation sĂ©rieuse. Elles finissent par le laisser avec ses idĂ©es noires et son cƓur brisĂ©. Le point positif, c’est que ça l’aide Ă  Ă©crire, mĂȘme si les Ă©diteurs ne se bousculent pas pour ses rĂ©cits larmoyants. Partager la vie d’un Ă©crivain ratĂ© n’est pas si facile. Il faut supporter ses plaintes et ses angoisses, apprendre Ă  Ă©couter ses histoires les plus futiles, et se forcer Ă  gober ses rĂ©flexions philosophiques et barbantes sur le sens de la vie. C’est cette image-lĂ  que les quelques femmes qui ont partagĂ© la vie de William gardent de lui. Il a dĂ©sormais abandonnĂ© l’idĂ©e de rencontrer quelqu’un. La solitude, de toute façon, c’est essentiel pour bien Ă©crire. GĂȘnĂ© par son regard, William dĂ©tourne maladroitement les yeux. Elle Ă©crase sa cigarette du bout de son talon, et entre dans le club. Il reste plantĂ© lĂ , songeur. AprĂšs quelques instants Ă  se demander s’il ferait mieux de rester ou de partir, il retrouve sa place au bar, oĂč son verre attend toujours son propriĂ©taire. Elle est lĂ , Ă  quelques mĂštres de lui. Il l’observe du coin de l’Ɠil. Elle a l’air d’un ange. Comme si elle baignait dans une Ă©trange lumiĂšre divine, le reste autour d’elle n’est qu’une masse floutĂ©e comme un arriĂšre-plan de cinĂ©ma. Elle a un grain de beautĂ© au coin de la bouche, des lĂšvres roses et charnues, et des petites rides aux coins des yeux quand elle sourit. Elle embrasse amicalement GaĂ«l. Ils se connaissent, sans doute. Il croise son regard Ă  nouveau, et il a l’impression que c’est elle qui en est Ă  l’origine. ArrĂȘte avec tes histoires, c’est comme d’habitude, c’est dans ta tĂȘte tout ça, se dit-il. Pourtant, il a l’impression que quelque chose l’attire vers elle, quelque chose d’inexplicable qui se produit peu souvent dans une vie. − Un rhum s’il vous plaĂźt ! Le serveur lui sert un nouveau verre tandis que William sort un carnet de sa poche. Il en a toujours un sur lui, au cas oĂč une idĂ©e lumineuse lui traverserait l’esprit. C’est justement le cas. Le hipster, intriguĂ©, l’observe Ă©crire avec ambition. William jette un nouveau coup d’Ɠil Ă  cette femme qui l’intrigue et le passionne sans qu’il puisse expliquer pourquoi. Elle prend le micro et se met Ă  chanter un hit, frĂ©nĂ©tiquement. Il lĂąche ses Ă©crits, hypnotisĂ©, et la regarde jusqu’à la fin de la chanson. DĂ©cidĂ©ment, elle a quelque chose. − Elle a de l’aplomb, cette nana ! William se retourne vers le barman. Visiblement, il n’est pas le seul Ă  ne pas ĂȘtre indiffĂ©rent. Les gens du club l’applaudissent, mais elle se cache, intimidĂ©e. GaĂ«l vient l’enlacer. Ils ont mĂȘme l’air plutĂŽt proches. William commande un autre rhum et se replonge dans ses Ă©crits. Les clubbeurs finissent par se lasser du karaokĂ©, tout le monde se retrouve au centre pour se trĂ©mousser sur un rythme aussi assourdissant que dĂ©sagrĂ©able. William continue de les observer discrĂštement de loin. Son frĂšre, ivre, a l’air de s’amuser comme un fou. Les gens dansent, rient, et parlent un peu trop fort. MĂȘme le barman semble un peu pompette Ă  force de siroter les fonds de verres. Ils ont dĂ©jĂ  oubliĂ© que William est lĂ . Lui, il commence Ă  avoir mal Ă  la tĂȘte. MĂȘme si ce n’est jamais agrĂ©able, il a l’habitude de faire des migraines Ă  rĂ©pĂ©tition, surtout quand il dort mal et qu’il baigne en pleine pĂ©riode crĂ©ative, comme en ce moment. Il est peut-ĂȘtre temps de rentrer. William a arrĂȘtĂ© de compter les verres. L’ivresse le gagne doucement, et il se laisse sombrer avec l’agrĂ©able sensation de tenir quelque chose d’important pour ses Ă©crits. Il est ailleurs, comme transplantĂ© dans un monde fictif qui n’appartient qu’à lui. Plus rien n’existe Ă  part son univers, et elle, enchanteresse, sur la piste de danse. Leurs regards se croisent. Elle sent qu’il l’observe depuis un bon moment. Il ne sait pas pourquoi, mais son cƓur cogne fort dans sa poitrine et ses mains sont moites. William les essuie sur son jeans. T’as vraiment trop picolĂ©. Il finit son verre cul sec et le fait claquer sur le bar comme un ivrogne qui redemanderait sa gnĂŽle, puis se retourne pour partir. Sauf qu’elle est lĂ , face Ă  lui, prĂšs du comptoir. Son cƓur fait un drĂŽle de bond dans sa poitrine, il se sent dĂ©faillir. Elle lui sourit. − Vous partez dĂ©jĂ  ? − Oui
 − Vous buvez quoi ? − La mĂȘme chose que vous. − Deux Margaritas ! Le barman s’exĂ©cute. Elle lui tend la main. William est tĂ©tanisĂ©. − Clarisse, enchantĂ©e. − William
 − Ah ! Mais c’est vous l’écrivain alors ? Le frĂšre de GaĂ«l ? Il hoche la tĂȘte. Elle grimace tout en buvant son verre Ă  la paille et lui chuchote − Il est super fort. Je pense qu’il commence Ă  exagĂ©rer sur les doses. William lui sourit comme un idiot, il n’arrive plus Ă  rĂ©flĂ©chir ni Ă  parler, comme si elle le privait de ses capacitĂ©s, des fonctions de ses membres, et qu’elle l’aspirait tout entier. Il y a en elle quelque chose de surnaturel, quelque chose dont il ne peut pas se dĂ©tacher. − Tu fais quoi ? lui demande-t-elle en dĂ©signant le carnet de notes qu’il a toujours dans les mains. Il se ressaisit et le range prĂ©cipitamment. − Oh ! C’est rien, je
 j’écrivais des choses, comme ça ! − Des choses ? Ah pardon, c’est peut-ĂȘtre indiscret ! − Un peu, oui
 Elle lui sourit timidement. T’es con. William sent son pied contre le sien, Ă  croire qu’elle cherche son contact. Elle est encore plus belle de prĂšs, ses yeux sont si pĂ©tillants qu’ils l’enivrent davantage. Il ne se rend pas compte de son regard trop insistant, et de sa façon de la dĂ©visager. Il espĂšre qu’elle ne s’en est pas aperçue, ou que ça ne la gĂȘne pas trop. Ils boivent plusieurs verres sans trop parler. Ils restent simplement lĂ , face Ă  face, Ă  s’observer, comme dans une bulle hors du temps, ou comme dans un rĂȘve. William se demande d’ailleurs si tout ça est vrai. Peut-ĂȘtre que quelqu’un va venir le secouer, et qu’il se rĂ©veillera, lĂ , avachi sur le comptoir ? Il a envie de la toucher, de caresser son visage, d’effleurer ses lĂšvres et son grain de beautĂ©. Sa tĂȘte tourne un peu plus encore. En fait, tout commence Ă  tourner. Il a mĂȘme l’impression que leurs visages se rapprochent dangereusement. Il ne voit plus que ses lĂšvres roses et sensuelles, irrĂ©sistiblement attirantes, il a envie de les goĂ»ter, de les effleurer juste une seconde, juste pour voir
 − On rentre ? On ? Il la regarde d’un drĂŽle d’air, ça la fait rire. − Sauf si ça te pose un problĂšme. Non. Le dĂ©cor du bar tourne tout autour de lui, William dĂ©colle difficilement ses fesses de son siĂšge. Il a l’impression qu’il ne marche pas trĂšs droit. Peut-ĂȘtre l’aide-t-elle Ă  se tenir debout ? Il ne sait pas vraiment, mais, en tout cas, elle l’accompagne dehors. Il se laisse tomber sur le trottoir en riant. − C’est quoi ton prĂ©nom dĂ©jĂ  ? − Clarisse. − Clarisse. T’es sans doute la plus belle femme que j’ai vue de toute ma vie. Elle se met Ă  rire comme si c’était la chose la plus drĂŽle du monde. ArrĂȘte, lĂ  t’es vraiment lourd. Un taxi vient les chercher devant le club. Ils montent dedans sans Ă©changer un mot, comme si la gĂȘne commençait Ă  les gagner, enfin, surtout lui. William ne sait jamais trop quoi dire, il a toujours peur que ses mots soient mal interprĂ©tĂ©s ou jugĂ©s trop rapidement. Il faut faire attention avec les mots, ça peut trĂšs vite ĂȘtre blessant ou, au contraire, enjoliver les choses. C’est pour ça qu’en gĂ©nĂ©ral il parlait peu. C’est plus simple d’écouter les autres. Écrire a toujours Ă©tĂ© plus facile pour lui, parce qu’on a droit Ă  un temps de rĂ©flexion avant de coucher les mots sur le papier. Dans ces moments-lĂ , il prĂ©fĂšre se taire et se laisser envahir par ses Ă©motions, pour mieux les sentir enflammer son Être. Il a l’impression que Clarisse fait de mĂȘme, ou peut-ĂȘtre qu’elle n’a simplement rien Ă  dire. Ils se retrouvent tous les deux en bas de son immeuble. Il commence Ă  avoir la gorge un peu sĂšche. Une lĂ©gĂšre brise vient caresser les cheveux de Clarisse. Elle est belle, et tellement plus Ă  la fois. Son visage brille d’une Ă©trange lumiĂšre, comme si quelque chose Ă©manait d’elle. − Tu m’invites pas chez toi ? − Tu aimes le vin ? Je t’invite Ă  monter uniquement si tu acceptes un verre
 − Tu cherches Ă  me saouler ? lui lance-t-elle avec un sourire. − Tu aimes le rouge ? − Oui, Monsieur ! Elle le fait rire malgrĂ© lui. Ses yeux pĂ©tillent d’un mĂ©lange de malice et d’effronterie. Ça lui donne un air enfantin. Il a envie de croquer ses joues rosĂ©es comme il le ferait dans une pomme sucrĂ©e. Ils montent les Ă©tages jusqu’à sa porte. William n’arrive pas Ă  faire tourner la clef dans la serrure. Il en essaie plusieurs avant de commencer Ă  s’énerver. Clarisse n’a pas l’air de s’inquiĂ©ter ni de le prendre pour un idiot. C’est dĂ©jĂ  ça. Lorsqu’il parvient enfin Ă  ouvrir la porte de son appartement, elle le fĂ©licite ironiquement. − Fais comme chez toi, dit-il. William se dirige vers la cuisine pour aller dĂ©boucher une bouteille et lui jette discrĂštement un coup d’Ɠil. Clarisse se tient en retrait, Ă  la fois craintive et hypnotisĂ©e par son univers. Elle observe le sĂ©jour autour d’elle en dĂ©taillant chaque petit objet qui traĂźne ici et lĂ . Son antre est un peu Ă  l’image de son imaginaire un grand brouillon, un beau bordel avec tout et n’importe quoi, ce qui a visiblement quelque chose de fascinant. C’est sa grotte, et en gĂ©nĂ©ral il n’aime pas trop que les gens s’y aventurent. C’est comme s’ils venaient le perturber dans son espace vital, lui voler son oxygĂšne. Clarisse, elle, ne le dĂ©range pas. Ça lui fait presque plaisir de la laisser voir son petit monde. Il n’a pas peur de son regard. Il la sent bienveillante, comme s’il avait dĂ©jĂ  confiance en elle. William lui tend une coupe, ils trinquent en se dĂ©vorant des yeux, du moins il en a l’impression. Il est un peu stressĂ©. Ça fait longtemps qu’une femme n’est pas montĂ©e chez lui. Ils se posent dans le canapĂ©, leur verre Ă  la main. Elle fait tourner une goutte de vin sur le bord du verre du bout de son doigt. Il l’observe, les yeux brillants. − Pourquoi tu me dĂ©visages comme ça ? − Je ne sais pas. Elle relĂšve les yeux vers lui et les plonge dans les siens. Il sent son corps dĂ©faillir, comme si toutes ses forces l’abandonnaient d’un seul coup. Elle se rapproche de lui pour le dĂ©visager de plus prĂšs. Soudain, Clarisse prend sa tĂȘte entre ses mains, comme pour dĂ©tailler chaque centimĂštre de son visage. Elle passe dĂ©licatement ses doigts sur ses sourcils, ses yeux, son nez, ses lĂšvres
 William la laisse faire sans rien dire. Il a l’impression d’ĂȘtre analysĂ© par une entitĂ© divine. Ses lĂšvres sont Ă  quelques centimĂštres des siennes, il peut sentir son souffle jusque dans ses narines. Son cƓur bat plus vite qu’il ne le voudrait. Il a envie de l’embrasser, mais son corps est tĂ©tanisĂ©. Il n’arrive pas Ă  bouger, ni mĂȘme Ă  ciller. Clarisse rapproche alors ses lĂšvres des siennes, elle les effleure seulement, briĂšvement. William n’ose plus respirer. Il frissonne. Puis, elle le relĂąche pour attraper son verre de vin rouge et y tremper Ă  nouveau ses lĂšvres. Il reste un moment troublĂ© par cet Ă©change, ne sachant comment rĂ©agir. Sans s’en rendre compte, William passe sa langue sur ses lĂšvres, comme pour retenir la brĂšve douceur qu’elle lui a accordĂ©e. − Je suis un peu fatiguĂ©e, je crois. − Tu peux dormir ici si tu veux, je prendrais le canapĂ© − Non, je peux dormir avec toi. Il acquiesce. Son cƓur ne veut pas se calmer. Il espĂšre qu’elle ne l’entend pas rĂ©sonner trop fort. William lui montre sa chambre qu’elle dĂ©taille de la mĂȘme façon que le sĂ©jour. Peut-ĂȘtre est-ce sa façon Ă  elle de s’acclimater Ă  un nouvel environnement ? Elle s’assoit sur le lit et se met Ă  caresser les draps. − T’es sĂ»r que ça ne t’embĂȘte pas ? Je n’aime pas dormir seule. Je ne sais pas pourquoi, mais dĂšs que je me retrouve seule pour me coucher, je commence Ă  paniquer. La peur du nĂ©ant
 Tu vois ? William la rassure, il a envie de la prendre dans ses bras. Clarisse s’allonge habillĂ©e sur le lit, il l’imite. Dans le noir, ils fixent le plafond. Puis elle lui tourne le dos. Lui n’a pas sommeil, il est trop chamboulĂ© pour penser Ă  dormir. Il reste un long moment Ă  la contempler et, elle, Ă  garder les yeux ouverts et Ă  sentir son regard. Il pense Ă  ce qu’il aurait dĂ» dire, ce qu’il aurait dĂ» faire avant qu’elle ne s’endorme. Maintenant, c’est trop tard. William finit par se retourner, Ă  l’opposĂ© d’elle. Leurs dos se touchent presque. Ils restent lĂ , Ă  Ă©couter leurs respirations et leurs cƓurs battre un peu trop vite dans leurs poitrines un peu trop serrĂ©es, jusqu’à ce que le sommeil les emporte tous les perturbateur Les paupiĂšres encore lourdes, William ouvre les yeux. Merde ! Il a mal au crĂąne. Il prend sa tĂȘte entre ses mains, ses pupilles s’acclimatent peu Ă  peu Ă  la lumiĂšre du jour, trop vive Ă  son goĂ»t. À son grand Ă©tonnement, il est devant ses Ă©crits, avachi sur son bureau, le stylo Ă  la main. Il s’est certainement levĂ© dans la nuit, trop perturbĂ© pour dormir, et s’est mis Ă  Ă©crire avant de tomber de fatigue. Pourtant, il ne s’en rappelle pas. Preuve qu’il a beaucoup trop bu hier soir. L’appartement est silencieux, rien ne bouge. Une bouteille de vin rouge traĂźne sur la table, elle est vide. William se relĂšve un peu trop vite, sa tĂȘte se met subitement Ă  tourner. Bien fait pour toi. Il se dirige jusqu’à la salle de bains pour prendre un antalgique. En l’avalant, il se dĂ©visage dans le miroir. Il a vraiment une sale tĂȘte, spĂ©cialement aujourd’hui lendemain de cuite. Comment a-t-il rĂ©ussi Ă  ramener Clarisse chez lui avec cette gueule-lĂ  ? Clarisse ! William se prĂ©cipite dans la chambre. Vide. Partie. Soudain, une vague d’angoisse l’envahit. Une boule se forme au creux de sa gorge, comme s’il allait se mettre Ă  pleurer. Ça lui fait mal. Tu croyais quoi ? Qu’elle allait chercher les croissants et le cafĂ© en attendant que tu te rĂ©veilles ? RatĂ©. En plus, il n’a pas son numĂ©ro. Rien d’autre que son prĂ©nom. La couverture est relevĂ©e, et la trace de Clarisse est encore visible sur le drap. William s’en approche et passe dĂ©licatement sa main dessus, comme s’il voulait caresser la douceur de sa peau et sentir Ă  nouveau son contact. Il y a encore son odeur, il peut la sentir. William s’allonge sur la place oĂč elle a dormi. Quelques heures auparavant, elle Ă©tait encore lĂ . Peut-ĂȘtre qu’elle a des choses de prĂ©vues aujourd’hui, un rendez-vous important
 Elle va peut-ĂȘtre revenir, frapper Ă  sa porte dans quelques minutes. Il lui ouvrirait et elle lui sourirait, l’inonderait de cette lueur qui illumine son visage tout entier. ArrĂȘte, t’es pas dans un de tes bouquins
 William se relĂšve subitement et passe sa main d’un coup sec et bref sur les draps pour enlever la trace de Clarisse, comme si elle n’était jamais venue. Il a soudain l’impression d’étouffer. Une vague de chaleur lui traverse le corps tout entier, une sensation dĂ©sagrĂ©able qui lui est inconnue. Sans doute un effet de la gueule de bois. VraiFaux Ne sais pas; 22. Il ne supporte pas la critique et nie les Ă©vidences. Vrai Faux Ne sais pas; 23. Il ne tient pas compte des droits, des besoins et des dĂ©sirs des autres. Vrai

Il vous appelle souvent, juste pour entendre votre voix » Avec votre nouveau petit ami, les choses se passent bien, mais vous n'ĂȘtes pas complĂštement sĂ»re de ses sentiments. Pour en savoir plus, pas besoin de le torturer ou d'avoir recours Ă  un marabout, parfois quelques signes ne trompent pas. Il vous suffit juste d'apprendre Ă  les vous appelle souvent, juste pour entendre votre voix »Vous vous ĂȘtes quittĂ©s il y a une heure Ă  peine, mais dĂ©jĂ  vous recevez un coup de fil ou un petit message. Pas besoin que ce soit trĂšs long, un simple je pense Ă  toi » ou tu me manques », qui vous prouve que l'homme ne vous oublie pas, mieux, qu'il pense fort Ă  vous. Le geste est loin d'ĂȘtre anodin si un homme se saisit de son portable pour vous appeler ou vous Ă©crire en pleine soirĂ©e match de foot avec les copains, c'est que vous occupez vraiment ses vous invite chez luiL'homme est un animal sociable mais qui se montre vigilant. Son nid douillet, il aime le protĂ©ger du monde extĂ©rieur et en interdit l'accĂšs Ă  toutes inconnues. Ainsi, il ne laisse pas entrer n'importe qui dans son petit 2 piĂšces. Laisser une femme voir son bazar, ses affaires, son intimitĂ© en gĂ©nĂ©ral, ça se mĂ©rite, et ça demande qu'il vous fasse confiance. Alors si votre homme vous invite chez lui sans que vous le suppliez de le faire, c'est trĂšs bon signe. Il vous fait peu Ă  peu de la place dans sa dit nous »Lorsque l'homme, animal indĂ©pendant et fier de l'ĂȘtre, commence Ă  Ă©voquer le nous » pour parler de vous et lui, c'est lĂ  un indice trĂšs positif. Il ne pense plus seulement Ă  lui , comme un cĂ©libataire qui Ă©tablit ses plans seul, mais vous inclut dans ses projets, ses sorties... Du coup, vous vous mettez Ă  construire Ă  deux. Au dĂ©but, c'est petit une sortie cinĂ©, un resto, un week-end Ă  deux... mais ça ne demande qu'Ă  grandir entre vous supporteSoyons franches, vous n'ĂȘtes pas toujours facile Ă  vivre. Vous arrivez en retard aux rendez vous, oubliez de faire les courses, ne rĂ©pondez pas toujours Ă  ses coups de fil et avez pour habitude de le titiller. Et lui, qu'est-ce qu'il fait ? Il reste lĂ , quasi impassible. Parce qu'il vous aime, il fait avec vos dĂ©fauts. Un homme capable de vous Ă©couter parler 20 min de votre rendez-vous chez l'esthĂ©ticienne sans broncher est sans nul doute sacrĂ©ment accro Ă  vous. Il veut vous voir souvent Il veut vous voir souventVotre homme Ă©prouve l'envie, sinon le besoin de vous voir souvent ? Il fait tout son possible pour se libĂ©rer, annule une soirĂ©e avec ses amis pour passer du temps en votre compagnie ? C'est la preuve qu'il est trĂšs attachĂ© Ă  vous. Attention, vos entrevues ne doivent cependant pas se limiter Ă  un verre ou Ă  des parties de galipette dans son lit. Sinon, dans ce cas, son attachement n'est pas forcĂ©ment amoureux. En revanche, si Ă  chacun de vos rendez-vous, il vous demande quand il pourra vous revoir, voilĂ  un indice qui montre que monsieur en pince pour vous...Il vous a prĂ©sentĂ© Ă  ses amisAutre signe qui ne trompe pas que l'homme vous prĂ©sente Ă  son cercle d'amis. Parce que cela montre qu'il veut que vous connaissiez les gens qu'il aime et qu' il vous inclut au grand jour dans sa vie . DĂšs lors, vous n'ĂȘtes plus une nana » qu'il frĂ©quente, mais sa petite amie bravo, c'est officiel. Bien sĂ»r, cette rencontre, pour prendre tout son sens, doit ĂȘtre le fait de votre chĂ©ri et pas un simple concours de se laisse aller avec vousAttention, par se laisser aller », on ne veut pas dire qu'il s'autorise les ambiances sonores ou Ă  se montrer trop familier. C'est tout le contraire. Si un homme se laisse aller Ă  des confidences, vous parle de lui, se montre tout simplement naturel en votre prĂ©sence, c'est le signe qu'il se sent bien avec vous, en confiance, et qu'il veut que vous appreniez Ă  le connaĂźtre encore mieux. En gros, il baisse sa garde, chose assez rare pour ĂȘtre mentionnĂ©e. Il fait tout pour vous plaire Il fait tout pour vous plaireUn homme amoureux essaye de se montrer sous son meilleur jour face Ă  vous. Parce qu'il veut vous plaire et ne pas risquer de vous dĂ©cevoir, il se donne du mal et ne compte pas ses efforts . C'est mignon, et cela prouve que vous opinion l'importe. Il aimerait que vous le trouviez beau, brillant, attentionnĂ©, et il fait tout pour que ça soit le s'intĂ©resse Ă  vousLoin de se contenter des bribes d'informations que vous avez bien voulu lui livrer lors de vos premiers rendez-vous, un homme amoureux s'intĂ©resse Ă  vous. Votre vie, vos passions, vos goĂ»ts, il cherche Ă  en savoir plus et Ă  mieux vous connaĂźtre, pas par simple politesse mais parce que ça l'intĂ©resse vraiment. Et surtout, il vous Ă©coute quand vous parlez mĂȘme quand vous racontez votre passion pour la poterie auvergnate.Il vous regardeL'homme amoureux vous regarde, vous observe. Loin du psychopathe Ă  jumelles ou de l'obsĂ©dĂ© captivĂ© par votre dĂ©colletĂ©, lui vous regarde dans les yeux bon, pas seulement, d'un regard doux et amoureux. Il ne se lasse pas de vous avoir sous ses yeux et cherche Ă  connaĂźtre vos courbes par cƓur. Son regard est fier et tendre. Parce qu'il vous trouve belle, tout simplement.

CommenterN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions gĂ©nĂ©rales d'utilisation de Skyrock et que tu peux ĂȘtre identifiĂ© par ton adresse internet () si quelqu'un porte plainte.. Connecte-toi # PostĂ© le mercredi 27 mai 2009 09:13 Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau ... Voir le deal MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP 4 participantsAller Ă  la page 1, 2, 3, 4 AuteurMessageSamuelle DaeeNombre de messages 493Maison Ex- toutAge du Perso 25 ansDate d'inscription 31/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 042 Samuelle sorti de la chambre en s’étirant comme un chat satisfait de son sommeil
 Elle aborda Aphrodite de dos et lui Ă©treignant les Ă©paules d’une façon langoureuse et cĂąline, lui plaqua un baisĂ© sonore sur la joue humm » fit-elle avec gourmandise
 Cette nuit Ă©tait merveilleuse
 » commenta-t-elle avec le ton sensuel d’un amant
 On remet ça quand tu veux! » proposa-t-elle encore, un sourire malhonnĂȘte illuminant l’ectoplasme de sa figure
 Non? Quel dommage
 »Puis, sur ces bonnes paroles, la fantĂŽme se dirigea vers la porte, passa au travers et disparu, semant le doute dans l'esprit de tous... SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 208 Kaitz, je te prĂ©sente Lihinie. Lihinie je vous prĂ©sente Kaitz. Il est l'ami commun dont je voius parlais. Vieux, il y a une poubelle a terre Ă  ta droite. Mais tu as mal au coeur parce que tu es Ă  jeĂ»n. Bon, je vais chercher la derniĂšre. Ne nous atttendez pas pour manger...-Ah? Ehh... bonjours... Dit elle Ă  Kaitz qui venait d’arriver. Elle ne se souvenait pas du tout de lui, ou peut-ĂȘtre un peu... Le Joker... Enfin, elle avait un vague souvenir du joker quand il avait enlevĂ© son costume... oui, c’était lui. Enfin, elle vous qui Ă©tiez en joker?? ... je ne me souviens plus trĂšs bien de ma soirĂ©e d’hier... J’ai du boire beaucoup. Ça ne m’arrive pourtant jamais... hmm... Lihinie allait pour se servir qu’elle aperçu Less qui revint, traĂźnant Dite par le bras. Elle entendit Dite parler d’avoir prit des hallucinogĂšnes et de ne pas en avoir donnĂ© Ă  Kaitz. MalgrĂ© tous les antidotes contres les poisons qu’elle pouvait connaĂźtre, elle n’en connaissait malheureusement aucun contre les drogues. Aussi ironique que ça puisse paraĂźtre. Mais de toute façon, si elles avaient Ă©tĂ© prises la nuit derniĂšre, probablement qu’elles avaient cesser de faire effet. C’est Ă  ce moment que Muelle intervient en faisant un cĂąlin Ă  Dite et en insinuant qu’elles avaient fait quelque chose de plaisant cette nuit. Elle se demande bien ce que c’est, puis se dit que ce n’est pas de ses affaires. Selpanius revint de la douche, tout beau et tout propre, en pantalon et torse nu. Au moment oĂč Less cogna Ă  la porte et lui dit que la bouffe allait ĂȘtre froide, la porte s’ouvrit, laissant Ă©chapper un Ă©pais nuage de vapeur. -Ça n’a pas Ă©tĂ© si long quand mĂȘme. Elle Ă©tait dĂ©jĂ  partie, traĂźnant Dite. Selpanius prit son pantalon tout propre, grĂące Ă  Less, et alla dans la chambre pour le mettre. Il vit Muelle faire son cĂąlin et son commentaire Ă  Dite, puis partir. Selpanius lança son commentaire chiant Ă  l’intention de Dite. C’était plus fort que lui. -Je savais que les chattes en chaleur Ă©taient prĂȘtes Ă  se taper d’importe quoi, mais mĂȘme des fantĂŽmes? Je ne cesserais jamais d’apprendre des choses se servi dans les plats, comme si de rien n’était, ignorant Dite qui devait probablement lui lancer un regard noir. Ou peut-ĂȘtre pas. Il se foutait complĂštement de Dite. Comme je l’ai dĂ©jĂ  mentionnĂ©, Selpanius n’avait que trĂšs peu de respect pour les ribaudes en manque. Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 230 - Kaitz, je te prĂ©sente Lihinie. Lihinie je vous prĂ©sente Kaitz. Il est l'ami commun dont je vous parlais. Vieux, il y a une poubelle a terre Ă  ta droite. Mais tu as mal au coeur parce que tu es Ă  jeun. Bon, je vais chercher la derniĂšre. Ne nous attendez pas pour manger... - Hum... dit-il avec un lĂ©ger signe de la main, guĂšre enthousiaste. Assis dans le fauteuil, il remonte ses pieds sur le coussin et s'y affale. Le regard dans le vague, il est toujours tout aussi vert, mais son air semble plus rĂ©veillĂ©. Les sourcils froncĂ©s, il fixe le vide devant lui... Ă  moins que ce soit les pattes de la table... ou le tapis sous la table... enfin, peu importe. L'odeur du dĂ©jeuner est appĂ©tissante, mais il n'a vraiment pas faim. Le perrier sera suffisant, du moins pour commencer la journĂ©e... enfin, l'aprĂšs-midi. Less revient, suivie d'Aphrodite, qui n'a pas vraiment le choix de suivre. D'ailleurs, Less escorte Dite jusqu'au divan et, sans dire un mot, lui suggĂšre d'y prendre place. Dite semble pas trĂšs fraĂźche non plus. Il n'est pas le seul Ă  avoir passĂ© une sale nuit, quoi. Ça lui procure un certain plaisir, qu'il refoule aussitĂŽt, un peu troublĂ© d'avoir de telles pensĂ©es. Selpanius sort de la salle de bain, en pantalon, rien d'autre. Kaitz lui jette un oeil distrait, tout en se disant qu'est-ce que Less pouvait bien lui trouver Ă  celui-lĂ . Y'avait pas de quoi se pĂąmer. Oh, tiens, il sentait poindre un touche de frustration. Oui, Kaitz Ă©tait frustrĂ©. Dite qui l'avait confondu avec un autre, Less qui semblait se plaire avec cet imbĂ©cile de Selpanius, sans compter son mal de coeur tenace...- Je savais que les chattes en chaleur Ă©taient prĂȘtes Ă  se taper n’importe quoi, mais mĂȘme des fantĂŽmes? Je ne cesserais jamais d’apprendre des choses ce n'est pas Dite qui ose une rĂ©plique, mais Kaitz. - Selp, ta gueule, t'as ramenĂ© des trucs bien pire que des fantĂŽmes... tu te souviens une fois, la Banshee ?Oh, en fait, c'Ă©tait bien probable que Selp ne s'en souvienne plus, mais on le lui avait racontĂ© et y'avait des tĂ©moins. Un bref sourire complice Ă  Selpanius, il se renfrogne dans son fauteuil. Il n'est pas d'humeur Ă  plaisanter, visiblement. Less feint ignorer le trouble des autres. Mais Kaitz connaĂźt bien son amie. Elle n'ignore rien, elle ne fait que semblant que ça ne la touche Ă©dition par le Sam 3 FĂ©v 2007 - 2320, Ă©ditĂ© 1 fois Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 331 Cette nuit Ă©tait merveilleuse
 On remet ça quand tu veux! Propose Samuelle Ă  Aphrodite. Lareless lĂšve le nez de sur son cafĂ©, la mine interrogative. Non? Quel dommage
 »Elle connait bien trop Muelle pour Ă©carter cette possibilitĂ© d'emblĂ©e. Et vu l'Ă©tat qu'ils Ă©taient hier, c'est une possibilitĂ© probable. Les yeux Ă©carquillĂ©s, elle regarde Muelle partir, puis jette un oeil rapide sur Kaitz, certaine qu'il va parler. Non, c'est Selpanius qui y va de son commentaire enrichissant. -Je savais que les chattes en chaleur Ă©taient prĂȘtes Ă  se taper d’importe quoi, mais mĂȘme des fantĂŽmes? Je ne cesserais jamais d’apprendre des choses stupĂ©fiantes. Pour camoufler son petit rire, elle prend une gorgĂ©e de son cafĂ©. Elle pense qu'il est chanceux que la dite fantĂŽme ne soit pas lĂ , sinon elle lui aurait fait ravaler son n'importe quoi d'une phrase qui tue Ă  la Daae. Elle feint d'ignorer que les couteaux volent bas ce matin. - Selp, ta gueule, t'as ramenĂ© des trucs bien pire que des fantĂŽmes... tu te souviens une fois, la Banshee ?-Elle criait fort votre banshee Selpanius?Lui demande elle moqueusement. Elle se prend une toast. Pose un bref regard de biais Ă  Aphrodite. La jeune femme est silencieuse. Less lui envoie une pique. -Est ce que vous criez plus fort qu'une banshee Mademoiselle CrĂ©on? je devrais rajouter qu'avec la musique d'hier fallait hurler pour se faire comprendre. Qu'en pensez vous Lihinie? SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 1009 -Selp, ta gueule, t'as ramenĂ© des trucs bien pire que des fantĂŽmes... tu te souviens une fois, la Banshee ?Arg, pas elle, pensa Selpanius. Cette Banshee » Ă©tait en faite une femme tout Ă  fait humaine, trĂšs charmante mĂȘme et amusante, tant qu’on ne couchait pas avec. Selp et Kaitz avaient encore fait leur petit pari de qui se taperait la plus belle fille cette nuit lĂ . On pourrait dire que Selpanius avait subit une dĂ©faite cuisante ce soir lĂ . En dehors de toutes ses jolies qualitĂ©s, elle avait un dĂ©faut majeur qui arrivait Ă  leur faire ombrage Celui de hurler Ă  l’orgasme. Mais tout un hurlement! On aurait dit qu’elle Ă©tait en train de se faire assassiner. Tout le voisinage avait du l’entendre, dont Kaitz. Selpanius grimaça au souvenir de ses cris, puis il souri. Effectivement, c’était quand mĂȘme drĂŽle de se le qu’un fantĂŽme? Certainement. Ce n’était pas une banshee, mais une aberration. Oh, je n’ai rien contre les fantĂŽmes, c’est simplement que je me demande comment avoir une relation sexuelle avec un ĂȘtre dĂ©nuĂ© de chair. -Elle criait fort votre banshee Selpanius?-Crier? Elle hurlait vous voulez dire... Tout le voisinage Ă©tait persuadĂ© que je venais de l’assassiner. Un vĂ©ritable cauchemar. Kaitz a bien rit ce soir lĂ . Vous imaginez?? Des gens du ministĂšre sont arrivĂ©s pour m’arrĂȘter! Et je devais leur expliquer la situation. Quel calvaire ce fut. RĂ©pondit-il d’un ton amusĂ© par cette vieille histoire. Selpanius c’était jurĂ© d’oublier cette soirĂ©e lĂ , et sur le coup, il n’en riait pas du tout. Surtout quand le ministĂšre Ă©tait dĂ©parquĂ© pour l’arrĂȘter. Mais maintenant, il la trouvait bien drĂŽle quand il y repensait. C’était sujet de plaisanteries. -Est ce que vous criez plus fort qu'une banshee Mademoiselle CrĂ©on? je devrais rajouter qu'avec la musique d'hier fallait hurler pour se faire comprendre. Qu'en pensez vous Lihinie?-Hmmm? Oh, la musique? Effectivement. Elle Ă©tait trĂšs forte. J’en ai encore les oreilles qui cillent. Pourquoi? Mademoiselle... euh.. CrĂ©on? C’est bien ça? Elle a rĂ©ussi Ă  crier par dessus la musique? Wow. Je me demande bien ce qui a pu la motiver Ă  un tel point. Moi je n’aurais jamais rĂ©ussi, pas mĂȘme avec quelqu’un tenant un poignard Ă  ma gorge. La remarque de Lihinie Ă©tait totalement innocente. Elle n’avait pas comprit l’allusion Ă  l’aventure entre Dite et le loup. Pour elle, il fallait tout simplement ĂȘtre trĂšs motivĂ© pour rĂ©ussir Ă  crier par dessus la musique qui jouait Ă  tue tĂȘte. Son commentaire Ă©tait tout Ă  fait innocent et dĂ©nuĂ© de mĂ©chancetĂ©. En fait, ayant remarquĂ© qu'on s'acharnait sur Dite, elle avait voulu l'aider en changeant le sujet sur la musique qui jouait trop fort. Mais en fait, ça n'avait qu'empirer son cas. Lihinie ne se souvenait pas de cette histoire entre Dite et le Loup. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 1811 Aphrodite est assise sur le divan, essayant de faire abstraction de l'atmosphĂšre ambiante. Un frisson glacial la transperce alors tandis qu'elle reçoit un calin ectoplasmique Cette nuit Ă©tait merveilleuse
 On remet ça quand tu veux! »Aphrodite surmonte son frisson pour regarder la fantome d'un air interrogatif... Qu'est-ce qu'elle raconte la fantomette? Non? Quel dommage
 »Elle n'a pas le temps de rĂ©pondre qu'elle est dĂ©ja partie... Mais quelqu'un d'autre lui assĂšne une rĂ©flexion... adorable... Aphrodite reconnut le fou noir et blanc de la fĂšte, celui qui lui avait dĂ©ja assenĂ© quelques douces remarques..."Je savais que les chattes en chaleur Ă©taient prĂȘtes Ă  se taper d’importe quoi, mais mĂȘme des fantĂŽmes? Je ne cesserais jamais d’apprendre des choses stupĂ©fiantes."Aphrodite n'a pas le temps de rĂ©pondre que Kaitz lui avait dĂ©ja rĂ©pondu... plutot sĂšchement..."Selp, ta gueule, t'as ramenĂ© des trucs bien pire que des fantĂŽmes... tu te souviens une fois, la Banshee ?"Elle regarde alors Kaitz... la premiĂšre fois qu'elle ose le regarder vraiment depuis hier soir... mais elle dĂ©tourne les yeux rapidement... tandis que Less lui assene encore une joyeuse pique..."Est ce que vous criez plus fort qu'une banshee Mademoiselle CrĂ©on? je devrais rajouter qu'avec la musique d'hier fallait hurler pour se faire comprendre. Qu'en pensez vous Lihinie?"Aphrodite encaisse encore sans broncher... Apparemment ils trouvent un malin plaisir Ă  dĂ©monter les gens Ă  coups de petites piques et de remarques acerbes... "Pourquoi? Mademoiselle... euh.. CrĂ©on? C’est bien ça? Elle a rĂ©ussi Ă  crier par dessus la musique? Wow. Je me demande bien ce qui a pu la motiver Ă  un tel point. Moi je n’aurais jamais rĂ©ussi, pas mĂȘme avec quelqu’un tenant un poignard Ă  ma gorge."La sĂ©ance des remarques acerbes continuait... Mais Aphrodite continuait Ă  ne rien dire... La culpabilitĂ© et la honte la quittent pour laisser place Ă  la colĂšre et Ă  une lĂ©gĂšre envie de meurtre XD... Pour qui se prennent-t-ils ceux lĂ  pour dĂ©molir quelqu'un dĂ©jĂ  Ă  terre... ? Elle essaye un peu de se calmer... mais non c'Ă©tait trop....Pi vu ce qu'elle subissait dĂ©jĂ  ça ne pouvait pas ĂȘtre pire... Elle se lĂšve alors brusquement du divan, se tourne vers eux avec un regard noir... Et dit d'une voix plutĂŽt Ă©nervĂ©e..."HĂ© le bouffon photocopiĂ©... La chatte en chaleur elle vous emmerde !!! A la place de vos piques et remarques acerbes... Pourquoi vous ne diriez pas diectement ce que vous avez sur le coeur ? Vous me prenez pour une pute, une droguĂ©e, une sous-merde...? Bah dites le !!! Ah nan vous prenez un malin plaisir Ă  torturer les gens... Bah trouvez vous une autre victime... C'est bon j'en ai marre... Oui j'ai fais des conneries... Oui je me suis dĂ©guisĂ©e en Catwoman et j'ai essayĂ© de jouer ce role... Argh quelle horreur... Avant mĂȘme d'avoir fait quoi que ce soit vous aviez dĂ©ja votre opinion sur moi si je ne m'abuse cher bouffon... Quelle fille digne de ce nom aurait pu mettre un costume si vulgaire... C'est pas pire que les nymphes qui se balladent Ă  poil..."Elle s'arrĂ©te quelques secondes... le regard encore plus noir, la colĂšre la fait un peu trembler..."Ca vous arrive jamais de faire des conneries sous l'effet de l'alcool ? De ne pas avoir le bon jugement sur les choses ou les personnes ? Vous racontez vos exploits avec la banshee... et je suis sure qu'un de vos jeux favori est de faire la course pour vous faire la plus jolie nana pendant les soirĂ©es... Et c'est moi la pute ??? Vous considĂ©rez les filles comme des objets et c'est moi qui doit prendre? Oui j'ai fait des conneries avec le grand mĂ©chant loup... Oui j'ai osĂ© le confondre avec Kaitz... Et ça je le paye dĂ©ja assez sans que vous ayez Ă  en rajouter... Mais dans une soirĂ©e dĂ©guisĂ©e dont le but est justement de ne pas savoir qui est l'autre... et avec l'alcool... le jugement peut facilement ĂȘtre faussĂ© non ?? Ensuite pour m'ĂȘtre fait deux petits cocktails avec une miette d'hallucinogĂšnes dedans... je suis la pire des droguĂ©es... Et bien si vous voulez... Mais si je vous dĂ©goute tant que ça pourquoi m'avez vous fait venir ici ???"Tout ce qui l'avait enfermĂ© sur elle-mĂȘme depuis que minuit avait sonnĂ© Ă©tait en train de la submerger et de sortir, elle ne pouvait pas le retenir... Les tremblement Ă©taient de plus en plus fort, son regard de plus en plus noirs, son souffle saccadĂ©... Elle se dirige alors vers la porte de la chambre et hurle ..."Vous vous ĂȘtes bien amusĂ©s ??? Maintenant oubliez moi et foutez moi la paix !!!!!!!!!"Elle entre dans la chambre et claque la porte avec une telle rage qu'elle faillit sortir de ses gonds... Enn passant elle prend une lampe de chevet qui se trouvait sur la table de nuit et l'explose contre le mur de l'autre cĂŽtĂ© de la piĂšce... Elle cherche ses vĂȘtements pour ne pas avoir Ă  sortir en t-shirt... mais ne les trouve pas... DĂ©sabusĂ©e, envahie par la rage, elle essaie de se calmer... Elle fait le tour du lit et s'assoit contre le mur derriĂšre, le plus loin de la porte possible... elle tremble, les larmes de rage cette fois-ci embuent ses yeux... SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Sam 3 FĂ©v 2007 - 2249 Pendant que Dite explosa, Selpanius resta complĂštement indiffĂ©rant aux petites insultes qu’elle pouvait bien lui balancer, buvant son thĂ©, l’air parfaitement calme. MĂȘme qu’il eu le culot de bailler pendant qu’elle criait de colĂšre. -Tient, j’ai cru apercevoir une pointe de dignitĂ© en elle, dit il sarcastiquement, toujours impassible et calme, entre deux gorgĂ©es de thĂ©. -J’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas?? Demanda Lihinie, une fois Dite sortie de la piĂšce. Elle se demandait sincĂšrement ce qu’elle avait dit pour la fĂącher. -Toi? Oh, tu lui as simplement rappelĂ© une de ses petites erreurs. Sinon ne t’en fais pas, je crois que j’y suis pour plus que toi dans cette crise, lui rĂ©pondit-il, toujours indiffĂ©rant Ă  la crise de quelques secondes de rĂ©flexion, Selpanius se tourna vers fait... ta minette a apportĂ© des vĂȘtements de rechange en dehors de son costume? Ça ne serait pas dĂ©cent de se promener ainsi dans les rues. -Oh non... C’est vrai que ça serait indĂ©cent... Mais j’y pense, moi j’en ai quelques uns dans un petit sac... je peux peut-ĂȘtre lui en prĂȘter? Lihinie se leva et fouilla dans un sac minuscule et probablement trop petit pour transporter des vĂȘtements. Pourtant, elle en sorti une petite robe mauve qui normalement arriverait Ă  mis mollet si elle Ă©tait portĂ©. Lihinie ne comprenait pas trop pourquoi tout le monde s’acharnait sur Dite, mĂȘme si elle avait apparemment fait quelques conneries. Lihinie Ă©tait trop gentille pour s’acharner sur les gens, mĂȘme si c’était les pires salauds du monde. Alors il Ă©tait certain qu’elle n’allait pas ĂȘtre mĂ©chante avec Dite. Lihinie cogna timidement Ă  la porte de la chambre oĂč Ă©tait Dite. Elle parla au travers la porte. -J’ignore si vous avez des vĂȘtements de rechange... mais si ce n’est pas le cas, je peux vous prĂȘter une robe Ă  moi... J’ignore si elle va vous faire, mais c’est mieux que de retourner dehors en costume de chat... non?Ça voix Ă©tait gentille et dĂ©nuĂ©e de moquerie, contrairement Ă  Selpanius. -Lihinie... tu es trop gentille... Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 203 RenfrognĂ© dans le fauteuil, Kaitz rĂ©flĂ©chit et en mĂȘme temps, Ă©coute la discussion. Selp relate avec brio les grandes lignes de l'histoire de la Banshee, sans mentionner, Ă©videmment, qu'elle les avait ensuite suivi durant plusieurs jours et mĂȘme aprĂšs quelques mois, il regardait toujours par-dessus son Ă©paule, terrifiĂ© Ă  l'idĂ©e de la voir apparaĂźtre. Mais Selpanius avait la bonne habitude de ne relater que ce qui pouvait lui ĂȘtre avantageux. Et d'ailleurs, Less semble le croire. Il grimace, les yeux rivĂ©s sur sa bouteille de perrier qui se vide tranquillement. Chacun y va de son commentaire, jusqu'au moment ou Dite explose. Furieuse, elle leur balance tout ce qu'elle a Ă  dire, s'adressant principalement Ă  ceux autour de la table, mais il s'en approprie une partie. Elle n'a pas tort... pas sur toute la ligne... il avait oubliĂ© quelques dĂ©tails avec toute cette histoire... il la dĂ©visage, une pointe d'admiration dans le regard. Rageuse, Aphrodite va s'enfermer dans la chambre et claque la porte. Il entend le commentaire de Selp, mais il ne relĂšve pas... il fixe la porte close de la chambre, pensif. Il vient de comprendre pourquoi il a Ă©tĂ© si malade et pourquoi il est dans un Ă©tat si lamentable encore. Les hallucinogĂšnes dans l'alcool... son corps ne supportait pas. Less le savait... - Ça explique pourquoi j'suis dans un tel Ă©tat... j'lui ai volĂ© son dernier verre... pendant que Lihinie a l'air moins malade d'un coup, il se lĂšve et marche vers la table. Il s'empare d'une toast, sans rien dessus et la dĂ©chire consciencieusement, Ă©parpillant des miettes partout. Il reste debout et fixe la porte. - Lihinie... tu es trop gentille... - Et toi, Selp, t'es trop con. Bravo, t'as gagnĂ© le pari d'hier soir, tu as ramenĂ© la plus jolie. Tu es le blanc, je suis le et toast Ă  la main, il semble hĂ©siter un moment, puis va rejoindre Lihinie prĂšs de la porte et la pousse quelque peu pour ouvrir la porte. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 337 Aphrodite n'arrive pas Ă  se calmer... La rage qu'elle ressent ne se calme pas... Il faut qu'elle s'en aille, elle ne peut plus rester dans cette suite... Elle n'aurait jamais dĂ» venir, suivre Kaitz... Rhaaa pourquoi elle Ă©tait venue... Il faut qu'elle parte d'ici... mais comment ? Elle est en t-shirt... et pour partir elle doit passer devant les autres... et ça c'Ă©tait hors de question...Des coups timides sont frappĂ©s Ă  la porte, la voix de Lihinie se fait entendre..."J’ignore si vous avez des vĂȘtements de rechange... mais si ce n’est pas le cas, je peux vous prĂȘter une robe Ă  moi... J’ignore si elle va vous faire, mais c’est mieux que de retourner dehors en costume de chat... non?""Foutez moi la paix... Rejoingnez donc votre frĂšre adorĂ© !!!" lui rĂ©pond-elle avec hargne bien que Lihinie lui avait parlĂ© gentilment... La seule qui ne semblait pas contre elle...Elle se lĂšve alors et vas vers la fenĂštre, le seul moyen de sortir d'ici... Elle essaie de l'ouvrir, mais l'Ă©tat de nerf dans lequel elle est l'empĂšche de l'ouvrir. Elle s'acharne un peu contre l'ouverture puis abandonne. Elle donne alors un violent coup de poing dans la vitre qui se brise. Le verre lui coupe la main et le poignet, mais elle s'en fout et continue Ă  s'acharner sur la fenĂštre pour l'ouvrir... Ce qu'elle parvient Ă  faire lorsque la porte s'ouvre... Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 759 Enfin une dĂ©monstration d'un peu de caractĂšre... Lareless a un petit sourire satisfait. Peut-ĂȘtre Aphrodite est-elle digne de Kaitz en fin de compte. Et toi, Selp, t'es trop con. Bravo, t'as gagnĂ© le pari d'hier soir, tu as ramenĂ© la plus jolie. Tu es le blanc, je suis le hausse un sourcil, regarde Kaitz et Selpanius d'un air interrogateur, ne sait pas si elle doit le prendre comme un compliment. Elle n'a pas le temp d'approfondir la question qu'un bruit de verre brisĂ© attire l'attention de tout le monde. Ses instincts d'auror refont surface. Baguette Ă  la main, elle se prĂ©cipite Ă  la porte de la chambre, tasse Kaitz un peu brusquement, oubliant son dos. Le spectacle qu'elle voit lui fait revoir sa position qui commencait Ă  ĂȘtre favorable envers Dite pour une position plus neutre. Elle entre dans la piĂšce sans crainte, elle aime mieux que ca soit elle en premiĂšre ligne que Kaitz. Ca suffit. Vous allez vous blesser sĂ©rieusement! Elle tente de ramener Aphrodite Ă  la raison, ne voulant pas utiliser de sortilĂšge contre elle, mais la jeune femme ne semble pas l'entendre, ni la voir. Si elle retape dans le trou, elle va s'ouvrir une veine pour sĂ»r. Lareless ne gifle que rarement. Elle a le choix entre deux maux. Celui d,une blessure sĂ©rieuse ou le bleu Ă  l'orgeuil qu'un coup de poing peut causer. Elle choisit le moindre. La baguette change de main tandis qu'un coup de poing magistral s'abat sur la mĂąchoire d'Aphrodite. SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 1004 Lihinie Ă©tait gentille, trop gentille des fois, c’était vrai. Mais elle avait horreur d’une chose L’ingratitude. Elle ne demandait rien en retour quand elle aidait, si ce n’était qu’un merci ou simplement un peu de politesse ou de respect. Mais se faire parler ainsi alors qu’elle proposait de l’aide, mĂȘme si c’était pendant une crise de colĂšre, Lihinie ne le prenait pas. À moins qu’elle ne s’excuse une fois calmĂ©e, Lihinie ne comptait plus lui offrir d’aide. -TrĂšs bien. Dans ce cas, dĂ©brouillez vous sans moi. RĂ©pondit elle, froidement. Lihinie avait cessĂ© de compatir pour Dite. Alors qu’elle s’en allait pour s’éloigner de la porte, Kaitz la poussa. Pas brusquement, mais ce fut assez pour lui faire comprendre qu’elle Ă©tait considĂ©rĂ© avec autant d’égare que son frĂšre. Lui, il insultait Dite depuis tantĂŽt. Lihinie, elle, avait essayĂ© de l’aider. Oh, elle n’était pas encore fĂąchĂ©e, mais il n’en manquait toi, Selp, t'es trop con. Bravo, t'as gagnĂ© le pari d'hier soir, tu as ramenĂ© la plus jolie. Tu es le blanc, je suis le Si j’étais si con, je n’aurais jamais trouvĂ© une femme aussi merveilleuse. Et puis, pourquoi tu... C’est alors que le bruit de verre briser se fit entendre. Les choses se dĂ©roulĂšrent trĂšs rapidement. Less s’étant prĂ©cipiter dans la chambre pour arrĂȘter Dite avait du lui assener un coup de poing en pleine gueule. Bien qu’il mĂ©prisait cette femme, il n’allait pas pour autant la laisser se blesser. C’était quand mĂȘme la petite amie de son ami. MĂȘme si celui-ci avait Ă©tĂ© trĂšs grossier avec lui. Selpanius rattrapa Dite qui chancela en recevant le coup et failli tomber. Il la fit s’assoire en douceur sur le lit. Il Ă©tait toujours trĂšs doux avec les femmes. Selpanius se tenait prĂšs au cas oĂč Dite tenterait de s’en prendre Ă  lui. Ne serait-ce que pour parer ses coups et s’empĂȘcher lui mĂȘme de la frapper en retour si elle le faisait. Quant Ă  Lihinie, elle perdit patience. Elle n’éclata pas de colĂšre comme Dite ou Less la veille. Au contraire, elle Ă©tait trĂšs calme et sans violence. D’un calme placide et glaciale. MalgrĂ© s’ĂȘtre dit de ne plus aider Dite, elle allait quand mĂȘme le faire. Celle ci c’était blessĂ© griĂšvement et c’était son devoir de guĂ©risseuse de la soigner. D’un sortilĂšge d’assio, les bandages que contenait la pharmacie de la salle de bain rejoignirent Lihinie. Elle passa prĂšs de Kaitz et Selpanius, les poussant Ă  son tour pour se frayer un chemin jusqu’à Dite. -Selpanius, ne rajoute plus de commentaire, dit elle froidement Ă  son frĂšre qu'elle aimait pourtant tendrement. Toi aussi tu te tais, lança t-elle Ă  Kaitz avant mĂȘme que celui ci ait ouvert la bouche pour parler. J’en ai marre de vos petites disputes puĂ©riles et de cette situation ridicule. Elle ne criait pas. Lihinie murmurait presque, assez fort pour ĂȘtre entendue. Pour une raison Ă©trange, c’est bien plus impressionnant quelqu’un qui murmure tant il est en colĂšre et reste calme que quelqu’un qui criait de rage et qui t’engueulait comme du poisson perdant pas de temps, elle entoura les mains et poignets ensanglantĂ©s de Dite des bandages. MĂȘme fĂąchĂ©e, Lihinie restait une guĂ©risseuse et un ĂȘtre fondamentalement gentil. Un petit coup de baguette magique et une lueur rosĂ©e entoura les poignets de Dite, dĂ©sinfectant les plais et les aidant Ă  se refermer rapidement. -Tu n’es pas la seule qui veut sortir d’ici... Dit elle Ă  Lihinie resta complĂštement silencieuse le temps de finir de soigner Dite. Elle examina sa mĂąchoire. Pas cassĂ©e, mais elle Ă©tait enflĂ©e. Less ne l’avait vraiment pas manquĂ©e. Avec une pommade, elle la guĂ©rirait facilement, mais elle n’en avait pas avec elle en ce moment. Dire qu’elle avait tellement hĂąte de revoir son grand frĂšre. Jamais elle n’avait pensĂ© que ça pourrait ĂȘtre dans des circonstances aussi lamentables. C’était de la tristesse et de la dĂ©ception qu’elle ressentait Ă  prĂ©sent. Lihinie senti une main se poser sur son Ă©paule. C’était Selpanius. Il avait un regard d’excuse, comme s’il lisait dans ses pensĂ©s. Sa colĂšre Ă©tait tombĂ©e. -Je... Je crois que je vais y aller... Puis elle se dirigea vers la salle de bain pour se changer. Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2006 Il ouvre la porte et il voit Dite ouvrir la fenĂȘtre. Un carreau Ă©tait brisĂ© et elle avait la main en sang. Il Entre dans la chambre, perplexe, puis le reste se passe rapidement. Less passe Ă  cĂŽtĂ© de lui en coup de vent et cogne Dite. La premiĂšre rĂ©action de Kaitz, ce n'est pas d'aller vers la victime, mais d'enrayer la menace. En deux pas, il est Ă  cĂŽtĂ© de Less et la saisit par le bras et lui fait face, furieux. Il voit vaguement Selp attraper Dite chancelante, puis la voix de Lihinie. C'est une voix Ă©trange, si impĂ©rative, mais si douce en mĂȘme temps. Comme Lihinie l'a demandĂ©, Kaitz ne dit pas un seul mot. Il relĂąche Less, sans la regarder et recule. Kaitz ne recule que rarement... tout ça le dĂ©passe un peu. Il en a vĂ©cu des trucs, parfois terrible, mais jamais entre des personnes auxquelles il tient. Sans un mot, il ne bouge pas, laissant Lihinie soigner Dite, mais il fait dĂ©filer une Ă  une les clĂ©s de son trousseau autour de l'anneau, cherchant la bonne. Il la trouve. Il hĂ©site un moment Ă  s'en servir... - Je... Je crois que je vais y aller...- Merci, Lihinie... il lui adresse un regard reconnaissant, mais sans plus. Il se dirige vers le lit et s'y assoit, puis il secoue la tĂȘte. Allez, foutez le camp... dit-il en faisant un vague signe de la main. Il n'avait rien d'autre Ă  dire pour l'instant. Il voit Dite bouger, il l'attrape par le poignet. Non, toi tu restes...Il ne regarde personne d'autre que Dite, le visage fermĂ©, indĂ©chiffrable. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2030 Sans trop savoir pourquoi, Aphrodite voit Less se prĂ©cipiter sur elle et lui foutre un gros coup de poing dans la machoire. Elle se retrouve dĂ©sĂ©quilibrĂ©e et presque assommĂ©e. Elle regarde Less avec une totale incomprĂ©hension... Pourquoi l'a-t-elle frappĂ© ainsi ? Elle devait se retenir depuis un bon moment... Ca a eu au moins l'avantage de calmer Aphrodite direct... La violence de Less l'ayant laissĂ©e sous le choc. Elle met mĂȘme un bon moment avant de se rendre compte que Selpanius l'avait retenue dans sa chute et fait assoir sur le lit et que Kaitz avait arrĂ©tĂ© Less...La voix glaciale de Lihinie la ramena sur Terre. Elle qui avait Ă©tĂ© si douce Ă©tait devenue un vrai glaçon. Aphrodite se rapelle alors de sa rĂ©ponse quand elle lui a proposĂ© gentillement de l'aide... Elle l'avait envoyĂ©e paĂźtre.. Et malgrĂ© cela elle la soignait tout de mĂȘme..."Tu n’es pas la seule qui veut sortir d’ici..."Aphrodite la regardait, comme si elle voulait lui dire des trucs mais que ça ne sortait pas ou qu'elle rĂ©flĂ©chissait Ă  quoi dire..."Je... Je crois que je vais y aller... "Aphrodite n'a qu'Ă  ce moment lĂ  le rĂ©flexe de la retenir un peu par la main... Elle la regarde toujours et lui dit simplement d'un murmure tout juste audible..."Pardonne moi... Merci..." puis la regarde partir ers la salle de bain...Aphrodite sent quelqu'un s'assoire sur le lit. Elle tourne la tĂȘte et voit Kaitz secouant la tĂȘte. "Allez, foutez le camp..."Aphrodite va pour se lever mais il la retient par le poignet. Elle se rassoit et le regarde ne comprenant pas trop..."Non, toi tu restes..."Elle reste alors docilement assise sur le lit, regardant Kaitz, inquiĂšte de voir son visage si fermĂ©..."Kaitz...?" souffle-t-elle alors dans un murmure... Puis elle porte la main Ă  sa machoire enflĂ©e... Le coup de Less lui fait mal... Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2205 Lareless, le menton droit, regarde Kaitz dans les yeux mais lui il ne la regarde pas. Allez, foutez le camp... La jeune femme le regarde intensĂ©ment. Elle voulait seulement l'empĂȘcher de se blesser et il le prend comme ca? Elle en perd son anglais et son italien. PLus que vexĂ©e, elle prend son sac Ă  main et se dirige vers la sortie. Si Selpanius et sa soeur veulent la revoir, il savent ou se renseigner pour la trouver. Pour le moment, elle aurait bien envie d'une bonne cuite. Il ose lui faire un reproche... Elle se demande ce qu'il aurait fait Ă  sa place. SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2245 Au moment oĂč Lihinie se levait, on lui adressa la parole pour la remercier. D’abord Kaitz, puis Dite, mĂȘme qu’elle lui demanda pardon. Lihinie leur adressa un vague sourire en coin qui voulait tout dire Elle n’était plus du tout en colĂšre et elle ne leur en voulait plus du tout. MĂȘme qu’elle retrouva un peu sa bonne humeur naturelle. Elle disparue ensuite dans la salle de bain. Allez, foutez le camp...Selpanius Ă©tait un Ă©goĂŻste fini et avait un caractĂšre exĂ©crable, mĂȘme avec ses amis. La diffĂ©rence de son comportement avec ses amis et ceux dont il se fichait, c’était une limite Ă  ses chienneries. Et oui! Il y avait une limite dans son sale caractĂšre! Étonnant hein? MĂȘme que quand il voulait, il pouvait ĂȘtre trĂšs gentil. Quand il voulait. -Bien bien, je vais vous laissez entre vous. *regarde les mains et poignets de Dite* Elle devrait ĂȘtre guĂ©rie trĂšs vite. La guĂ©rison de Lihinie est trĂšs efficace, dit il pour les rassurer. Selp Ă©tait conscient que Less et Kaitz devront se parler aprĂšs. Mais aprĂšs. Kaitz voulait d’abord ĂȘtre avec Dite. Alors il les laisserait en paix dans leur intimitĂ©. Selp sorti de la chambre, Ă  la suite d’une Less particuliĂšrement vexĂ©e. À ce moment, Lihinie ressortie de la salle de bain, toute habillĂ©e et ramena deux objets Elle rendit la chemise que Kaitz lui avait prĂȘtĂ© pour la nuit, toute soigneusement pliĂ©e et propre, et donna un sac de glaçons pour la mĂąchoire de Dite. -J’ai enchantĂ© la glace pour qu’elle guĂ©risse mieux et qu’elle ne gĂšle pas trop. Merci pour la chemise, dit elle Ă  Kaitz. Tu devrais bientĂŽt pouvoir enlever les bandages. Ce genre de blessure guĂ©ri vite avec un peu de magie, rajouta t-elle pour Dite. Elle leur souri Ă  tout les deux, puis elle quitta la piĂšce et ferma doucement la porte derriĂšre elle, les laissant seuls ensembles. Lihinie rejoignit Less et Selp. Elle remarqua que Less Ă©tait fĂąchĂ©e. Elle se demanda pourquoi pendant une seconde, puis elle se rappela que Less avait frappĂ© Dite pour l’aider et que Kaitz c’était fĂąchĂ©e contre elle. -Dans l’état oĂč il se trouvait, il n’a pas du remarquer que vous vouliez aider mademoiselle CrĂ©on... dit elle timidement Ă  Less, conscience que celle ci Ă©tait particuliĂšrement pas d’humeur. Peut-ĂȘtre qu’il va s’en rendre compte et s’excuser... ? se risqua t-elle. Selpanius lui s’étala dans le divan et sortie la bouteille de champagne. -Prenons donc un verre! En souvenir de cette nuit et cette journĂ©e mĂ©morable. Dit-il d’un ton cynique. Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Dim 4 FĂ©v 2007 - 2321 Kaitz attent patiemment que tout le monde ait quittĂ© la piĂšce et il reste mĂȘme quelques secondes sans rien dire, dĂ©visageant Aphrodite et mettant en mots ses pensĂ©es. - Excuse-moi, j'aurais dĂ» intervenir avant que tout ça dĂ©gĂ©nĂšre... d'un autre cĂŽtĂ©, si cette mĂȘme situation Ă©tait arrivĂ©e Ă  Less... j'aurais dĂ©molit le mec... que ce soit Selpanius ou un autre...L'aveu est assez explicite pour faire comprendre le lien entre Kaitz et Less, mais aussi assez brusque pour marquer la dĂ©ception de Kaitz Ă  cette situation. D'un autre cĂŽtĂ©, il l'avait bien chercher. Inventer un truc pareil, Dite n'avait pas tort lorsqu'elle avait parlĂ© du pari entre Selp et lui, et l'idĂ©e de tenir un rĂŽle le temps d'une soirĂ©e. Il ne savait pas que Dite serait lĂ  et il aurait trĂšs bien pu en ramener une autre... c'Ă©tait le jeu, le pari... la frime... les Ă©vĂ©nements s'Ă©taient dĂ©roulĂ©e diffĂ©remment... il ne savait mĂȘme plus trop quoi dire... il ne s'Ă©tait jamais retrouvĂ© dans une telle situation... l'inverse peut-ĂȘtre... valait mieux ĂȘtre Tu n'avais pas tort... j'avais pariĂ© avec Selpanius... et en temps normal, nous avons une fĂ©roce rivalitĂ©... j'aurais pu tout aussi bien pu gagner le pari... Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 054 Peut-ĂȘtre qu’il va s’en rendre compte et s’excuser... ? se risqua t-elle. Selpanius lui s’étala dans le divan et sortie la bouteille de champagne. -Prenons donc un verre! En souvenir de cette nuit et cette journĂ©e mĂ©morable Lareless s'arrĂȘte, regarde le dĂ©jeĂ»ner, les plats froids, la bouteille. N'ouvrez pas ca tout de suite je vous prie. Elle vide son sac Ă  main, lance un sort d'Ă©largissement, le transformant en sac Ă  pique nique. Elle remballe soigneusement les mets froid, prend la bouteille de champagne et des verres. Elle a faim et n,est pas du genre Ă  laisser gaspiller la nourriture. . Allons pique-niquer au soleil Ă  l'endroit de votre choix. Je ne reste pas ici une minute de plus et je ne les laisserai pas gĂącher la journĂ©e. Elle a un petit sourire, mi-amusĂ©, mi-amer. SelpaniuInvitĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 117 Selpanius rĂ©flĂ©chi Ă  un endroit oĂč ils pourraient faire leur pique-nique tranquille et oĂč ils seraient bien. Lihinie prit la parole. -Chez nous, nous avons un grand jardin un peu sauvage... il y a de la place pour prendre un pique-nique tranquille. D’ailleurs je dois rentrer pour m’occuper un peu de Mani qui doit se mourir de faim. -Effectivement, il y a un jardin... Mani? Arg! Ne me dis pas que tu as ramenĂ© cette sale bĂȘte??! -Bien sur, je n’allais pas l’abandonner. Je l’aime moi cette bĂȘte. -Mrrrf... bon bon... j’espĂšre qu’elle n’a pas encore dĂ©truit mes meubles...-Je lui ai promit du lait si elle n’y touchait pas...-J’espĂšre bien qu’elle n’y a pas touchĂ©... bon. Je suis partant pour le pique-nique dans le jardin. Selpanius, ayant dĂ©jĂ  mis ses pantalons, enfila sa chemise et sa redingote rouge et prit ses affaires. Il posa son chapeau haut de forme sur sa tĂȘte et en quelques secondes, il Ă©tait prĂšs Ă  partir. -Mani est mon chat. Elle est adorable, dit elle pour expliquer Ă  Less qui Ă©tait Mani. -Bien, allons y! Vous aurez l’occasion de voir notre belle maison. J’en suis ravie, d’autant plus qu’ils n’auront pas rĂ©ussi Ă  gĂącher notre Ă©dition par le Lun 5 FĂ©v 2007 - 510, Ă©ditĂ© 1 fois Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 255 Aphrodite regarde Less sortir furax... Un immense froid s'Ă©tait installĂ© entre les deux amis... Elle se sentait responsable de tout ça... Lihinie rĂ©apparait de la salle de bain avec un sac de glaçons et le tend Ă  Aphrodite qui les prent et les pose sur sa machoire. Elle rĂ©prime une grimace, ça lui fait mal... "Merci pour tout Lihinie" murmura-t-elle alors...Tout le monde Ă©tait sortit, il ne reste maintenant que Kaitz et Aphrodite... Un silence pesant s'installe... Elle n'ose pas le regarder et garde les yeux fixĂ©s devant elle, probablement sur le petit point noir sur le mur..."Excuse-moi, j'aurais dĂ» intervenir avant que tout ça dĂ©gĂ©nĂšre... d'un autre cĂŽtĂ©, si cette mĂȘme situation Ă©tait arrivĂ©e Ă  Less... j'aurais dĂ©molit le mec... que ce soit Selpanius ou un autre..."Avant que tout dĂ©gĂ©nĂšre... Ca avait dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© depuis le dĂ©but... Le lien qui unit Kaitz et Less est fort... vraiment fort... Aphrodite se sent presque de trop entre eux... Elle continue Ă  fixer le mur sans rien dire... Que rĂ©pondre ?"Tu n'avais pas tort... j'avais pariĂ© avec Selpanius... et en temps normal, nous avons une fĂ©roce rivalitĂ©... j'aurais pu tout aussi bien pu gagner le pari..."Ainsi c'Ă©tait ça... Ils font tout un plat parce qu'Aphrodite l'a trompĂ© sans le vouloir... Mais si ça avait Ă©tĂ© lui qui l'avait trompĂ©e... Ca aurait Ă©tĂ© tout Ă  fait normal... Elle ne sait pas trop quoi penser de tout ça... Est-ce que tout Ă©tait cassĂ© ? Elle espĂšre que non... Elle connait bien Kaitz, elle sait qu'il est attirĂ© et qu'il attire beaucoup les femmes... Elle l'a su dĂšs le premier soir... Elle avait eu le secret espoir de le changer un peu, de ne faire qu'il n'aime plus qu'elle, mais sans doute elle avait Ă©chouĂ©... L'aime-t-il autant qu'elle l'aime ? Elle le regarde, fixe ses yeux... Elle commence dĂ©jĂ  Ă  fondre de nouveau... Elle est prĂšte Ă  tout pardonner, Ă  tout accepter de lui ou presque... Mais le faut-il vraiment ? Pour elle la rĂ©ponse est oui... Mais son jugement est faussĂ©... Elle dĂ©tourne Ă  nouveau les yeux vers le point noir sur le mur et dit d'une petite voix..."Que fait-on ?" Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 602 Oui, il l'avait dit. En temps normal, Selp et lui auraient eu une fĂ©roce rivalitĂ©... mais rien la nuit derniĂšre n'avait Ă©tĂ© normal. Il avait abandonnĂ© la compĂ©tition bien trop tĂŽt... les verres volĂ©s Ă  Samuelle avaient tapĂ© trop fort... d'ailleurs, pourquoi il avait volĂ© les verres de Samuelle ? Pourquoi avait-il prĂ©fĂ©rĂ© lier des ponts entre les gens et aller narguer Selpanius plutĂŽt que de remporter le pari ? Pourquoi Dite s'Ă©tait-elle retrouvĂ©e avec un Loup qui, selon elle, avait les mĂȘme maniĂšres que lui ? D'avoir autant bu et d'avoir prit un verre contenant des hallucinogĂšnes, dans le verre de Dite, l'unique verre de Dite, tandis qu'il avait volĂ© les verres de tout le monde durant toute la soirĂ©e. Que tout ça se passe un soir ou Less lui pique les clĂ©s de la suite qu'il s'est prise et qu'ils se retrouvent tous au mĂȘme endroit. D'Ă©tranges coĂŻncidences qui, mise bout Ă  bout, faisaient croire que c'Ă©tait vraiment pas son jour... ou, comme le disait Xoramen rien n'est que pure coĂŻncidence, nous faisons tous parti d'un plan dĂ©jĂ  Ă©tabli ». Ou Ă©tait-ce simplement une de ces fichues malĂ©diction qui s'Ă©tait mise en action ce soir lĂ  ? Ou encore, Ă©tait-ce aujourd'hui que tout ce qu'il avait pu faire de mal lui revenait en pleine figure ? - Que fait-on ?La question Ă©tait brĂšve et concise... mais elle avait un de ces impacts sur la suite... que devait-il faire ? Que devaient-ils faire ? Une chose Ă©tait sĂ»re, Aphrodite n'Ă©tait pas comme les autres... elle avait un petit quelque chose qui lui Ă©tait unique. PrĂšs d'elle, son feu intĂ©rieur cessait de brĂ»ler et ronronnait paisiblement. Pouvait-on s'enflammer Ă©ternellement ? N'importe quelle flamme finissait par s'Ă©teindre lorsqu'elle n'avait plus rien Ă  brĂ»ler... il ne voulait pas s'Ă©teindre... des braises pouvaient couver longtemps et ronronner paisiblement... devait-il encore et toujours brĂ»ler ou devait-il couver pour durer plus longtemps ? Il avait toujours tout flamber, tout brĂ»ler, peut-ĂȘtre Ă©tait-il temps pour lui se s'apaiser avant que la flamme ne s'Ă©teigne pour de bon... oui, c'Ă©tait probablement le temps de souffler la flamme mais de conserver le tison... et Dite pouvait souffler la flamme... et conserver le tison... avant qu'il ait tout brĂ»lĂ©...- Je... je propose d'abord une douche, chaude cette fois, on en a bien besoin... ensuite... et bien j'ai encore la chambre pour quelques heures... faudrait bien en profiter... Lareless MainellaNombre de messages 2514Age 43Maison Ex-GriffondorMessage Perso Kaitz n'est qu'un sale con. FarpaitementAge du Perso 27Date d'inscription 30/08/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP MĂ©chante de service. Chercheuse de petite bĂ©bĂȘte, empĂȘcheuse d'administrer en rondFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 740 Bien, allons y! Vous aurez l’occasion de voir notre belle maison. J’en suis ravie, d’autant plus qu’ils n’auront pas rĂ©ussi Ă  gĂącher notre ne peut s'empĂȘcher de penser que pour elle c'est dĂ©jĂ  gĂąchĂ©. Elle empoigne cependant son sac Ă  main/pique nique d'un geste ferme, s'oblige Ă  sourire et invite le frĂšre et la soeur Ă  lui faire visiter. Silencieusement, Lareless quitte la suite, Selpanius et Lihinie sur les talons. DerniĂšre dĂ©licatesse pour son ami, elle verrouille la porte en sortant. Les clefs de son pavillon trainent, oubliĂ©s sur la table. Elle a omis de les y remettre aprĂšs avoir mĂ©tamorphosĂ© son sac. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Lun 5 FĂ©v 2007 - 1241 "Je... je propose d'abord une douche, chaude cette fois, on en a bien besoin... ensuite... et bien j'ai encore la chambre pour quelques heures... faudrait bien en profiter..."Aphrodite le regarde pendant un moment. Elle le dĂ©taille, ses yeux, ses lĂšvres, son visage... Quelle est donc cette chose qui le rend si unique? Elle aimerait lui en vouloir pour ce qu'elle a subit toute la nuit, la douche glacĂ©e, le mĂ©pris de ses amis, le coup de Less... mais elle ne peut pas lui en vouloir... Le voir l'appaise et l'enflamme en mĂȘme temps. Il appaise son coeur qui crie pour lui et sui saigne en son absence, mais il est le seul qui a Ă©tĂ© capable de rallumer la petite flamme d'Aphrodite qui s'Ă©tait Ă©teinte depuis seule chose qu'elle veut Ă  prĂ©sent est rester avec lui, contre lui, et tout oublier ce qu'il venait de se passer... Elle se rapproche de lui et se penche un peu. elle passe les bras autours de sa taille et pose la tĂȘte doucement sur son Ă©paule... Sa machoire l'Ă©lance Ă  nouveau, elle y porte sa main en espĂ©rant le calmer et essaie de rĂ©primer un "Aie" en vain... Elle ferme alors les yeux et d'une voix douce dit "DĂ©solĂ©e de t'avoir fait souffrir... Mon coeur Ă©tait mort ou vide avant de te rencontrer... Toi seul a rĂ©ussi Ă  le rallumer et Ă  le rĂ©chauffer... Tu es le seul qui compte..."Elle se tait un moment, profitant de la chaleur de sa peau, de la douce musique des battements de son coeur..."Tu y vas en premier Ă  la douche ?" Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Mar 6 FĂ©v 2007 - 354 - DĂ©solĂ©e de t'avoir fait souffrir... Mon coeur Ă©tait mort ou vide avant de te rencontrer... Toi seul a rĂ©ussi Ă  le rallumer et Ă  le rĂ©chauffer... Tu es le seul qui compte...Kaitz hĂ©site un moment, dĂ©visage Dite, puis se lĂšve brusquement, regarde encore Dite et s'enfuie en courant, hurlant Ă  mort et en agitant les bras. Hum... non. En fait, c'est probablement ce qui se serait produit, moins caricaturĂ© certes, si cette scĂšne avait eu lieu quelques mois auparavant. Mais certaines rĂ©actions qu'on aurait prit pour acquise chez Kaitz devenaient sujet Ă  rĂ©flexion pour ceux qui le connaissaient bien. Était-ce dĂ» au fait qu'il n'Ă©tait pas en constant dĂ©placement pour la premiĂšre fois de sa vie ? DĂ©jĂ  un an que Kaitz n'avait pas vraiment quittĂ© l'Angleterre. Il vivait depuis un an dans une stabilitĂ© qui, peu de temps avant, l'aurait rendu fou. Il avait rendu service Ă  Mikomi, se disant que ce serait temporaire et voilĂ  que le rĂŽle lui plaisait. Les ados Ă©taient si plein de surprises qu'il ne s'ennuyait certes pas. Oh, il pensait souvent au prochain voyage qu'il pourrait effectuĂ©, mais ça ne se concrĂ©tisait que par une punaise jaune sur une mappemonde constellĂ©es de punaises rouges dans sa chambre chez ses parents. Sa vie amoureuse devenait-elle aussi stable que sa sĂ©dentaritĂ© ? Hum... Aphrodite se blottie contre lui, il l'enlace dĂ©licatement. Ils ne bougent pas durant un court temps, tous deux en proie Ă  la rĂ©flexion. Il Ă©tait calme, trĂšs calme. Oui, Aphrodite l'apaisait. Devait-il risquer de perdre un havre serein pour un malentendu sous dĂ©guisement ? Un frisson au bas des reins rĂ©pond Ă  son interrogation. Ce frissons avait-il toujours Ă©tĂ© de bon conseil ? Et s'il agissait contrairement Ă  ce frisson pour une fois ? - Tu y vas en premier Ă  la douche ?- Nan, vas-y, j'vais rĂ©parer le carreau et, si tu as verrouillĂ© la porte, je vais attendre... sinon...Il suspend sa phrase dans un sourire en coin. Bon, ok, Harkaitz Rocstone, mĂȘme en voie de stabilitĂ© n'en ratait pas une. C'Ă©tait probablement la seule et unique chose qui ne changerait jamais chez Kaitz, ceux qui le connaissaient bien ne pourraient pas s'en Ă©tonner. Aphrodite Kassy CrĂ©onNombre de messages 287Maison Ex-SerdaigleMessage Perso Wouhouuuu ya quelqu'un ???????????Age du Perso 22Date d'inscription 25/07/2006Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Mar 6 FĂ©v 2007 - 428 L'Ă©treinte dĂ©licate de Kaitz la rassure et la rĂ©chauffe... Le son des battements de son coeur l'appaise... Le silence s'est installĂ© entre les deux, mais il faut aller Ă  la douche... Une bonne douche chaude pour se rĂ©chauffer et se relaxer... Un bon bain serait encore mieu... un bain Ă  remous... D'aprĂšs ce qu'Aphrodite avait pu voir du bain glacĂ© qu'elle avait eu, le bain semble bien ĂȘtre pourvu de remous si on le souhaite... Nickel..."Nan, vas-y, j'vais rĂ©parer le carreau et, si tu as verrouillĂ© la porte, je vais attendre... sinon...""Je ne vĂ©rouille jamais la porte, je dĂ©teste ça... Probablement la peur d'ĂȘtre enfermĂ©e dedans comme c'est arrivĂ©e quand on Ă©tait petites ma soeur et moi... On s'est retrouvĂ©es enfermĂ©es... la serrure s'Ă©tait cassĂ©e... Et comme on Ă©tait chez des moldus ce jour lĂ ... on y est restĂ© un bon moment jusqu'Ă  ce qu'ils cassent la porte." raconte-t-elle en rigolant...A regrets elle se dĂ©tache de Kaitz et se lĂšve. Elle va dans la salle de bain et pousse simplement la porte sans la fermer totalement... Elle trouve des serviettes qu'elle pose prĂšs du bain et fait couler l'eau bien chaude. La vasque se remplit doucement. Pendant ce temps, Aphrodite se regarde dans le miroir... Oh mon dieu la tĂȘte qu'elle a... La machoire enflĂ©e, des valises sous les yeux, les yeux rouges, les cheveux... Elle ne se rapellle pas avoir Ă©tĂ© aussi mal coiffĂ©e, mĂȘme au rĂ©veil... Le bain est enfin plein. Des Ă©fluves aguichant les sens se rĂ©pendent dans la piĂšce, de fines bulles de mousse s'envollent ça et lĂ ... Aphrodite met en marche le mĂ©canisme du jacuzzi, des bouillons apparaissent Ă  la surface. Avec un sourire satisfait, elle s'assoit au bord et plonge la main dans l'eau... La tempĂ©rature est idĂ©ale... Elle enlĂšve le t-shirt que Kaitz lui a prĂȘtĂ© et plonge doucement dans le bain... Un soupire d'aise, elle ferme les yeux et profite... Harkaitz RocstoneNombre de messages 1487Age 39Maison Ex-PoufsouffleMessage Perso I'm the Eternal Light The other one's a duplicateAge du Perso 29Date d'inscription 09/05/2006Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Mar 6 FĂ©v 2007 - 648 Il sourit Ă  l'Ă©vocation du souvenir d'Aphrodite. Elle disparaĂźt dans la salle de bain et il s'approche de la fenĂȘtre brisĂ©e. Il regarde Ă  l'extĂ©rieur, il fait encore soleil, mais l'aprĂšs-midi doit ĂȘtre avancĂ©. Des tas de questions et de constatations effleurent son esprit, mais il les chasse du revers de la main. C'Ă©tait pas le moment de rĂ©flĂ©chir. Il avait dĂ©jĂ  prit sa dĂ©cision, non ? Il entend le moteur du bain se mettre en marche, il sourit. Oui, il l'avait prit. Bon, oĂč avait-il foutu sa baguette... bon, il cherche sa baguette... il avait le don de la foutre n'importe oĂč et de la chercher... avant d'avoir un Ă©clair de gĂ©nie et de se souvenir oĂč elle Ă©tait. Il met finalement la main dessus et retourne rĂ©parer le carreau. Ça se fait en un Ă©clair... c'est le cas de le dire. Il pose sa baguette juste Ă  cĂŽtĂ© de son trousseau de clĂ©, sur la table de nuit, puis se dirige lentement vers la salle de bain. Il passe la tĂȘte et voit Aphrodite qui semble s'apaiser dans l'eau chaude. Une vĂ©ritable vision divine. Il s'assoit sur le rebord du bain et l'observe un moment, pensif, mais sans penser Ă  rien d'autre que la regarder. Puis il lance tout bonnement. - C'est une version moderne de La Naissance de VĂ©nus ? InspirĂ© de la version de Cabanel. La VĂ©nus reposant sur les remous de l'ocĂ©an, escortĂ© par des angelots voletant. Mais sa VĂ©nus, elle est blonde. Il fronce les sourcils, l'air songeur. OĂč j'ai bien pu voir ça... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Suite 112 sur rĂ©servation Suite 112 sur rĂ©servation Page 3 sur 4Aller Ă  la page 1, 2, 3, 4 Sujets similaires» Suite de la dispute...» LE YIN ET LE YANG suite PV Will S» Qu'est ce qu'on s'ennuie... suite [ PV Ella et Anne ]» Suite de la capture» Suite [PV JUJU]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers 3conseils pratiques au ronfleur pour sauver son couple. Sans consĂ©quence pour un cĂ©libataire, les ronflements peuvent ruiner une vie de couple. Notre contributeur

Mar 15 Sep 2020 - 1655Cache-cache au pays de Mickey Alvario & AutumnAutumn n’en revenait pas de devoir se lever si tĂŽt un samedi matin alors qu’elle Ă©tait en congĂ©, mais, la demoiselle n’avait pas rĂ©ellement le choix. Son chef d’équipe avait organisĂ© cette journĂ©e Ă  Disneyland dans l’espoir de ressouder leur Ă©quipe. Car, les trois derniĂšres semaines avaient Ă©tĂ© riches en disputes, bagarres, d'erreurs et plaintes de patients. Bien Ă©videmment quand rien n’allait au sein d'un groupe, le travail en pĂątissait. Autumn n’était pas rĂ©ellement concernĂ©e car elle n’avait de problĂšme avec aucun d’entre eux. Mais elle faisait partie du groupe, elle devait ĂȘtre solidaire et puis le patron pensait qu’elle pouvait ĂȘtre d’un rĂ©el renfort. Elle, qui, d’ordinaire avait le don d’apaiser les choses, de dire ce qui n’allait pas et mĂȘme si elle le faisait s’en prendre de gants cela avait toujours marchĂ©. Car mĂȘme si la vĂ©ritĂ© est difficile Ă  entendre, elle n’en reste pas moins la vĂ©ritĂ© et l’entendre, la confronter Ă  souvent du bon. VoilĂ  pourquoi son rĂ©veil sonnait Ă  7h30 du matin. VoilĂ  pourquoi elle se levait en rechignant. Ce matin, elle n’irait pas courir, elle se dirigeait donc naturellement dans la salle de bain oĂč elle prit sa douche, puis, elle s’habilla, enfilant un petit ensemble culotte et soutien-gorge en soie blanche, un jean bleu dĂ©lavĂ© lĂ©gĂšrement trouĂ© car elle dĂ©testait les jeans avec deux Ă©normes trous aux niveaux des genoux qui donnaient l’impression de s’ĂȘtre pris une grosse gamelle. Ensuite elle passa un petit haut vert et blanc qui se nouait dans le cou et laissait apparaĂźtre de temps Ă  autre son nombril. Elle choisit pour l'occasion de porter sa paire de baskets noires. Elle s’aspergea d’un peu de Lolita Lempicka, se coiffa et prĂ©fĂ©ra laisser ses cheveux dĂ©tachĂ©s. Ayant quelques minutes devant elle, elle bu un cafĂ© et mangea une brioche mais pas le temps de finir, elle entendit klaxonner dans la rue et en vĂ©rifiant par la fenĂȘtre elle aperçu son chef et une partie de l’équipe dans un mini-bus. Elle ouvrit la fenĂȘtre, leur fit un signe, puis se dirigea vers la porte d’entrĂ©e. Au passage, elle attrapa un sac-Ă -dos et ses clĂ©s, puis elle referma la porte. Le trajet fut un peu long et surtout trĂšs calme, elle aurait bien aimĂ© un peu de musique pour dĂ©tendre l’atmosphĂšre mais que voulez-vous. Monsieur le chef avait dĂ©cidĂ© que le silence Ă©tait propice aux discussions ce qui eut pour rĂ©sultat soit un silence de mort, soit un brouhaha incommensurable avec cris et disputes qui lui dĂ©clencha un mal de crĂąne horrible. Elle fut plus que ravi de descendre de ce vĂ©hicule. Et 
 de faire la queue. GĂ©nial je sens que cette journĂ©e va ĂȘtre MERD
veilleuse. Elle se reprit rapidement en apercevant le regard de son patron posĂ© sur elle. Autumn lui lança un large sourire et comme une gamine elle leva les pouces. Genre GĂ©nial ! Trop cool ! C’est top, on va s’éclater. Mais son patron n’était pas dupe, il savait pertinemment ce qu’elle pensait et il la gratifia d’une lĂ©gĂšre grimace un petit sourire pincĂ©, tout en levant les yeux au ciel. Avançant peu Ă  peu, mais surtout lentement, trĂšs lentement, Autumn regardait autour d’elle. Quand son regard se posa sur une file, un peu plus loin, sur sa droite. Une silhouette lui semblait commune. Elle se mit sur la pointe des pieds comme pour prendre de la hauteur. Elle ne le voyait pas bien. Mais 
 il semblait qu’il s’agissait bien de lui. Encore ! Ce n’était pas quelqu’un qu’elle connaissait mais 
 au contraire 
 un inconnu. Un jeune homme qu’elle ne cessait de retrouver sur sa route. La premiĂšre fois, elle l’avait aperçu Ă  l’hĂŽpital. Puis la seconde fois ce fut 
 Hum 
 Ă  la terrasse d’un cafĂ© et la troisiĂšme fois de nouveau Ă  l’hĂŽpital, puis une autre fois dans la rue Ă  la sortie d’un cinĂ©ma et une autre fois dans un bar. Ils ne cessaient de se croiser, leurs regards se croisaient parfois, il est arrivĂ© une ou de fois qu’ils se sourient oĂč se fassent des signes mais jamais ils ne s’étaient parlĂ©. Elle ne pouvait pas croire qu’il Ă©tait lĂ  lui aussi. C’était impossible ! Sa file avança, elle en fit de mĂȘme, son collĂšgue lui posa une question, elle le regarda pour lui rĂ©pondre et quand elle se tourna de nouveau. L’inconnu avait disparu. Ce devait ĂȘtre une erreur. Elle s’était forcĂ©ment trompĂ©e. Elle soupira et secoua la tĂȘte tout en s’insultant intĂ©rieurement. *Tu es une idiote ma pauv’fille. Et une folle par dessus le marchĂ© car tu as des visions maintenant. *ENFIN 
 AprĂšs de longues, trĂšs longues minutes qui lui parurent interminables. Notre infirmiĂšre et son groupe de collĂšgues finirent enfin par franchir l’entrĂ©e du parc. Leur chef, leur remettait les plans du parc, il pensait que s’était ridicule de tous rester ensemble, il proposait donc de faire trois groupes de quatre. Mais, Autumn n’écoutait rien. Que voulez-vous ?! Elle avait beau penser qu’elle Ă©tait idiote et qu’elle avait rĂȘvĂ© elle ne pouvait s’empĂȘcher de regarder autour d’ tu sera avec Gabi, Jac
. Autumn tu es avec nous ? AUTUMN !!!??? EUH oui ?!!! Oui prĂ©sente Monsieur ! Tu t’fous de moi ? Tu es tout sauf prĂ©sente 
 tu es carrĂ©ment Ă  mille lieux de lĂ . Concentre-toi ma belle. Alors, premiĂšrement, c’n’est pas un exercice d’incendie donc 
. On se calme, pas besoin d’ĂȘtre si sĂ©rieux. DeuxiĂšmement, on n’est plus des gosses, je pense qu’on peut se gĂ©rer. Et troisiĂšmement, si tu m’appelles encore ma belle, il va te falloir une paire de bĂ©quille pour pouvoir marcher. Elle finit sa phrase avec un lĂ©ger sourire. Autumn avait du caractĂšre, et elle avait toujours sa façon Ă  elle de dire les choses, toujours franchement mais assez souvent avec une dose d’humour ou de sarcasme pour que la pilule passe mieux. Allez les enfants 
 que ceux qui veulent faire partie de mon groupe lĂšve la main ! Elle choisit trois personnes parmi ceux qui avait levĂ© la main et d’un signe de l'index elle les invitait Ă  la suivre. Allons nous amuser !!! On se retrouve pour le dĂ©jeuner. Elle fit un salut de la main autres membres. Et s’engouffra dans la foule. Elle n’avait aucune idĂ©e de par quoi commencer, elle se laissa guider par ses compagnons. Oooooh de la barbapapaaaa !!! Elle se dirigea vers le stand qui pour le moment n’avait aucun client puis elle commanda une Ă©norme barbapapa. C’était le matin mais elle s’en fichait, elle adorait trop ça pour attendre. Elle regardait le pro faire, et en avait l’eau Ă  la bouche. Quand 
. Bordel 
 c’est bien lui 
 j’suis pas folle 
 hein ?!!! Le gars, il Ă©tait lĂ , au loin, droit devant, dans la foule. Elle le suivait des yeux, sans pouvoir bouger. Vite 
 vite 
. viiiteee Elle pressait le propriĂ©taire du stand qui ne savait pas du tout ce qui lui prenait. Il faisait de son mieux pour rĂ©ussir sa barbapapa. Il la lui tendit, elle l’attrapa vivement et le paya sans attendre la monnaie. Mais de nouveau, il avait disparu. Elle tourna sur elle-mĂȘme tout en se demandant si finalement son cerveau n’avait pas des bugs. " Une tumeur ? Nooon..... dĂ©conne pas ! " Et ....De toute façon si ça avait Ă©tĂ© lui. Qu'aurait-elle fait ? Lui aurait-elle sauter dessus ? Lui aurait-elle parlĂ© ? Et de quoi ? Non, probablement pas, elle ne l'avait jamais fait jusque lĂ . Mais elle voulait en avoir le coeur net. Ëtre certaine que ce n'Ă©tait pas une vision, son esprit qui lui jouait des tours. Elle aperçu ses amis et les rejoignit, ils Ă©taient assis en train de boire un cafĂ©. Jackie qui la connaissait bien lui avait commander un cafĂ© long avec un sucre et demi. Elle le remercia et prit place autour de la table, tout en mangeant de sa barbapapa. Elle se rĂ©galait, elle en proposa Ă  ses collĂšgues qui parurent ravis. J'adore ce truc, son odeur, son goĂ»t, ça me rappelle mon enfance. Elle en mangea mais sans faire exprĂšs un morceau se colla sur son nez et un autre sur son menton. Ce qui ne manqua pas de faire rire ses amis. Mar 15 Sep 2020 - 1907 Cache-cache au pays de Mickey Hanwwww mais qu'est-ce que je fous lĂ  ! »La plainte qui sortait de ma bouche voulait tout dire. Depuis que nous Ă©tions arrivĂ©, je n'arrĂȘtais pas. Il fallait dire que ça m'agaçait, ce genre d'excurtions, mĂȘme Ă  Disney. Les files d'attentes, c'est ce que je dĂ©testais le plus. Le monde, encore, ça allait, mais attendre une heure pour deux minutes de plaisir, ça m'agaçait profondĂ©ment. Pourtant, j'Ă©tais quelqu'un de patient. Surtout lorsqu'il s'agissait d'obtenir ce que je voulais. Mais lĂ , c'Ă©tait impossible. ArrĂȘte de te plaindre Alvi. C'est pas si terrible. T'es vraiment qu'un sale gamin. »Je roulais des yeux derriĂšre mes lunettes de soleil. Pourquoi j'avais acceptĂ© de les suivre au juste ? Ah oui, parce que je n'Ă©tais encore jamais venu ici. Et je devais avouer que ça faisait partie de mes rĂȘves de gosse, un peu. Je n'avais encore jamais eu l'occasion, mĂȘme gosse, de dĂ©couvrir le parc. Ce n'Ă©tait certainement pas dans la tĂȘte de mes parents de dĂ©penser du fric dans des choses aussi inutiles Ă  leur yeux, en plus du fait qu'il aurait fallu prendre un avion pour venir jusqu'ici du Chili. Alors, oui, j'avais sautĂ© sur l'occasion, lorsque Matt et Alex m'avaient proposĂ© de les accompagner. Je tenais un peu la chandelle entre eux, mais ça, je m'en fichais. Ce qui comptais, c'Ă©tait le parc. Je m'Ă©tais Ă©merveillĂ© tel un gosse dĂšs que j'avais apperçu l'entrĂ©e du parc. Mes yeux trainaient partout. Je voulais tout voir, tout dĂ©couvrir. Mais ma bonne humeur c'Ă©tait vite essoufflĂ©e, lorsque nous avions dĂ©jĂ  dĂ» faire la file dĂšs l'entrĂ©e. C'Ă©tait ça, la rĂ©alitĂ© du parc. Beaucoup d'attente. Beaucoup trop pour il Ă©tait aussi propable que mon Ă©tat de nerfs Ă©tait dĂ» Ă  mon manque, qui commençait Ă  se faire sentir. Confortablement installĂ© dans mon siĂšge, Ă  l'une des nombreuses terrasses, je poussais avec mon pied pour me mettre en Ă©quilibre et avoir une meilleure vue de ce qui se passait autour de nous. Un groupe de filles un peu plus loin attira mon attention, gloussant beaucoup trop pour que ça ne se remarque pas. Mais mon attention dĂ©via rapidement sur une jeune femme juste derriĂšre, assise avec ses amis. Est-ce que c'Ă©tait elle ? Mon inconnue ? Mes lunettes se baissĂšrent sur mon nez alors que je stabilisais ma chaise avec mes pieds. Oui, c'Ă©tait elle. Son visage, je l'avais assez souvent vu ses derniĂšres semaines pour ne plus qu'il y ai de mal entendu. Je la reconnais entre mille, Ă  prĂ©sent. Elle Ă©tait lĂ , avec sa barbapapa Ă  la main, distribuant sa part Ă  ses amis. Mon sourire planait sur mes lippes, jusqu'Ă  se faire plus franc lorsque le dĂ©lice sucrĂ© se dĂ©posa sur son nez et son menton. C'Ă©tait... Alvi ! »Je sursautais vivement, manquant de tomber de ma chaise au passage. Quoi ?! »Mes deux amis Ă©taient debout devant moi, prĂȘts Ă  partir. J'avais visiblement manquĂ© un Ă©pisode, trop occupĂ© Ă  mater mon inconnue de loin, visiblement. Viens, on y va. Les manĂšges nous attendent. » Allez-y, je vous rejoins. » Non Alvi. T'arriveras pas Ă  nous retrouver et tu le sais. »Je roulais Ă  nouveau des yeux en laissant ma tĂȘte choir en arriĂšre. Je tournais la tĂȘte vers mon inconnue, qui Ă©videmment, venait de disparaitre. Une moue frustrĂ©e apparu sur mon visage. Fuck. Encore ratĂ©. Ça va, j'arrive. »Mains dans les poches, je me relevais pour quitter ma chaise Ă  mon tour et rejoindre mes potes, non sans lancer des regards autour de moi dans l'espoir de la revoir. Ça faisait des semaines, que nous nous croisions un peu partout Ă  Plus ou moins depuis que j'avais emmĂ©nager, en fait. A l'hĂŽpital, Ă  la sortie d'un bar, etc. Et jamais encore, je n'avais rĂ©ussi Ă  l'aborder, ce qui Ă©tait franchement un exploit me concernant. D'habitude, je n'hĂ©sitais pas. Je fonçais sans me soucier du reste, mais avec elle, c'Ă©tait... DiffĂ©rent. Je ne savais pas expliquer pourquoi. Elle dĂ©gageais un truc, quelque chose qui faisait que contrairement Ă  toutes les nanas qui croisaient ma route, je n'avais pas envie de me jeter dessus. Enfin, pas comme d'habitude. Mais, aprĂšs que l'on se soit croisĂ©s aussi souvent, ça commençait Ă  me dĂ©manger furieusement. Et, elle Ă©tait lĂ . A nouveau. Je me promettais de tenter quelque chose, cette fois. D'aller lui parler, de briser la glace autrement que par un signe de tĂȘte ou un sourire au loin. Il le fallait. Maison hantĂ©e, nous voilĂ  ! »Rien qu'Ă  l'appellation de ce nom, je sautillais, retrouvant ma bonne humeur en glissant mes bras sur les Ă©paules de mes potes pour les faire avancer plus vite. Un bon frisson, dans le noir complet, j'avais hĂąte ! c DΛNDELION Mar 15 Sep 2020 - 2004Jackie avait un sourire amusĂ© accrochĂ© Ă  ses lĂšvres, il prit une serviette en papier pour essuyer la barbapapa sur le visage de sa collĂšgue et amie. Il aurait aimĂ© plus mais Autumn avait Ă©tĂ© trĂšs claire avec lui elle ne voulait pas d'une relation sĂ©rieuse et surtout elle ne mĂ©langeait pas travail et plaisir. Alors ils n'Ă©taient que des amis ce qui ne lui suffisait pas mais il le supportait dans l'espoir qu'elle change d'avis, qu'elle finisse par craquer pour lui. Et si on dĂ©gustait nos cafĂ©s tout en faisant la queue au Big Thunder Mountain ? Hein ?! Hein !!! Charlie Ă©tait surexcitĂ©, Autumn ne pu rĂ©sister et explosa de rire, il avait l'air d'un enfant et elle trouvait cela si touchant. Finalement cette sortie n'Ă©tait pas une si mauvaise chose. Pour le moment elle passait du bon temps. Elle attrapa son cafĂ©, se leva, et se plaça Ă  cĂŽtĂ© de Charlie. Allez !!! Allez on y va ???!!! Elle agissait comme une gamine, de bonne humeur, et comme souvent elle ne se prenait pas au sĂ©rieux, elle avait envie de s'amuser tout simplement. Les autres Ă©clatĂšrent de rire et se levĂšrent. De toute façon ils n'avait pas trop le choix. Tous les gens autour les regardaient bizarrement. Certains cependant Ă©taient trĂšs amusĂ©s et ne semblaient pas les ... je dĂ©teste rĂ©ellement faire la queue !!! Par chance, elle n'Ă©tait pas si longue que cela. Au bout de 30 minutes s'Ă©taient enfin Ă  leur tour de monter Ă  bord du train fou. Autumn commençait Ă  ĂȘtre excitĂ©e, elle adorait les montagnes russes. Elle aimait se faire peur, les sensations qui l'envahissaient, son coeur qui battaient la chamade, son souffle et sa respiration qui se coupaient de temps Ă  autres. Aaaaaaah La jeune femme se mit Ă  crier quand la peur s'enveloppa, cette sensation Ă©tait magique, elle levait les bras et criait de joie plus que de peur. Quoique ... C'Ă©tait si enivrant. Mais dĂ©jĂ  l'attraction touchait Ă  sa fin. Quel dommage. Elle descendait du cĂŽtĂ© gauche. Alors que du cĂŽtĂ© droit les suivants commençaient Ă  monter. Elle rejoignait le groupe, sortait du jeu et repassait devant l'attraction pour aller Ă  la suivante. Les autres se battaient pour le prochain choix quand .... soudain ... sur sa droite, elle le vit. Elle s'arrĂȘta nette et fit deux trois pas en arriĂšre. Se bloqua, puis pivota. Il Ă©tait lĂ . Devant elle. Finalement tu existes, tu n'es pas une crĂ©ation de mon esprit. Elle croisait son regard. Elle en revenait pas qu'ils soient encore au mĂȘme endroit, au mĂȘme moment. Et si prĂšs. Elle n'en revenait pas non plus qu'il existe rĂ©ellement car Ă  force elle avait finit par douter de son Ă©tat mental. Un sourire amusĂ© et heureux se dessina sur son visage. Attachez-vous le train fou va partir Autumn .... Autumn mais qu'est-ce que tu fais ? Allez vient !! Le train dĂ©marrait, Jackie attrapait Autumn par le bras et l'embarquait avec lui, alors qu'elle continuait Ă  donner son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. Le bruit du train Ă©tait trop fort, il s'Ă©loignait, et elle aussi mais dans la direction opposĂ©e. Pourquoi lui avoir donnĂ© son prĂ©nom, son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone ? Elle en avait aucune idĂ©e, s'Ă©tait venu naturellement. Tu connais ce gars ?! Lui demanda surpris Jackie. Oui ... euh ... non ... seulement un inconnu. Et de nouveau un sourire naissait sur ses lĂšvres. Alors oĂč va-t-on ? Autumn Ă©tait toute lĂ©gĂšre, amusĂ©e, heureuse et tant d'autres choses encore. Elle ne pouvait pas expliquer ce qui lui arrivait, ce qu'elle ressentait. S'Ă©tait Ă©trange, nouveau mais agrĂ©able. ils semblaient devoir se croiser, alors elle le reverrait sĂ»rement. Au splash mountain. Mar 15 Sep 2020 - 2122 Cache-cache au pays de MickeyLa maison hantĂ©e nous tandit les bras. A nouveau joyeux comme un gosse, je courrais mĂȘme jusqu'Ă  l'entrĂ©e, pillant juste derriĂšre la derniĂšre personne Ă  faire la queue. De l'attente, encore de l'attente, toujours de l'attente. Seulement cette fois, ça ne rĂ©ussi pas Ă  faire fondre ma bonne humeur. Nous nous engouffrions dans le manĂšge, qui nous guida Ă  travers les piĂšces savamment dĂ©corĂ©es de la maison. Ça ne faisait pas vraiment peur, mais je me surpris Ă  frissonner et sursauter une fois ou deux avant que la sortie ne se profile. Une fois dehors, attendant les garçons, je souris de toutes mes dents. C'Ă©tait trop cool ! »Ils m'offrirent un regard amusĂ© alors que je glissais une cigarette entre mes lĂšvres, prĂȘt Ă  les suivre jusqu'Ă  la prochaine attraction. On tente le Jungle Cruise ? » T'as vu la file ? Nan, allons plutĂŽt au Big Thunder Mountain ! » C'est parti ! »Toujours avec autant d'en train, j'ouvrais notre marche, tirant sur ma clope de temps en temps. Mes yeux regardaient partout, s'imprĂšgnaient de toute l'ambiance semblant hors du temps propre au parc, tout en ne pouvant s'empĂȘcher de la chercher Ă  nouveau. Si elle Ă©tait lĂ , nous finirions bien par nous croiser, non ? L'attraction se profila devant nous. Une file d'attente de plus. Par chance, celle-ci Ă©tait moins longue. Nous y Ă©tions dĂ©jĂ  ! Le train remplit se prĂ©senta Ă  nous. Les portes s'ouvrirent pour nous laisser prendre place Ă  notre tour. J'Ă©tais tout excitĂ©, souriant Ă  n'en plus finir en riant Ă  gorge dĂ©ployĂ©e avec mes amis lorsque soudain, on attira mon attention. C'Ă©tait elle. Je me levais du siĂšge sans pouvoir m'en extirper complĂštement alors qu'elle s'approchait jusqu'Ă  ma hauteur. Putain, pourquoi maintenant ? Ici ? Je captais Ă  moitiĂ© les mots qui sortaient de sa bouche Ă  cause du brouaha ambiant, me contentant d'un grand sourire alors qu'elle semblait rĂ©aliser que non, je n'Ă©tais pas une illusion sortie de son imagination. Incroyable n'est-ce pas ? »Sans me dĂ©partir de mon sourire, j'appris enfin son nom. Autumn, qu'elle cria Ă  travers l'annonce du dĂ©part du train. Alvario ! » criais-je pour me faire dicta son numĂ©ro, mais un gars sorti de nulle part vint la tirer brusquement par le bras. Monsieur asseyez-vous ! »On me tira Ă  mon tour, m'obligeant Ă  m'asseoir alors que j'essayais d'entendre la suite de son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. C'Ă©tait peine perdue. C'Ă©tait quoi ce bordel Alvi ? »Je me tournais vers mes amis, qui me dĂ©visageait tous deux d'un drĂŽle d'air alors que je haussais les Ă©paules. C'Ă©tait... Une inconnue. »Le regard qu'ils me lançÚrent Ă  cet instant me prouva que je n'Ă©tais pas crĂ©dible. Pourtant, il n'y avait rien de plus vrai. Je leur offris un sourire innocent avant que l'attraction ne dĂ©marre pour de bon. Autumn. J'avais au moins son attraction ci Ă©tait bien diffĂ©rente, Ă  m'en soulever le coeur et provoquer mon euphorie alors que je criais Ă  plein poumons. C'Ă©tait bien trop court Ă  mon goĂ»t, mais le visage d'Autumn me revint vite en mĂ©moire, m'arrachant Ă  ma frustration. J'essayais tant bien que mal de me souvenir les chiffres qu'elle m'avait dictĂ©e, mais c'Ă©tait impossible. Comment la retrouver ? Eh, ça va Alvi ? » Ça va ouais... » C'est la meuf de tout Ă  l'heure qui te met dans cet Ă©tat ? »Je relevais les yeux vers Matt, qui m'offrait un large sourire, fier de lui. Ouais. Ça fait des semaines qu'on se croisent comme ça. C'est la premiĂšre fois qu'on arrive Ă  se parler. J'ai que son prĂ©nom, ça me frustre vous avez pas idĂ©e ! »La main d'Alex atterit dans mon dos dans un soutien amicale. Quoi, toi, tu lui as pas encore sauter dessus ? Je suis impressionnĂ© ! »Je le gratifiais d'une grimace en lui lançant un coup de coude dans les cĂŽtes alors que nous reprenions notre marche Ă  travers le parc. Ah ah, trĂšs drĂŽle ! » Allez ça va, on va la retrouver, ton inconnue » »Je relevais la tĂȘte. Il avait raison, bien sĂ»r que j'allais la retrouver, restait simplement Ă  savoir quand. Et je fus déçu, aprĂšs avoir enchainĂ© les attractions pendant plus de deux heures, de ne pas retrouver sa trace. Peut-ĂȘtre qu'elle Ă©tait dĂ©jĂ  repartie ? La dĂ©ception avait presque remplacer la frustration qui s'agitait dans mon ventre depuis que j'avais appris son nom. Je me rappelais les traits de son visage, si proche du mien alors que je faisais une pause dans les toilettes pour faire taire mon manque qui commençait Ă  me rendre pale et nerveux. La poudre dans le nez, le sourire ravageur, je resortais pour retrouver mes amis une fois de plus. Et maintenant ? » Y'a un spectacle dans 10 min. » Super ! Faisons ça alors ! »Je leur emboĂźtais le pas. Au fil des heures, j'avais perdu le rĂ©flexe de la chercher Ă  travers la foule. Je voulais arrĂȘter de me prendre la tĂȘte avec ça et profiter du reste de la journĂ©e comme il se devait. Si nous nous recroisions, tant mieux, sinon, tant baskets tracĂšrent mon chemin Ă  travers le public qui venait regarder le spectacle, tout comme nous. Nous nous enfoncions Ă  travers la foule pour avoir une bonne place. Pas trop prĂšs, mais pas trop loin non plus. Rendu plus guilleret par la poudre, j'avançais, Ă  nouveau tout excitĂ©, sautillant d'une jambe Ă  l'autre en attendant que cela commence. Je me tournais vers mes amis, une question primordiale brĂ»lant mes lĂšvres. Au fait... »Ma phrase n'eu jamais de fin, perdue dans le vent face au baiser qu'il s'Ă©changeait devant mes yeux. Ouep. Ma bouche se referma avant que je ne pince mes lĂšvres, me dĂ©tournant aussitĂŽt de la scĂšne qu'ils m'offraient pour plonger dans mon verre de biĂšre. Et puis, je la vis. Je relevais la tĂȘte de ma boisson, la dĂ©visageant de loin pour ĂȘtre sĂ»r de mon coup. Les cheveux longs chĂątains, le visage angulaire, le sourire craquant. Pas d'erreur, c'Ă©tait bien ne pris mĂȘme pas le temps de prĂ©venir mes amis. Mes pas me guidĂšrent jusqu'Ă  elle Ă  travers la foule. Je poussais et m'excusais auprĂšs de ceux que je dĂ©rangeais, jusqu'Ă  ce qu'elle soit Ă  portĂ©e de main. Le spectacle commença Ă  cet instant prĂ©cis. DiscrĂštement, je m'arrĂȘtais juste Ă  cĂŽtĂ© d'elle, l'air de rien, le sourire aux lĂšvres, les yeux rivĂ©s vers la scĂšne extĂ©rieure qui nous offrait sons et lumiĂšres. Tu n'es pas facile Ă  trouver, tu le sais ? »Je dĂ©tournais le regard des danseurs qui venaient d'apparaitre sur scĂšne pour la regarder, elle. C'Ă©tait bien elle. Autumn. c DΛNDELION Mer 16 Sep 2020 - 1213Autumn et Jackie avaient rejoint le reste du groupe, ils se dirigeaient ensemble vers le Splash Mountain et Jackie ne pouvait quitter la jeune femme du regard. Le sourire lĂ©ger qu'elle affichait le rendait dingue. Pourquoi semblait-elle si lĂ©gĂšre et heureuse ? Pourquoi ne voulait-elle pas lui dire qui Ă©tait ce gars et d'oĂč elle le connaissait ? *Un inconnu ? tu parles !!* se disait-il. Et une fois arrivĂ©e Ă  l'attraction, bien entendu, ils durent faire la queue. Mais pour une fois, Autumn ne se plaignait pas. Elle repensait au jeune homme, il n'Ă©tait plus rĂ©ellement un inconnu car Ă  prĂ©sent elle connaissait son prĂ©nom Alvario. Mais surtout il Ă©tait bien rĂ©el. En mĂȘme temps, malgrĂ© les doutes qui l'avaient envahi ces derniĂšres semaines, au fond elle, ancrĂ© en elle, elle savait qu'il existait pour de vrai, qu'il n'Ă©tait pas une crĂ©ation de son esprit. Soudain, elle laissa Ă©chapper un petit rire, se remĂ©morant son attitude, comment avait-elle pu ? Pensait-elle intĂ©rieurement. Quand ...Comment tu as pu ? Pourquoi tu as donnĂ© ton numĂ©ro Ă  un parfait inconnu. Ses pensĂ©es faisaient Ă©chos. Jackie se manifestait enfin. Cela faisait un moment qu'elle sentait son regard posĂ© sur elle, et sa frustration, sa jalousie mĂȘme sortait de tous les pores de sa peau. Que pouvait-elle lui rĂ©pondre ? Non, elle ne connaissait pas cet homme. Et non ce n'Ă©tait pas son genre de filer son numĂ©ro Ă  n'importe qui. Elle ne savait que lui rĂ©torquer car elle-mĂȘme ne comprenait pas son propre sais pas .... C'est arrivĂ© comme ça ! L'instinct !Elle ne pouvait pas dire Ă  Jackie qu'elle croisait cet homme depuis des semaines. Qu'il Ă©tait partout oĂč elle allait et qu'Ă  force son visage Ă©tait incrustĂ© dans son esprit. Et que trĂšs souvent il lui revenait en mĂ©moire et qu'elle le cherchait parfois. Jackie ne pouvait comprendre cela, il paniquerait tout de suite. Il penserait que cet homme Ă©tait surement dangereux, qu'il devait la suivre, peut-ĂȘtre Ă©tait-il un harceleur. Autumn, ne pouvait l'expliquer mais tout au fond elle, elle savait que rien de tout cela Ă©tait possible. Le splash mountain Ă©tait une chouette attraction, trĂšs rafraĂźchissante, ce qu'elle su apprĂ©cier avec la chaleur qu'il faisait. Il Ă©tait bientĂŽt midi quand ils descendirent de l'attraction. Le tĂ©lĂ©phone d'Autumn se mit Ă  sonner. *C'est pas possible!!!* Pensa-t-elle en se dĂ©pĂȘchant d'attraper son ?! et non ce n'Ă©tait pas lui, ce n'Ă©tait que James, son chef. C'est James, OĂč vous ĂȘtes ?En mĂȘme temps, elle doutait bien qu'Alvario n'ait pas eut la possibilitĂ© de noter son numĂ©ro voire mĂȘme de pouvoir l'entendre entiĂšrement. James la contactait pour les informer qu'il avait retrouvĂ© presque tout le monde et qu'ils les attendaient pour ... je transmets aux autres. On se retrouvent lĂ -bas. Autumn raccrocha, on pouvait lire la dĂ©ception sur son visage mais seul Jackie semblait comprendre pourquoi. Ce qui l'agaça un peu plus. Elle expliqua Ă  la bande que James et les autres les attendaient dans un des restaurant du parc. Et tous les quatre prirent le chemin qui les mĂšnerait au fameux restaurant. Ils savourĂšrent un bon repas. Puis James dĂ©cida de changer les groupes. IdĂ©e que Jackie n'apprĂ©cia guĂšre car il souhaitait rester avec Autumn. Il espĂ©rait ainsi la tenir Ă  l'oeil et Ă©viter tout nouvel incident. Mais qu'il se rassure, le reste de la journĂ©e se passa normalement. Ce fut une suite de longues heures d'attentes pour seulement quelques minutes de joie, de rire ou de cris. Mais rien de plus. Elle ne le croisa plus une seule fois et commença Ă  penser qu'il Ă©tait rentrer chez lui. Mais elle ne dĂ©sespĂ©rait pas pour autant car ce n'Ă©tait pas son genre et aussi et surtout parce qu'elle Ă©tait bien dĂ©cidĂ©e Ă  s'amuser avec ses collĂšgues. De nouveau son tĂ©lĂ©phone sonna, c'Ă©tait Ă  nouveau James. Comme il Ă©tait dĂ©jĂ  tard et qu'ils n'allaient pas tarder Ă  rentrer, il avait dĂ©cidĂ© que tout le monde se retrouve au spectacle. Autumn et son groupe trouvĂšrent que c'Ă©tait une excellente idĂ©e. Sur place, il s'agissait de nouveau de faire la queue, de piĂ©tiner, de se frayer un chemin parmi la foule. Mais en plus il fallait retrouver le reste de l'Ă©quipe. Rien n'Ă©tait plus compliquĂ© que cela. Il y avait tellement de monde mais ... d'un coup. AUTUMN !!!Elle entendit crier son prĂ©nom, suivit d'un sifflement, elle fut surprise, elle chercha dans toutes les directions. Et... aperçu Jackie qui surpassait les spectateurs. Il agitait le bras dans tous les sens. L'espace d'une seconde elle pensa que peut-ĂȘtre ... mais non ... elle rĂ©pondit Ă  son collĂšgue d'un signe de la main droite et difficilement elle le rejoignit, ainsi que les autres. Une musique magnifique et entraĂźnante s'Ă©levait, emportant totalement l'infirmiĂšre qui sentit son coeur battre un peu plus fort et tout son corps Ă©taient soudain envahit de frissons, qui ... ne firent qu'augmenter quand .... Tu n'es pas facile Ă  trouver, tu le sais ? »Cette voix, cette phrase ... son coeur fit un bond dans sa poitrine. Elle Ă©tait envahit par tout un tas de sensations Ă  commencer par la surprise, la joie mais aussi l'amusement. Un sourire lumineux Ă©claira soudain son visage alors qu'elle tournait la tĂȘte en direction de cette voix qu'elle avait entendu un peu plus tĂŽt dans la matinĂ©e. Son sourire se fit encore plus large et amusĂ©e. Elle se mordit la lĂšvre infĂ©rieure avant de lui rĂ©pondre. C'est parce qu'il ne faut pas me chercher. C'est ainsi que ça marche entre nous. depuis le premier jour. C'est le destin qui nous met sur la route de l' plongeait son regard dans le sien. Il Ă©tait si proche pour une fois qu'elle pouvait le toucher si elle le souhaitait. Mais sincĂšrement elle ne savait que faire. Il est vrai qu'elle aussi l'avait cherchĂ© du regard un bon moment et depuis si longtemps qu'elle avait fini par abandonner de nombreuses fois. Et Ă  chaque fois qu'elle laissait tomber, il rĂ©apparaissait, comme pour jouer, la tenter. Mais dĂ©sormais, il Ă©tait lĂ , face Ă  elle. Elle le regardait attentivement, ses cheveux Ă©taient lĂ©gĂšrement longs bruns et bouclĂ©s. Ses yeux Ă©taient trĂšs brillants, il Ă©manait d'eux une lueur Ă  la fois sexy et espiĂšgle. D'ailleurs, elle ne pouvait l'expliquer mais il Ă©manait de lui quelque chose d'Ă©trange ou plutĂŽt de particulier. Quelque chose qu'elle ne parvenait pas Ă  dĂ©terminer mais qui faisait de lui quelqu'un de diffĂ©rent, diffĂ©rent de tous les hommes qu'elle avait frĂ©quentĂ©. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce le jeu de cache-cache qu'il y avait entre eux et qui les liait d'une façon particuliĂšre. Ou peut-ĂȘtre Ă©tait-ce simplement qu'il Ă©tait un illustre inconnu, qu'elle semblait d'une certaine maniĂšre connaĂźtre, sans, en rĂ©alitĂ© ne rien savoir de lui. Je crois que c'est toi qui a gagnĂ© ! Tu vas devoir choisir ton prix. Elle Ă©tait toujours dans l'amusement. Elle ne savait absolument pas de quoi elle parlait ou ce qu'elle semblait lui proposer. Mais ça lui Ă©tait venu comme ça. Comme quand elle lui avait filer son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. De toute façon avec lui, rien n'Ă©tait normal, rien n'Ă©tait contrĂŽlĂ©, calculĂ©, voulut. Tout venait comme ça. Mer 16 Sep 2020 - 1302 Cache-cache au pays de MickeyElle Ă©tait lĂ , finalement. Son visage se tourna vers moi alors que je portais un petit sourire mutin sur mes lippes. Enfin. Depuis combien de temps est-ce que nous nous cherchions au juste ? Trop longtemps, si l'on Ă©coutait les battements de mon coeur qui semblait Ă  prĂ©sent s'apaiser, maintenant que je l'avais retrouvĂ©e. A prĂ©sent, j'avais le loisir de la dĂ©tailler comme je le voulais. Elle Ă©tait rĂ©ellement ravissante, Autumn. Avec ses fines lĂšvres et son regard presque noir. Loin des standards, loin des midinettes qui croisaient habituellement ma route et finissaient dans mon lit avant d'avoir su dire ouf. C'Ă©tait diffĂ©rent. Elle Ă©tait diffĂ©rente. J'accrochais son sourire qui se fit plus franc, ces dents qui s'imprimĂšrent sur sa lĂšvre juste avant qu'elle ne me rĂ©ponde, que je retrouve enfin sa sourire s'illumina, amusĂ© par sa rĂ©partie. Je quittais briĂšvement son visage pour admirer le spectacle qui prenait de l'ampleur devant nous. Elle avait raison, finalement. C'est lorsque j'avais arrĂȘtĂ© de la chercher qu'elle m'Ă©tait apparue, comme Ă  chaque fois que nous nous croisions. C'est ainsi que ça marche entre nous. Elle rĂ©sumait trĂšs bien la situation. MĂȘme si je ne croyais pas au destin. A nouveau, je l'admirais, alors qu'elle me dĂ©taillait sans gĂšne, apprĂ©ciant visiblement ce qu'elle avait sous les yeux. Je me retins franchement de taper la pose pour ses beaux yeux. Autumn ne paraissait pas le genre de nana Ă  ĂȘtre facilement impressionnable par ce genre de choses. Au pire, cela pouvait la faire rire, mais j'avais beaucoup trop peur de la faire fuir, maintenant que j'avais rĂ©ussi Ă  la retrouver, pour de bon cette nouveau, sa voix se fit entendre Ă  travers la musique du spectacle qui nous Ă©tait offert. Une proposition. Une centaine d'idĂ©es perverses me traversĂšrent la tĂȘte, que je repoussais aussitĂŽt. Pas de ça avec elle, non. Je ne savais pas me l'expliquer, mais ce n'Ă©tait pas ce que je voulais. Je ne voulais pas gĂącher ce lien Ă©trange que nous avions crĂ©er entre nous pour une partie de jambes en l'air dans un coin, pour ne plus jamais la croiser aprĂšs. Ce qui Ă©tait trĂšs Ă©trange, me connaissant. Je pris le temps de la rĂ©flexion, les yeux vissĂ©s sur les danseurs qui faisaient leur show devant nos yeux, oubliant mĂȘme Ă  quel point j'avais envie de monter sur scĂšne moi aussi. Je mordillais ma lĂšvre, incertain, avant d'Ă  nouveau me tourner vers elle. Viens. »J'attrapais sa main pour la tirer Ă  ma suite, guidĂ© par mon instinct sans me poser de questions. Ma biĂšre se fracassa au sol sans que j'y fasse attention alors que je l'embarquais dans une course folle Ă  travers la foule. Tant pis pour le spectacle. Tant pis pour le reste du monde. Mes jambes s'emballaient Ă  travers le parc sous mon rire espiĂšgle, jusqu'Ă  s'arrĂȘter devant une attraction particuliĂšre. Impossible de me rappeler de son nom. C'Ă©tait un labyrinthe de miroirs. Une façon de continuer notre jeu de cache-cache Ă  notre maniĂšre. La tĂȘte levĂ©e sur la dĂ©coration de l'entrĂ©e, je me tournais vers elle pour lui offrir un sourire Ă©tincellant, puis l'entrainait Ă  l'intĂ©rieur. c DΛNDELION Jeu 17 Sep 2020 - 1728Pourquoi n'arrivait-elle pas Ă  dĂ©coller son regard de lui. Lui qui parvenait Ă  profiter du spectacle. Rhaaa c'Ă©tait pas son genre. Mais ... tout venait de lui ! Elle n'avait jamais Ă©tĂ© ainsi avant. Mais depuis son apparition dans sa vie elle avait l'impression de se conduire comme une adolescente. Bon d'accord, parfois, il lui arrivait d'ĂȘtre immature mais lĂ  ... ça frĂŽlait la gaminerie.*ArrĂȘte enfin ... tu m'fais honte ... qu'est-ce qui te prends ?*Peut-ĂȘtre parce qu'elle voulait graver son visage dans son esprit. Ou peut-ĂȘtre avait-elle peut qu'il ne disparaisse encore, tout d'un coup, alors elle en profitait. Ou peut-ĂȘtre ni croyait elle pas encore. Peut-ĂȘtre Ă©tait-il un rĂȘve qu'elle faisait Ă©veillĂ© pour pallier Ă  son ennui et sa vie si triste. Elle dĂ©posa alors sa main sur son bras, il Ă©tait rĂ©el. Il Ă©tait vraiment lĂ . La regard du jeune homme se posa Ă  nouveau sur elle. Et elle ne pu que lui sourire. Et admettre ... qu'il avait gagnĂ© la partie. Comme si tout depuis le dĂ©but n'Ă©tait qu'une partie de cache-cache comme aurait pu y jouer deux gamins. Car finalement, lui aussi, avait admis l'avoir cherchĂ©e de son cĂŽtĂ©. Elle n'Ă©tait donc pas seule dans ce dĂ©lire. Seule Ă  vouloir le voir, le retrouver, le connaĂźtre. Etaient-ils deux fous ? C'Ă©tait tout Ă  fait possible, mais elle s'en fichait pas mal et au moins pour une fois elle n'Ă©tait pas seule dans son dĂ©lire. Viens. »Quoiiiii ?!! Mais dĂ©jĂ , il avait attrapĂ© sa main et l'entraĂźnait avec lui. Ensemble ils prenaient la fuite. Encore une fois elle ne savait ce qu'elle faisait, elle ne savait pourquoi ils fuyaient mais elle adorait cela. Elle se sentait si lĂ©gĂšre, si heureuse. Jackie criait son prĂ©nom. Et elle s'en fichait. Elle profitait de l'instant prĂ©sent avec ce total inconnu. Et ... s'Ă©tait si bon. Elle qui avait une vie parfois si posĂ©e et ennuyeuse et Ă  l'opposĂ© parfois si difficile, cruelle. Depuis qu'il Ă©tait apparu comme un hologramme qui va et vient, elle se sentait comme ... libre. Comme si elle Ă©tait dans un rĂȘve et que rien n'Ă©tait vrai et donc que rien n'avait d'importance. Ils couraient la main dans la main sans savoir oĂč. Enfin, elle l'ignorait mais Alvario semblait connaĂźtre leur fou !!! On est cinglĂ©s ... Je sais mĂȘme pas qui tu es et ... j'M'EN FOU !!!!!Autumn Ă©clata de rire. Et enfin leur course folle s'arrĂȘta, ils Ă©taient arrivĂ© Ă  destination. Il s'agissait de l'attraction avec les labyrinthe en miroirs. Notre infirmiĂšre se mordilla la lĂšvre infĂ©rieure, se mit Ă  sourire et le regarda dans les yeux. Cette attraction avait un sens pour elle. Enfin, seulement avec lui, car sinon ce ne serait qu'un jeu. Mais, ici, Ă  cet instant, avec lui. Ce jeu Ă©tait leur histoire. Attrapes-moi si tu peux !! Elle dĂ©posa un baiser rapide sur sa bouche et puis elle lĂącha sa main pour s'engouffrer dans l'attraction. ils n'avaient mĂȘme pas payĂ©, n'avaient donc pas de tickets mais elle s'en fichait, elle courait dans le jeu. Et elle tentait d'avancer le plus vite possible, sans trop se blesser, car souvent elle tapait dans un miroir. Elle ne pouvait s'empĂȘcher de rire et de regarder derriĂšre elle. Elle se sentait enivrĂ©e quand elle l'apercevait non loin. Ven 18 Sep 2020 - 305 Cache-cache au pays de MickeyElle rit, Autumn, elle crie Ă  travers la foule Ă  quel point nous sommes fous alors que je l'entraine dans ma course folle Ă  travers le parc. L'adrĂ©naline de ma folie Ă©chauffe mes jambes qui avalent la route alors qu'elle me suit. Son rire Ă©clate Ă  travers le vent. Il chante Ă  mes oreilles. Elle s'en fou, de qui je suis. On s'en fou, de qui nous sommes, ça n'a aucune importance. Pas la moindre. Ce qui en a, ce sont les idĂ©es folles que notre rencontre si attendue Ă©veille en nous. L'extravagance de mon geste imprĂ©visible, sa main dans la mienne et mon coeur qui s'envole. L'art de tout oublier de nos vies, de nos amis, de tout ce qui nous entoure, le temps d'un pas s'arrĂȘtent devant le manĂšge. Mon regard espiĂšgle tombe sur elle, qui se mord la lĂšvre avant de sourire, entrainant le mien qui s'Ă©tire encore et encore, semblant ne plus vouloir se faner. Ses prunelles me trouvent, une fraction de seconde avant que sa voix me lance un dĂ©fi qui fait pĂ©tiller mon Ăąme. Elle m'embrasse, Autumn, elle goĂ»te mes lĂšvres pour la premiĂšre fois dans un baiser volĂ©. Trop chaste, trop frustrant, trop surprenant. Horriblement exaltant. La surprise me cloue sur place. Sa main me relĂąche. Je la suis du regard alors qu'elle s'enfonce dans l'attraction. Mes pieds agissent Ă  ma place pour s'Ă©lancer Ă  sa poursuite. J'entends son rire Ă  travers le labyrinthe. Mes yeux attrapent son reflet, qui se rĂ©pĂšte tout autour de moi jusqu'Ă  m'en rendre dingue. J'avance, cours aprĂšs la jeune femme en mĂȘlant mon rire au sien. Plus d'une fois, je vais trop vite. Plus d'une fois, je me fracasse presque contre les miroirs qui crissent sur mon passage. Plus d'une fois, je pense la surprendre alors que son reflet m'Ă©clate de rire au nez, avant de disparaitre aussitĂŽt. Je croise son regard muni de la mĂȘme frĂ©nĂ©sie, lui qui me dĂ©fie de la rattraper plus vite, pour en avoir encore. Pour ne plus la laisser s'Ă©chapper. Plus s'arrĂȘte. Je la fixe alors qu'elle me fait face. Le coeur battant, sourire aux lĂšvres, j'approche alors qu'elle recule. Et puis, elle disparait Ă  nouveau, s'Ă©vade avant mĂȘme que j'ai pu croire que c'Ă©tait elle et pas une de ses copies. Elle va me rendre fou, Ă  jouer ainsi avec mes nerfs et ma frustration. J'y suis presque. Mes doigts la frĂŽlent mais manque leur cible Ă  chaque fois. Elle est vive, elle s'envole et s'Ă©chappe de ma prise tel le vent. Insaisissable. Enfin, le labyrinthe se referme sur nous. Un cul de sac. Elle est piĂ©gĂ©e, entourĂ©e par ses copies parfaites, Ă©clairĂ©es par les spots qui veillent sur nous. La course folle de mon coeur bat contre mes oreilles. Je reprends mon souffle alors qu'elle se retourne pour me faire face. Elle n'a plus d'Ă©chappatoire. Il n'y a plus que moi, qui m'avance lentement vers elle. Je suis incapable de la lĂącher des yeux. Rien qu'un instant, alors que j'approche Ă  pas de loup. Mon corps se fond presque contre le sien. Il entretien la tension. Mes prunelles brillent d'excitation, elles brĂ»lent de la retrouver Ă  nouveau. Sans un mot, je rĂ©cupĂšre sa bouche, rĂ©duit Ă  nĂ©ant la distance qui nous sĂ©pare encore. Mes doigts glissent Ă  sa rencontre. Ils la dĂ©couvrent sous les frissons qui m'assaillent. Ma langue ne tarde pas Ă  la chercher, pour approfondir notre baiser encore trop chaste. C'est de la folie. Ça pĂ©tille dans chaque fibre de mon ĂȘtre Ă  m'en faire perdre la tĂȘte. Il n'y a plus rien. Plus rien d'autre qu'elle Ă  cet instant. c DΛNDELION Ven 18 Sep 2020 - 1330Autumn est une femme libre et libĂ©rĂ©e qui tente par tous les moyens de vivre sa vie comme elle l’entend. Elle est positive, pleine de vie et profite au maximum. Mais malgrĂ© son Ă©tat d’esprit, la vie, son mĂ©tier et parfois les autres la ramĂšnent souvent Ă  une rĂ©alitĂ© moins lĂ©gĂšre mais plus difficile, plus sombre. Cependant, depuis l’apparition de ce bel inconnu dans sa vie. Tout est soudain devenu diffĂ©rent. Il Ă©tait comme un ĂȘtre magique, un fantĂŽme qui venait mettre du piquant Ă  sa vie. Qui lui donnait envie de se lever le matin dans l’espoir de peut-ĂȘtre le croiser. Car le dĂ©sir de le croiser Ă  nouveau, de le connaĂźtre, d’attraper ce rĂȘve volatile et Ă©phĂ©mĂšre donnait du peps Ă  sa vie de plus en plus monotone. Alors quand il prit sa main, elle n’a absolument pas voulu rĂ©sister, au contraire, elle Ă©tait envahie par le dĂ©sir de fuir avec lui. Car Ă  cet instant prĂ©cis son cƓur se mettait Ă  battre la chamade et ça faisait si longtemps qu’il ne s’était pas exprimĂ© de cette maniĂšre. Elle ne savait pas qui il Ă©tait, d’oĂč il venait, mais elle n’avait pas peur de lui. Il rĂ©veillait en elle l’adolescente qu’elle avait Ă©tĂ©. Il lui faisait vivre Ă  nouveau l’insouciance, le plaisir, le dĂ©sir, le jeu. Elle se laissait porter par les sentiments et les dĂ©sirs qu’il faisait naĂźtre en elle. Et quand elle vit l’endroit oĂč il la menait, quand elle croisa son regard, aperçut son sourire. Elle se laissa aller. Elle s’approcha de lui, pour lui voler un baiser 
 fugace. Puis elle lĂącha sa main et s’échappa, lui lançant un dĂ©fi au passage. Celui de l’attraper. Et s’il le relevait ce dĂ©fi ? Et s’il y parvenait que se passerait-il ? SincĂšrement, elle en avait aucune idĂ©e car elle ne pensait pas autant, elle ne pensait pas si loin, elle se laissait guider par son corps et son cƓur et non sa tĂȘte. Rien n’était rĂ©flĂ©chit, calculĂ©, tout Ă©tait improvisĂ©, sur l’instant. Elle Ă©tait aussi ainsi Autumn. Et Alvario, aussi, sĂ»rement. Car il la suivait, il courait aprĂšs elle. Semblant faire son maximum pour la rattraper. Il y allait tellement pour de vrai, qu’il se cognait parfois. Et elle s’arrĂȘtait, croisait son regard, son reflet. Elle Ă©tait soudain comme une tentation de plus. Puis elle filait, s’échappait Ă  nouveau. Parfois, elle se stoppait seulement pour le regarder pour ĂȘtre certaine de ne pas le perdre de nouveau. Et quand il la regardait, elle se sentait bien, puis soudain son regard se changeait, une lueur de provocation apparaissait, son sourire se faisait joueur, elle riait Ă  en faire vibrer les miroirs. Il n’était plus trĂšs loin. Mais elle Ă©tait persuadĂ©e de pouvoir gagner, de pouvoir sortir avant qu’il ne la rattrape. Quand 
 soudain 
 elle tĂątait les parois de verre. Aucune sortie, elle Ă©tait dans un cul de sac. Elle se tourna pour sortir mais il Ă©tait lĂ . PlantĂ© devant elle. Bloquant la seule sortie. Il venait de la prendre au piĂšge. A nouveau elle se mit Ă  rire. Je crois que j’ai encore regard plongeait dans le sien, alors qu’il s’approchait doucement d’elle. La distance entre eux n’était pas si grande et pourtant son avancĂ©e lui semblait interminable, comme au ralenti. Des papillons naissaient dans son corps. Et durant tout ce temps son regard l’hypnotise. Et, soudain, ces frissons qui envahissent son corps quand, enfin, il la frĂŽle, la touche, se colle tout contre elle. La chaleur qui se propage en elle, alors que ses lĂšvres prennent possession des siennes. Leurs langues s’unissant pour une danse endiablĂ©e. Leurs corps bougent, elle se retrouve plaquĂ©e contre une des parois. Mais soudain, la fin. Le choc total. Jackie vient de pousser violemment Alvario pour les faire se dĂ©tacher. JACKIE ! Qu'est-ce qui te prends ? Bon sang !Non mais ça va pas vous deux ? Tu es qui toi ? C’est pas un truc Ă  faire dans un jeu pour les gosses . DĂ©gages !!Il attrape le bras d'Autumn qui se dĂ©bat physiquement et verbalement mais il n’écoute rien. Il est plut fort et tout se dĂ©roule trĂšs vite. Il l’entraĂźne Ă  l’extĂ©rieur. OĂč se trouve le reste du groupe, qui les regardent mĂ©dusĂ©s, sans rien comprendre Ă  la situation. Mais Autumn ne veut pas suivre et Jackie qui s’énerve un peu plus, la jalousie bouillonnant dans ses veines. Il se baisse, la place sur son Ă©paule, la soulĂšve et l’embarque comme si elle n'Ă©tait qu'une enfant prise sur le fait par son agis comme une idiote. Tu ne le connais mĂȘme pas. C'pas toi ça ... puis il est tard, on t'a cherchĂ© partout. ON RENTRE !!! Ven 18 Sep 2020 - 1419 Cache-cache au pays de MickeyNos bouches se rĂ©pondent, elles s'Ă©veillent, s'allument et s'usent l'une contre l'autre. Le manque de souffle de nous effleurent mĂȘme pas. L'excitation gonfle entre nous alors que mon corps la plaque contre le miroir derriĂšre elle. La chaleur se diffuse dans mon ventre, le long de mon ĂȘtre qui la rĂ©clame dĂ©jĂ . C'est de la passion brute, atone, qui dĂ©passe la logique. Ça me transperce de toute part, comme un rĂȘve devenant ma rĂ©alitĂ©. C'est ça s'arrĂȘte. En un coup. On me tire en arriĂšre, on m'arrache Ă  elle sans que je m'y attende. Mon dos atterri avec fracas contre un miroir, faisant claquer mes dents sur ma langue. Mes yeux se ferment briĂšvement pour accuser le choc, puis se rouvre sur la sale gueule du mec qui vient de me faire voler. Tout va trop vite. Il est dĂ©jĂ  sur elle alors qu'elle se dĂ©bat. Il l'emmĂšne loin de moi, la tire Ă  sa suite alors qu'elle proteste. Mon corps se dĂ©colle Ă  peine du reflet pour tenter de l'attraper au vol, mais mes doigts glissent sur son haut. Elle s'envole en un souffle. J'hĂ©site. Trop longtemps. Mes pieds restent figĂ©s sur place. Mon regard se heurte sur ce gars qui la porte comme si elle n'Ă©tait qu'une poupĂ©e de chiffon. Je boue de l'intĂ©rieur. J'ai envie de courir, de la rattraper, de provoquer ce gars qui m'a arrachĂ© mon rĂȘve, mais c'est trop tard. Ils ont dĂ©jĂ  disparu. Je n'ai mĂȘme pas pu croiser son regard une derniĂšre dos retrouve la surface dure. Mon corps se font contre elle, complĂštement sonnĂ©. Une main glisse dans mes cheveux pour tenter de me remettre les idĂ©es en place. Tout est allĂ© si vite. Trop vite. Je frĂŽle mes lĂšvres du bout de mes doigts. Je porte encore le goĂ»t de sa langue sur mon palet. Je mordille ma lĂšvre en relevant les yeux vers l'endroit oĂč elle a disparu. Je la retrouverais. Nos chemins se re-croiseront. Il ne peut pas en ĂȘtre autrement. Ça ne peut pas se finir comme ça. Ce n'est que le c DΛNDELION Cache-Cache au pays de Mickey - AlvarioPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

DĂ©solĂ© ma coloc est une fille cash qui ne mĂąche pas ses mots, elle supporte pas d'ĂȘtre qualifiĂ© avec des mots qu'elle trouve pĂ©joratif, mais sinon elle est gentille. - Ça ne me gĂȘne pas au contraire, je la trouve bien sympathique. Elle a du mordant et j'aime ça. - Ça c'est sur, Jeanne c'est un peu qui s'y frotte s'y pique.
Ils ne vous apprennent pas Ă  baiser comme ça au lycĂ©e, mais elles apprennent Was this page helpful? Yes No Performance & security by Cloudflare You do not have access to site owner may have set restrictions that prevent you from accessing the site. Contact the site owner for access or try loading the page access policies of a site define which visits are allowed. Your current visit is not allowed according to those the site owner can change site access policies. Ray ID 738f6c7758b38e6b 738f6c7758b38e6b Copy Falls die Wiedergabe nicht in KĂŒrze beginnt, empfehlen wir dir, das GerĂ€t neu zu die du dir ansiehst, werden möglicherweise zum TV-Wiedergabeverlauf hinzugefĂŒgt und können sich damit auf deine TV-Empfehlungen auswirken. Melde dich auf einem Computer in YouTube an, um das zu dem Versuch, Informationen zum Teilen abzurufen, ist ein Fehler aufgetreten. Versuche es bitte spĂ€ter noch / 1342 ‱ VollstĂ€ndiges Video ansehen LiveCopywrite Chiarashine Photography, LLC Isabell Lin Vous ne pouvez visionner ce contenu car vous avez refusĂ© les cookies associĂ©s aux contenus issus de tiers. Si vous souhaitez visionner ce contenu, vous pouvez modifier vos choix . Je parle de la tendance actuelle qui voit les femmes asiatiques en couple avec des Blancs. La perpĂ©tuation du fĂ©tichisme asiatique."Oh non, encore un couple avec une asiatique et un Blanc", ai-je grognĂ© en lĂąchant la main de mon dĂ©teste quand je fais ça. Et moi aussi, vraiment. Je sais que c'est cruel et autodestructeur mais, dĂšs que je vois un autre couple mixte du mĂȘme type que nous, une partie de moi s'Ă©teint. Nous vivons Ă  San Francisco, et ça arrive hyper souvent. Dans ces moments-lĂ , j'aimerais que nous ne soyons pas en couple, qu'il soit mon meilleur ami homosexuel ou que nous ayons fondĂ© une start-up ensemble, que ce soit lui, l'Asiatique, que les gens ne sachent pas vraiment d'oĂč nous venons, ou que je puisse me fondre dans le bitume du trottoir, devenir un ver de terre, libre de frĂ©quenter n'importe qui sans se soucier du regard de la honte n'est pas le sentiment le plus sage ni le plus mature, mais elle est indubitablement lĂ . "ArrĂȘtez!" a-t-elle envie de crier Ă  ces couples. "Vous ne voyez pas que plus on est nombreux, plus c'est nul?"Je parle de la tendance actuelle qui voit les femmes asiatiques en couple avec des Blancs. La perpĂ©tuation du fĂ©tichisme premiĂšre fois que j'ai entendu ce terme, fĂ©tichisme asiatique, j'Ă©tais la seule Chinoise de mon Ă©cole. Mes camarades de classe Ă©taient ensemble depuis le cours Ă©lĂ©mentaire. Ils s'Ă©changeaient des mots d'amour et des compilations d'Alanis Morissette. J'ai attendu longtemps ma cassette de Jagged Little Pill , mais je n'ai jamais rien reçu en CM2. Ni en 6 e , ni en 5 e , ni en 4 e .Finalement, pendant la 3 e , un garçon trĂšs sportif et populaire m'a envoyĂ© un mail pour la Saint-Valentin, qui avait pour sujet "NE MONTRE ÇA À PERSONNE." En message, il avait Ă©crit un poĂšme vraiment naze pour savoir si je voulais sortir avec lui. Ma seule rĂ©action a Ă©tĂ© de me dire "Ouah, je plais Ă  quelqu'un!" Sa grammaire laissait Ă  dĂ©sirer mais j'ai dit par nos camarades que j'ai appris le terme fĂ©tichisme asiatique. Des amis m'ont dit qu'il en Ă©tait atteint depuis un moment. N'ayant pour ma part entendu parler que de fĂ©tichisme des pieds, j'ai vite compris ce que cela impliquait l'attirance pour une personne d'origine asiatique avait quelque chose de bizarre et d'excentrique. DĂ©couvrir trĂšs jeune que quelqu'un vous aime par fĂ©tichisme, c'est apprendre qu'on est Ă©trange, anormale. J'ai cru que pour ĂȘtre attirĂ© par moi, il fallait ĂȘtre pervers. J'ai commencĂ© Ă  considĂ©rer les Asiatiques comme des femmes moins dĂ©sirables, et Ă  repousser tous ceux Ă  qui je si je suis vaguement sortie avec ce garçon, il disait beaucoup de choses qui me dĂ©goĂ»taient. Mes amis ne s'Ă©taient pas trompĂ©s sur son fĂ©tichisme. "Je trouve que les Asiatiques sont moins superficielles que les autres", m'a-t-il dit un pensais que ça s'amĂ©liorerait Ă  la fac, mais dĂšs qu'un garçon non-asiatique se montrait intĂ©ressĂ©, des bruits circulaient "Il paraĂźt qu'il avait une copine mĂ©tisse asiatique au lycĂ©e", "Il a pris des cours de japonais au semestre dernier", "Il adore les sushis. Genre, vraiment beaucoup."C'Ă©tait parfois compliquĂ© de repĂ©rer les signaux d'alerte, mais les compliments dĂ©placĂ©s Ă©taient de bons indicateurs. "Tous les Blancs et les Asiats sont jaloux que je sois avec toi", m'a dit mon premier copain de fac. MĂȘme Ă  l'Ă©poque, je me suis demandĂ© pourquoi il prĂ©supposait que je ne pouvais plaire qu'Ă  des Blancs ou des Asiatiques. À cause de mes origines, bien sĂ»r. Les compliments racistes montrent que les gens ne vous voient pas comme un individu, mais comme appartenant Ă  un m'a fallu un bon moment pour le comprendre. Et puis, au cours de mes Ă©tudes, j'ai rencontrĂ© mon premier copain asiatique, qui est devenu mon mari. Malheureusement, il est aussi devenu mon ex-mari. AprĂšs cette relation, j'ai frĂ©quentĂ© un autre Asiatique. Autant dire que j'ai passĂ© dix ans sans jamais penser aux Blancs ou au fĂ©tichisme que j'ai rencontrĂ© mon fiancĂ©, j'y pense tous les est entrĂ© dans ma vie Ă  un moment oĂč j'avais dĂ©cidĂ© de renoncer aux hommes. J'avais passĂ© toute ma vie d'adulte en couple , et je voulais prendre du temps pour moi. "CĂ©libataire pour cinq ans!" avais-je annoncĂ©. C'Ă©tait mon but, et j'en Ă©tais fiĂšre. Onze mois plus tard, il s'est pointĂ© chez venait pour une soirĂ©e que j'organisais, et il ne m'a pas draguĂ©e. Il m'a posĂ© des questions, et a Ă©coutĂ© mes rĂ©ponses. On s'est dĂ©couvert de nombreux points communs mĂȘme universitĂ©, mĂȘmes Ă©tudes, gauchers tous les deux, passionnĂ©s d'Ă©criture, on ne buvait pas d'alcool et on ne supportait ni l'un ni l'autre les plats Ă©picĂ©s. Une amie que l'on adorait tous les deux Ă©tait malade Ă  l'Ă©poque, et on allait ensemble lui rendre visite Ă  l'hĂŽpital. Un soir, on s'est retrouvĂ©s seuls tous les deux. Je lui ai parlĂ© de mon projet de rester cĂ©libataire pendant longtemps, en lui disant qu'on ne pourrait ĂȘtre que des amis. Il m'a rĂ©pondu qu'il avait sincĂšrement envie de plus, mais qu'il respecterait mes choix. Il n'a jamais forcĂ© les choses, mais on a continuĂ© Ă  se voir, Ă  se poser des questions et Ă  Ă©couter les rĂ©ponses de l'autre. On ne s'ennuyait que j'envisageais de renoncer Ă  mon boycott des relations, mes vieux fantĂŽmes sont rĂ©apparus. "Il a toujours frĂ©quentĂ© des femmes asiatiques." "Tu sais combien de copines asiatiques il a eues?" "Il est peut-ĂȘtre simplement fĂ©tichiste."Je l'ai pris entre quatre yeux et je lui en ai parlĂ©."Je n'avais jamais vu ça sous cet angle!" a-t-il insistĂ©. "J'ai grandi Ă  Cupertino, et beaucoup de mes camarades Ă©taient Asiatiques. Toutes mes copines n'Ă©taient pas asiatiques ... mais c'est vrai que la plupart l'Ă©taient. Je n'y avais jamais pensĂ©."J'ai levĂ© les yeux au ciel. Les hommes blancs ont la chance de ne pas avoir Ă  penser au racisme dans leur vie quotidienne. Moi, je commençais Ă  en faire une obsession. Je ne pouvais pas sortir avec un fĂ©tichiste des Asiatiques, parce que ça m'aurait rendue complice d'un modĂšle profondĂ©ment ancrĂ© dans la violence et la colonisation. Je m'efforçais d'ĂȘtre une femme progressiste et indĂ©pendante, et un petit ami fĂ©tichiste des Asiatiques n'avait pas sa place dans ma il ne m'avait jamais fait un seul compliment sur mes origines ni manquĂ© de respect. Je savais que c'Ă©tait une bonne personne, qui cherchait tous les jours Ă  s'amĂ©liorer. C'est le partenaire que je voulais, le genre d'homme difficile Ă  suis donc revenue vers lui en lui donnant du travail Ă  faire. "Tu peux rationaliser tes relations passĂ©es autant que tu veux", lui ai-je dit un soir au lit au passage, est-ce que les Asiatiques sont douĂ©es pour les conversations sur l'oreiller? Parce que je trouve que je dĂ©chire. "Mais tu ne peux pas nier que ça puisse paraĂźtre bizarre. Surtout, mets-toi Ă  la place des filles avec qui tu es sorti. Imagine que tu ne sois qu'un homme parmi d'autres qui te ressemblent en tous points, comme si vous Ă©tiez interchangeables. C'est trĂšs dĂ©valorisant."D'ordinaire sur la dĂ©fensive serait-ce un trait de caractĂšre propre aux hommes blancs sexys?, il a pris ma demande trĂšs au sĂ©rieux. Il m'a posĂ© des questions et Ă©coutĂ© mes rĂ©ponses. On a discutĂ© non seulement des dynamiques qui existent entre les femmes asiatiques et les hommes blancs, mais Ă©galement de l'image injustement nĂ©gative des hommes asiatiques, et du retour de bĂąton qu'ont subi des personnalitĂ©s telles que Constance Wu et Chloe Kim pour ĂȘtre sorties avec des Blancs. C'Ă©tait une discussion gĂȘnante, mais qui dure depuis des nous sommes encore ensemble, c'est parce que je sais qu'il m'aide Ă  gĂ©rer cette gĂȘne. Si nous rencontrons trois couples homme blanc-femme asiatique Ă  la suite et que je demande "SĂ©rieux, c'est quoi, ce truc?" il ne feint pas de ne pas avoir remarquĂ©. Il fait un effort pour ne pas me laisser seule dans les aspects embarrassants de notre amour, et je fais un effort pour ne pas lĂącher sa main. Nous ne sommes pas parfaits. Mais quand la honte se dissipe, je me dis que j'aime ce qu'on est tous les blog, publiĂ© sur le HuffPost amĂ©ricain , a Ă©tĂ© traduit par Typhaine Lecoq-Thual pour Fast ForWord .Inscrivez-vous Ă  la newsletter quotidienne du HuffPost et recevez par email les infos les plus importantes et les meilleurs articles du jour En vous inscrivant Ă  ce service, vous acceptez que votre adresse mail soit utilisĂ©e par le Huffington Post, responsable de traitement, pour la gestion de votre inscription Ă  la newsletter. ConformĂ©ment Ă  la loi du 06/01/1978 modifiĂ©e et au RĂšglement europĂ©en n°2016/679/UE du 27/04/2016, vous bĂ©nĂ©ficiez d’un droit d’accĂšs, de modification, de portabilitĂ©, de suppression et d’opposition au traitement des informations vous concernant, que vous pouvez exercer auprĂšs de dpo . Pour toute information complĂ©mentaire ou rĂ©clamation CNIL MENU Principal Guides des finances Guides des finances RĂ©ponses Guides des finances Comment rĂ©pondez-vous Ă  un baiser volant? CatĂ©gories Populaires Guides des finances Guides des finances Guides des finances RĂ©ponses Vous pouvez rĂ©pondre avec un baiser volant et un sourire. C'est assez courant en Italie. Les filles le font juste comme un adieu charmant. Il n'a pas de signification doucement avec seulement deux doigts sous le menton, ou seulement deux doigts ou un doigt et un pouce sur sa joue. Plus que cela semble puissant. 2 Gardez-le lĂ©ger. Les images de baisers les plus intimes et les plus fantaisistes sont celles oĂč vos lĂšvres ne sont qu'Ă  quelques centimĂštres l'une de l' un baiser Ă  quelqu'un est une façon de montrer de l'affection au moment de dire au revoir. Si vous ĂȘtes trop loin pour leur donner un baiser physique, vous pouvez embrasser un ami ou un ĂȘtre cher dans les airs », et ils comprendront que vous envoyez de l'amour. embrasser la paume de sa main et Ă©loigner rapidement la main de sa bouche dans un mouvement de la main vers quelqu'un Elle m'a jetĂ© un baiser et m'a dit au winky-kissy jetant un baiserEmoji Visage Bisous 😘 SIGNIFICATION Il a des sentiments pour vous. Nous savons tous que les gars sont mauvais avec leurs Ă©motions
 C'est gĂȘnant pour eux d'exprimer leur amour. Alors ils aiment se la jouer cool. C'est exactement ce qu'un gars fait quand il vous envoie l'emoji Kissy que ça veut dire quand un mec te tient la tĂȘte ? Cela signifie que le gars veut toute votre attention; il veut s'assurer que vous ĂȘtes clairement absorbĂ© par le baiser qu'il vous donne. Il veut vous montrer de l'amour et de l'affection avec ce genre de baiser parce que vous comptez beaucoup pour lui. C'est une bonne chose!Se bĂ©coter! Mwah ! Le visage winky-kissy jetant un baiser emoji, ou visage embrassant, est principalement utilisĂ© pour exprimer une affection romantique ou une apprĂ©ciation pour quelqu'un ou quelque chose."L'acte d'envoyer des baisers est nĂ© en MĂ©sopotamie comme un moyen de gagner la faveur des dieux", Ă©crit-il. "En Perse, un homme de rang Ă©gal Ă©tait accueilli avec un baiser sur les lĂšvres et un de rang lĂ©gĂšrement infĂ©rieur avec un baiser sur la joue." Plus la partie du corps embrassĂ©e est basse, plus le rang de celui qui embrasse est preuve la plus ancienne d'un comportement de type baiser provient de textes hindous vĂ©diques sanskrits datant d'il y a plus de 3 500 ans. S'embrasser Ă©tait dĂ©crit comme inhalant l'Ăąme de l'autre. En revanche, les hiĂ©roglyphes Ă©gyptiens reprĂ©sentent des personnes proches les unes des autres plutĂŽt que de serrer les donc quelques signes qu'il veut un deuxiĂšme baiser
 et il le veut bientĂŽt !Le baiser des mains est un geste indiquant la courtoisie, la politesse, le respect, l'admiration ou mĂȘme la dĂ©votion d'une personne envers une autre. Cependant, les lĂšvres ne touchent pas rĂ©ellement la main dans la tradition moderne, en particulier dans un environnement formel oĂč toute nuance intime ou romantique pourrait ĂȘtre trĂšs amis font beaucoup de choses pour se montrer de l'affection, comme s'embrasser sur les joues, le front ou se faire des cĂąlins ou tout autre type de contact physique non sexuel. En ce qui concerne le fait de s'embrasser sur les lĂšvres, cela montre une forme d'intimitĂ©, mais si vous ĂȘtes Ă  l'aise avec cela, c'est tout Ă  fait la main d'un ancien ou d'une personnalitĂ© estimĂ©e avant de mettre la main sur le front est un geste de respect dans la culture turque. Un homme s'est approchĂ© de Davutoğlu pour le fĂ©liciter peu aprĂšs le discours et lui a embrassĂ© la main Ă  un moment apparent d'inattention de la part du Premier ministre Turcs ont l'habitude d'enlever leurs chaussures avant d'entrer chez eux. Ne soyez pas gĂȘnĂ© si vous rendez visite Ă  une famille turque et voyez dans l'entrĂ©e de la maison ou mĂȘme devant la porte principale beaucoup de chaussures ! La raison est bonne et simple la propretĂ© !Par rapport Ă  la langue turque, il existe de nombreux mots communs entre les deux langues. En ce qui concerne la grammaire, le turc est un peu difficile mais plus facile que l'arabe. L'arabe est beaucoup plus difficile. pour apprendre l'arabe vous apprenez d'abord une version obsolĂšte puis vous apprenez un dialecte , donc , en d'autres termes , vous apprenez 2 langues !Pourquoi le turc n'est-il pas difficile Ă  apprendre ? La langue turque utilise l'alphabet latin et elle est phonĂ©tique. En d'autres termes, vous prononcez les mots turcs exactement comme vous les Ă©crivez. Ainsi, la premiĂšre Ă©tape dans l'apprentissage du turc devrait ĂȘtre d'apprendre correctement l'alphabet et les © Copyright. All right reserved. - 2022 Il baise la fille et la mĂšre. Quelle chance !Une mĂšre cĂ©libataire a besoin de sexeUne brunette au corps magnifique apprĂ©cie le bon sexe
Everyones damaged Tell me something. Aren't you tired trying to fill that void ? TW : sexe, drogue, relation toxique, mots crus Les fenĂȘtres ouvertes laiss
Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-LardAshton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Dim 24 Juin - 1928 Le charme d'Ashton fit comme prĂ©vu son effet trĂšs rapidement. S'il Ă©tait du genre Ă  se vanter il aurait pu dire qu'au fil du temps cela devenait lassant et qu'il aurait parfois prĂ©fĂ©rĂ© avoir un peu de challenge, mais ce serait mentir et il n'Ă©tait pas un menteur. Le sorcier apprĂ©ciait volontiers les facilitĂ©s que la vie lui avait accordĂ© au niveau de la sĂ©duction entre autre. C'Ă©tait probablement grĂące Ă  cela qu'il avait pu rĂ©pandre aussi facilement ses gĂšnes. En mĂȘme temps ce n'Ă©tait que justice qu'il possĂšde quelques qualitĂ©s Ă©lĂ©mentaires pour contrebalancer son passĂ© sombre et mystĂ©rieux. Ce n'Ă©tait pas facile tous les jours d'avoir perdu toute sa famille dans un incident tragique comme cela avait Ă©tĂ© son cas. Heureusement que l'une de ses sƓurs avait survĂ©cu, mĂȘme si elle Ă©tait actuellement encore dans le coma en attendant d'ĂȘtre rĂ©animĂ©e pour des besoins narratifs. S'il y avait bien une chose qu'on ne pouvait pas reprocher Ă  Ashton c'Ă©tait d'avoir su aller de l'avant malgrĂ© les difficultĂ©s. Cette capacitĂ©, il la devait probablement Ă  son QI de 287 qui lui avait permis d'obtenir ses ASPICs sans mal alors qu'il avait manquĂ© la moitiĂ© de sa derniĂšre annĂ©e Ă  Poudlard. Mais revenons-en Ă  nos PrĂ©pare-toi Ă  passer la meilleure nuit de ta s'Ă©tait approchĂ©e et venait Ă  prĂ©sent de s'installer Ă  califourchon sur ses jambes. C'Ă©tait une situation qui convenait plutĂŽt trĂšs bien Ă  l'ex-Gryffondor mĂȘme s'il ne s'attendait pas Ă  ce que son regard charmeur fonctionne de maniĂšre aussi efficace. Le sang-mĂȘlĂ© trouvait cela un peu louche la rapiditĂ© avec laquelle la jeune femme avait dĂ©cidĂ© qu'il n'Ă©tait pas un danger mais elle avait beaucoup de charme et il n'allait pas s'en plaindre. Naturellement, Ashton se rapprocha d'elle avant de l'embrasser comme elle n'avait jamais Ă©tĂ© embrassĂ©e. De rien, c'Ă©tait un cadeau de sa part. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Jeu 28 Juin - 1313 Alors j'Ă©tais Ă  l'aise sur ces jambes, de toute façon nuls doutes que si il Ă©tait un danger, il me faudrait moins de trois secondes pour le plaquer au sol et le livrer aux autoritĂ©s mangemorts, parce qu'ils Ă©taient tous mes amis super dark, on se retrouvait parfois le soir sur des terrains vagues pour souffler nos mĂšches en Ă©coutant de l'opĂ©ra, le tout en fumant des cigarette Vogue aussi longue que le nez du masque de voilĂ  l'union des lĂšvres roses pĂąles et piquante que bien peut pouvaient toucher de cette façon. Parce que les embrasser c'Ă©tait comme effleurer une fleur empoisonnĂ©e. S'approcher de moi ne garantissait pas la vie, parce qu'il y avait toujours cette colĂšre noir qui grondait en moi, symbole d'une multitude de frustrations dĂ» Ă  mon enfance passĂ©e enfermĂ©e dans les bibliothĂšque Ă  accumuler beaucoup de savoir, car 'javais eu bon espoir de devenir professeur Ă  l'Ăąge de neuf ans, mais il parait que cela m'Ă©tait impossible tant que ma majoritĂ© n'avait pas Ă©tĂ© coupje me laissealleren pensant en goutteen saut de ligne parce qu'il parait que ça accentue toute ma noirceur. Son baiser est passable, mais je le rends avec d'avantage de fougue, parce qu'il lui est interdit de me surpasser dans quelque domaine que ce soit, de toute façon il se rendra bien compte un peu plus tard que cela lui est impossible. Alors en l'embrassant je cherche oĂč j'ai pu voir son visage. Puis je comprends, je me souviens. alors je commence Ă  sourire en passant son tee-shirt par dessus sa tĂȘte. Car il a au moins le mĂ©rite d'ĂȘtre tout aussi tĂ©nĂ©breux que moi. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Jeu 5 Juil - 2308 Parmi les miracles divins encore visibles au vingt-deuxiĂšme siĂšcle, on pouvait compter les fois oĂč une semaine de grand beau temps Ă  Londres s'enchaĂźnait avec une autre semaine de grand beau temps, les fois oĂč un directeur de Poudlard ne mourait pas dans des circonstances dramatiques en cours de fonction, et Ă©videmment Ashton Parker. Il essayait du mieux qu'il pouvait de rester humble malgrĂ© sa condition mais c'Ă©tait parfois bien difficile. MĂȘme pour son entourage, cela avait dĂ» ĂȘtre terriblement dur de vivre et mourir constamment dans son ombre. Il savait d'ailleurs trĂšs bien qu'Ă  sa naissance sa mĂšre avait pleurĂ© parce qu'elle savait dĂ©jĂ  qu'elle ne serait jamais meilleure que lui, la pauvre. *signe de croix en levant les yeux au ciel*Il en allait de mĂȘme pour les diffĂ©rents partenaires du sang-mĂȘlĂ©. Il lui arrivait de temps Ă  autre de prendre du bon temps mais la plupart de ses conquĂȘtes devaient avoir un arriĂšre goĂ»t amĂšre en pensant au fait qu'il ne connaĂźtraient plus jamais un aussi bon orgasme de leur vie. Parfois, lorsqu'il lui arrivait de s'ennuyer entre un mĂ©fait particuliĂšrement malicieux et une apparition publique Ă©blouissante, l'ex-Gryffondor pensait Ă  tous ces gens qui croisaient son chemin et dont la vie serait Ă  tout jamais en parlant de Gryffondor, ce n'Ă©tait pas pour rien qu'il Ă©tait allĂ© lĂ -bas puis que c'Ă©tait la maison dans laquelle on retrouvait tous les sorciers aux pouvoirs et talents hyper cheatĂ©s et agaçants comme lui. Pour en revenir Ă  l'action du moment, Ashton venait de donner le meilleur baiser de sa vie Ă  une inconnue qui le lui rendait assez acceptablement. Elle ne pouvait d'ailleurs pas s'empĂȘcher de lui enlever son t-shirt, ce qui paraissait normal puisqu'elle souhaitait admirer son magnifique torse. Le sorcier fit de mĂȘme pour le haut de la jeune femme avant de retirer son soutien-gorge en quelques instants parce qu'il Ă©tait trop douĂ© et que s'il avait voulu il aurait largement pu le faire mĂȘme sans les mains. Et puis bon il fallait bien admettre que sa conquĂȘte du soir valait le dĂ©tour. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Dim 8 Juil - 1623 Il est des choses inoubliables, Ă©blouissantes, si dĂ©concertantes qu'on oublie de les saisir dans l'instant et que l'on regrette. Il Ă©tait trĂšs clair que l'inconnu regretterait Ă  jamais de n'avoir pu me saisir et me garder Ă  ces cĂŽtĂ©s toute sont existence afin d'avoir au moins le privilĂšge de vivre dans l'ombre majestueuse qu'est la mienne. Mais je suis insaisissable, j'ai de nombreux de part mes performances exceptionnelles, mais personne ne peut toucher mon cƓur de glace. Il a Ă©tĂ© brisĂ© parun amour impossible et au moins tout aussi dramatique d'une tragĂ©die shakespearienne. VoilĂ  ses mains qui glissent sous mon haut et entreprennent de me l'ĂŽter, et je pense une seconde Ă  le prĂ©venir que mon torse pĂąle l'Ă©blouira Ă  coup sĂ»rs, tant de splendeurs que de ces cicatrices multiples qui me font paraĂźtre si badass. Il y avait en effet de quoi ĂȘtre mille fois admiratif. alors j'expose mes fĂȘlures pour montrer que j'ai beau ĂȘtre un ĂȘtre torturĂ© et sombre, je suis aussi sensible. J'ai l'air de rien des faiblesses qui cependant me prĂ©sentent toujours Ă  mon avantage trop trop sexy, trop Je suis cellui qui aurait pu inspirer le personnage de Bella Swan si j'Ă©tais Ă  la bonne Ă©poque. Le corps se fait fĂ©minin alors que les Ă©treintes continuent, disparition de la bosse contraire Ă  ce que l'on veut appeler l'ordinaire. Mais je suis parfaite, jamais trop excentrique, toute est une histoire de juste mesure. Et voilĂ  mon torse nu que je le laisse effleurer, car il n'en aura l'occasion qu'une seule fois dans sa vie. Mes mains continue Ă  parcourir son dos et son ventre, parce qu'il faut reconnaĂźtre que le dĂ©tour vaut le coup aussi de ce cĂŽtĂ©-ci. Les lĂšvres continuent Ă  chercher les siennes alors que mon pantalon tend Ă  disparaĂźtre. Il y a cette fougue Ă  vouloir exposer ses talents. profite, je suis inoubliable et tu ne me rattraperas jamais. c'est vrai je suis sauvage au fond, j'attire les gens avec mes mystĂšres, ils frĂŽlent la glace de mon cƓur et deviennent accro Ă  moi. Meilleur façon de se crĂ©er une cour chez les Ă©lĂšves et les autres dans laquelle tout le monde se dispute mes faveurs. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Mer 11 Juil - 1524 A prĂ©sent qu'il Ă©tait torse nu, sa partenaire pouvait admirer la grande cicatrice qu'il arborait sur le flan. Cela montrait qu'il avait du vĂ©cu de badass, qu'il ne fallait pas le chercher sinon il serait capable de se battre sacrĂ©ment violemment. Cette cicatrice il se l'Ă©tait fait en tombant de son balai en cinquiĂšme annĂ©e en combattant un ours polaire Ă  mains nues. La seule raison pour laquelle il ne l'avait pas achevĂ© Ă©tait que son espĂšce Ă©tait menacĂ©e par les moldus et qu'au fond c'Ă©tait un mec en revenir Ă  l'action qui se dĂ©roulait en ce moment mĂȘme, les vĂȘtements Ă©taient Ă  prĂ©sent bien plus prĂ©sents sur le sol que sur eux et c'Ă©tait mieux comme cela. On pouvait largement mieux admirer le corps digne d'un dieu grec d'Ashton lorsqu'il n'avait rien sur lui. Certains haters diraient que sa plastique de rĂȘve Ă©tait Ă  cent pourcent fake Ă©tant donnĂ© qu'il avait entiĂšrement remodelĂ© son apparence Ă  l'aide de la MĂ©tamorphomagie mais lui considĂ©rait que c'Ă©tait plutĂŽt l'inverse puisqu'il avait fait tout cela lui-mĂȘme simplement grĂące Ă  son Profite, je suis inoubliable et tu ne me rattraperas n'Ă©tait pas Occlumens facultĂ© qu'il avait d'ailleurs appris en autodidacte comme un bg, Parker aurait jurĂ© que sa conquĂȘte du soir lisait dans ses pensĂ©es. Certes elle Ă©tait pour l'instant un excellent coup mais bon, de lĂ  Ă  la qualifier d'inoubliable le sang-mĂȘlĂ© ne se prononçait pas Ă©taient Ă  prĂ©sent passĂ© aux choses sĂ©rieuses et Parker envoya balader d'un geste de la main les cousins qui encombraient le canapĂ© afin qu'ils aient la place de s'y Ă©taler. Tout en embrassant fougueusement la propriĂ©taire des lieux, le sorcier changea de position pour se retrouver au-dessus d'elle. Il devenait difficile de rĂ©flĂ©chir dans le feu de l'action mais en parlant d'inoubliable, la personne collĂ©e Ă  lui commençait Ă  lui dire quelque chose. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 23 Juil - 103 tw - sexeLA de Ashton accordĂ©Les choses s'accĂ©lĂšrent et j'en ai presque la tĂȘte, tant ça fait longtemps que je ne l'ai pas fait avec quelqu'un capable de satisfaire mes dĂ©sir si Ă©levĂ©s. Alors quand tu bascules au dessus de moi en m'embrassant, je comprends. Il y a quelque chose dans ta gestuelle que je connais dĂ©jĂ  mais que je ne comprendrai que plus tard. Parce que pour l'instant y a mon dos qui se cambre alors que tes lĂšvres descendent parce que ça fait longtemps qu'on s'est pas occupĂ© de moi ainsi. Le cou, le ventre, tes lĂšvres suivent le cours de la cicatrice jusqu'Ă  mon aine, puis descendent plus bas encore. Comme si ta bouche avait le don de lire et que je sois ton livre favori. Trouve la page que tu prĂ©fĂšres dans la douceur de mon Ă©crin et lis-la attentivement, avec fluiditĂ© aisance et enthousiasme. Ne t'avise pas d'omettre un seul mot et je jure que le dĂ©nouement sera exquis. Les mots vont jaillir, recouverts de miel ambre. Couler sur tes lĂšvres. Et quand tu n'en pourras plus assieds-toi. Parce que ce sera mon tour de jouer de la musique avec toi, les genoux comme souvent s'Ă©gratignant au sol. Mais avant que je me redresses, alors que tu seras assis, il y aura l'interrogation unique un Parker ? entrecoupĂ© par le souffle saccadĂ©. Parce qu'il n'y avait qu'une seule personne capable de m'Ă©galer dans tout ce qui touchait au plaisir charnel. Je le savais. Et puis cent fois sur le mĂ©tier, je remettrai mon ouvrage, mes lĂšvres trouvant Ă  leur tour ton corps, en dessinant les contours d'abord pour mieux saisir et comprendre la complexitĂ© de cette nouvelle apparence. Je te trouverai mieux comme ça, il y avait d'avantage de douceur dans tes yeux, d'avantage de courbures sur tes hanches. Alors je descendrai encore, te rendant la monnaie de ta piĂšce, les lĂšvres dociles et agiles, et malgrĂ© la rĂ©pĂ©titions des gestes une nuit aprĂšs l'autre sur des inconnus avides d'eux mĂȘme, il y aura ce soir la rĂ©elle envie de te donner du plaisir. Parce qu'avec toi il y aura l' que je garde un excellent souvenir de notre derniĂšre nuit ensemble. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Mer 29 AoĂ» - 1803 LA de Shae pour clĂŽturerIl devenait Ă  prĂ©sent difficile pour Ashton de garder la tĂȘte froide, malgrĂ© son QI exceptionnel on pouvait quand mĂȘme dire qu’à prĂ©sent la majeure partie de sa rĂ©flexion s’effectuait avec son entrejambe. Il avait cependant la satisfaction de voir que sa partenaire semblait apprĂ©cier ce qu’il faisait, preuve qu’il n’avait pas perdu la main et qu’il Ă©tait toujours le meilleur coup du pensĂ©e persistait pourtant dans l’esprit du MĂ©tamorphomage. Il avait comme une sensation de dĂ©jĂ  vu bien qu’il soit certain de n’avoir pas rencontrĂ© l’inconnue avant ce soir ; quelqu’un comme ça ne s’oubliait certainement pas. C’est alors que, au milieu de l’action qui unissait leurs corps, elle prononça son nom bien qu’il Ă©tait certain de ne pas lui avoir donnĂ© plus tĂŽt. Et soudain cela fit clic dans son esprit, les piĂšces du puzzle s’assemblant Keats ? demanda-t-il dans un fois leurs Ă©bats terminĂ©s, alors qu’il reprenaient leurs esprits, toujours allongĂ©s sur le canapĂ©, la propriĂ©taire de l’habitation lui expliquait qu’elle Ă©tait bel et bien la personne qu’il connaissait auparavant sous le nom de Leo. CoĂŻncidence incroyable c’est fou comme le monde est petit ! elle Ă©tait aussi MĂ©tamorphomage et se prĂ©nommait Ă  prĂ©sent Shae. Bien Ă©videmment Ashton lui expliqua Ă©galement ce qu’il lui Ă©tait arrivĂ©. Tout compte fait le destin avait bien fait les choses et il Ă©tait ravi d’avoir recroisĂ© la route de du RP Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 12 Nov - 1129 Pv FilsLa nuit n'est jamais complĂšte, au bout de chaque antre bleue se reflĂšte une fenĂȘtre. Rebord de bronze, ou de rouille, on a oubliĂ© depuis le temps, mais peu importe. Il y a au bout de la nuit, juste aprĂšs un Ă©niĂšme mauvais rĂȘve du chiard, une ouverture sur le dehors. L'extĂ©rieur guĂšre plus clair que ne l'est la luciditĂ© matinale, obscurcie par la fumĂ©e que crache Ă  pleins poumons la cheminĂ©e dĂ©laissĂ©e depuis le retour sur le sol fenĂȘtre Ă©clairĂ©e oĂč un rĂȘve veille toujours. L'Ăąme vivante se rĂ©approprie peu Ă  peu les lieux. Les murs s'imprĂšgnent de la nouvelle maĂźtresse du fort alors que rien n'est officiel. Il n'y a que l'odeur du dimanche matin hivernale, du froid et de cendres sur la petite bourgade dont le corps exquis n'Ă©tait pas encore parvenu Ă  franchir le seuil. Deux ans et demi trop tard. L'existence du hasard prĂ©fĂ©rĂ©e aux rendez-vous, j'attendais, un quart de thĂ© sur les lĂšvres, le dernier sur les genoux. Le jour pĂąle ne tarderait plus, mais nul bambin Ă  enterrer Ă  l'aube. À l'heure oĂč blanchit la campagne il ne se passera rien, les drames se sont volatilisĂ©s entre moi et ici. Il y a pleus qu'une nouvelle routine Ă  se forcer Ă  avaler, jusqu'Ă  en trouver le goĂ»t un tant soit peu supportable. La crainte du matin a remplacĂ©e le dimanche soir. ÂpretĂ© des lever du jour, sans comprendre pourquoi lui se lĂšve quand l'autre tombe passĂ© dix-sept heures. Le nuit guillotine qui s'abat sur la conscience et berce dans un pays oĂč les paroles n'ont plus lieux d'ĂȘtre. La communication imagĂ©e, et rien n'a la moindre importance. Porte d'Ă©bĂšne refusĂ©es Ă  l'Ă©phĂšbe, assis sur sa chaise, un thĂ© en main. Celle qui ce matin se contentera des cendres, de la nausĂ©e dĂ©licieuse de n'avoir point assez dormi. La gueule de bois sans avoir bu et les dĂ©lices de la sobriĂ©tĂ© fragile et toute nouvellement acquise. Le manque-chaleur, le manque fournaise, l'impression que le creux remplace l'oxygĂšne. Et le Hodor le fils perdu. Perdu en mĂȘme temps que le miroir. Le Pinnochio joueur noyĂ© dans les Ă©clats de verres. Le fils Ă  qui l'on aurait dĂ» dire, mais Ă  qui on ne dira pas. La peur d'en mourir pour des mots prononcĂ©s bien trop bas. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Mer 12 DĂ©c - 2133 SURFACE DURE — pv. dans les rues de PrĂ©-au-Lard comme si c'Ă©tait Paris, New York ou Copenhague. Les briques rouges se remplissent de brume Ă  la javel et blanchissent lorsqu'on les passe Ă  la lumiĂšre du crĂ©puscule. La lune danse sous les Ă©toiles ce soir. DĂ©but de soirĂ©e. Une bouteille vide de whisky traĂźne comme un vieux mort entre les pavĂ©s et la bouche d'Ă©gout. — Il y a un Ă©norme fossĂ© entre ce que l'on est et ce que l'on croit espoirs de retrouver son ElhĂ«na vont de dĂ©sillusions en dĂ©sillusions. Il sait qu'elle a irrĂ©mĂ©diablement changĂ©, qu'elle n'est plus du tout comme avant et pourtant, il se l'accorde pour la premiĂšre fois c'Ă©tait peut-ĂȘtre une erreur. Le pire dans tout ça, c'est qu'il n'a pas l'air d'ĂȘtre peinĂ© par cette sensation si terrible, suffocante et terrifiante. Non. Plus rien ne le traĂźnera vers le fond, parce qu'il y a passĂ© tout son temps et qu'il sait comment sortir de lĂ . Le visage aussi froid qu'un glaçon de neige, le regard et la mĂąchoire qui se durcissent. Les yeux qui croisent une lumiĂšre brisĂ©e Ă  travers la vitre d'une habitation qu'il croyait abandonnĂ©e depuis des pour l'intrusplutĂŽt que le sixiĂšme annĂ©e sort sa baguette, une nouvelle d'ailleurs, qu'il a renommĂ©e Ontamo. Celle qui créé. Celle qui sculpte. De sa main d'artiste, la crĂ©ation est nĂ©e. Elle est aussi spĂ©ciale que lui, aussi unique. Aussi Ă©lĂ©gante. Aussi dĂ©licate et redoutable Ă  la fois. L'esthĂ©tisme est assez incroyable, entre le cƓur et le corps. Traverser le portail Ă  pas de chat. De son autre main, il rentre par effraction avec son canif magique - place Ă  l'humeur fracassante. La tempĂȘte. Qui risque d'Ă©clater, dans la salle Ă  tĂȘteUne tĂȘte bien trop connue pour ĂȘtre sienne est une surface comme un bout de bois, de glace ou d'effroi masque de tufais lĂ . Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Mer 26 DĂ©c - 1455 Le serment a en soit Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ©. Nulle dĂ©rogation aux mots ni aux attentes DisparaĂźtre n'est pas trahir. C'est s'Ă©carter, laisser la place Ă  une autre entitĂ© qui supporte les matins d'hiver. Qui n'utilise pas la vapeur de son thĂ© comme paravent pour se cacher du monde. Nul refuge non plus derriĂšre l'Ăąpre de la cigarette Ă  moitiĂ© consumĂ©e. Celle qui outrepasse Ă  peine ses droits en se rĂ©pandant en miettes de soi dans l'atmosphĂšre. Ostensoir improvisĂ© pour cĂ©lĂ©brer un retour Ă  une vie dans laquelle l'ĂȘtre se cantonne. Le gris avale tout sur son passage, bientĂŽt recouvert de couleurs froides alors que l'aube point. Insupportable de lenteur. Une fois le soleil apparu, tout sera plus simple. La maisonnĂ©e insupportable de silence s'animera un peu. Mais il y a un silence religieux dans l'attente de la vie et du rĂ©veil des paysages. Un silence que la voix qui s'Ă©trangle dans la gorge ne parvient Ă  briser. Qu'accompagne la nausĂ©es des nuits trop blanches lorsque les jours noirs sont refusĂ©s par les qu'on aura tout le temps de rattraper ses nuits une fois les deux moustiques lĂąchĂ©s au monde. Il ne neige plus sur les tables non plus, la sobriĂ©tĂ© accompagnĂ©e d'une rĂ©alitĂ© fade. Plus de poudreuse ni de flocons survivants au milieu des traces de doigts. Ne plus confondre les molĂ©cules avec l'atmosphĂšre. Il semblerait qu'il s'agisse de grandir. Ne plus se perdre dans la poussiĂšre de l'autre bout d'un monde. Et commencer Ă  bĂątir dans la qui grince- tranche en pointe mĂ©tallique dans le silence gris et vie. vie qui s'immisce par la porte quand on ne l'attend plus. Celui Ă  qui on a pensĂ© mais Ă  qui on a rien dit. Ne pas trop savoir quelles excuses prĂ©senter. IncapacitĂ© Ă  dire le vrai car admettre avoir voulu tendre une main que l'on a toujours prĂ©sentĂ© tremblante sous ce visage-ci. Question Ă©vidente et rĂ©ponse tout autant. On est rentrĂ©s. Les gosses se construisent pas tous seuls. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Lun 7 Jan - 1341 SURFACE DURE — pv. est surpris mais il ne le montre pas. Il n'est plus du genre Ă  laisser ses pensĂ©es intĂ©rieures immerger son visage pĂąle. L'envie de tout lui balancer Ă  la gueule aussi, qui le prend aux tripes. Une nausĂ©e qui survient - tant par la colĂšre que pas la douleur. La douleur d'une perte. D'une absence. Parce qu'iel Ă©tait sans accord, sans rien et sans bruit dans la nuit morte. Laissant derriĂšre iel, deux pauvres employĂ©s aux Trois Balais. C'Ă©tait pas censĂ© ĂȘtre un cocon familial, ce truc ? Tout Ă  l'air plus triste ici. Une maison laissĂ©e forcĂ©ment Ă  l'abandon pendant tout ce temps. Et les petits, dorment-ils sur de la paille ? En tout les cas, ils sont toujours bien vivants, bien lĂ . Les gosses ne se construisent pas tout seuls et pourtant, iel avait fait son choix Ă  l'Ă©poque, de fuir l'Ă©tablissement, le village, la rĂ©gion, le pays et toute cette m*rde qui colle Ă  la peau. — Depuis quand ? Depuis quand sont-ils revenus ? Ce n'est que la premiĂšre fois qu'il voit de la lumiĂšre par ici, comme si quelque chose n'allait pas. Comme si quelque chose clochait. N'Ă©tait pas normal. Une Ă©trange lumiĂšre. Une lumiĂšre sans vie. Malsaine. Hypocrite. Qui attend quelqu'un, quelque chose, un espoir. Inexistant. Il bouillonnait Il bouillonnait sur placecomme une marmiteun chaudron aux parois lisses et douteuses qui ne laissentparaĂźtre aucune rĂ©flexion. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 18 FĂ©v - 2214 Retrouver l'enfant prodige coincĂ© entre les aiguilles d'un matin gris, d'une nuit blanche et d'un jour noir. Poser la tasse un peu plus loin parce que les paratonnerres ont Ă©tĂ© laissĂ© lĂ -bas, oĂč que cela puisse ĂȘtre. L'envie d'incarner un instant un philippides, de fuir les non-mots Ă©lectrique que la nausĂ©e et les silences portent, se fait sentir. Mais l'aller-simple pour l'ailleurs n'a mĂȘme pas rĂ©ussi Ă  se suffire. Il a fallu courir, en sens arriĂšre, pour venir remonter l'horloge qui elle n'a jamais pu s'ancrer ailleurs. Les respiration paisibles de l'Ă©tage ramĂšne les considĂ©rations Ă  des tons plus bas, et si elle s'en rĂ©jouit elle n'en dira rien, il n'y a plus d'Ă©nergie pour les cris, les Ă©clats de cĂ©ramiques sur la langue. Nul avis Ă  attendre concernant un choix qui n'appartient qu'aux trois branches du mĂȘme saule dĂ©racinĂ©. Electron libre, qui tente toutes ses folies avant de fixerl'inavouablel'idĂ©al de sagesse. User les souliers, perdre la muse, elle se perd en mille barrage de liĂšge et oublie le tronc mĂȘme de la ronce, la prĂ©sence de l'enfant qu'il faudra cesser de voir comme tel. Car les grains s'amenuisent et les esprits changent, elle rĂ©alise qu'elle ne connait plus ce qu'elle n'a jamais prĂ©tendu connaĂźtre. Elle s'interroge sur les crises de fronts, si l'enfant Ă  rĂ©ussi Ă  prendre soin sans l'ombre pantin qui l'entourait. L'ombre malsaine mais qui crĂ©e des monstres de terre pour remplacer les autres en vain. L’Ɠil unique du loup ne parvient Ă  saisir l'histoire que les interrogations envoient. Et l'interpellation muette reste en suspend. ÉniĂšme piĂšce de Beckett, bien que l'envie de rejouer les beaux jours se perde en idĂ©aux plus confortables. Mais le silence couvre la scĂšne de son suaire que le regard ne supporte pas. Et il y a dans les fondations mĂȘmes des liens quelques chose qu'elle n'a pas su prĂ©server. Les voĂ»tes d'ogives se sont peu Ă  peu Ă©miettĂ©es en remords d'un cĂŽtĂ© et en reproches de l'autre. Bien trop peu de temps. Mais l'esprit du vaisseau-mĂšre n'est pas reconnu pour sa rapiditĂ©. Et les rĂ©alisations mettent un temps Ă  prendre leur sens. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Jeu 14 Mar - 2031 SURFACE DURE — pv. regard livide. TĂȘte penchĂ©e. Le cerveau ne fonctionne plus comme avant, le cƓur non plus. L'Ăąme s'est modelĂ©e diffĂ©remment, en une sorte de coulis de miel gĂ©nĂ©reux et mallĂ©able. Plus rien ne lui ressemble. La colĂšre lui grimpe des chevilles aux racines de cheveux clairs - sans en Ă©mettre le son vulgaire. Une formule qu'on dit bien trop souvent. Il a cette incapacitĂ© Ă  assumer ses Ă©motions, bien plus que ses actes. Un roman dĂ©cousu, voilĂ  leur relation Ă©tablie jusqu'Ă  maintenant. Qu'en est-il du Leo de jadis ? Qui riait dans les couloirs de l'Ă©cole. À outrance. Qu'en est-il de ce grand garçon qui lui a tout appris lors de son intĂ©gration ? Qu'en est-il du parrain spirituel qu'il avait rĂ©ussi Ă  trouver au dĂ©but ? Et du directeur de maison ? Du concierge ou du gardien ? De son ami ? Qu'est-il devenu ? Pourquoi est-il si Ă©tranger aujourd'hui ?Le rythme cardiaque dĂ©cĂ©lĂšre au fur-et-Ă  mesure de la conversation absurde. Elle se fait sourde et muette, Beethoven et l'enfant pauvre boivent tous deux leurs paroles insensĂ©es. Il n'y a plus grand chose Ă  dire parce qu'il n'y a plus grand chose Ă  faire. Je pense que je vais partir. Allait-il seulement rĂ©agir ? Re [Habitation] The Sphinx's RiddleContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
Demandeconseil pour acheter des poignĂ©es Ă  pompes de haute qualitĂ©. CamĂ©ra surveillance parking. Besoin d'avis/conseil pour surveillance parking. Surveillance massive par la NSA: souriez, vous ĂȘtes sur Ă©coute. Plus de sujets relatifs Ă  :
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 Excellente question, qui l’embĂȘtait quoi, et Lily lui avait collĂ© une dĂ©rouillĂ©e tellement sĂ©vĂšre qu’elle avait envoyĂ© son camarade d’un mĂštre quatre-vingt quinze et le mĂȘme poids en muscles Ă  l’infirmerie. Donc maintenant on Ă©vitait un peu de l’emmerder, ce qui Ă©tait on ne peut plus tip top pour elle. Puis le changement se montrait aussi pendant les cours, surtout celui de mĂ©tamorphoses. Appartenant Ă  ceux qui foutaient la merde pendant les cours des remplaçants, elle n’avait pas hĂ©sitĂ© Ă  remettre sĂšchement Ă  sa place un Ă©lĂšve qui voulait recommencer, et ce en plein cours de mĂ©tamorphoses. Personne n’embĂȘte le beau gosse lupin qui sera bientĂŽt son 
 Euh 
 Le mari de sa cousine Victoire. Donc son tonton ? Ouais on va dire. TONTON TED 8D. Hrm pardon XD. Enfin bref, lĂ  actuellement elle Ă©tait dans sa salle commune, dans les cachots, sous le lac de Poudlard, et malgrĂ© sa claustrophobie agoraphobie aquaphobie – ouais ça fait beaucoup – elle s’en foutait totalement, aprĂšs cinq ans d’habitude. AllĂ©luia. Bref. VautrĂ©e dans un canapĂ© Ă©meraude, elle papotait innocemment avec Meghan, genre on ne va pas se tirer dans moins de cinq minutes pour prendre part Ă  un truc illĂ©gal, ce n’est pas du tout notre style voyons, et laçait ses chaussures. De jolies Doc Martens noires. Cool. En fait elle Ă©tait vĂȘtue comme un corbeau la demoiselle, ou plutĂŽt comme une mini-punk, ce qui faisait assez sensation dans sa salle commune. Et pourquoi personne ne l’avait encore abordĂ©e ? Peut-ĂȘtre parce qu’un nounours d’un mĂštre quatre-vingt la tenait dans ses bras. Waw. Enfin en attendant, elle laçait ses pompes en papotant avec Meghan et en sirotant de la vodka tout en surveillant que son – beau et grand et sexy et magnifique et gruatant et nyutant – petit ami en reste Ă  l’eau plate. Ou gazeuse. Enfin bref on s’en branle, Ă  l’eau quoi. Se levant de son confortable canapĂ© – bon ok elle Ă©tait assise sur les jambes de Nathan – on ne la fixa pas trop longtemps parce que monsieur nounours se leva aussi en attrapant sa main. La classe moi je dis. Se hissant sur la pointe des Doc, elle posa ses lĂšvres sur celles de son Nathan – DE SON NATHAN A ELLE, espĂšce de pĂ©tasse peroxydĂ©e qui le reluque avec envie ! – et se dirigea vers la porte de la salle commune toute guillerette, couverte comme une marmotte anĂ©mique et frileuse non sans foudroyer la blondasse du regard. Ce ne fut que lorsqu’elle vit celle-ci se pencher vers une de ses camarades pour murmurer d’un air mĂ©chant qu’elle lĂącha sans s’en rendre compte la main de son petit ami pour se diriger vers la demoiselle et poser ses deux mains sur la table pour se pencher vers la sale blonde. Quoi, t’as un problĂšme ? » En effet, la façon dont tu reluques mon mec me dĂ©plaĂźt fortement. » Va falloir t’y faire. » Je suis une Potter, pas une soumise. »Silence autour d’elles. Oui, Lily venait bien d’insinuer que la blondasse Ă©tait une soumise. Pas du tout contente, celle-ci se leva, faisant abstraction de Nath qui s’approchait d’un air menaçant. T’es trop mignon mon cƓur > - qui faisait chier ceux qu'il pensait plus faible. Et bah ça c'est pas tombĂ© dans l'oreille d'un sourd. Il avait pas choisi le bon cheval... ’ Je me passerais du nombre de gars qui m'ont tapĂ© dessus, ça tient pas sur tes doigts, tu risques de te perdre dans le nĂ©ant de ta boite crĂąnienne. Pense pas ajouter les doigts de pied, y en a un peu plus. Ma copine, j'te jure que si tu l'approches je te tuerais avant qu'elle-mĂȘme ne prenne l'initiative de le faire. ’- Si tu me touches Lou te collera. Et ouais, elle est prĂ©fĂšte. Toi t'es qu'une bouse. T'as plus que ta langue pour te dĂ©fendre, mais j'vais tellement te faire baver que tu pourras mĂȘme plus embrasser ta pĂ©tasse d' stop and go avant la rĂ©partie de notre redskin favori. Pour commencer, vous avez sĂ»rement compris que ce gars allait finir les dents par terre. Bon. Ensuite, je vous signalerais qu'il y a vraiment des cons pour oser s'attaquer directement Ă  des types comme m'sieur Derek, celui que tout le monde rĂ©clame en garde du corps! D'ailleurs notre tas de muscles prĂ©fĂ©rĂ© vient de se lever subitement. Il venait aussi d'attraper le gars par le col pour le soulever du sol comme s'il n'avait Ă©tĂ© qu'un fĂ©tu de paille. De son bras non-enroulĂ© dans l'Ă©charpe of course. ’ Meghan Anna Prewett n'est pas une pĂ©tasse d'aristo. Si t'as que ça pour m'insulter tu peux toujours aller voir ailleurs, ça te coĂ»tera moins de dents. Ensuite, demande Ă  tes parents de t'offrir des yeux en plus du cerveau que tu devrais avoir commandĂ© et du dentier dont tu vas bientĂŽt avoir besoin. Y a un petit badge collĂ© sur pull, il est pas lĂ  pour faire joli. Et aux vues de comment Lou t'apprĂ©cie, on risque pas de me voir collĂ© Ă  ta place. ’Monsieur Pustules ne devait pas avoir grand chose Ă  dire en plus. Parce qu'il se contenta de cracher sur le visage crispĂ© de colĂšre de Mister Gray. Ça sonne pas erreur lĂ ? Y en a qui ont pas peur pour leurs vies. Le bras en Ă©charpe ne le fut soudainement plus - malgrĂ© les os encore fragiles, fuck la constitution du mĂ©tabolisme de Lycanthrope - et Derek balança son poing dans la joue du gars. Et avant que celui-ci ait pu rĂ©pliquer, il fit faire Ă  son visage un aller simple sur la table oĂč ses pieds Ă©taient prĂ©cĂ©demment croisĂ©s. Puis il attrapa les cheveux du gars pour relever sa tĂȘte. Autour d'eux dans la salle commune plus personne ne parlait. Personne ne venait prendre la dĂ©fense de cet abruti. Trop peur de Derek. Et puis, il l'avait cherchĂ©. ’ Un ĂȘtre humain adulte normalement constituĂ© possĂšde un total de 32 dents. Tu viens de rejoindre la race des cons adultes qui n'en ont plus que 31, fĂ©licitations. Et si t'es pas sage, tu vas pouvoir inaugurer la race des cons adultes qui n'en ont plus du tout. ’Il laissa retomber la tĂȘte du gars, attrapa son sac et sortit. Personne ne le suivit. Personne ne lui demanda oĂč il pouvait bien aller Ă  cette heure tardive. Il allait Ă  la rĂ©union de l'AD se passer un peu les nerfs. Bon Derek, promets que tu seras sage. On voudrait pas d'ennuis avec tes gentils copains. Le skinhead gravit rapidement toutes les marches et entra dans la salle sur demande sans faire de cĂ©rĂ©monie. Il avait la mine grave. Pourquoi lui cherchait-on toujours des embrouilles?! Lorsqu'il entra, il vit qu'il n'Ă©tait pas le premier arrivĂ©. Lily et Nathan Ă©taient dĂ©jĂ  lĂ . Meg ne devait pas tarder, ou alors elle fouinait dans un coin et il ne l'avait pas vue. Un jeune Poufsouffle Ă©tait lĂ  aussi. IdentitĂ© inconnue. Le Gryffondor salua Nathan et Lily d'un signe de tĂȘte. Il sourit aux paroles du jeune homme dont il ne connaissait pas le nom. Il lui tapota l'Ă©paule de sa main retournĂ©e dans l'Ă©charpe en riant doucement. ’ La vie Potter Raven crois-moi c'est pas du gĂąteau, mais c'est assez distrayant. Laisse-les faire ce qu'ils veulent, ils ne sont pas bĂȘtes et savent se raisonner... Et puis je les comprends. Y a mieux qu'un placard Ă  balais. ’Il se mit Ă  rire doucement. Ça allait mieux. Il ne manquait plus que SA Meg chĂ©rie d'amour et tout serait parfait, ou presque. DĂ©pĂȘche-toi beautĂ©, Derek l'a faim de toi te voir Lucy Robinson Time to save the universe again then, isn't it ? » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Dim 30 Jan - 552 Mais oĂč pouvait donc aller Lucy, toute seule ? Voyons, c'est Ă©videeeent, elle va sauver le monde ! Oui, Lucy a beauuuucoup d'espoir et quand elle part dans ses dĂ©lires Ă  elle et bah elle pars vraiment trĂšs, trĂšs loin. Dans sa tĂȘte actuellement c'Ă©tait un peu genre une james bond girl, genre ultra dangereuse et tout et tout bon un peu moins sexy que les jmg la lucy, mais quand mĂȘme... qui doit pas ĂȘtre suivie sinon elle zigouile l'espion. Invincible quoi. Bon, une james bond girl perdue parce qu'elle retrouve pas se foutu couloir de merde. C'est pas sa faute non plus si elle a pas de gps intĂ©grĂ© dans le petit orteil gauche, et qu'en plus on lui a pas filĂ© de plan. Elle n'arrivera jamais vivante Ă  la rĂ©union... Finalement super-Lucy a rĂ©ussi a retrouver son chemin, fallait prendre l'escalier et ensuite tourner Ă  gauche et non Ă  droite comme elle l'avait fait juste avant. Elle regarda la porte soigneusement cachĂ©e derriĂšre la tapisserie, priant dans toute les langues pour que ce ne soit pas un placard Ă  balai ou un autre truc du genre ultra Ă©troit, ultra sans lumiĂšres, etc. Mais plutĂŽt la planque de super hĂ©ros avec tout plein de gadget partout, ou un vrai camp d'entraĂźnement oĂč tu peux Ă©clater en vrai les cobayes Ă  qui t'envoie les sorts. Lucy serait elle devenue vraiment violente ? Nan, c'est toujours presque la rĂ©incarnation de Ghandi, mais la non-violence ça marche pas donc elle passe aux stades supĂ©rieurs. Et puis la magie, c'est pas vraiment violent, vus que tout le monde est Ă  presque Ă©galitĂ©, pas comme avec des muscles. Elle poussa la porte, les yeux pleins de curiositĂ©s, si ça tombe elle sera mĂȘme la premiĂšre arrivĂ©e !DĂ©cetpion. DĂ©jĂ , il y a dĂ©jĂ  des gens. Et puis des livres, des toooonnes de livre jusqu'au plafond, pas que Lucy soit analphabĂšte ou livrophobe. Mais c'est pas avec une bibliothĂšque bien garnie qu'on va rĂ©ussir Ă  sauver le monde. Elle salua le couple d'un sourire, et dĂ©posa un bisou sonore sur la joue de son Derekounet parce qu'il a grave la classe maintenant qu'il est prĂ©fet et Lou aussi, cey ses coupaing a elle qui sont les meilleurs *-* en faisant attention Ă  ses blessures de guerres. T'Ă©tais oĂč ?! J't'ai cherchĂ© partout moi tout Ă  l'heure. J'ai mĂȘme faillis mourir en me perdant dans les couloirs ! »Hop, bouille faussement scandalisĂ©e avec les mains sur les hanches. Vilain Derek qui n'a pas attendus Lucy. Vi-lain. A vrai dire elle avait cherchĂ© deux minutes puis elle avait trouvĂ© quelqu'un d'autre qui acceptĂ© de la supporter genre Dante Ă  tout hasard, et elle n'avait pas cherchĂ© dans la salle commune des gryffons, ni dans beaucoup d'endroits et recoins du chĂąteau d'ailleurs, la patience c'est pas son truc Ă  la Blondinette. Et de toute façon elle Ă©tait totalement incapable de faire la tĂȘte Ă  Derek ou de lui en vouloir pour quoi que ce soit. Et c'est pas un couloir qui allait rĂ©ussir Ă  tuer Lucy, elle est in-vin-ci-bleuh je vous rappel. Lucy abandonna Derek, vagabondant entre les bibliothĂšques se demanda sĂ©rieusement Ă  quoi ça pouvait servir et en pensant que celui qui avait fait apparaĂźtre tout ça il devait avoir un problĂšme psychologique, vus qu'il n'y avait mĂȘme pas de petits aiglons tout timide en train de se gaver de littĂ©rature dans la salle, c'Ă©tait un de ceux dĂ©jĂ  lĂ  qu'elle logiiiique Princesse. Beurk, beurk des livres poussiĂ©reux, elle Ă©tait venu lĂ  pour casser du mangemort, manger des petits serpentards pas beaux. Pas pour avoir un cours d'histoire de la magie ou de littĂ©rature. DĂ©pitĂ© Lucy fis mine de s'interesser aux livres entreposĂ©s. Tiens un Andras. Stop. On repose le livre. A Babord touuuuute ! ANDRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAS ! »Qu'elle classe et qu'elle discrĂ©tion Lucy quand mĂȘme. Mais c'Ă©tait vraiment un crie du coeur, c'Ă©tait peut ĂȘtre la seule Ă  ĂȘtre totalement hystĂ©rique dans la piĂšce, mais elle s'en fichait totalement. Et vazy qu'elle se jette pas qu'Ă  moitiĂ© dessus et qu'elle manque de l'Ă©touffer en se pendant Ă  son cou uh pourquoi tout le monde fait genre trois mĂštres de plus qu'elle.. dans un de ses super-giga cĂąlin tellement elle est trop contente de le voir. D'ailleurs, ça se voyait Ă  son immense sourire puissance dix mille qu'elle Ă©tait contente de retrouver son ami Ă  elle ici. Elle Ă©tait toujours contente de voir Andras, il y avait trop de bon souvenir auquels il appartenait. Andras c'Ă©tait sa compote Ă  elle, celui qui l'appel pompotte, elle le bouffe. C'est trop bien que tu sois la aussi ! Pourquoi tu m'l'avait pas diiiiis ! Tant pis. Mais quand mĂȘme c'est Ă©noooorme ! »Pauvre de vous, la pile Ă©lectrique et sa voix qui part dans les aigus est en marche, rien ne l'arrĂȘte, elle a un monde Ă  sauver. Et un ami Ă  Ă©touffer dans ses bras avec amour Lysander Dragonneau Only two synonyms ? I'm losing my perspicacity ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Lun 31 Jan - 523 Lysander Ă©tait vautrĂ© sur un canapĂ© dans la salle commune de la tour des Serdaigles. Il avait un peu les cheveux Ă©bouriffĂ©s - et ça ne lui allait pas mal, ma foi - ainsi qu'un sourire aux lĂšvres. Oui, il souriait. D'habitude impassible, l'air toujours rĂȘveur, il arborait cette fois un sourire en coin. TrĂšs lĂ©ger. Mais un sourire. D'ailleurs, ce curieux petit sourire sucitait beaucoup de questions. On lui avait dĂ©jĂ  demandĂ© au moins trois fois s'il avait rencontrĂ© un joli Bisounours dans son monde parallĂšle. Pas de Bisounours dans son monde, mais cette idĂ©e lui plaisait bien. La raison de son "bonheur" d'aujourd'hui Ă©tait autre. Aujourd'hui, c'Ă©tait le grand retour de l'AD. En digne fils de Luna Lovegood, Lysander avait Ă©tĂ©, tout petit, bercĂ© par les rĂ©cits trĂšs enthousiastes de sa mĂšre lorsqu'elle lui contait les rĂ©unions de l'ArmĂ©e de Dumbeldore. Il y avait tant de choses... La Salle sur Demande, les cours dirigĂ©s par Potter, le systĂšme des piĂšces... Bref, tout cela l'avait captivĂ©. C'Ă©tait presque devenu un mythe, tout comme le Ronflax Cornu. Mais voilĂ  que grĂące Ă  son grand ami en taille et en Ăąge notamment Ted Lupin, cette association de dĂ©fense revivait. Certes, cela voulait dire que les temps n'Ă©taient pas au plus haut de leur forme, mais c'Ă©tait quand mĂȘme une bonne chose, cette armĂ©e. Et aujourd'hui, c'Ă©tait la premiĂšre rĂ©union depuis bien des annĂ©es. Cooool, non ? Qui vient faire un tour dehors ? » demanda le Dragonneau. Mouarf, pas envie. Moi perso, je reste lĂ . »Bon, il avait reçu le message. Les autres prĂ©fĂ©raient rester lĂ , bien au chaud. Mais le Serdaigle se sentait l'envie de sortir un peu, de prendre l'air. Passant chercher de quoi se couvrir un peu, Lysander descendit de la tour et dĂ©boula dans le parc oĂč - comme il s'y attendait - il n'y avait pas grand monde. LĂ , il marcha un peu, le nez en l'air. Le ciel Ă©tait beau. Le silence Ă©tait apaisant. Il n'avait pas l'air d'un type qui allait participer Ă  une rĂ©union illĂ©gale. Car c'est bien illĂ©gal, cette rĂ©union de l'AD. Mais bon, comme dit le dicton... Jamais deux sans trois. Dragonneau avait participĂ© Ă  la fĂȘte clandestine dont il gardait un bon souvenir on se demande pourquoi XD et aussi Ă  la manifestation, dernier regroupement de jeunes en date. Quand il rĂ©flĂ©chissait, il se disait qu'il Ă©tait un vilain garçon qui faisait des vilaines choses. Vilaines... Du point de vue de l'autoritĂ©. Lui Ă©tait content de montrer que justement, il n'Ă©tait pas content. Car, si le grand rĂȘveur avait la tĂȘte dans les nuages, il n'en avait pas moins les pieds sur terre, et avait Ă©galement un avis et un mot Ă  dire. À sa beau gosse glandait dans le parc, tout seul. On aurait pu croire qu'il Ă©tait Ă  la recherche de quelque chose. Du bonheur ? De lui-mĂȘme ? Non non, il cherchait juste Ă  faire passer le temps, en dĂ©finitive. Dans cette atmosphĂšre de calme, il aurait bien fait un truc dingue. Lucy, t'es dispo' pour danser un petit rock dehors comme ça ? Ou mĂȘme un ballet, si tu prĂ©fĂšres. Qui chante avec moi du Nirvana ? Qui veut venir chercher Ă  quoi ressemblent les nuages ? Mais non, personne. Il Ă©tait seul, seul avec sa montre qui bientĂŽt lui indiqua que c'Ă©tait l' il se prĂ©senta devant la vieille tapisserie, il n'y avait personne. Une fois qu'il eut fait apparaĂźtre la porte, le Serdaigle s'empressa d'entrer. Il aimait bien cette piĂšce. DĂ©jĂ , il y avait des bouquins. Pleins de bouquins. Studieux comme tout bon Serdaigle qui se respecte, il Ă©tait, sans ĂȘtre un rat de bibliothĂšque, quelqu'un qui apprĂ©ciait les livres, ou plutĂŽt ce qu'on trouvait dans les livres. Ça le rendait dingue d'ailleurs, de ne pas pouvoir tous les lire. C'Ă©tait comme renoncer Ă  un savoir pour en valoriser un autre. Mais bref. ll y avait donc dans cette piĂšce des livres, des canapĂ©s, et des gens en question n'Ă©taient pas nombreux. Deux Gryffondors, l'un prĂ©fet, l'autre inconnue au bataillon, ainsi qu'un Poufsouffle qu'il ne connaissait pas non plus. Et puis il y avait aussi Nathan et Lily - suis-je vraiment obligĂ©e de citer deux noms lorsque deux suffisent ? - le beau gosse et la belle gosse. Bref, du beau monde. Des gens qu'on s'attendait Ă  trouer ici. Et d'autres pas. Mais bon, aprĂšs tout, ils Ă©taient ici pour apprendre ensemble pleins de belles choses, et aussi Ă  mieux se connaĂźtre. Comme les alcooliques anonymes, avec le problĂšme de boissons et l'anonymat en moins. Pareil mais en diffĂ©rent quoi. Pour le moment, il Ă©tait le seul Serdaigle. 'Lut tout le monde. »Pris soudain de l'envie irrĂ©sistible d'aller voir si ces canapĂ©s Ă©taient confortables, Lysander s'Ă©croula sur l'un d'entre eux dans une position tout Ă  fait normale, Ă  savoir les genoux pliĂ©s sur l'accoudoir, les pieds dans le vide, allongĂ© en long sur le sofa, la tĂȘte sur le second canapĂ©. La meilleure technique pour pouvoir occuper tout seul un espace prĂ©vu pour plusieurs personnes. Qu'on Ă©tait bien lĂ -dessus. Lucy Weasley You have ten fingers ? Oh, me too ! Let's be friends ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Mar 1 FĂ©v - 505 "MiaĂŽw?"Lucy se retourna sur le flanc avec un grognement, encore perdue dans les brumes de son rĂȘve, et soupira sans s'en rendre compte, dĂ©rangĂ©e en pleine phase de sommeil paradoxal. Le sommeil paradoxal c'est sacrĂ©, bon sang! Elle se roula sous la couverture, et termina si bien son rĂȘve que son oreiller alla rejoindre, par terre, le livre lu la veille, ses vĂȘtements en vrac, sa brosse Ă  cheveux, quelques menus objets scolaires, un panier, et la housse de couette."MIAAW"La jeune fille se rĂ©veilla en sursaut, d'un bond, avec une sorte de grognement inarticulĂ© censĂ© signifier, en gros, c'est bien gentil tout ça mais je dors. La Poufsouffle tendit la main vers le rĂ©veil pour voir l'heure, mais elle n'eut pas le loisir d'attraper l'objet une boule de poils blanchouillarde venait de se loger contre son menton en vibrant. Si, comme un tĂ©lĂ©phone. Lucy sourit malgrĂ© elle et caressa la fourrure de Hoshi, occupĂ©e Ă  patouiller sur son humaine. Sans les griffes Hoshi. Puis le petit chat, comprenant que l'humaine n'Ă©mergeait pas, passa de l'autre cĂŽtĂ© et patouilla cette fois sur son dos. Bon Dieu Hoshi, SANS LES GRIFFES. Ronronnant Ă  pleine gorge, des fois que Lucy aurait eu l'idĂ©e saugrenue de se rendormir, la boule de poils vint nicher son museau dans le cou de la jeune fille qui maudit intĂ©rieurement le jour oĂč elle avait dĂ©cidĂ© d'adopter cette bĂȘte qui la dĂ©rangeait en plein cĂąlin, en plein rĂȘve et aussi en plein sommeil. Non, pas les trois en mĂȘme temps, pas encore. Bref. Lucy attrapa sa bestiole d'un revers de main et soupira en la posant contre sa poitrine, comme une peluche, avant de se rendormir. Elle sentit, dans sa lĂ©thargie, Hoshi se hisser hors de ses bras pour sauter du lit et sourit; elle Ă©tait probablement partie embĂȘter quelqu'un d'autre..."QUOI?"Lucy glapit en repliant son genou droit. Une chose non identifiĂ©e s'Ă©tait agrippĂ©e Ă  son pied; une chose qui piquait et semblait aussi humide. Une chose qui chatouillait maintenant son autre pied. La Poufsouffle lĂącha en bloc tout ce qu'elle connaissait en matiĂšre de jurons et autres scrogneugneus, mais Hoshi, qui avait appris Ă  connaĂźtre Lucy, ne broncha pas et vint lui lĂ©cher la joue, en ronronnant encore. Puis se leva et lui tourna autour en patouillant. Oui boule de poils, c'est bon, gagnĂ©...Lucy se leva en bĂąillant et alla nourrir son chat, avant de l'observer en souriant. Kro meugnonne...Hoshi, une fois son repas terminĂ©, remonta sur le lit et s'installa au niveau de l'oreiller, han c'est trop bien l'oreiller, pas vrai? Lucy allait faire de mĂȘme lorsqu'elle avisa l'heure. Trop taaard, merci Hoshi! Elle s'habilla donc tranquillement, alla prendre son petit dĂ©jeuner Ă  cĂŽtĂ© d'un Poufsouffle surexcitĂ© qui agitait dangereusement sa fourchette en braillant"Je suis un T-Rex!"...Certes. Il Ă©tait en train d'expliquer Ă  un prĂ©fet venu aux nouvelles que c'Ă©tait un pari lorsque Lucy s'Ă©clipsa. La suite de la journĂ©e se dĂ©roula plus ou moins normalement, quelques cours, quelques devoirs, rien que du bien naturel...quelques pĂ©tasses aussi. EspĂšce en voie d'apparition, vit en meute, cri le gloussement. Synonyme, dinde. La jeune fille n'attendait en fait qu'une chose, deux petites fameuse, euh, "Association de DĂ©fense" disons, n'est ce pas, Ă©tait le fait du pĂšre de Lily, Harry Potter, Ă  l'Ă©poque de sa scolaritĂ© Ă  Poudlard, et face au peu d'action du MinistĂšre, face aux Mangemorts potentiels et Ă  la dinde rose Inquisitrice, Ted Lupin avait dĂ©cidĂ© de la remettre en place. Bonne idĂ©e Teddy, ça nous fera des choses Ă  raconter Ă  nos petits-enfants...Lucy finit donc par trouver l'entrĂ©e et pousser la porte bien cachĂ©e de cette salle, et mesdames et messieurs, nous avons recueilli les premiĂšres rĂ©actions."Oh, je voyais ça plus petit. C'est grand en fait...et puis c'est beau!!"Lucy tourna plus ou moins sur place quelques instants, le nez en l'air. Ooh c'Ă©tait superbe tout ça, une salle magnifique, et des gens dedans. Des gens qu'elle connaissait pour la plupart, Ă  savoir Lily Potter, sa cousine adorĂ©e chĂ©rie d'amour, celle qu'elle avait tout d'abord Ă©vitĂ©, rebutĂ©e par l'exubĂ©rance de la jeune fille, et qu'elle apprĂ©ciait fortement dĂ©sormais. Son copain Nathan Raven, le nounours de Lily, toujours aussi...nounoursien et pelucheux. Lucy ne le dĂ©visagea pas, vu les regards assassins qu'il lui lançait parfois, il aimait pas qu'on le regarde. Tant pis mon gars. Il y avait aussi Derek, miraculeusement recollĂ© aprĂšs son, euh, fracassage en rĂšgle Ă  la manifestation -Sader ça adhĂšre!!- et une Gyrffondor que Lucy ne connaissait pas vraiment. Enfin dĂ©boula Andras, un joli Poufsouffle que Lucy trouvait trĂšs gentil, et qui l'amusait car il avait la manie de virer au rouge ou au rosĂ© en lui parlant...timide, mais brave gars. La Gryffondor lui sautait au cou comme une furie lorsque Lucy remarqua le dernier arrivĂ©, enfin, le dernier avant elle, dĂ©jĂ  avachi dans un canapĂ© dans une pose bien peu conventionnelle, avec des cheveux Ă©bouriffĂ©s du genre "coiffĂ© avec un pĂ©tard Weasley", mais ça lui allait plutĂŽt bien. Vous avez compris qui c'Ă©tait? Nan? Pas grave, on va la refaire. Lysander Dragonneau s'Ă©tait affalĂ© dans un sofa et rĂ©ussissait l'exploit d'en occuper deux Ă  la fois. Lysander Dragonneau, l'aiglon prĂ©fĂ©rĂ© de Lucy et pour cause, y en avaient pas tant que ça qui l'embrassaient dans le parc. Au passage, remercions Lily qui pourra devenir marieuse si jamais elle est au chĂŽmage, elle sait caser les gens. Lucy acheva donc sa discrĂšte entrĂ©e"Bonjour tout le monde..."Et remarqua qu'on ne la remarquait pas. Bon, en soi elle s'en foutait, alors elle alla droit vers Lysander et lui sourit"Hello...tu me laisses un peu de place?"Puis la Poufsouffle s'assit Ă  l'endroit qu'il avait laissĂ© libre, ben ouais, tu ne peux pas occuper TOUT le sofa Ă  toi tout seul cher aiglon, et balaya un peu la salle du regard. Oui, c'est grand. Oui, elle l'a dĂ©jĂ  dit et alors? C'est vraiment s'Ă©tira. Mon dieu ce sofa, c'Ă©tait encore mieux que son oreiller. Il ne manquait que la fonction bouillotte Ă  ce canapĂ© et la fonction bouillotte Ă©tait plus ou moins assurĂ©e par le Serdaigle qui larvait juste Ă  sa droite. Lucy pencha la tĂȘte pour l'observer puis, amusĂ©e, lui effleura les cheveux de la main -ben ouais, il est allongĂ©, elle est assise donc elle est plus haute, CQFD- et lança avec un petit sourire"Bien installĂ©?" Dominique Weasley Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Jeu 3 FĂ©v - 1013 Domi fixa les deux Serdaigles avec une mine quelque peu surprise. Lily Ă©tait quoi ? Une trainĂ©e qui sortait avec un punk dĂ©bile aux allures d’ours mal lĂ©chĂ© ? C’était bien ça ou 
 ? Les deux aiglons semblaient en pleine crise de nerf et parlaient ensemble en piaillant tels les poulets qu’ils Ă©taient. Les pauvres n’avaient pas encore remarquĂ©s la prĂ©sence de la petite quatriĂšme annĂ©e qui les reluquait d’un air mauvais. Apparemment, le grand brun semblait dire que Lily avait envoyĂ© un de ses potes Ă  l’infirmerie. Domi secoua la tĂȘte, le pote en question Ă©tait un parfait chieur et sa cousine avait Ă©tĂ© d’une grande aide au peuple de Poudlard en Ă©liminant ce mec des couloirs du chĂąteau, du moins pour un certains temps. Et donc, aprĂšs avoir rendu un service public assez important, voici que miss Potter se faisait insulter. Quelle mesquinerie, je vous jure >.<. Lucy fila un coup de coude plus ou moins discret Ă  Andras pour qu'il se prĂ©sente Ă  son tour, un peu de soutient ne lui fera pas de mal ! Elle s'installa un peu plus confortablement dans le canapĂ©, scrutant la porte d'entrĂ©. Alleeez, vieeens, steuplaßßßt... Si Ă  trois tu ramĂšne pas tes jolies fesses illico, elle te boude. Uuuuuuuun... Deuuuux... Deuuuux et demi... Allez, dĂ©pĂȘeeche, c'est pas juste qu'il n'y ait que elle sans son amoureu... Deux trois-quaaaaaarts... Eeeeet... Trois. Pfeuh. Pas juste. Mine déçu du cĂŽtĂ© de Lucy qui voulait vraiment voir rappliquer son Dante sur le champ. Peut ĂȘtre qu'il est pas au courant aprĂšs tout. Tout simplement. InvitĂ©InvitĂ© Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Sam 5 Mar - 2159 Malheureusement pour toi, Lucy, ce ne fut pas le beau cul de Dante qui vint ravir ta vue sur le seuil de la porte. Non non, ce fut celui d'une blonde, nĂ©anmoins trĂšs joli aussi celon certains point de vue, qui put s'incruster dans ton champ de vision si tu regardais par lĂ . Une Lou Ă©chevelĂ©e, d'ailleurs, Ă  l'air quelque peu essoufflĂ©e. - BIP, retour en arriĂšre -Ombrage. Bouh, qu'elle est moche, vilaine, pas belle, rose et tout le toutim. RidĂ©e, bien Ă©videmment. Enfin bref, notre chĂšre et bien aimĂ©e inquisitrice. Pas foutue d'affirmer un tant soit peu d'autoritĂ©, celle lĂ . La preuve, il suffit qu'elle vire une blondasse et un prof' en se sentant toute puissante pour que BAM, tout lui explose Ă  la figure. Manifestation qui s'ensuit. Et qui, comme bien des manifestations, dĂ©gĂ©nĂšre. La pauvre inquisitrice, qui voit son chĂąteau de carte s'effondrer sous ses yeux, ne fait ni une ni deux Elle appelle des brigadiers magiques. Qui cassent tous, ces crĂ©tins. Mobilier comme Ă©lĂšves. Et lĂ , dieux apparaĂźt. Non, plutĂŽt la ministre. On emporte les Ă©lĂšves cassĂ©s Ă  l'infirmerie pour une rĂ©paration en ordre, et lĂ , sur un petit lit, telle blanche neige version blonde aux cheveux blonds matraquĂ©e. Ou, pour faire plus court, sĂ»r, notre chĂšre inquisitrice n'a pas gagnĂ© Ă  la donne. Il n'empĂȘche que si tĂŽt rĂ©tablie, notre Lou internationale a normalement un rendez-vous en tĂȘte Ă  tĂȘte avec le crapaud rose, qui, d'une humeur massacrante, n'hĂ©siterait pas Ă  lui faire copier une phrase de 250 mots, comme si sa main n'Ă©tait pas dĂ©jĂ  assez charcutĂ©e. Sauf que, non, c'est pas possible. Bawaii, Madame, Ă  la mĂȘme heure il y a regroupement de l' ArmĂ©e de Dumbledore pour les incultes. L' reformĂ©e. L' nouvelle, dirigĂ©e par notre Ted Lupin bien aimĂ©. Et vous vous doutez bien qu'il est impensable, inimaginable, IRREALISABLE qu'elle n'y soit pas. Surtout que sa Lulu l'y attendait. Et que Lulu elle avait une patience Ă  deux clous et elle allait la torturer jusqu'Ă  ce que mort s'ensuive si elle ne venait pas. Et que, elle prĂ©fĂ©rait aller se pendre plutĂŽt que de rater ça. Enfin bref, c'Ă©tait pourquoi elle avait soigneusement Ă©laborĂ© tout un plan. Celon les thĂ©ories, Ă  cette heure-ci prĂ©cise, l'inquisitrice-chĂ©rie-d'amouur serait dans son bureau en pleine conversation avec sa thĂ©iĂšre. Elle attendrait, sagement assise, que Lou lui arrive servit sur un plateau d'argent en marchant sur ses petites jambes pour aller lui faire une courbette et un baise-main, tant qu'on y Ă©tait, avant de s'assoir pour copier soigneusement des graffitis inutiles qui lui scrabouillaient la main - C'Ă©tait moche et ça faisait mal, en fait -. MAIS LA ! GĂ©nie Lou intervenait. En fait, il lui suffisait d'utiliser ses petites jambes, non pas pour se rendre dans le bureau d'Ombrage, mais dans la salle sur demande, en compagnie de tous ses camarades rĂ©sistants et frĂšres de coeur ! MOUAHAHAHA. Bon ok, elle aurait quelques ennuis aprĂšs. Mais pour quelques ennuis en plus, sincĂšrement.. Ca lui passait au dessus. Ding-dong, c'est l'heure. Euhh.. En fait, c'est mĂȘme plus que l'heure. Mais bon sang, c'est trop compliquĂ©, pour toi, de regarder l'heure, Lou ?! La blonde bondit du fauteuil dans lequel elle Ă©tait avachie, franchit la porte en manquant de se la prendre dans la figure, et s'engage un sprint dans les couloirs. Mais, que vois-je ? Oui, au fond du couloir, des talons roses ! Demi-tour toutes, on prend un autre chemin, peut ĂȘtre un peu plus long, mais sans menaces Ă  talons dans le champ de arrivĂ©e devant la statue. Qu'est-ce qu'il faut faire dĂ©jĂ  ? Ah, ouais. Penser trĂšs fort Ă  ou tu dois ĂȘtre, et patati et patata, tout en marchant devant le mur comme un demeurĂ©. La lionne s'exĂ©cute et, OUF, miracle, une porte. Nous sommes sauvĂ©s. - DING, retour dans le prĂ©sent. -Se dĂ©cidant enfin Ă  rentrer, notre Lou internationale lance un petit '' Salut '' Ă  la cantonnade parce que la flemme de dire bonjour Ă  tout le monde, avant de se diriger vers SA Lulu, en grande conversation avec Andras. Tiens, Andras fait parti de l'AD ? Ah, mais c'est sympa ça ! Elle eut juste le temps d'entendre le salut de Lucy qui ressemblait Ă  une prĂ©sentation militaire. '' T'aurais put trouver mieux pour te prĂ©senter, ça fait un peu coincĂ©e, lĂ  ! '' Lui dit-elle, avec un sourire moqueur, mine-de-rien. Lucy Weasley You have ten fingers ? Oh, me too ! Let's be friends ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Dim 6 Mar - 637 Lucy allait adresser la parole aux nouveaux venus, lorsque Lily s'adressa Ă  elle, et la jeune fille souleva un sourcil. Un placard, mais pour quoi faire? Ah...Pour...aaah. Lucy venait de comprendre et, bien qu'elle le refusĂąt, une vilaine rougeur monta sur ses joues. Un placard, mais, Lily avait vraiment de drĂŽles d'idĂ©es, ce ne devait pas ĂȘtre bien confortable et puis, un placard c'est pas bien grand, en plus...pas pratique tout ça. Comment ça, qu'est ce qu'elle en savait? Bonne question, en fait elle n'en savait rien, elle n'avait jamais essayĂ©, elle. Hein Lily? Restons classique, un lit suffira trĂšs bien. En attendant, elle rougissait. Une Poufsouffle rouge, regardez tous car c'est rare, d'ordinaire ces bestiaux-lĂ  Ă©taient plutĂŽt du genre jaunĂątre, vous savez, un peu la couleur des boutons d'or, du jus d'orange industriel ou des colorants de ces bonbons crocodiles auxquels Lucy avait voulu apprendre Ă  nager quand elle Ă©tait petit. Ils s'Ă©taient dissous, les salopards. Enfin, en tous cas les Poufsouffles Ă©taient plutĂŽt du genre jaune. C'Ă©tait d'ailleurs Ă©trange, quand on y pensait...pour ĂȘtre d'une telle couleur, ils avaient des problĂšmes de foie? Logiquement, les Serpentards auraient dĂ» ĂȘtre les jaunes, vu ce qu'ils buvaient ils avaient de quoi se flanquer quelques cirrhoses. Mais bon, eux ils Ă©taient verts. Vu ce que Lily pouvait s'enfiler comme bonbons, cela ne surprenait pas non plus d'ailleurs. Et les Serdaigles. Les bleus. Ils venaient de Pandora, bwahaha. Nan, pas de Pandora Hearts, de Pandora tout court! Et les Gryffondor...rouge sang. Comme Drek le jour de la manifestation d'ailleurs...Il allait mieux Derek? Lucy lui coula un regard et constata que oui, il semblait un peu mieux que lorsque la Ministre avait attendant, Lily parlait encore. Elle parlait mĂȘme du cadeau de sa maman, mais euh, c'Ă©tait quoi ce cadeau? Et pourquoi que de sa maman, oncle Harry Ă©tait prompt Ă  faire des cadeaux aussi, pour ce que Lucy en savait...ah mais ouii. Les souvenirs revinrent d'un coup Ă  Lucy qui, pauvre Ăąme innocente, avait allĂšgrement refoulĂ© dans son inconscient le cadeau de Lily. Ben oui. Des prĂ©servatifs; elle avait oubliĂ© ce dĂ©tail, tiens, mais comprenait maintenant pourquoi c'Ă©tait le cadeau de la maman. Harry Ă©tait un peu...protecteur, comme pĂšre. En attendant...EUH? Elle avait bien suivi? Lily lui proposait de lui prĂȘter un...chose? Lucy rougit jusqu'Ă  la racine des cheveux et jeta un somptueux regard assassin Ă  sa cousine. Je te hais, j'avais pas l'intention de me transformer en tomate aujourd'hui, cousine...I HATE YOU. Et euh...Lucy regarda Lily de travers"Ben, je crois pas en avoir l'usage immĂ©diatement Lily. Mais je prends note."Petit sourire paillard. Mais elle Ă©tait quand mĂȘme ROUGE. Rhaah Lily, pourquoi trouvait-elle toujours un nouveau moyen de la faire bisquer, hein? En attendant...c'Ă©tait Lysander qui prenait la parole. Oh, il ne dormait pas alors? Hm, mais alors...ils pourraient peut-ĂȘtre tester ce canapĂ©, non? C'Ă©tait sĂ»rement sympa et...LILY SORS DE CE en attendant, Lysander demandait un cadeau Ă  Lily. SATYRE. Lucy sourit, un peu embĂȘtĂ©e. Mais Ă©videmment qu'elle le lui prĂȘterait mais euh, pas tout de suite, n'est ce pas? Ce d'autant plus que son pĂšre avait l'esprit ouvert...jusqu'Ă  un certain point. Et que Lily se dĂ©brouillait bien toute seule pour mettre le bazar; autant ne pas devenir sujet de ragots en plus! Ah. Un ange lui souriait, que faire? ...Ouais nan, en fait c'Ă©tait ce Serdaigle que Lucy connaissait trĂšs trĂšs mal, le dĂ©nommĂ© Lysander, l'ennemi jurĂ© du chat Hoshi. Qui lui demandait de s'approcher pour qu'il lui demande un truc. Nan mais NAN, j'ai dit plus tard, le cadeau de Lily...Ah, mais ce n'Ă©tait pas ça, il la questionnait sur le blaireau lĂ -bas. N'y voyez nulle mĂ©chancetĂ©, c'est juste que c'Ă©tait un Poufsouffle et Lucy rĂ©pondit tout touut bas"C'est Andras Singh, un Ă©lĂšve de Poufsouffle...trĂšs timide, mais gentil tout plein, plutĂŽt le genre frĂ©quentable."Petit sourire Ă  Lysander. Pas jaloux hein?Et la Gryffondor proposait de se prĂ©senter. Ca faisait alcooliques anonymes? Nathan on t'appelle...non, rien du tout. Lucy, donc. LUCY? Une Lucy plus ĂągĂ©e qu'elle, en plus, baaah. Lucy Weasley allait se prĂ©senter Ă  son tour quand une autre Gryffondor fit remarquer qu c'Ă©tait coincĂ©. Nan, classique, nuance. D'ailleurs, Lucy prit la parole Ă  son tour"Lucy Weasley, cinquiĂšme annĂ©e, Poufsouffle. Pas de chance, Ted, tu as deux Lucy dans ton groupe..."Petit sourire. Bon alors, Lucy number one c'Ă©tait elle et l'autre serait Lucy II. Ou bien, elle c'Ă©tait Lucy et l'autre serait Lulu? Rhoh et puis, dĂ©brouillez vous trĂšs chers, elle attendait juste le dĂ©but lĂ . Dominique Weasley Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Mar 8 Mar - 654 Qui c’est qui t’as fait ça, que j’aille lui exploser la gueule ? »Mon Dieu, tout de suite la violence ! Bon, visiblement, Domi aurait mieux fait de toute suite filer vers Mel’ plutĂŽt que de se ramener vers Lily. DĂ©jĂ , sa cousine prenait une teinte inquiĂ©tante et ses yeux se changeaient en glace. Wachhhha, ça fait peur. Garde tes beaux yeux noisettes, la glace ne te vas pas du tout. Domi sourit, tendue, inspira, resourit, moins tendue. Au secours, Lily va pĂ©ter une durite 
 AprĂšs s’ĂȘtre calmĂ©e, en deux secondes top chrono, Dominique sourit calmement Ă  sa cousine, faisant mine de rien. Faire mine de rien, c’était sa spĂ©cialitĂ©. Faire genre que tout va pour le mieux malgrĂ© cet Ă©lancement Ă  la mĂąchoire. Faire genre que le monde est beau alors qu’il nous donne envie de vomir. VoilĂ  la force de Dominique Weasley Faire n’y verrait que du feu
 ou pas.<
Certes il ne vous dira pas tout de suite que vous lui manquez ou qu'il veut prendre un verre avec vous mais il vous fera comprendre qu'il espĂšre vous voir en vous disant oĂč il sera Ă  un moment donnĂ©, qu'il a trĂšs envie d'aller voir un film qui vient de sortir juste pour que vous lui proposiez. Tout est question de subtilitĂ© !. 3. Il Ă©voque d'anciens Sur cette terr', ma seul' joie, mon seul bonheur C'est Mon Homme. J'ai donnĂ© tout c'que j'ai, mon amour et tout mon cœurÀ Mon Homme Et mĂȘme la nuit, Quand je rĂȘve, c'est de lui, De Mon Homme. Ce n'est pas qu'il est beau, qu'il est riche ni costaud Mais je l'aime, c'est idiot, I'm'fout des coups I'm'prend mes sous, Je suis Ă  bout Mais malgrĂ© tout Que voulez-vous Je l'ai tell'ment dans la peau Qu'j'en d'viens marteau, DĂšs qu'il s'approch' c'est fini Je suis Ă  lui Quand ses yeux sur moi se posentÇa me rend tout' chose Je l'ai tell'ment dans la peau Qu'au moindre mot I'm'f'rait faire n'importe quoi J'tuerais, ma foi J'sens qu'il me rendrait infĂąme Mais je n'suis qu'un' femme Et, j'l'ai tell'ment dans la peau ... Pour le quitter c'est fou ce que m'ont offert D'autres hommes. Entre nous, voyez-vous ils ne valent pas trĂšs cher Tous les hommes La femm' Ă  vrai dir'N'est faite que pour souffrir Par les hommes. Dans les bals, j'ai couru, afin d'l'oublier j'ai bu Rien Ă  faire, j'ai pas pu Quand i'm'dit "Viens"J'suis comme un chien Y a pas moyen C'est comme un lien Qui me retient. Je l'ai tell'ment dans la peau Qu'j'en suis dingo. Que cell' qui n'a pas aussi Connu ceci Ose venir la premiĂšre Me j'ter la pierre. En avoir un dans la peau C'est l'pir' des maux Mais c'est connaĂźtre l'amour Sous son vrai jour Et j'dis qu'il faut qu'on pardonne Quand un' femme se donneÀ l'homm' qu'elle a dans la peau ...

Jepassais mes journées à m'occuper du bébé et de la maison et quand il rentrait le soir, mon mari ne s'en souciait pas vraiment, et c'est pour ça que je ne supportais pas cet

Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie d’un nouveau ... Voir le deal RPG - Long Island UC Divers [Saison2] Centre Ville AuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet Avant tout... Jeu 1 Nov - 2359 Avant de trouver le chemin du campus, c'Ă©tait le chemin du bar que S avait repĂ©rĂ©. elle perdait pas le nord la demoiselle. Justice serait enfin faite, aprĂšs quelques heures d'avion - non mais sĂ©rieusement, elle a une tĂȘte Ă  faire le trajet de NY Ă  Long Island en voiture ? -, elle pourrait enfin se dĂ©tendre. D'ailleurs, en parlant de ça, la premiĂšre classe ce n'Ă©tait plus du tout ce que c'Ă©tait, ou peut-ĂȘtre que les avions Ă  destinations de la cĂŽtĂ© Ă©taient...disons, moins bien frĂ©quentĂ©s. En tout cas, elle Ă©tait restait assoiffĂ©e, cette foutue hĂŽtesse refusant de lui servir plus de trois coupes de champagne. Croyez-moi, on a vu pire dans les classes affaires. Ce n'Ă©tait pas un tour Ă  jouer Ă  S. Mais enfin, elle Ă©tait tellement pressĂ©e de se dĂ©tacher de l'Upper East Side qu'elle ne fit pas la moindre histoire. Elle avait abaissĂ© son turban personnel - ceux proposĂ©s dans les avions pouvaient trĂšs bien ĂȘtre tripotĂ©s par n'importe qui - et s'Ă©tait endormie jusqu'Ă  ce que cette mĂȘme foutue hĂŽtesse ne lui annonce l'atterrissage de l'appareil. Ses cheveux bruns avaient bu ĂȘtre en pagaille, il lui suffit d'adresser un petit sourire Ă  son voisin pour que celui-ci rayonne tout simplement. Elle avait quittĂ© l'aĂ©roport, on lui avait portĂ© ses bagages et puis, elle avait du se trouver une voiture parce que, les taxis, ça ne lui convenait qu'Ă  NY. Bien heureusement, papa Woodsen avait bien prĂ©vu le coup. Contacts? vous avez dit contacts? Exactement oui. allez savoir comment il avait usĂ© de son argent pour qu'Ă  son arrivĂ©e la jolie demoiselle ait un cabriolet noir, neuf qui l'attendait dĂ©cida de s'arrĂȘter dans le centre ville. Garant la voiture, laissant ses affaires dans le coffre. MĂȘme pas peur. De toute façon, mĂȘme si il arrivait quelque chose, elle aurait vite fait de remplacer sa collection de fringues. Voyons S, ce ne sont pas lĂ  des pensĂ©es de demoiselle aux revenus moyens. Elle se mordilla la lĂšvre infĂ©rieure, comme si elle venait de prendre conscience de son attitude. Elle poussa les porte du bar, il Ă©tait 21 heures. Inutile d'aller au campus, c'est bien ce qu'elle se disait. Elle se dirigea directement vers le bar - bah, sinon pour quoi faire? -. Elle s'asseya sur un de ces tabourets qu'elle affectionnait tant -plus pour les avoir usĂ©s que pour l'objet en tant que tel-. elle tourna doucement sur elle-mĂȘme, ou plutĂŽt, sur le pied du tabouret. s'attirant les regards des quelques personnes prĂ©sente. Un sourire lui fendit le visage tandis qu'elle retirer ses Gucci de son Bonsoir...DĂ©clara-t-elle en posant son regard sur le barman. Elle pinça lĂ©gĂšrement les lĂšvres, pour bien rĂ©partir son rouge Ă  lĂšvres, et se pencha lĂ©gĂšrement pour faire le tour des boissons entreposĂ©es derriĂšre le jeune homme. Hum..Autant espĂ©rer qu'il Ă©tait Ă  jour niveau alcool ce bar. Quelques secondes entre temps, le garçon trouva la salive suffisante pour articuler un vague bonsoir Ă  S. Elle sourit une nouvelle fois. DĂ©posant son sac sur le comptoir, elle hĂ©sita-Hum...une vodka tonic... Fiouh. dans un petit geste de la main. Une simple Tequila Sunrise fera l'affaire pour le moment. Voyant qu'il ne bougeait pas, son sourire s'Ă©tira, dĂ©voilant ses dents parfaitement blanches. S'il vous plaĂźt. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Ven 2 Nov - 1332 Voila que la journĂ©e commencait et aussi vite qu'il s'Ă©tait rendu au campus, aussi vite il en Ă©tait sortit. Matteo avait faite toutes ces heures, sans en louper une. La journĂ©e avait tellement paru longue, et dĂšs la derniĂšre heures, Matteo se disait que ca avait passĂ© vite. Il commencait Ă  se faire au mode de vie de l'universitĂ©. Il s'Ă©tait rendu d'un pas lent et dĂ©tendu vers sa chambre et c'Ă©tait alongĂ© quelques minutes. Le calme, y rĂ©gnĂ© et il n'avait allumĂ© qu'un petite lumiĂšre. Quelques instant de rĂ©flĂ©xions surment. Mais de courtes durĂ©es car il c'Ă©tait dĂ©cidĂ© Ă  sortir de sa chambre ce soir. Il n'aimait pas rester cloitrĂ© dans un endroit. Matteo rĂ©flĂ©chit Ă  l'endroit ou il pourrait se rendre, seul. Pas envie de contacter des amis, surtout qu'il n'en avait pas vraiment dans cette ville. Bonne raison de sortir un peu. Bon deja, Matteo allait marcher jusqu'au centre ville, aprĂšs il verrai ce qu'il ferai. Il sortit de sa chambre et sortit rapidement de l'universitĂ© avant qu'on ne le remarqua. Les rues Ă©taient inondĂ©s de personnes, la nuit Ă©tait tombĂ© et les rĂ©verbaires c'Ă©tait alumĂ©s. Voila qu'un bar se tendait devant les yeux de matteo. Pourquoi pas y faire un tour. Et il rentra donc, comme il pensait, l'endroit Ă©tait bondĂ©s. Quelques Ă©tudiants qu'il avait reconnu mais sans plus. Et beaucoup de visages sans nom. Lui qui aimait connaitre beaucoup de gens comme dans son ancienne ville, c'Ă©tait un peu ratĂ© pour le moment. Matteo se dirigea vers le contoire et s'asseya sur un tabouret. Il appela le serveur qui Ă©tait occupĂ© avec la personne Ă  cĂŽtĂ© de lui. c'Ă©tait une jeune femme, dĂ©cidement elle semblait fatiquĂ©, mais il ne fit qu'attention que aprĂšs quelques minutes. Car le barman, toujours fixĂ© sur la demoiselle ne semblait pas vouloir le servir. Olala il Ă©tait tombĂ© sur un fan incontournĂ© de jolie fille. Qui ne l'Ă©tait pas en mĂȘme temps. Matteo resterai poli, au moins quelques minutes, mais pas plus. Il s'Ă©nervait facilement mais sa n'en valait pas la peine. Il attendit calememant, le regard perdu ailleurs et son coude posĂ© sur le comptoir. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Ven 2 Nov - 1352 AprĂšs quelques secondes le jeune homme quitta des yeux S et s'affaira pour ton cocktail. Quelques secondes qui lui avaient parut interminables mais...soit sans crainte petit, pour S les secondes sont bien futiles.. La jeune femme se contenta donc d'attendre, que pouvait-elle faire de plus en mĂȘme temps? Elle fit un autre demi-tour avec son fauteuil - cette fois encore, attirant les regards suspicieux de quelques personnes -, elle croisa doucement les jambes, se fĂ©licitant d'avoir enfilĂ© un jean pour le trajet en remarquant quelques regards en biais. Quelle honte....En quelques minutes, le bar s'Ă©tait un peu rempli. Des quelques personnes Ă©parpillĂ©es dans la salle apparut une bonne dizaine d'Ă©tudiants. Ses prochains compagnon de campus vraisemblablement, elle n'allait pas s'en plaindre - voyons, ils aimaient les bars, de quoi d'autre pouvait-elle rĂȘver?-. Une chose Ă©tait sur, elle ne serait pas obligĂ©e de mettre ses habitudes de cĂŽtĂ©. C'Ă©tait une rĂ©alitĂ© pour elle, d'un cĂŽtĂ© il y avait les cours, et elle Ă©tait bien dĂ©cidĂ©e Ă  faire son maximum, il Ă©tait grand temps qu'elle se mette au boulot maintenant, de l'autre cĂŽtĂ©, il y avait sa vie privĂ©e. Bien heureux, elle garderait contact avec D et O bien que A soit bien dĂ©cidĂ©e Ă  ne plus jamais lui adresser la parole. Cette petit incartade il arracha un petit garçon la sortit de ses pensĂ©es en poussant le verre de Tequila vers elle. Elle afficha un sourire radieux en approchant le cocktail de ses lĂšvres. Bordel! qu'est-ce qu'elle aimait ça =D Elle hocha vaguement la tĂȘte, reprenant une position face au bar. Un battement de cils plus loin-Merci beaucoup...-Mais de rien Mademoiselle. »Charmant...Elle rebut une gorgĂ©e, laissant son regard vagabonder sur les gens qui Ă©tait prĂ©sent. Enfin, une personne s'Ă©tait assise Ă  cĂŽtĂ© d'elle sans qu'elle ne s'en rend compte. Une nouvelle qui la fit sourire Ă  nouveaux. Visiblement, ce jeune homme attendait le barman qui s'Ă©tait encore mit en mode off. Qui a dit que les hommes n'Ă©taient pas complexes parfois? >..< mais non plutĂŽt qu'il n'as pas toujours adhĂ©rĂ© Ă  la boisson. Étant donnĂ© son passĂ© on peut le comprendre mais pourquoi alors Re-boit-il maintenant. Et bien tout simplement parce qu'il c'Ă©tait une idĂ©e "Ne jamais ressembler Ă  ces parents" Ohlala tant de pensĂ©e comme ca vers les parents, c'Ă©tait habituel chez les jeunes. Pourquoi penser aux parents, avec le temps Matteo s'Ă©tait fait Ă  l'idĂ©e qu'il pourrait se dĂ©brouiller seul. ce n'est pas l'impression qu'on a quand monsieur passe d'un appartement pas trĂšs a envier Ă  une maison de bourge Ă  Long Island. Le petit avait donc bien changĂ© mais il se refusait Ă  y croire. Encore un tourment dans sa petite tĂȘte. Par contre, les cours sa il devait si mettre. Des notes mĂ©diocre n'allait pas l'aider Ă  finir ces Ă©tudes. Depuis quand on a besoin de finir l'universitĂ© quand on veut devenir rock star. Hum, il avait de l'ambition lui mais aussi indiscutablement tĂȘtu. Fibou, Matt resta Ă  peine quelques minutes vers la jeune fille qu'ils dĂ©signaient tout deux et reposa son regard sur Serena. Parler d'implant, sa, sa le faisait rire aussi. mais pas de le sens de la conversation, plus pareil ne parlait pas de sa en gĂ©nĂ©ral, heureusement ! MĂ©chante ? Je dirais jute rĂ©aliste Ouh il cachait bien son jeu lui. Pas toujours gentil Ă  ce que je voyais, ben c'est vrai qu'il Ă©tait franche. sa ne servait Ă  rien de mentir. Au moins, il ne l'avait pas dit vraiment fort pour que la personne dite l'entende. Il regarda une derniĂšre fois, elle semblait plongĂ© dans autre chose donc aucune chance qu'elle stars Ă  ce que ces deux la bien Serena se dandinait sur sa chaise comme une petite fille. Matteo Ă©couta alors plus attentivement, c'Ă©tait un bon rythme ca c'est pour toi aussi parce que une fĂ©tichiste ! J'ai une chambre double mais toujours pas de colocs...Vive le calme xDSerena semblait re-visiter ces classiques avec moral et colgate mais Matteo ni preta qu'un peu attention. Matteo ria lĂ©gĂšrement quand celle ci lui fit une confidence. Elle s'adaptait bien contrairement Ă  monsieur. Ah il Ă©tait d'accord pour la suite, il s'intĂ©grait mieux dans un bar. Il souria lĂ©gĂšrement et rapporta son verre une fois plus vers lui, il Ă©tait dĂ©jĂ  presque vide mais on allez pas lui reprocher de boire un peu pour commencer la soirĂ©e InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Lun 5 Nov - 220 Serena ne put s'empĂȘcher de remarquer que M avait tendance Ă  partir dans ses pensĂ©es, laissant vagabonder sa main quelque part prĂšs de son verre sans vraiment faire attention Ă  ce qu'il se passait autour de lui. Et bien sur, loin d'elle l'idĂ©e de l'y sortir. Elle ne savait que trop bien le besoin qui pouvait submerger et inciter Ă  garder pour soi des pensĂ©es qui nous traversait l'esprit y laissant une marque amĂšre et, parfois, indĂ©lĂ©bile. Elle lui laissa donc le temps de reposer les pieds sur terre en s'occupant. Les jambes croisĂ©es, son pied gauche portait sur la petite barre transversale du tabouret, battant la mesure. Le claquement de la semelle de ses Gucci contre le fer provoquait un petit tintement que MattĂ©o aurait certainement trouvĂ© agaçant, mais il Ă©tait bien trop occupĂ© et le bruit occupĂ© Serena qui n'avait pas l'habitude des silence. Il fallait bien avouer qu'elle Ă©tait plutĂŽt bavarde la demoiselle. TrĂšs, trop peut-ĂȘtre mdrrrr Et puis surtout, dans son habitude de parler -pour ne rien dire- elle en oubliait parfois la sensibilitĂ© des gens et pouvait devenir trĂšs indĂ©licate. Que voulez vous? Chacun ses dĂ©fauts non? oO Elle Ă©tait trop direct et se souciait bien peu de ce que pouvait reprĂ©senter, ressentir les autres personnes qui occupaient sa planĂšte. Oui, oui, elle se sentait bien dans sa petite bulle, entourĂ©e de personnes qui comprenait l'angoisse suprĂȘme Est-ce que ces personnes m'aiment pour mon argent? -_- C'Ă©tait rĂ©confortant de ne sortir qu'avec des personnes similaires. Mais 'tention , grand tournant dans la petite vie de la demoiselle. Non, non, elle allait changer, tout simplement. Elle remua un peu plus son verre, puis le vida d'un trait en tournant cette fois son visage vers j'ai Ă  faire Ă  une petite blonde, c'est tout ce que je sais de la potentielle fĂ©tichiste xD Rah, je suis sur que j'aurais mieux fait de ne pas en parler. Avec la chance que j'ai, ça va me porter la poisse. Elle pointa son index vers la poitrine de son voisin en prenant un faux air apeurĂ©. Je te le dit, ça va me porter malheur cette histoire. Allez, allez, rattrapes-toi mĂ©chant garçon et dis moi qu'elle sera tout ce qu'il y a de plus adorable. Puis prenant une fausse moue suppliante. Allez, je la laisserais mĂȘme dĂ©corer la chambre de trucs hideux si c'est ce qu'elle aime. »Reprenant son expression lĂ©gitime, elle afficha un grand sourire. Ca avait quelque chose de rĂ©confortant de la voir sourire. On l'imaginait facilement gardant son sourire mĂȘme perdue en plein milieux d'un dĂ©sert. On lui avait mĂȘme affirmĂ© un jour qu'elle serait certainement la seule Ă  sourire si une troisiĂšme guerre mondiale nous tombait sur le nez XD Fallait bien chercher si c'Ă©tait un compliment bien dissimulĂ© ou bien une remarque plutĂŽt..pĂ©jorative . Elle, elle s'en foutait. Jusqu'Ă  prĂ©sent, un seul et unique Ă©vĂšnement avait rĂ©ussit Ă  dĂ©crocher ce sourire de ses lĂšvres et ce n'Ă©tait pas demain la veille que ça recommencerait. C'Ă©tait promis. Son regard bleutĂ© quitta son verre pour aller sonder le regard du jeun MattĂ©o. Il semblait, comment dire..Ă©tonnĂ© de la voir se dandinait TT Pourtant, elle n'Ă©tait pas la seule. Non non, regardes bien, il y avait cette mamie lĂ -bas funny Allons du calme S. Elle se tourna lĂ©gĂšrement afin d'apercevoir le barman, qu'elle avait dĂ©cidĂ© d'appeler James, sans vraiment vouloir connaĂźtre son nom. Elle lui adressa un sourire malicieux, incitant Ă  venir d'un signe de la main. Elle indiqua du doigt son verre vide et celui de son compagnon Ă  demi plein [XD].- Ca serait peut-ĂȘtre une bonne chose de nous amener deux nouvelles vodka, histoire qu'on ne se dĂ©shydrate pas. Puis tournant la tĂȘte vers MattĂ©o. Avoues que ça serait ennuyeux. Vodka ça te va ou tu prĂ©fĂšres autre chose MattĂ©o?»Qu'est-ce qu'elle Ă©tait serviable cette petite alors. Elle attendit que le jeune homme donne sa rĂ©ponse, cela servirait d'ordre pour James et ainsi, elle n'avait plus besoin de s'en occuper. Elle posa sa main sur le comptoir, reprenant sa petite manie de marquer le rythme de ses doigts fins. tiens tiens..Les cours de piano ne se perdaient pas tant que cela finalement. Elle Ă©tait soucieuse de continuer une conversation superficielle. Elle ,n'aimait pas qu'on sache des choses sur elle et elle Ă©tait trĂšs peu habile quand il s'agissait de savoir des choses sur les autres alors comme ça, ça ne faisait qu'arranger tout le monde. Elle dĂ©boutonna sa veste, les effluves d'alcool commençant lĂ©gĂšrement Ă  lui donner hum...Au fait MattĂ©o. Je croyais que les Ă©tudiants sĂ©rieux, les soirs de semaine, Ă©taient occupĂ©s Ă  rĂ©viser dans leur chambre avec leur copine et leurs bouquins sur les genoux...» InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Lun 5 Nov - 2216 Personnellement, qualifier Matteo de quelqu'un de sĂ©rieux sa n'irait pas. Il est plutĂŽt calme quand il veut mais c'est surtout un garçon trĂšs discret. Distrait par tout et rien, toutes choses qui bouges ou toutes pensĂ©es importantes ou non. c'Ă©tait bien la le problĂšme, il Ă©tait que trĂšs peu sur terre et pourtant Matteo n'Ă©tait pas triste. Non, juste pensif, un peu trop peut-ĂȘtre et on lui avait souvent dit d'ailleurs. Se moquant de ce que les gens pensent de lui, au fond tous le monde fait bien un minimum attention Ă  ça. Bien sur, il fait des efforts pour ĂȘtre Ă  l'Ă©coute, et parle un peu trop quand il veut. ce n'est quand mĂȘme, un moment silence et un autre bombardements de phrases sans respiration. En faite, comment savoir quand il parlera ou non et si il dira une connerie ou non. Ah une connerie c'est presque sur tout le temps. Devons qu'il ne fait pas attention Ă  ce qu'il dit mĂȘme aux dĂ©pend des autres. Pourtant il dĂ©teste blesser son entourage. Matteo Ă©coutait des deux oreilles, et oui, ce que Serena lui racontait sur son Ă©ventuelle colocataires. Lui, prĂ©fĂ©rait ne pas y penser au sujet du sien. Ces goĂ»ts, ces humeurs ou mĂȘme sa personnalitĂ© et bien sa resterait un mystĂšre pour le moment. Il ne rĂ©pondit pas vraiment, quoi dire, tout Ă©tait a peu prĂšs dit. Il afficha juste un sourire Ă  celle qu'il avait devant lui et gigota les glaçons de son verre. Depuis petit il faisait toujours sa et sa agaçait les personnes prĂšs de lui. Bref, des souvenirs des souvenirs qui nous en apprennent plus sur ce jeune serait des nĂŽtres pour les prochaines minutes, oui. A quoi bon ĂȘtre partit dans un monde meilleure alors qu'il est en conversations avec une jeune fille. Hum, il finit son verre presque d'une traite, il devait avoir soif. Peu de temps avant, il avait apprit que la vodka ne se buvait pas comme de l'eau. le pauvre, il devait se demander pourquoi il Ă©tait tant ivre. Non, on ne va pas le faire passer pour un alcoolique, c'est juste un mec. Serena semblait appeler le barman, une autre boisson ne serait pas de refus. Un dĂ©tachement, ou la elle pensait bien elle. Toujours accompagnĂ© d'un sourire, c'Ă©tait mieux que de faire une tĂȘte de dĂ©terrĂ©. Matteo rĂ©pondit alors, Ă  Serena et au barman en mĂȘme bien sa sera deux vodka !Et le "SVP" Matteo. Heureusement qu'il n'avait pas ajoutĂ© "mon brave" comme une autre fois. Il ne se foutait pas de lui mais comme dit auparavant, Matteo disait trop de choses. Quelques fois, il sortait de bons trucs, encore heureux. Ah elle est bien bonne celle la. AprĂšs que Matteo rĂ©ponde, Serena avait retorquer une phrases, quelques peu dĂ©routante de la rĂ©alitĂ©. Il suffisait de la mettre sur le bon chemin xD Hum, le jour ou Matteo sera sĂ©rieux, je doute que ce jour existe alors ne donnons pas de date. Et tu parles de qui en disant ça ?Il la regarda avec un lĂ©ger sourire, tout en faisant un minimum de faux doute que tu parlais de moi ?!Matteo prit un air faussement grand. Hum, pas le mot exact mais ce n'est rien. Enfin...Bref, Matteo attendit une rĂ©ponse. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Avant tout... Dim 18 Nov - 1545 Serena ne put rĂ©primer un nouveau sourire en voyant MattĂ©o rĂ©pondre au barman. Une question lui brĂ»lait les lĂšvres mais elle prĂ©fĂ©rait se retenir avant de sortir encore une de ces remarques idiotes qui permettent de couper court net Ă  la conversation. Elle prĂ©fĂ©rait nettement s'amuser et ne souhaitait en aucun cas le mettre mal Ă  l'aise. de toute façon, elle Ă©tait quasiment sur d'elle. Rah..C'est dans ces moments qu'elle se disait que faire Psycho n'aurait, finalement, pas Ă©tĂ© une mauvaise chose mais bon..Chacun son chemin. Et bref, pour en revenir Ă  MattĂ©o, il lui faisait vraiment penser Ă  la jeunesse dorĂ©e dont elle Ă©tait issue. Ceci dit, ça ne lui dĂ©plut pas le moins du monde, au moins, elle ne se sentait pas dĂ©paysĂ©e le moins du monde. Mais c'Ă©tait Ă©trange comme situation. Il avait l'air adorable et serviable aux premiers abords, serait-ce possible alors qu'il soit arrivĂ© ici odieux et prĂ©tentieux comme l'Ă©taient tout ceux de la trempe de la jeune demoiselle. Ha oui, ça l'intriguer. Elle se concentra sur la musique pour Ă©viter de poser des questions dĂ©rangeantes. L'Ă©ducation de ses parents lui aurait au moins appris une chose. Elle hocha la tĂȘte vers le barman qui semblait quelque peu..endormi ou bien Ă©tait-ce les relents d'alcool qu'il supportait mal? Elle regardait un peu autour d'elle. Les jeunes Ă©taient..sages front Aucun d'entre eux n'auraient eu la bonne idĂ©e de monter sur les table pour nous faire une petite danse du ventre. quel dommage -_-. Elle reporta son attention sur MattĂ©o avec une expression mutine, les yeux emplis de Bien sur que je parle de toi. Tu as l'air du parfait gentleman qui prend ses Ă©tudes Ă  coeur et surtout, qui ne dĂ©sobĂ©i pas Ă  la demoiselle qui lui a mit le grappin dessus quand elle lui interdit de boire avec d'autres jeunes femmes. Elle attrapa son verre, en quĂȘte Ă  une petite irritation Ă  cause du bruit que M faisait avec ses glaçons mais elle y Ă©tait bien trop habituĂ©e pour dire quoi que ce soit. Elle le porta Ă  ses lĂšvres et but une nouvelle fois sans se soucier de l'Ă©tat dans lequel elle serait lorsqu'elle essayerait de rentrer cette nuit. Rah Serena, on t'a dĂ©jĂ  dit que c'Ă©tait pas du p'tit lait front Prend le temps d'apprĂ©cier ta boisson; c'est ce qu'on lui disait avant. Oui avant qu'on ne comprenne que la fĂȘte et l'alcool, elle avait dĂ©jĂ  ça dans le sang alors Ă  quoi bon. Elle le reposa en souriant, prenant un petit air A moins que je ne me soit trompĂ© bien sur... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Avant tout... Avant tout... 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Soyonsbien clairs, je ne compte pas du tout la supprimer complĂštement de mon alimentation. DĂ©jĂ , parce que j'adore en boire, et deuxiĂšmement, parce que le "test" que j'ai fait en arrĂȘtant d'en boire pendant une semaine ne m'a pas montrĂ© assez d'avantages et de bienfaits sur mon corps pour que je dĂ©cide de m'en priver totalement au quotidien.
"Combien de femmes, excĂ©dĂ©es et Ă©puisĂ©es par des nuits blanches Ă  cĂŽtĂ© d'un moteur diesel 84 dB en pyjama ont fini par poser un ultimatum Ă  leur bien-aimĂ©?", s'amuse Paccionitoli. Getty Images/Tetra images RF Si le ronflement peut ĂȘtre un symptĂŽme de quelque chose de plus grave, la premiĂšre victime n'est gĂ©nĂ©ralement pas le ronfleur lui-mĂȘme, mais la personne qui partage son lit. Combien de femmes, excĂ©dĂ©es et Ă©puisĂ©es par des nuits blanches Ă  cĂŽtĂ© d'un moteur diesel 84 dB en pyjama ont fini par poser un ultimatum Ă  leur bien-aimĂ©? Mesdames, likez cet article si vous vous reconnaissez... Moi, j'ai eu le nez passablement dĂ©truit par un accident de vĂ©lo Ă©tant petit, puis par la pratique d'arts martiaux, j'ai bien moins de 50 ans et il m'arrive pourtant de ronfler aussi. Je n'atteins pas encore le stade de l'avion Ă  rĂ©action, peut-ĂȘtre seulement celui d'un monomoteur Ă  hĂ©lice ce qui est dĂ©jĂ  pas mal, mais le sujet m'a suffisamment ennuyĂ©, et on m'a suffisamment mis de coups d'oreillers pendant la nuit, pour que je me renseigne un peu sur le pourquoi du comment. Et j'ai trouvĂ© des rĂ©ponses sur l'origine du mal. Le bruit provoquĂ© par le ronflement vient de la vibration des tissus de la gorge. Ces tissus vibrent parce que le passage de l'air au fond de la gorge, au lieu d'ĂȘtre laminaire, devient turbulent. Les deux principales causes de ronflement sont la surcharge pondĂ©rale, qui Ă©paissit les tissus de la gorge et rend plus difficile plus turbulent le passage de l'air, et la congestion nasale le nez bouchĂ©, qu'elle provienne d'une dĂ©viation de la cloison nasale, d'une sinusite ou d'un simple rhume. En fait, tout ce qui peut venir perturber le passage de l'air dans le nez pourra jouer un rĂŽle direct ou indirect dans le ronflement. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement Deux autres facteurs sont susceptibles d'agir sur le ronflement. 1 Dormir sur le dos, car cela favorise l'affaissement par gravitĂ© des tissus mous de la gorge, et, lĂ  aussi, l'apparition d'un flux d'air turbulent. 2 Consommer de l'alcool le soir, puisque l'alcool agit comme un myorelaxant qui va "ramollir" les muscles et les tissus de la gorge donc compliquer le passage de l'air. Comment moins -ou ne plus- ronfler ?Nous entrons lĂ  dans le vif du sujet. Mille et un sites internet sont consacrĂ©s au sujet, certains suggĂ©rant des solutions plus proches du vaudou que de la science ou du bon sens. Ici, nous allons privilĂ©gier les solutions de bon sens, logiques et simples. On l'a vu plus haut, le ronflement est dĂ» Ă  la vibration des tissus de la gorge. Pour ne plus ronfler, il faut donc faciliter la circulation de l'air dans tout l'appareil respiratoire pour empĂȘcher au maximum cette vibration de s'enclencher. Voici 3 techniques faciles, logiques et efficaces, dont deux m'Ă©vitent dĂ©jĂ  moult coups d'oreiller durant la nuit 1. Perdez du poids ne serait-ce que trois ou quatre kilos. Si vous ĂȘtes en surpoids, ce sera une solution radicale et trĂšs souvent suffisante. Je ne dis pas que c'est la solution la plus simple, mais si vous ĂȘtes en surcharge pondĂ©rale, vous aurez beau dormir sur le cĂŽtĂ©, cela ne changera rien. En revanche, en perdant quelques kilos, les tissus de la gorge deviennent moins Ă©pais moins "gras" et l'air circule tout simplement mieux. C'est logique. 2. DĂ©bouchez votre nez. Cela permettra Ă  l'air inspirĂ© de rencontrer moins de rĂ©sistance. Pour ma part, avec mon nez abimĂ© depuis l'enfance cloison nasale dĂ©viĂ©e et sinusite chronique, c'est ce qui m'a beaucoup aidĂ© pour arrĂȘter de ronfler. On m'avait parlĂ© d'opĂ©ration chirurgicale, mais deux spĂ©cialistes rĂ©putĂ©s se sont contredits mutuellement Ă  mon sujet, donc j'ai prĂ©fĂ©rĂ© Ă©viter. Du coup, je dois remercier mon ORL, puisqu'il m'a fait essayer une nouveautĂ© technologique que je ne connaissais pas un dilatateur nasal. On a l'air plutĂŽt moche avec, mais comme il est fait pour ĂȘtre portĂ© la nuit, au final ça ne dĂ©range pas, et, pour moi en tous cas, ça marche trĂšs bien. 3. Dormez sur le cĂŽtĂ©. Cela Ă©vitera aux tissus mous de la gorge de s'affaisser et de "fermer" le passage de l'air. Pour plus de confort, pliez votre oreiller en deux s'il est fin, sinon ce n'est pas la peine pour maintenir votre tĂȘte droite, dans l'axe de la colonne vertĂ©brale vous n'aurez ainsi pas mal aux cervicales au rĂ©veil. C'est tout bĂȘte, mais c'est en pliant mon oreiller que j'ai vraiment mieux dormi dans cette position. Au sujet de dormir sur un cĂŽtĂ© ou un autre, j'ai entendu que dormir sur le cĂŽtĂ© droit permet au coeur d'ĂȘtre moins "compressĂ©" que lorsqu'on dort sur le cĂŽtĂ© gauche. AprĂšs quelques recherches, j'ai effectivement dĂ©couvert cette Ă©tude de 2003 de l'American College of Cardiology, reprise par le New York Times, qui semble confirmer qu'il vaut mieux dormir sur le cĂŽtĂ© droit, particuliĂšrement en cas de problĂšmes cardiaques. En rĂ©sumĂ©, pour sauver votre couple, perdez 3 ou 4 kilos, dĂ©bouchez votre nez, et dormez sur le cĂŽtĂ© droit! Et si l'un d'entre vous a testĂ© la technique de la balle de tennis cousue dans le dos du t-shirt pour se forcer Ă  dormir sur le cĂŽtĂ©, peut-il nous en faire un compte-rendu dans les commentaires? Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine BuĂ©no*ChroniqueJean-Laurent Cassely .