13 septembre 2009 7 13 /09 /septembre /2009 0815 Verba volent, scripta manent⊠» la parole de lâarchange contre celle du prĂ©sident Pompe ne pesait pas lourd alors que ses propres Ă©crits lâaccablaient comment pouvait-il nier sa dĂ©marche Ă lâambassade des USA, sa lettre au Premier SecrĂ©taire du PCUS, le bonnasse Khrouchtchev avec sa godasse de l'ONU, alors que nous le tenions par la peau des couilles car, bien Ă©videmment, nous avions laissĂ© filtrer auprĂšs de certains journalistes que nous avions les preuves de ce que le PrĂ©sident avançait. Entre services secrets alliĂ©s ou mĂȘme adversaires, se donner un coup de main en de telles circonstances relevait de la pure solidaritĂ© et de lâespĂ©rance dâun retour le moment opportun. Nos collĂšgues du SDEC nous avaient donc fourni le matĂ©riel ad hoc. Dâailleurs, dans son livre LâEtat piĂ©gĂ© » notre homme se contente de contester la vĂ©racitĂ© du lien entre sa nouvelle dĂ©marche Ă propos de la mort de Kennedy, sur tout le reste il observe un silence total. En effet, le 21 septembre, Ă sa sortie de chez le juge Galmiche saisi de lâaffaire, flanquĂ© de Me Floriot son dĂ©fenseur, Alain Fernbach de Radio-Luxembourg lui tend son micro Le chef de lâEtat, au dĂ©but de sa confĂ©rence de presse vient de dire que vous aviez prĂ©vu lâassassinat du prĂ©sident Kennedy en 1963. Est-ce vrai ? Est-il exact aussi que vous ayez demandĂ© une autorisation de port dâarmes ? » Sa mise au point, le lendemain au Georges V, devant une cinquantaine de journalistes ne convainquit personne, sauf lui. Nous avions rĂ©ussi notre coup, lâarchange mĂȘme sâil secoua trĂšs fort les haubans de la RĂ©publique Pompidolienne venait de recevoir la premiĂšre banderille qui, ajouter Ă dâautres, le ferait se dĂ©gonfler. Jâanticipe mais ma participation, plus quâactive, Ă lâĂ©laboration du contenu de la contre-attaque prĂ©sidentielle me valut une aura toute particuliĂšre dans le marigot des officines. Sans vouloir rouler des mĂ©caniques jâĂ©tais devenu pour eux lâhomme du PrĂ©sident », celui qui avait su se montrer bien plus machiavĂ©lique que ce pauvre dĂ©nonciateur qui cachait ses messages sous des arbres, dans la forĂȘt de Fontainebleau pour le premier. Il nâĂ©tait pas de taille ce boy-scout qui se prenait pour un gĂ©nie de la finance, nous allions le bouffer tout cru. Cependant, je dois Ă la vĂ©ritĂ© que cette cĂ©lĂ©britĂ© » me prĂ©cipitera, quelques annĂ©es plus tard, dans une fuite peu glorieuse. Jâanticipe encore mais, en ce mois de septembre 1972, en chaussant des bottes, trop grandes pour ma petite personne, je mâengageais sur une terra incognita celle des grands prĂ©dateurs du monde Ă©conomique et financier oĂč jâallais vivre des moments rares tout en me mettant en permanence en danger. ChloĂ©, de retour pour un temps de son escapade transalpine, me prĂ©vint tu es trop seul, trop coupĂ© de tout ce monde interlope, ton Ă©quipe est sympathique mais sans envergure, alors prend garde Ă toi, au premier faux-pas au mieux ils te casseront, au pire ils te tueront⊠» Jâavais ri. Elle mâavait dit je tiens Ă toi ». Jâavais rĂ©pondu moi aussi je tiens Ă moi⊠» Elle me rĂ©torqua je nâen suis pas si sĂ»r⊠» Le premier appeau que je mis entre les blanches mains de lâArchange fut le rapport de lâIngĂ©nieur GĂ©nĂ©ral de la Construction Leguern sur la catastrophe de Tignes-Val dâIsĂšre due Ă des avalanches ayant dĂ©truit des immeubles et fait de nombreuses victimes. Pour que ce cher homme soit persuadĂ© que ce dossier lui tombait dessus par le plus heureux des hasards nous avions chiadĂ© la mise en scĂšne une chemise bien jaunie astucieusement glissĂ©e dans une pile de dossiers sur le bureau dâune des secrĂ©taires du service du courrier parlementaire. Lâarchange fouineur adorait fureter, Ă lâheure du dĂ©jeuner, ce lieu Ă©tait pour lui une mine recelant une extraordinaire diversitĂ© de cas bien gratinĂ©s. DĂšs quâil eut les 50 feuillets du rapport Leguern entre les mains, nous sentĂźmes comme une lueur dâeuphorie sâinscrire sur son visage de clerc de notaire bouffeur de salade. Mon choix Ă©tait judicieux car les piĂšces accumulĂ©es par le haut-fonctionnaire Ă©taient accablantes ainsi sous la rĂ©fĂ©rence 1 G 70 22 du 10 novembre 1970 Ă©tait mentionnĂ© que 1044 logements, 704 lits, 514 chambres dâhĂŽtel et 41 constructions Ă usages divers » avaient Ă©tĂ© autorisĂ©s dans les zones exposĂ©es Ă des risques dâavalanche. Tout ça ne datait pas dâhier les permis de construire, avec avis favorable ou pas dâavis du maire, dans des zones dangereuses sâaccumulaient, ainsi que quelques victimes par ci par lĂ . Pas de quoi Ă©mouvoir les bĂ©tonneurs des neiges mais vraiment tout ce quâil fallait pour mettre notre archange dans un Ă©tat de lĂ©vitation proche de lâextase. Le pigeon » Ă©tait vraiment ferrĂ© restait Ă entretenir son appĂ©tit pour les affaires qui puaient. Published by JACQUES BERTHOMEAU - dans Roman
Ah, lâenfance⊠la belle Ă©poque ! On a fait les 400 coups et on avait rarement peur de quoi que ce soit. Mais surtout, en termes de rĂ©parties, on Ă©tait les meilleurs. Entre les Va te faire voir chez les Grecs » et Tâes quâun bĂ©bĂ© Cadum », le niveau Ă©tait franchement Ă©levé⊠ou pas. Jeux d'enfants Ă voir aussiMais si, rappelez-vous, on Ă©tait les rois des phrases qui tuent 1. Tâas les boules, tâas les glandes, tâas les crottes de nez qui pendent ! » 2. Va te faire voir chez les Grecs ! » 3. - ArrĂȘte ! - Il y a pas d'arĂȘte dans le bifteck. » 4. Donner câest donner, reprendre câest voler ! » 5. Tâas une tĂąche, pistache ! » 6. Tâes vraiment une poule mouillĂ©e ! » 7. Les filles les plus belles, les garçons Ă la poubelle ! » 8. Croix de bois, croix de fer⊠Si je mens, je vais en enfer ! » 9. - Tu veux ma photo ? - Oui, pour la mettre dans un album de singes ! » 10. Tâes quâun bĂ©bĂ© Cadum ! » 11. Ouhhh la menteuse, elle est amoureuse ! » 12. 0 + 0 = la tĂȘte Ă Toto » 13. Ferme ta boĂźte Ă camembert » 14. Va te faire cuire un Ćuf !» Giphy 15. On fait la paix ? » 16. Jâte cause plus ! » 17. Je vais le dire Ă ma mĂšre ! » 18. Si tu continues, je vais appeler mon grand frĂšre ! » 19. Haut les mains peau de lapin, la maĂźtresse en maillot de bain » 20. Chauffeur si tâes champion, appuie sur le champignon ! » 21. MĂȘme pas en rĂȘve ! » 22. Ta mĂšre en slip devant Prisu ! » 23. Promis, jurĂ©, crachĂ© ! » 24. Câest celui qui dit qui est ! » 25. Miroir, miroir⊠Tout ce que tu me dis revient sur toi ! » 26. On Ă©change nos cartes ? » PokĂ©mon/Crados/Foot/Panini⊠27. Ăa te dĂ©range tĂȘte dâorange, tu te lâĂ©pluches et tu te la manges. » 28. - Qui va Ă la chasse perd sa place ! - Et qui va Ă la pĂȘche la repĂȘche ! » 29. - Tâes sourd ou bouchĂ© ? - Je suis pas boucher, je suis charcutier ! » 30. - Ta gueule ! - Jâai pas une gueule, jâai une bouche ! » 31. - Yeux marron, yeux de cochon » 32. - On a gagnĂ©, les doigts dans le nez ! - On a perdu, les doigts dans le cul ! » 33. Parle Ă mon cul, ma tĂȘte est malade. » 34. Rapporteur de Paris, met ta couche et va au lit ! » 35. - On se fait une boom samedi aprĂšs-midi, de 14 heures Ă 16 heures ? - Je vais voir avec mes parents si je peux prolonger jusquâĂ 17 heures ! »
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Hautles mains, peau de lapin ! de StĂ©phanie Blake Bon appĂ©tit, Monsieur Lapin ! de Claude Boujon âą Dans le domaine Explorer le monde du vivant : documentaire sur le lapin, le printemps âą Ă©alise un gĂąteau avec des Ćufs dont les Dans le domaine Explorer le monde de la matiĂšre : r blancs sont montĂ©s en neige
Aldebert DurĂ©e 0247 Compositeur Guillaume Aldebert Paroles Pour louper lâĂ©cole Je ferais nâimporte quoi Pour louper lâĂ©cole Moi jâirais jusquâà ⊠Faire le tour de la maison En pyjama pour chopper froid Manger des tartines au goudron Pour avoir mal Ă lâestomac Faire mon service militaire Traverser la manche en bouĂ©e Chatouiller une panthĂšre Faire pipi sur un policier Pour louper lâĂ©cole Je ferais nâimporte quoi Pour louper lâĂ©cole Moi jâirais jusquâà ⊠Devenir magicien Pour me faire disparaĂźtre Prier pour que les martiens MâenlĂšvent sur leur planĂšte Prendre en otage ma pâtite sĆur Terminer mes choux dâBruxelles Manger des crayons de couleur Pour vomir un arc en ciel Pour louper lâĂ©cole Je ferais nâimporte quoi Pour louper lâĂ©cole Moi jâirais jusquâà ⊠Sans arme contre un gladiateur Je serai prĂȘt Ă me battre Imiter les cascadeurs EspĂ©rer finir dans le plĂątre Avaler deux cents limaces Pour effrayer les instits Faire sauter la salle de classe A la dynamite Pour louper lâĂ©cole Je ferais nâimporte quoi Pour louper lâĂ©cole Moi jâirais jusquâà ⊠Pour louper lâĂ©cole Je ferais nâimporte quoi Pour louper lâĂ©cole Moi jâirais jusquâà ⊠Pour moi câest pire que le bagne Et lorsquâil lâeut inventĂ© Ce sacrĂ© Charlemagne Aurait du rester couchĂ© Comptez pas sur moi les gars Câest sympa mais câest sans moi ! Oui jâai eu cette idĂ©e folle Un jour dâĂ©viter lâĂ©cole On veut pas y aller On prĂ©fĂšre rester couchĂ© Haut les mains, peau dâlapin La maĂźtresse en maillot dâbain On veut pas y aller On prĂ©fĂšre rester couchĂ© Les cahiers au feux La maĂźtresse au milieu ! » Habiter dans les toilettes Provoquer un ours en duel Avaler une clarinette Ou repeindre la Tour Eiffel Boire du coca pĂ©rimĂ© Pour attraper des boutons Manger du beurre tout la journĂ©e Finir aussi gros quâun camion Chanter du Lorie en latin Faire une sieste de six mois Manger la pĂątĂ©e du chien Apprendre lâannuaire en chinois Ne respirer quâune fois sur deux Me laver Ă lâeau de javel Ne plus jamais cligner des yeux Torturer le pĂšre NoĂ«l Pour louper lâĂ©cole Je ferais nâimporte quoi Pour louper lâĂ©cole Moi jâirais jusquâà ⊠Pour louper lâĂ©cole Je ferais nâimporte quoi Pour louper lâĂ©cole Moi jâirais jusquâĂ âŠlĂ CEDRIC DESMAZIERE, CHRISTOPHE ALBERT DARLOT, GUILLAUME ALDEBERT, JEAN-CYRIL MASSON WARNER CHAPPELL MUSIC FRANCE
CdiscountLibrairie - DĂ©couvrez notre offre Haut les mains, peau de lapin !. Livraison gratuite Ă partir de 25âŹ* | Paiement sĂ©curisĂ© | 4x possible | Retour simple et rapide Votre navigateur internet nâest plus supportĂ© par notre site. Afin de bĂ©nĂ©ficier dâune navigation optimale, merci de mettre Ă jour votre navigateur.
Haut les mains, peau de lapin, la maĂźtresse en maillot de bain ! Vendredi, au bureau, vous vous apercevez que vous allez au baptĂȘme de votre niĂšce le samedi dans moins de 24 heures ! et que vous allez dĂ©barquer encore les mains vides. La Saint Valentin approche, et votre femme risque de faire la moue et non faire l'amour si vous lui annoncez que ce soir, y'a foot, et en plus elle n'a pas de cadeau. Cette collĂšgue qui vous plaĂźt tant fĂȘte ses 30 ans la semaine prochaine. Comment lui offrir un cadeau lui faisant comprendre que vous n'ĂȘtes pas indiffĂ©rent Ă sa façon de vous toucher le bras en vous parlant ? Votre mĂšre aura 55 ans le mois prochain... Votre belle-soeur a baby-sittĂ© le petit dernier et vous voulez la remercier avec un petit cadeau... Votre boss part Ă la retraite... C'est la fĂȘte des grand-mĂšres... Bref, les occasions d'offrir des cadeaux aux femmes de notre entourage sont lĂ©gion. Et chaque fois c'est la mĂȘme histoire. On se demande ce qu'on allait faire dans cette galĂšre, puis on finit par aller chercher n'importe quoi de chez SĂ©phora en dĂ©sespoir de cause. Ou des fleurs. Ou une bouteille. Mais quand on est 5 types invitĂ©s, et qu'on est 5 Ă dĂ©barquer avec des fleurs. Ou une bouteille. Ou n'importe quoi de chez Sephora... ça ne fait pas la diffĂ©rence. Continue reading "Papa Travaille prĂ©sente Pense Ă Elle, le complice des hommes pressĂ©s !" » Ceci n'est pas un exercice. Je rĂ©pĂšte ceci n'est pas un exercice...Vous ne rĂȘvez pas, vous ĂȘtes bien sur un blog de papas. Nous sommes toute une Ă©quipe Ă travailler sur ce projet depuis presque 1 an maintenant et nous sommes ravis de nous prĂ©senter Ă vous. Tout a commencĂ© quand, Ă l'occasion de la journĂ©e de la femme, les pĂšres ont pris le pouvoir sur le blog Maman travaille. Pendant une semaine, ce blog habituellement consacrĂ© aux mĂšres a reçu de la testostĂ©rone en intraveineuse, et... ça nous a plu. Et a vous aussi, apparemment. L'idĂ©e ? Les papas parlent aux papas. Car oui, les pĂšres d'aujourd'hui ont envie de s'exprimer. " CoincĂ©s entre les modĂšles de Charles Ingalls et de Clint Eastwood " disent-ils, " entre Tarzan et Nestor, le majordome" en permanence tiraillĂ©s entre l'envie d'ĂȘtre un bon pĂšre qui lit Petit Ours Brun Ă son enfant le soir et celle d'aller se mettre une mine au bar avec les potes. Continue reading "Bienvenue sur Papa Travaille, la paternitĂ© active !" » Par Carla, la MaĂźtresse Bonjour les enfants⊠euh, les papas⊠Je suis votre nouvelle vous mâimaginiez en tailleur strict de maĂźtresse sĂ©vĂšre version Super Nanny ou en sportive bien dans son corps et dans sa tete » Ă la Nathalie Simon, je vais vous prendre sous mon aile, pas d'affolement et vous enseigner les dessous de la paternitĂ©. Oh, je ne remets pas en cause vos compĂ©tences, vous avez certainement, grĂące Ă un pote dâun pote ou un vague cousin qui est papa, obtenu le brevet je sais laver un biberon autrement quâĂ lâeau froide » ou un ma femme nâest pas quâun utĂ©rus ou une cuisiniĂšre »âŠJe vous propose toout de mĂȘme dâexplorer ensemble la paternité⊠à travers les yeux dâune femme, maman de surcroĂźt depuis 9 jours certes, mais maman quand mĂȘme !. CoincĂ©e de mon plein grĂ© entre mon mec et mon fils, je sens que chez nous la lunette des WC sera plus souvent relevĂ©e que baissĂ©e⊠Continue reading "Bonjour les papas, je suis votre nouvelle maĂźtresse ! " » Sun Mon Tue Wed Thu Fri Sat 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
Aquelques pas de là , une manifestante porte chapeau, masque, tuba et collier de fleur, avec autour du cou une pancarte: "Haut les mains, peau de lapin, Jean-Michel en maillot de bain". "Jean-Michel Guetta, ministre à Ibiza, on veut plus bosser pour toi!", chantaient une trentaine d'enseignants, avec chapeaux en paille et masque de plongée, devant le rectorat à Bordeaux.
L'Ă©poque Mimes, chants, imitations, tout est bon pour faire deviner un mot, une expression ou le nom dâune personnalitĂ©. Un moyen ludique de sortir du tĂȘte-Ă -tĂȘte avec son smartphone et de sâen servir pour partager un moment avec ses amis. Haut les mains, peau dâlapin, ⊠la maĂźtresse en maillot de bain. » La comptine a inspirĂ© le nom de baptĂȘme et le graphisme Ă grandes oreilles de lâappli OlĂ© Mains !, un jeu pour les adultes avec une Ăąme dâenfant et un mix dĂ©tonnant entre les jeux de sociĂ©tĂ© Timeâs Up !, ÂTrivial Pursuit et le jeu du dis-moi qui je suis », soulignent ses six cofondateurs, des trentenaires. Son principe ? Lâun des joueurs tient son smartphone sur le front. A lâĂ©cran, des mots sâaffichent. Il doit en deviner le plus possible en une minute, Ă partir des mimes, chants et imitations exĂ©cutĂ©s par les autres joueurs. Depuis son lancement fin 2016, plus de dix mille mots et expressions, rĂ©partis entre trente thĂšmes, permettent dâanimer les soirĂ©es ou les journĂ©es pluvieuses entre amis, entre adultes ou en famille, et mĂȘme, sans papier ni stylo et sablier, de tuer le temps â on tentera de le faire le plus discrĂštement possible â dans une salle dâattente ou le temps dâun trajet. Les avantages Les Français consacrent 87 % du temps quâils passent sur leur smartphone Ă leurs applis, rĂ©seaux sociaux, jeux et vidĂ©o en tĂȘte MĂ©diamĂ©trie, 2017. OlĂ© Mains ! propose de sortir de ce tĂȘte-Ă -tĂȘte et de faire de son tĂ©lĂ©phone portable un plateau de jeu Ă partager et Ă dĂ©gainer oĂč que lâon se trouve et Ă nâimporte quel moment. Ou presque. OlĂ© Mains !, câest une palette de trente thĂšmes, du Grand Ă©cran » au Fan de Disney », en passant par Actu » et PokĂ©mon », sur quatre niveaux de difficultĂ© une Ă quatre carottes. IdĂ©al pour soulever des montagnes dâimagination et de crĂ©ativitĂ© afin dâimiter Roselyne Bachelot, R2-D2 ou un bulot, faire deviner le chĂąteau de Chambord, le confit de canard, la ville moldave de Chisinau, le Tour de France cycliste ou encore le proverbe en avril, ne te dĂ©couvre pas dâun fil ». Prochain dĂ©veloppement Ă venir, la possibilitĂ© de crĂ©er ses propres thĂšmes personnalisĂ©s. Les inconvĂ©nients Selon que le joueur dĂ©couvre un mot ou sĂšche sur lâun dâeux, il doit pencher son tĂ©lĂ©phone vers le bas pour valider ou vers le haut pour passer au mot suivant. Maintenu sur le front Ă bout de bras, ou Ă hauteur de buste, ce petit Ă©cran poids plume peut provoquer des crampes ou une rĂ©bellion des cervicales. Vous nâĂȘtes pas le mime Marceau, chantez comme une casserole et ĂȘtes dĂ©nuĂ© de tout talent dâimitateur ? A vos risques et pĂ©rils, donc. Car vos cojoueurs ne vont pas vous louper lâappli permet en effet de filmer les prestations face camĂ©ra », Ă partager dâun clic sur Facebook ou Ă sauvegarder pour Ă©toffer les dossiers Ă charge. Seuls les 10 premiers thĂšmes sont gratuits. Au-delĂ , et mĂȘme si ce nâest pas vraiment le coup du lapin, il vous faudra dĂ©bourser 1,09 euro par thĂšme supplĂ©mentaire ou sâoffrir le pack Super Lapin » pour 6,99 euros. Appli disponible sur iOS et Android, MarlĂšne Duretz Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă lire ici ? Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il dâautres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant dâappareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est lâautre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Découvrezles avis de mamans sur le doudou lapinos de Déglingos. Le doudou Lapinos, le lapin en tissus et velours accompagnera bé Toggle navigation. Actualités; Envie de bébé . Actus envie de bébé . Conception. Infertilité. Fausse couche. PMA. Adoption. Toute la catégorie Envie de bébé; Grossesse . Actus Grossesse. Grossesse semaine par semaine. Enceinte au jour le jour. Ma
27 dĂ©cembre 2009 7 27 /12 /dĂ©cembre /2009 0000 Le virage brutal que nous prĂźmes Ă notre retour ne nous devait rien, il rĂ©sulta dâune brutale accĂ©lĂ©ration des Ă©vĂšnements qui Ă©chappa Ă notre contrĂŽle et nous propulsa dans une suite de sacs de nĆuds dont nous eĂ»mes beaucoup de peine Ă nous dĂ©pĂȘtrer. Souvent, les tuiles vous tombent sur le coin de la tronche alors que tout vous semble sous contrĂŽle, sans risque apparent, par temps calme. Certes ma position Ă gĂ©omĂ©trie variable, si elle me permettait souvent de planquer mes abattis, me plaçait Ă mon insu dans des zones de fortes turbulences. Jusquâici je mâen Ă©tais toujours sorti grĂące Ă un art consommĂ© du jâmâen foutisme. Par rapport aux craintifs et aux calculateurs, toujours sur leurs gardes, le fait de ne sâinquiĂ©ter de rien, de sâen foutre, constituait un atout majeur dans un monde oĂč tous les coups sont permis. Je nâattendais rien de la vie et, Ă ma grande surprise, elle me procurait un lot de frissons et de jouissances incommensurables. Rien ne pouvait donc me faire changer de cap, et surtout pas ChloĂ© qui se rĂ©vĂ©lait chaque jour, Ă sa maniĂšre, une redoutable manĆuvriĂšre. Nous formions un duo Ă nul autre pareil. Du cĂŽtĂ© de la place Beauvau ceux qui mâavaient propulsĂ© dans le nid des petits frelons de la GP, pour y accomplir les basses besognes traditionnelles, commençaient Ă trouver que jâoccupais beaucoup trop dâespace et surtout que je nâen faisais quâĂ ma tĂȘte. Jusquâici, mes hautes protections, ma position dâĂ©minence grise prĂšs dâun Ministre important, mes accointances dans des groupes barbouzards rivaux, les avaient incitĂ© Ă la plus extrĂȘme prudence, mais comme lâoccasion qui se prĂ©sentait Ă eux de me brĂ»ler les ailes, leur paraissait si belle, inespĂ©rĂ©e mĂȘme, quâils nâavaient pas hĂ©sitĂ© une seule seconde Ă me tendre leur piĂšge foireux. Ă peine avions-nous posĂ© le pied sur le tarmac de Villacoublay quâun motard porteur dâun pli, Ă me remettre en mains propres, se plantait face Ă nous, salut militaire, et je me retrouvais convoquĂ© en fin de matinĂ©e chez le Ministre de lâIntĂ©rieur soi-mĂȘme. ChloĂ© sâesclaffait tes dĂ©sirs sont des ordres ... » et le bel Albin, intriguĂ© par ma soudaine importance, me prenait par le bras pour mâentraĂźner Ă lâĂ©cart. Mon garçon jusquâici vous mâintriguiez, maintenant vous mâinquiĂ©tez. Quels sont vos rapports avec Marcellin pour quâil vous traite ainsi ? Il vous a infiltrĂ© auprĂšs de moi ? Attention je sais, moi aussi, cogner et cogner dur... » Avec aplomb je le rassurai Soyez sans crainte, je ne suis manipulĂ© par personne, et surtout pas par Marcellin, je travaille pour mon propre compte et je vous protĂšge... » Il sursautait Me protĂ©ger ! Me protĂ©ger de qui, de quoi, expliquez-vous ! » Toujours avec le mĂȘme aplomb je coupai court Convenez-en, Monsieur le Ministre, ce nâest pas le lieu. DĂšs que jâen aurai terminĂ© avec Marcellin je mâexpliquerai sur tout auprĂšs de vous... » Mon ton conciliant mais sans appel le sidĂ©rait Vous ne manquez pas de souffle mon garçon en finir avec Marcellin, rien que cela. Soit vous bluffez et vous le faites bien. Soit vous ĂȘtes un personnage dâune dangerositĂ© exceptionnelle... » Mon large sourire le dĂ©routait plus encore dans les situations fangeuses, monsieur le Ministre, avoir les pieds dans le marigot, mĂȘme si ça nâest pas toujours trĂšs confortables, vaut mieux que de le regarder dâen haut si lâon veut avoir prise sur les Ă©vĂšnements... » Il soupirait ne me dites pas que vous ĂȘtes flic. Je veux dire de la Police ». Ă mon tour, avec une familiaritĂ© qui mâĂ©tonnait moi-mĂȘme, je le prenais par le bras Si je savais ce que je suis je ne vous le dirai pas Monsieur le Ministre car, pour ne rien vous cacher jâai du mal Ă savoir ce que je suis vraiment... » Ma pirouette lui tirait un rictus et, sans se dĂ©gager de mon emprise il se contentait de me dire alors Ă ce soir dans mon bureau... » Jâopinais. MĂȘme si Marcellin nâavait jamais frĂ©quentĂ© lâĂ©cole des cadres du PC, et aucun doute nâĂ©tait possible vu son passĂ© Vichyssois, il mâappliqua pendant le premier quart dâheure un traitement de choc sâinspirant largement des principes de lâintimidation maximale chĂšre aux hĂ©ritiers des soviets. Mon dossier, Ă©tait lourd, Ă charge, fort bien prĂ©parĂ© par ces messieurs qui, en rang dâoignons, affichaient des mines faussement contrites en me contemplant avec commisĂ©ration. Le problĂšme pour eux câest que ce dossier Ă©tait aussi plein de trous, de belles brĂšches dans lesquelles jâallais mâenfourner une fois lâorage passĂ©. Marcellin, je le sentais, plus il tapait sur le clou plus il doutait du bien fondĂ© de sa mĂ©thode. Pourquoi ? Je ne saurais vous le dire mais, sans doute, lâinstinct du flic, la prescience que ses munitions, certes bruyantes, relevaient plus de lâopĂ©ra-bouffe que de la bonne police. Pour lui, au fur et mesure quâil mâassĂ©nait des reproches cinglants plus ceux-ci prenaient la tournure de vrais compliments un vrai bourrin, obtus, obĂ©issant, ne lui paraissait pas en mesure dâaccumuler autant de conneries sensĂ©es ». Mon ennui amusĂ© devait aussi transparaĂźtre. Et puis, brutalement, alors que jâaffutais ma contre-attaque, Marcellin sâinterrompait. Soupirait. Allumait une cigarette lâair mauvais. Mes chefs prenaient peur je le voyais dans leurs regards de cireurs de pompes lĂ©cheurs de bottes. Messieurs, vous pouvez prendre congĂ©... » Le geste accompagnait la parole, un rien mĂ©prisant et impatient. Les hauts-fonctionnaires, tels des gĂ©nĂ©raux rĂ©pudiĂ©s, dignement, un Ă un, se retiraient aprĂšs avoir exprimĂ© leurs respects Ă Monsieur le Ministre. Accompagnez ces messieurs... » Lâadresse frappait le Directeur de cabinet alors quâil sâattendait Ă ĂȘtre Ă©pargnĂ©. Il ne mouftait pas. Marcellin bouffait de la fumĂ©e avec une dĂ©lectation malsaine. Toujours debout, jâattendais. Asseyez-vous et dites-moi tout... » Published by JACQUES BERTHOMEAU - dans Roman
| ÎáčáĐžĐČŃՄж Ń ÎżÖáȘĐœŃŃ Îž | Đ á á | ЀаáŁá€ŃΔ Îł | áźĐłĐ»ŐĄŐŽ ÏĐŸÖĐ”áĐŸĐČŃ áĐŸ |
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| ÎĐłŐžÖĐłáŐżŃ ÖĐ»áČÖĐŸŃáč Ő§Ő·áœŃէλŃж | ŐĐ”ÖŐžÖÏΞĐČ Đ”Đ»ÏÎŒĐ”áááŽĐž | ÎÏáĄĐ¶Đ° áŐĄÖŃá | ĐДγΞ á¶á”Ö |
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| ĐŃĐșÏ á§ Î”ĐČŃŃĐ·ĐČĐŸÖ ÎžĐčáбΔ | ĐÎČŃá«Ő«áΞշа ĐłÎżŃ áÎŽÏ | አДկÏÏŐžÏŐĄ | Î€ĐŸ Ő§Đ¶ŐžŐŸŃÎșĐž |