Séveryne diagnostiquée à la suite d’une chute et d’une perte de connaissance, en 2016 à 47 ans, a vécu plusieurs lignes de traitements, et a pu reprendre son travail en mi-temps thérapeutique, puis à temps plein et avec une vie quasi normale (avec prophylaxie). Mais son myélome est devenu réfractaire aux divers protocoles.Vous avez mal à la fesse ? Vous pensez à une sciatique ? Un muscle fessier ? Une tendinite ? Pas toujours facile de comprendre l'origine de votre mal à la fesse ou fessalgie, et de savoir quoi faire pour la soulager. Une douleur dans la fesse peut avoir plusieurs origines selon ses caractéristiques. Elle peut être la manifestation d’une pathologie traumatique, musculaire, neuropathique ou viscérale fractures, tendinites, névralgies, pathologies rectales. Marie RAYBAUD a effectué des recherches et étudié les pathologies liées à la fesse. Après avoir mis en action toutes ses connaissances auprès de sa patientèle, elle vous dévoile son expérience dans cet vous soulager de votre mal à la fesse, vous pouvez, dès maintenant, sélectionner et prendre rendez-vous avec un de nos ostéopathes qui saura s'adapter à votre premier réflexe pour soulager une douleur à la fesse le rouleau myofascial Un premier conseil pensez à vous étirer et relâcher vos tensions musculaires excessives, souvent à l'origine de douleurs à la fesse telles que contractures, sciatiques ou même tendinites. Ces tensions musculaires peuvent apparaitre à cause de mauvaises postures ou bien d'une activité sportive par exemple. Comment soulager ces tensions et douleurs à la fesse ? Le plus efficace pour relâcher vos tensions de votre côté, ce sont les rouleaux myofasciaux que vous pourrez faire glisser sur la zone douloureuse. Ces rouleaux agissent sur les fascias qui enveloppent les muscles, tendons et capsules articulaires. Bref, idéal pour cette zone fessière. On vous conseille ceux ci-dessous Découvrons maintenant ensemble les 7 explications de votre douleur fessière 1 - Une sciatique à l'origine de ma douleur à la fesse ? La sciatique se définit comme une névralgie douleur liée à un nerf du nerf sciatique. Elle est fréquemment associée à des douleurs lombaires, on peut alors parler de lombosciatique qui est la forme de sciatique la plus commune. La sciatique, c'est la douleur la plus connue de douleur à la fesse. La sciatique nécessite une prise en charge adaptée à votre état et aux causes de son apparition hernie discale, syndrome du piriforme.... Elle est provoquée par la compression et/ou l’inflammation du nerf sciatique, la plupart du temps au niveau de ses racines nerveuses, à proximité de la colonne vertébrale lombaire En effet, le nerf sciatique est formé de plusieurs racines nerveuses qui émergent de la colonne lombaire. Ses racines les plus importantes sont L5 et S1 qui émergent respectivement entre L4 et L5 4e et 5e vertèbres lombaires et L5 et S1 5e vertèbre lombaire et 1e vertèbre sacrée. Une compression ou une inflammation au niveau de ces émergences nerveuses peut entraîner l’apparition d’une sciatique. Symptômes de la sciatique la fameuse douleur électrique derrière la fesse... La névralgie du nerf sciatique se caractérise par une douleur vive à type de décharges électriques qui suit scrupuleusement le trajet du nerf sciatique elle irradie dans la fesse, puis le long de la cuisse et de la jambe jusqu’au genou voire jusqu’au pied. En fonction de la racine nerveuse affectée, le trajet de la douleur est bien spécifique lors d’une atteinte de la racine L5, la douleur dans la fesse se poursuit plutôt sur la face latérale de la cuisse, alors qu’elle longe la face postérieure lors d’une atteinte de la racine S1. La douleur de sciatique est amplifiée dans certaines positions ou lors d’efforts physiques et atténuée par le repos et la position allongée. Elle est particulièrement aggravée par la marche, les mouvements du bas du dos et du bassin, le port de charge ainsi que les positions debout et surtout assise prolongées. Elle peut être accompagnée de troubles de la sensibilité fourmillements, picotements, pertes de sensibilité ou de troubles moteurs faiblesse musculaire, particulièrement au niveau du pied et de la jambe. Dans les cas les plus graves, on peut observer des troubles neurologiques importants syndrome de la queue de cheval, paralysie du membre inférieur…. Quelles sont les causes de la sciatique ? Tout phénomène à l’origine d’une compression ou d’une inflammation du nerf sciatique peut être à l’origine d’une sciatique. La cause principale de la sciatique est la hernie discale 85 % des cas. D’autres affections peuvent cependant être mises en cause, comme l’arthrose, les pathologies inflammatoires et infectieuses du rachis, les tumeurs ou métastases vertébrales ou l’existence d’un rétrécissement du canal lombaire chez les personnes âgées. Le traitement médical de la sciatique Le traitement médical de la sciatique repose sur la prise d’antalgiques et d’anti-inflammatoires non-stéroïdiens AINS, notamment en cas de crise inflammatoire aiguë,la prise de médicaments de la douleur neuropathique antidépresseurs/antiépileptique en cas de douleurs résistantes et chroniques, des séances de kinésithérapie prescrites dans certains cas,la pratique d’infiltration, notamment nécessaire lorsque les douleurs persistent,la chirurgie, qui intervient dans la prise en charge de la sciatique par hernie discale, selon le cas. Pour en savoir plus, lisez notre dossier complet sur le traitement de la sciatique. 2 - Les douleurs à la fesse d'origine musculaire Le muscle moyen fessier et le muscle pyramidal ou piriforme peuvent provoquer des douleurs à la fesse. Une douleur sur le côté de la fesse pensez à la tendinite du moyen fessier Elle se caractérise par une inflammation du tendon du muscle moyen fessier. Ce muscle s’insère sur la partie postéro-externe de l’os iliaque et son tendon est rattaché au grand trochanter relief palpable situé la face latérale haute de la cuisse, à l’extérieur de la hanche. Il est stabilisateur latéral du bassin, notamment en appui unipodal, il est donc fortement sollicité pour l’équilibre à la marche et encore plus lors de la course. Ainsi, la tendinite du moyen fessier est une pathologie fréquente chez les coureurs. Symptômes de la tendinite du moyen fessier Elle se manifeste par une douleur de la fesse au niveau de sa face externe et postérieure. Cette douleur se déclenche essentiellement dans des positions ou circonstances précises, liées à une mise en tension du tendon. Elle peut apparatre lors de la position debout ou assise prolongée, lors de la position sur le côté pour dormir, lors de la monté et descente des escaliers et lors de la marche notamment la marche prolongée ou la course. Elle est, en général, améliorée par le repos. Une douleur peut également être déclenchée par une palpation ou pression au niveau du grand trochanter lieu d'insertion du tendon du muscle moyen fessier. Une bourse séreuse se positionne entre les tendons des muscles fessiers et le trochanter afin de permettre le glissement des tendons sur l’os en limitant la friction lors des mouvements. Elle peut également subir une inflammation lors de la tendinite du moyen fessier et ainsi augmenter les douleurs. Causes et facteurs favorisant la tendinite du moyen fessier Les principales causes de la tendinite du muscle moyen fessier résultent de facteurs mécaniques liée à une utilisation importante, inhabituelle ou anormale du tendon du muscle moyen fessier une blessure, causée par un traumatisme sur la région de la hanche,des mouvements répétitifs impliquant la hanche, comme marcher et courir,des microtraumatismes répétés au niveau de la hanche lors de la pratique d'un sport de façon intense, les efforts physiques intenses et inhabituels,les antécédents chirurgicaux dans la région de la hanche prothèses de hanche,les troubles de l’équilibre et de la posture, notamment au niveau du bassin,les déséquilibres musculaires en général, les malformations du bassin et des membres inférieurs,les différences de hauteur de jambe. Plus rarement, elle est causée par certaines maladies pouvant être associées à une bursite goutte, arthrite, polyarthrite rhumatoïde. La prise en charge médicale de cette tendinite inclut principalement du repos, la prise d’antalgiques et d’anti-inflammatoires et la pratique d’infiltrations si nécessaire. La chirurgie intervient en dernier recours, si les autres traitements n’ont pas montré d’efficacité et qu’on ne trouve pas d’autre solution au-delà de 6 mois. Une douleur derrière la fesse ? Pensez au syndrome du piriforme ou pyramidal Ce syndrome correspond, en fait, à une sciatique tronquée, c’est-à -dire qu’il provoque une douleur derrière la fesse, similaire à la douleur de type sciatique. En revanche, c’est cette fois-ci la contraction trop importante du muscle piriforme qui est responsable de la douleur car elle entraîne une compression excessive du nerf sciatique au niveau de son passage à travers les fibres musculaires. Ce syndrome est à différencier de la sciatique car il n’existe pas d'atteinte nerveuse mais simplement une irritation mécanique du nerf liée à une contracture musculaire. Les causes de l’apparition du syndrome du piriforme sont globalement les mêmes que pour la tendinite du moyen fessier, c’est-à -dire qu’elles sont principalement d’origine mécanique. Les infiltrations, dans ce cas, peuvent être un atout thérapeutique mais la prise en charge ostéopathique reste la plus adaptée. Pensez également à bien étirer votre muscle piriforme. 3 - Un traumatisme à l'origine de votre douleur à la fesse ? Une douleur au niveau de la région de la fesse peut se manifester suite à un traumatisme important avec possibilité de fracture au niveau du bassin ou des lombaires. Les fractures du bassin et des lombaires surviennent lors de chocs violents, souvent lors d’un grave accident de voiture ou d’une chute sur les fesses ou le bas du dos, d’une certaine hauteur. Chez les personnes âgées, un simple traumatisme banal peut parfois produire une lésion osseuse de ce type fractures tassements de la colonne, fracture isolée du bassin, …. Suite à une chute sur les fesses, la lésion la plus fréquente concerne le coccyx, ce petit os en bas du dos, entre le sacrum et l'anus. Les fractures de coccyx, de sacrum et d’ischion auront tendance à déclencher de vives douleurs au niveau de région de la fesse. Les fractures de la colonne vertébrale lombaire notamment L4 et L5 provoqueront de vives douleurs lombaires et seront également susceptibles d’engendrer une douleur dans la fesse par irritation du nerf sciatique. Un traumatisme important au niveau du bassin ou des lombaires peut également entraîner un hématome, des lésions musculaires, nerveuses atteinte des nerfs périphérique, neurologiques atteinte de la moelle épinière, et viscérales. Dans ce contexte, l’origine traumatique des douleurs et les signes de gravité associés hématome, paralysie, signes généraux, … forment une urgence thérapeutique médicale. Devant tout traumatisme, votre ostéopathe devra donc écarter cette cause là avant d'envisager d'autres pathologies responsables de douleurs à la fesse. Si vous souffrez d'une douleur au coccyx, la position assise est particulièrement compliqué à tenir et provoque des douleurs rapidement insupportables. La bouée est une solution simple permettant de limiter la pression sur le coccyx. Malheureusement, c'est une fausse bonne idée ! En effet, la bouée va congestionner l'ensemble de votre petit bassin et périnée. Utilisez une assise conçue avec une mousse à mémoire de forme, utilisant différentes densités et permettant de décharger plus naturellement votre zone douloureuse. Nous vous conseillons celle ci-dessous 4 - La hernie discale lombaire Bien que la hernie discale puisse toucher n’importe quelle région de la colonne vertébrale, la grande majorité des hernies discales surviennent dans la région lombaire et 80% de ces hernies touchent les disques qui séparent les vertèbres L4-L5 4e et 5e lombaire et L5-S1 5e lombaire et première vertèbre sacrée. La hernie discale, appelée également glissement » ou rupture » discale, est une affection du disque intervertébral. Situés entre chaque vertèbre de la colonne, les disques intervertébraux jouent un rôle d'amortisseur et de soutien. Ils absorbent les chocs et la charge du poids du corps en permanence et sont fortement sollicités lors des mouvements de flexion/extension et torsion de la colonne. Chaque disque intervertébral est composé de deux éléments un noyau central nucleus gélatineux, composé d’un gel qui absorbe les chocs et répartit la pression du poids du corps et un anneau fibreux annulus composé essentiellement de collagène lui conférant une grande solidité. Dès l’âge adulte 25 ans, il existe un vieillissement des structures du disque, en particulier une dégénérescence des fibres de l’anneau qui peuvent se fissurer et laisser s’échapper une portion du nucleus en dehors de son espace habituel c’est ce qu’on appelle la hernie discale. Elle se produit lorsque la pression sur le disque est trop importante et mal répartie, en se baissant pour porter une charge assez lourde, par exemple. Symptômes de la hernie discale Ce débordement discal, le plus souvent postérieur, peut alors entraîner une pression importante au niveau des ligaments de la colonne et provoquer ainsi des douleurs intenses du rachis. Il est également susceptible de comprimer ou irriter la racine nerveuse émergeant à proximité et provoquer ainsi un trajet nerveux douloureux on parle alors de radiculalgie. Les hernies discales L4-L5 et L5-S1 provoquent ainsi des douleurs fessières et lombaires basses intenses, associées à une névralgie du nerf sciatique par compression et inflammation d’une de ses racines nerveuses. Dans ce cas, elles sont susceptibles de provoquer les symptômes de la sciatique que nous avons décrits plus haut douleurs, troubles sensitifs, moteurs…. Rappelons qu’en fonction de la localisation de la hernie et donc de la racine nerveuse touchée L5 ou S1, la douleur respectera un trajet douloureux bien précis. La douleur sciatique de la hernie discale a la particularité d’être, en plus, aggravée par la toux et les éternuements. Dans les cas les plus graves, la hernie peut comprimer la moelle épinière et susciter des troubles neurologiques importants syndrome de la queue de cheval, paralysie des membres inférieurs… Causes de la hernie discale La hernie discale est favorisée par le vieillissement naturel des disques intervertébraux et par une sollicitation intense de ces derniers port de charge, certaines activités physiques, obésité, etc…. Il existe également une prédisposition génétique. Traitement médical Le traitement médical de la hernie discale implique la prescription d’analgésiques et d’anti-inflammatoiresla prise d’antidouleurs plus fort de type narcotique, si nécessairela pratique d’injections au niveau du disque pour les douleurs persistantes Les traitements chirurgicaux sont employés si les douleurs persistent et sont incommodantes, s’il y a une faiblesse musculaire persistante ou en cas de symptômes plus graves troubles neurologiques, par exemple. 5 - La névralgie pudendale une douleur à la fesse et au périnée La névralgie pudendale est une affection neurologique touchant un nerf qui se trouve dans la région profonde du bassin le nerf pudendal. Elle est provoquée par la compression et/ou l’inflammation de ce nerf et entraîne de vives douleurs neuropathiques au niveau du plancher pelvien. La compression ou l’irritation du nerf pudendal peut être causée par une pathologie spécifique tumeur, pathologie inflammatoire. Mais le plus souvent, la compression est causée par une contrainte mécanique musculo-squelettique ou fasciale trop importante au niveau de la région du nerf. Dans ce cas de figure, l'ostéopathie permettra de libérer ces tensions. Pour en savoir plus, lisez notre dossier complet sur le traitement de la névralgie pudendale. Symptômes de la névralgie pudendale Ce sont des douleurs généralement continues à type de brûlure, de serrement en étau, de froid très douloureux ou parfois de douleurs lancinantes. Ce fond douloureux continu et permanent est accompagné de douleurs fulgurantes spontanées telles que des décharges électriques, des coups de couteau ou des douleurs en éclair. La localisation de ces douleurs peut englober la fesse, l’ischion, et toute la zone du périnée, comprenant les organes génitaux et l'anus. La douleur du périnée et de la fesse provoquée par la névralgie pudendale est souvent insoutenable en position assise prolongée. Elle peut également être accompagnée de signes associés sensation de lourdeur pelvienne, dyspareunie profonde chez la femme, dysfonction érectile chez l’homme, sensation de corps étranger intra-rectal, pollakiurie, dysurie, syndrome d'hyperexcitabilité sexuelle spontanée, etc…. A cela, s’ajoute généralement des troubles de la sensibilité comme des fourmillements, des picotements ou des démangeaisons au niveau du plancher pelvien. Du fait de l’origine neuropathique de la douleur, cette pathologie est très invalidante et peut retentir sur le moral du patient dépression, irritabilité…. Causes de la névralgie pudendale Les causes ne sont pas clairement établies mais la névralgie pudendale se déclare surtout entre 30 et 60 ans, notamment chez les cyclistes ou les cavaliers, à cause d’une pression mécanique trop importante de la selle sur le périnée ou chez les femmes en post-partum, à cause de l’élongation du nerf pendant l’accouchement. Un traumatisme ou une chirurgie au niveau de la zone du nerf sont également des facteurs de risques. Le traitement médical de la névralgie pudendale est complexe et pas toujours efficace sur le long terme. Les médicaments communs contre la douleur de type antalgique et anti-inflammatoire étant souvent insuffisants, il est préconisé d’utiliser un traitement contre la douleur neuropathique antidépresseurs et antiépileptiques. En outre, les infiltrations s’avèrent être efficaces et la chirurgie peut être conseillée si les douleurs persistent et sont très invalidantes. Des méthodes naturelles existent. 6 - Les douleurs à la fesse d’origine viscérale Certaines pathologies rectales peuvent provoquer une douleur à la fesse hémorroïdes, abcès, kyste, fissures anales, ulcérations rectales, tumeurs anales ou rectales. Dans ce cas, le diagnostic s’établit grâce a la présence de signes spécifiques associés prurit, brûlure anale, douleurs à la défécation, présence de sang sur le papier ou dans les selles, troubles du transit, signes généraux en cas de cancer. Le traitement dépend de la maladie mise en cause. Les tensions viscérales incluent les viscères abdominaux mais aussi et surtout pelviens une restriction de mobilité des organes du petit bassin vessie, rectum, utérus/ovaires ou prostate peut entraîner des tensions fasciales et entraver la liberté de glissement du nerf sciatique, provoquant ainsi son irritation et l’apparition de douleurs. 7 - Les troubles musculo-squelettiques TMS Les tensions articulaires, musculaires et tissulaires au niveau du bassin et des lombaires basses sont susceptibles de générer un influx douloureux au niveau de la région fessière. Elles peuvent également provoquer une irritation mécanique du nerf sciatique et être responsables de sciatalgie, c’est-à -dire qu’elles déclenchent, dans ce cas, une douleur suivant le trajet du nerf, similaire à la névralgie sciatique mais sans qu’une réelle affection soit à l’origine de la compression d’une racine nerveuse. Pour un traitement adapté de ces Troubles Musculo Squelettiques TMS survenant en milieu professionnel, il sera préconisé en plus d'un bilan ostéopathique, une observation posturale complète ainsi qu'une étude sur l'environnement et les conditions de travail port de charge lourde, travail répétitif, stress, sédentarité, vibrations etc.... Quelques exemples de TMS susceptibles de provoquer une douleur à la fesse - Le syndrome facettaire les facettes articulaires sont de petites articulations placées de part et d’autre de chaque vertèbre. Une mauvaise posture prolongée ou un faux mouvement violent peut entraîner un désalignement des facettes entre les vertèbres L4 et L5 et/ou L5 et S1 et provoquer ainsi une irritation mécanique des racines nerveuses et une douleur de type sciatique. - Les dysfonctions articulaires et ligamentaires du bassin, notamment les tensions ligamentaires au niveau de la pince formée par les ligaments sacro-sciatiques, traversée par le nerf sciatique. - Les tensions musculaires et fasciales de la fesse, plus particulièrement les contractures du muscle piriforme, qui est également capable d’entraîner une compression excessive du nerf sciatique lorsqu’il est contracturé. Traitement d'une douleur à la fesse avec l'ostéopathie La phase de diagnostic est la plus importante votre ostéopathe, grâce à son interrogatoire et son examen clinique incluant des tests médicaux, va chercher l’étiologie responsable de la douleur. Les pathologies d’origine traumatique et viscérale ainsi que les pathologies graves sciatique paralysante, syndrome de la queue de cheval, etc… ne sont pas du ressort de l’ostéopathie dans un premier temps. Si votre ostéopathe suspecte une de ces pathologies, il vous réorientera donc vers votre médecin ou aux urgences si nécessaire. En revanche, il pourra intervenir dans les suites de traitements chirurgicaux et/ou médicaux ou en accompagnement thérapeutique. En cas de tendinites moyen fessier ou piriforme, l'ostéopathie permettra d'agir directement sur les causes de la contracture musculaire et de l’inflammation tendineuse. Elle permet, en effet, de rééquilibrer les chaînes musculaires et de traiter les troubles mécaniques musculo-squelettiques susceptibles d’augmenter la contrainte au niveau du muscle et du tendon. Ainsi, l’ostéopathe travaille sur la mécanique des lombaires, du bassin et des membres inférieurs dans le but d’améliorer la posture et réguler les tensions qui s’exercent sur le moyen fessier ou le muscle piriforme. L’ostéopathie augmente significativement les chances de guérison de la tendiniteet prévient les éventuelles récidives. En cas de sciatique, l’ostéopathe va en déterminer la cause précise grâce à son anamnèse et son examen clinique. Il peut demander des examens complémentaires afin d’affiner le diagnostic, notamment s’il suspecte une pathologie spécifique responsable des douleurs hernie, arthrose, etc…. Si les causes nécessitant un avis médical ont été écartées, l’ostéopathe aura un impact réel positif sur la sciatique ; dans le cas contraire, il réorientera son patient. Le traitement ostéopathique de la douleur sciatique repose essentiellement sur la libération des zones clef du passage du nerf, c’est-à -dire les endroits où il peut être irrité mécaniquement. L’ostéopathe veillera donc à libérer les blocages lombaires, les dysfonctions articulaires et ligamentaires du bassin, les contractures des muscles pelviens notamment le muscle piriforme et les restrictions de mobilité des organes du petit bassin et des structures musculo-squelettiques du membre inférieur. En cas de hernie discale lombaire, l’ostéopathie peut intervenir lorsque la hernie ne nécessite pas de traitement chirurgical et lorsque les tests médicaux ne révèlent pas de contre-indications à la prise en charge ostéopathique. Bien souvent, elle n’est pas suffisante à elle seule pour réduire significativement les douleurs et peut être utilisée en complément des traitements médicaux. L’ostéopathe permet de diminuer les tensions s’exerçant sur le disque intervertébral en travaillant à proximité et à distance, avec beaucoup de précautions au niveau des manipulations. Il va chercher et traiter les déséquilibres mécaniques de la sphère lombo-pelvienne responsables d’une contrainte anormale au niveau du disque, dans le but de diminuer les tensions et les douleurs. Ces déséquilibres au niveau du bassin et des lombaires peuvent être d’origine articulaire, ligamentaire, musculaire, fasciale, ou viscérale. En cas de névralgie pudendale, votre ostéopathe va repérer et relâcher toutes les tensions de la région lombo-pelvienne susceptibles de perturber le nerf, en particulier les éléments en rapport anatomique étroit avec ce dernier ou ses émergences le sacrum, l’os iliaque et le coccyx, le muscle piriforme et l’obturateur interne, les ligaments sacro-sciatiques, le canal d’Alcock et les muscles du plancher pelvien. En cas de douleurs liées à un trouble musculo-squelettique et/ou tissulaire, l’ostéopathie entre en première ligne et s’avère être très efficace. Comme nous l’avons vu, certains TMS provoquent des douleurs au niveau de la fesse, parfois similaires à la sciatique. Dans ce cas, l’ostéopathe a pour rôle de relâcher les tensions à l’origine de la douleur. Il va donc investiguer et libérer dans un premier temps les blocages des articulations lombaires et de la charnière lombo-sacrée, les dysfonctions articulaires et ligamentaires du bassin, particulièrement les ligaments sacro-sciatiques, les contractures musculaires pelviennes importantes, notamment au niveau du muscle piriforme, les tensions viscérales du petit bassin et les TMS du membre inférieur. L’ostéopathie étant une thérapie holistique, elle prend en compte le patient dans sa globalité et considère que tout déséquilibre mécanique à un endroit peut se répercuter sur l’ensemble du corps. Il peut donc y avoir des contraintes mécaniques à distance, qui, par le biais d’un système d’adaptation, auront un impact indirect sur l’état de tension de la sphère lombo-pelvienne. D’où l’intérêt pour votre ostéopathe de réguler tous les déséquilibres du corps qui sont susceptibles de provoquer des contraintes anormales au niveau des lombaires et du bassin. Par exemple, des tensions intenses au niveau du thorax peuvent se répercuter sur l’abdomen et les lombaires des tensions antérieures du thorax peuvent provoquer un enroulement de ce dernier vers l’avant dos courbé, ce qui va entraîner une hyperpression abdominale et pelvienne et des tensions au niveau lombaire. Corriger ces restrictions de mobilité au niveau du thorax permet de diminuer l’influence néfaste de celui-ci sur la sphère lombo-pelvienne. Dans cette perspective, votre ostéopathe va investiguer en plus de la région lombo-pelvienne, les membres inférieurs, l’intégralité de la colonne vertébrale, les cervicales et les membres supérieurs, l’abdomen, le thorax, et enfin le crâne. Il va ainsi libérer les conflits mécaniques qui s’y trouvent afin de redonner une liberté de mouvement à l’ensemble du corps, dans le but d’optimiser la répartition des contraintes au niveau de la région du bassin et des lombaires. Article écrit par Marie RAYBAUD, ostéopathe DO etle syndrome du piriforme. Ce nouveau domaine dʼutilisation de la toxine botulinique semble promu à un bel avenir et permettra de stimuler la recherche dans ce domaine afin de confirmer et valider ces résultats. jeudi 18 octobre 2012. 09h00 Modification de la prescription initiale et du financement du grand appareillage en France : avantages, difficultés, avenir Dr N. MARTINET Bonjour et bienvenue dans ce nouvel article où je veux vous montrer 4 exercices spécifiques pour le nerf sciatique son inflammation est appelée sciatique ou même sciatique. COMMENT L’INFLAMMATION DU NERVE SCIATIQUE SE MANIFEST-ELLE? L’inflammation du nerf sciatique se manifeste par la douleur classique qui prend la fesse et descend en arrière le long de la jambe, derrière le genou dans certains cas jusqu’au talon si la douleur est très forte elle se fait également ressentir à l’avant. QUI SOUFFRE DE SCIATALGIE? La plupart des Italiens souffrent d’une inflammation du nerf sciatique. Peu importe que vous soyez sédentaire ou actif. Les mauvaises habitudes de vie que nous avons aujourd’hui entraînent de nombreux problèmes musculo-squelettiques qui provoquent l’apparition de douleurs gênantes. Selon les statistiques, la douleur sciatique touche principalement les personnes âgées de 40 à 50 ans. En ce qui concerne le sexe, beaucoup plus d’hommes. 5 CAUSES LES PLUS COURANTES DE SCIATALGIE Les causes de la sciatique inflammation du nerf sciatique peuvent être différentes, voici les 5 plus courantes Hernie discale lombo-sacrée C’est peut-être la cause la plus fréquente d’inflammation du nerf sciatique. Elle représente environ 15% des cas de sciatique; Discopathie dégénérative lombo-sacrée la discopathie est le terme médical désignant toute dégénérescence du disque intervertébral. Si cela se produit au niveau lombo-sacré la partie la plus basse de la colonne vertébrale, il est probable qu’il y ait une compression des racines nerveuses du nerf sciatique avec une douleur conséquente; Syndrome du piriforme le piriforme est un petit muscle situé sous le muscle grand fessier. Il est assez fréquent que ce muscle soit victime d’une contracture aussi bien chez les sédentaires que chez les sportifs. Effort excessif lors de l’entraînement ce dernier concerne principalement ceux qui pratiquent un sport où l’usage principal des jambes est football, basket, athlétisme, etc … ou qui s’entraînent simplement pour la passion à la maison ou au gym; État de grossesse à un stade avancé pendant la grossesse surtout au cours des derniers mois, pour des raisons biomécaniques et physiologiques, la future nouvelle maman adopte une posture de plus en plus cambrée» qui peut conduire à inflammation du nerf sciatique. Si vous êtes une nouvelle maman qui souhaite se remettre en forme en toute sécurité je vous recommande cet article formation post-grossesse que faire et ne pas faire». SUR QUELLES CAUSES NOUS NOUS CONCENTRONS DANS CET ARTICLE? Dans cet article, nous allons nous concentrer sur les quatre premiers que j’ai mentionnés ci-dessus le dernier est un peu plus délicat et je vais vous montrer 5 exercices spécifiques que vous pouvez faire confortablement à la maison. Je n’exclus pas que ces exercices puissent vous aider même si vous êtes enceinte dans ce cas, parlez-en à votre gynécologue. COMBIEN DE TEMPS DURE L’INFLAMMATION DU NERVE SCIATIQUE? Et bien ça dépend… Dans le cas d’une musculation très intense où peut-être la technique correcte d’un exercice comme le squat est un peu perdue », l’inflammation peut durer quelques jours. En faisant ces exercices d’étirement, vous pouvez grandement accélérer votre guérison. Si la cause est une maladie discale, vous avez une hernie et même une contracture piriforme, la sciatique peut durer plusieurs semaines. Dans ce cas également, les exercices que je vous montre sont très utiles pour soulager un peu la douleur. QUELS SONT LES MUSCLES PRINCIPAUX QUE NOUS DEVONS ÉTENDRE EN PRÉSENCE DE SCIATALGIE? Il y en a essentiellement 3 Le muscle piriforme , qui est un petit muscle situé sous le muscle grane fessier; sous le piriforme passe le nerf sciatique. Une contracture du piriforme provoque la douleur classique également des picotements dans la région de la fesse. Il est important de garder ce muscle tendu. Lombaire , les muscles classiques du bas du dos, qui ont naturellement tendance à être raccourcis chez toute personne en raison du style de vie que nous menons. Si vous souffrez de maux de dos et peut-être aimez-vous aussi vous entraîner sur le blog, vous trouverez de nombreux articles dédiés à divers sujets spécifiques tels que Squat , Deadlift , Plank et entraînement abdominaux , natation et bien d’autres … peut-être faire quelques recherches sur le blog; Iléopsoas , est un muscle souvent blâmé» comme étant la principale cause de douleur lombaire . C’est aussi un muscle assez naturellement raccourci. C’est pourquoi il est important de le garder étiré. Voici mon article dédié Ileopsoas et maux de dos 2 exercices de sécurité du dos » 4 EXERCICES SPÉCIFIQUES AU NERVE SCIATIQUE À ce stade, je vais vous montrer 4 exercices spécifiques pour décompresser le nerf sciatique que je vous recommande de faire si vous souffrez de sciatique. EXERCICE NUMÉRO 1 PYRIFORME S’ÉTIRE AU SOL Allongez-vous sur le sol, le ventre vers le haut; Pliez une jambe et amenez l’autre cheville sur le genou de la jambe pliée; Avec le mai tire la cuisse de la jambe pliée vers la poitrine; Maintenez pendant le temps indiqué; Répétez également avec l’autre jambe. si vous avez tendance à trop cambrer votre cou, mettez un oreiller sous votre tête. EXERCICE NUMÉRO 2 MOBILISATION LOMBAIRE SUPIN Allongez-vous sur le sol, le ventre vers le haut; Pliez vos jambes et placez vos bras sur l’extension d’épaule; Abaissez vos genoux d’un côté et votre tête pivote du côté opposé; Maintenez la position pendant le temps indiqué; Répétez de l’autre côté. essayez de garder vos épaules collées au sol EXERCICE NUMÉRO 3 MOBILISATION DES VOIES LOMBAIRES PRONO Allongez-vous sur le ventre; Pliez vos jambes et placez vos bras sur l’extension d’épaule; Ramenez vos chevilles d’un côté et votre tête pivote du même côté; Maintenez la position pendant le temps indiqué; Répétez de l’autre côté. essayez de garder vos épaules collées au sol EXERCICE NUMÉRO 4 ILEOPSOAS STETCHING Positionnez-vous sur le sol en vous appuyant sur le pied de la jambe avant et le genou de la jambe arrière; Maintenez une légère poussée du bassin vers l’avant et vers le bas; Maintenez la position pendant le temps indiqué; Répétez de l’autre côté. garder le bassin en rétroversion avec l’abdomen contracté COMBIEN DE TEMPS FAUT-IL POUR MAINTENIR LA POSITION POUR QUE L’EXERCICE SOIT EFFICACE? Des études récentes montrent que le temps de déformation du tissu conjonctif c’est le tissu qui entoure chaque muscle prend 90 secondes . Mon conseil est donc de conserver tous les postes pour cette fois. En les faisant, vous devez vous détendre autant que possible pour obtenir le maximum d’étirement. COMMENT EFFECTUER CES EXERCICES CONFORTABLEMENT GRÂCE À UNE APPLICATION TIMER Vous pouvez faire ces exercices de 2 manières Conserver l’heure manuellement; Avec une application de minuterie Ce dernier est absolument celui que je recommande car il est confortable et totalement relaxant pour vous car il vous permet de vous détendre avec l’exercice sans toujours regarder le chronomètre. En fait, il vous suffit de régler le temps de travail de l’exercice 90 secondes Le temps de récupération – c’est-à -dire le temps de passer d’une position à une autre 10/15 secondes Le nombre total d’ensembles – le nombre de positions totales 8 car chaque exercice est pair Vous trouverez ci-dessous un didacticiel vidéo pour télécharger et configurer en quelques secondes une application de minuterie gratuite que j’utilise . COMBIEN DE FOIS PAR SEMAINE FAITES CES EXERCICES? Dans ce cas, plus vous les fabriquez, mieux c’est. Faire ces 4 exercices vous prend moins de 10 minutes. Si vous manquez de temps, vous pouvez faire ces 4 exercices de nerf sciatique 3 à 4 fois par semaine et, chaque fois que vous avez quelques minutes, faites l’un de ceux de votre choix. DOULEUR SCIATIQUE NERVEUSE ET DORSALE Très souvent, la douleur sciatique affecte également le dos, surtout si vous avez également une hernie. Cette routine d’exercice du nerf sciatique peut ne pas être suffisante pour cela. Je voudrais vous annoncer que dans les mois à venir, nous mettrons à disposition un cours vidéo complet pour les personnes souffrant de maux de dos. Pour l’instant, vous pouvez intégrer ces exercices de nerf sciatique avec cette carte Exercices pour les maux de dos à faire à la maison – FEUILLE COMPLÈTE » SKI NERVE ET ENTRAÎNEMENT AU GYM Au début, j’ai mentionné que l’une des 5 causes les plus courantes d’inflammation du nerf sciatique est l’entraînement. Lorsque vous vous entraînez et poussez» beaucoup, il y a un risque de perdre la bonne technique d’exercice et de subir des blessures gênantes. L’inflammation du nerf sciatique en fait partie. Surtout dans les exercices complexes comme les squats et les deadlifts. Peut-être lire et regarder Dans le dernier, vous trouverez un didacticiel vidéo très bien fait sur le soulevé de terre. MÉDICAMENTS UTILES POUR SOULAGER LE NERVE SCIATIQUE Il est souvent conseillé aux personnes qui souffrent d’une inflammation sévère du nerf sciatique d’utiliser différents médicaments. Personnellement, je pense que cela peut être combiné avec ces exercices naturels qui est un combo parfait pour combattre rapidement la sciatique. En particulier, il existe 2 types de médicaments, pas trop lourds, qui peuvent être vraiment utiles AINS anti-inflammatoires non stéroïdiens – comme l’ibuprofène, pour être clair; Relaxants musculaires qui favorisent la relaxation musculaire. CONCLUSIONS C’est tout pour aujourd’hui. Pratiquez cette fiche avec des exercices sur le nerf sciatique. Je suis sûr que si vous restez cohérent comme je vous l’ai dit ci-dessus, vous pourrez vous sentir beaucoup mieux dans un laps de temps relativement court. Si vous avez trouvé l’article intéressant et que vous connaissez quelqu’un qui pourrait le trouver utile, partagez-le avec lui. Si vous avez des préoccupations ou des questions, laissez un commentaire ci-dessous et nous serons heureux de vous répondre. Comme mentionné ci-dessus, dans les mois à venir, nous mettrons à disposition un cours vidéo spécifique avec des exercices Save BACK. A bientôt. cest le syndrome du piriforme ou "fausse" sciatique (mais vraie douleur) Le pyramidal est la chaine musculaire sur le haut de la fesse, ça prend racine au niveau du sacrum (ouah p ce que je deviens calé)----- Sciatique en sport et étirement du Pyramidal contre une fessalgie La sciatique en course à pied et en sport en général peut être évitée ou soulagée en suivant un programme d' étirements du pyramidal. Le pyramidal ou piriforme est un muscle pelvi-trochantérien. Il est rotateur externe du fémur et extenseur du rachis. En course ou en position assise, le pyramidal peut comprimer le nerf sciatique au point d'émergence du nerf sous le pyramidal. Cette sciatalgie est connue sous le nom de syndrome du pyramidal mais on parle aussi de fessalgie car il y a douleur dans la fesse. Une fessalgie aigüe dure entre une et deux semaines. Sans étirement et sans repos elle peut devenir chronique et durer toute la vie ! Heureusement nos étirements en particulier la posture du pigeon sont très efficaces pour en venir à bout. Trajet et fonctions du muscle pyramidalLe muscle pyramidal va de la face antérieure du sacrum à la face supérieure du grand trochanter en passant en arrière du col fémoral; il entraîne par sa contraction une rotation externe du fémur et accessoirement une le fémur est fixe il provoque une rotation interne du bassin par contraction unilatérale ou une rétroversion du bassin par contraction bilatérale. Syndrome du pyramidalUne sciatalgie ou névralgie sciatique appelée syndrome du pyramidal peut être provoquée par compression du nerf sciatique par le muscle pyramidal car chez 60 % des individus, le nerf sciatique passe sous le pyramidal lors de leur court trajet commun tandis que pour 40 % le nerf sciatique passe à travers ce muscle, risquant d'être compressé par ce dernier. Une blessure, une exposition au froid et à l'humidité, un entraînement trop poussé en course à pied, peuvent amener spasmes et contractures dans le pyramidal et dans les muscles environnants et, par ricochet, une compression du nerf syndrome du pyramidal mime alors une sciatique tronquée S1 qui se manifeste par une douleur ressentie d'un seul côté du corps, dans une fesse et tout le long de la jambe jusqu'au pied. Une sciatique est aussi dite tronquée, quand la douleur s'arrête le long du trajet en étant éventuellement remplacée par des pyramidal a 2 trajets possibles. Sur la première image, ci-dessous, le nerf sciatique, en violet passe sous le pyramidal; sur l'image suivante il passe à travers ce muscle et risque d'être compressé par celui-ci. Des étirements ciblés peuvent prévenir cette d'étirements du pyramidal contre la sciatiqueEn cas de contracture ou en traitement préventif, notamment pour les coureurs à pied voulant éviter une sciatique, il est possible de pratiquer ces exercices d' étirer le pyramidal ou piriforme en position allongéeEn position allongée on a deux méthodes pour étirer le pyramidal. Pour les deux méthodes le but est de reproduire le chiffre 4 avec ses jambes d'où le nom anglais de l'exercice, le figure four stretch. Pour le premier exercice les pieds n'ont pas d'appuis alors que pour le second le pied de la jambe non étirée est en contact avec le mur. Cet exercice avec pied au mur s'appelle aussi le half lotus on wall. La procédure d'exécution est la sur le dos, jambes pliées, pieds à plat sur le sol. Amener la malléole de la cheville droiet sur le genou gauche. Passer les mains sous le genou gauche et tirer vers la poitrine pour la version sans mur. Poser la plante de pied sur le mur pour former un angle de 90° ou moins si on est souple entre la cuisse et le buste S'étirer une fois de chaque côté en maintenant la position entre 30 secondes et 3 exercice permet d'étirer aussi les muscles de la fesse, le grand fessier en étirer le pyramidal ou piriforme en position quadrupédiqueLa posture du pigeon est recommandée pour étirer le pyramidalPrendre une position à 4 le pied droit devant le genou gauche. Faire lentement glisser la jambe gauche vers l'arrière. Une fois de chaque côté, tenir la posture 20-30 secondes en maintenant le buste vertical pour étirer dans le même temps le psoas. Pour ne solliciter que le pyramidal de manière très intense il faut, soit incliner le buste à l'oblique pour prendre appui sur les coudes, soit allonger le buste à l'horizontale en venant appuyer le ventre sur l'intérieur de la cuisse. Comment étirer le pyramidal ou piriforme en position debout ou assiseSi les exercices précédents sont douloureux, notamment pour maintenir la posture finale avec buste redressé, on pourra exécuter les variantes suivantes en position debout ou complément de ces étirements le pyramidal peut aussi être soulagé, comme pour toute contracture musculaire, avec de la chaleur, un bain chaud ou un sauna par exemple, et des massages musculaires. D'une manière plus générale pour éviter les douloureuses protrusions discales saillie du disque intervertébral en dehors de ses limites anatomiques et, plus généralement le mal de dos, la colonne vertébrale doit être assouplie au moins 3 fois par semaine. Un exercice très simple que l'on peut faire tous les jours est l'exercice appelé Cat-Cow . Il consiste à alterner lentement en position quadrupédique les deux position en dos creux puis dos rond durant seulement 2 sur le GainageAbdominaux Les exercices de musculation des abdominaux augmentent la force et la puissance de la ceinture abdominale en mouvement. Gainage Le gainage-abdos, appellé très justement Core Stability en Anglais littéralement stabilité centrale, permet de renforcer les muscles abdominaux profonds, transverse et obliquesMusculation en gainage pour les dorsaux Le hip-thrust quand il est tenu est un exercice de gainage dorsal permettant le renforcement musculaire et favorisant la tonicité du Sciatique et Pyramidal -> Sousl’effet des hormones et de l’élargissement du bassin, les ligaments qui relient les articulations sacro-iliaques se relâchent, pouvant alors mimer une sciatique. « La douleur est surtout localisée dans la fesse, tantôt sur l’une, tantôt sur l’autre, tantôt les deux à la fois, et elle disparaît après l’accouchement
Coxarthrose arthrose de la hanche L'arthrose localisée au niveau de la hanche se nomme la coxarthrose. L’arthrose est un processus de vieillissement normal au niveau de toutes les articulations. Les causes sont multiples, mais le facteur génétique et le traumatisme articulaire ponctuel sont les 2 facteurs les plus importants qui contribuent au développement de l’arthrose. Contrairement à la croyance populaire, la pratique de la course à pied n’augmente pas le risque de développer de l’arthrose. De plus, continuer de courir semble rendre bon nombre de coureurs arthrosiques plus confortables avec leur douleur. Continuer de bouger et stresser graduellement l’articulation atteinte semble être la meilleure façon de conserver une bonne fonction et de bien vieillir. En savoir plus Syndrome de friction trochantérien bursite trochantérienne La bursite trochantérienne provoquant de la douleur sur le côté de la hanche est une inflammation de la bourse de la hanche, une petite poche fibreuse close contenant du liquide et ayant pour but de diminuer la friction et la compression de la bandelette ilio-tibiale sur l’os trochantérien partie dur sur le côté de votre hanche. Cette bandelette qui frotte est un gros tendon qui chemine sur toute la face latérale de la cuisse, de la taille jusqu’au genou. Lors de l’appui du pied au sol sa tension augmente puisque le bassin opposé s’affaisse légèrement. Un affaissement qui peut être exagéré si les muscles fessiers ne travaillent pas adéquatement. En savoir plus Lombalgie du coureur douleur bas du dos La course à haute vitesse et les descentes de côtes augmentent de façon importante les mouvements en extension des vertèbres lombaires. Ces mouvements inhabituels pour certains coureurs irritent les facettes articulaires vertébrales, ces articulations qui relient les vertèbres entre elles. En plus d’avoir une douleur dans le bas du dos, des douleurs référées peuvent parfois être ressenties dans les jambes et être associées dans certains cas à des engourdissements. En savoir plus Tendinopathie proximale des ischio-jambiers tendinite de la fesse La tendinopathie proximale de l’ischio-jambier est un problème fréquent chez la coureuse récréative. Souvent confondue par les professionnels de la santé avec les douleurs d’origine lombaire et les douleurs musculaires des muscles fessiers ou du muscle piriforme, cette blessure cause une douleur localisée sous le pli fessier. Elle est principalement reproduite avec un mouvement talon-fesse contre résistance. En savoir plus Tendinite du moyen fessier La tendinopathie du moyen fessier est un problème plus souvent observé chez les coureurs de trail. Souvent confondue par les professionnels de la santé avec la bursite trochantérienne ou le syndrome de friction proximale de la bandelette, cette blessure cause une douleur localisée sur le côté de la hanche juste au-dessus de la partie dure qu’on appelle le trochanter. Elle est principalement reproduite avec un mouvement d’écartement des jambes l’abduction contre résistance. En savoir plus Fracture de stress de la hanche La fracture de stress de la hanche du col fémoral se caractérise par une douleur vive au haut de la cuisse. Une scintigraphie osseuse, suivi d’une résonance magnétique, permet d’identifier avec précision la zone atteinte. La partie inférieure est à faible risque de complication», alors que la partie supérieure est à risque de déplacement et exige au moins le double de repos. En savoir plus Syndrome d'accrochage de la hanche Le syndrome d’accrochage de la hanche se caractérise par une douleur profonde ressentie dans l’aine. Le diagnostic clinique se nomme plutôt conflit fémoro-acétabulaire avec lésion du bourrelet acétabulaire», ce qui signifie que le petit caoutchouc bourrelet acétabulaire entourant l’articulation là où l’os de la hanche entre en contact avec celui du bassin est un peu déchiré. Il faudra alors identifier l’irritant, cesser les activités qui causent la douleur, puis les réintroduire graduellement par une bonne quantification du stress mécanique. En savoir plus
Miseà jour 2022 - La revue Prescrire a actualisé sa liste « des médicaments à écarter des soins et à remplacer par de meilleures options car leur balance bénéfices-risques est défavorable dans toutes leurs utilisations ». Huit antidépresseurs figurent dans cette liste 2022 de 105 médicaments plus dangereux qu'utiles. « Plusieurs médicaments autorisés dans laLa Sciatique Paralysante résulte le plus souvent d’une hernie discale qui comprime le nerf sciatique. Elle provoque la sciatique paralysante avec paralysie des muscles releveur du pied ». Symptômes La sciatique paralysante provoque une paralysie dite périphérique flasque des muscles releveurs du pied. Il s’agit d’une perte de contrôle moteur des muscles releveurs du pied. La sciatique paralysante atteint aussi les muscles fibulaires péroniers latéraux qui contrôlent le pied dans ses mouvements latéraux contrôle anti entorse le pied paralysé tombe en regardant vers le sol et n’a plus la capacité de se maintenir hors contrôle volontaire et attentif. À Savoir Dans la sciatique paralysante, si le nerf sciatique poplité externe n’a pas été sectionné, une récupération reste envisageable la première année qui suivra l’atteinte neurologique l’atteinte des muscles releveurs du pied. Ensuite, les chances diminuent fortement pour arriver à une perte neuromotrice plus ou moins définitive des muscles qui relèvent le pied releveur du pied. Ce qu’il faut faire Cette première année où il reste possible de récupérer la fonction du nerf sciatique SPE, il faudra impérativement FAIRE BEAUCOUP DE RÉÉDUCATION À LA MARCHE et rééducation fonctionnelle dès le début de l’atteinte, pour améliorer ses chances de récupération neurologique. La rééducation à la marche physiologique permet de placer le membre inférieur et le pied paralysé qui step dans une situation de fonctionnement anatomique intense. L’activation des muscles releveurs, des articulations et du système veineux augmentera vos chances de récupération du nerf SPE. Si vos chances de récupération d’une sciatique paralysante diminuent fortement avec le temps, l’inactivité ou la fixité » du pied par le blocage des actions des muscles releveur et de la cheville releveur Fixe/semi fixe, chaussure montante ne favorisent pas non plus cette reprise » neurologique et en JAMAIS une amélioration.
Alorsque les cas légers de syndrome du piriforme peuvent guérir en quelques semaines avec du repos et des exercices d’étirement/de renforcement, les cas plus graves peuvent prendre plusieurs semaines, voire plusieurs
Si vous ressentez régulièrement des douleurs dans la hanche, les fesses et les jambes, il peut s’agir du syndrome du piriforme. Ce syndrome survient généralement à partir de 40 ou 50 ans, il est plus fréquent chez les femmes que chez les hommes et résulte le plus souvent d’un macrotraumatisme dans la région fessière, entraînant une inflammation des tissus mous et une compression du nerf. Quels sont les symptômes et les traitements naturels ? Qu’est-ce que le syndrome du piriforme ?Quels sont les risques d’un retard ou d’une absence de diagnostic ?Les symptômesQuels traitements naturels existent ? Qu’est-ce que le syndrome du piriforme ? Le syndrome du piriforme est une maladie neuromusculaire caractérisée par une douleur à la hanche et à la fesse. Cette douleur est causée par une névrite périphérique du nerf sciatique, elle-même due à une affection anormale du muscle piriforme. Le syndrome du piriforme est souvent négligé dans les milieux cliniques car ses symptômes peuvent faire penser à la radiculopathie lombaire ou à la dysfonction sacro-iliaque, à la sacro-ilite, à la sciatique ou encore à la bursite trochantérienne. Les personnes atteintes de lombalgie doivent être particulièrement vigilantes car au moins 6% des patients ayant été diagnostiqués d’une lombalgie ont plus tard su qu’ils étaient atteints du syndrome du piriforme. Quels sont les risques d’un retard ou d’une absence de diagnostic ? Le retard dans le diagnostic du syndrome du piriforme peut conduire à des maladies pathologiques du nerf sciatique, un dysfonctionnement somatique chronique, une douleur, une paresthésie, une hyperesthésie et une faiblesse musculaire. Si le médecin reconnaît les symptômes et les signes du syndrome du piriforme, un traitement approprié en temps opportun sera possible. Voici les symptômes les plus fréquents chez les patients atteints du syndrome du piriforme une douleur accrue après s’être assis pendant plus de 15 à 20 minutes, des spasmes musculaires sur le muscle piriforme, une compression du nerf sciatique, difficulté à marcher, une douleur aux jambes en position assise ou les jambes croisées, des douleurs au niveau de l’aine et du pelvis, une douleur ou une paresthésie dans la région postérieure de la cuisse, une douleur cervicale, thoracique et/ou lombaire, des troubles gastro-intestinaux, des maux de tête. Plus de 79% des patients atteints du syndrome du piriforme constatent une réduction de leurs symptômes suite à l’utilisation de médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens AINS et de relaxants musculaires. Quels traitements naturels existent ? Plusieurs remèdes naturels peuvent aider à soulager les douleurs liées au syndrome du piriforme tels que l’application de glace, le repos, l’étirement du muscle piriforme, le renforcement des muscles abducteurs et des adducteurs, les étirements musculaires et des tissus mous, la thérapie myofasciale, les techniques d’énergie musculaire, les médecines douces comme l’acupression, l’acupuncture, l’ostéopathie… L’objectif du traitement du syndrome du piriforme par les médecines douces, pour le patient, consiste à rétablir une meilleure capacité de mouvement et à diminuer la douleur. Source Articles liés 6 exercices efficaces pour des fesses fermes et rebondies Pourquoi les hommes grossissent-ils du ventre ? 5 postures de Pilates pour affiner vos hanches et vos cuisses
Le syndrome du piriforme correspond à l’irritation ou la compression du nerf sciatique par le muscle piriforme, le muscle situé au niveau des fesses à proximité du haut de l’articulation de la hanche. Cette compression entraîne des douleurs dans la fesse et le long de la face postérieure de la jambe douleurs dites sciatiques. Les blessures sportives constituent la principale cause du syndrome piriforme. Celui-ci peut en effet se développer à la suite d’une surutilisation ou à la suite d’un traumatisme direct tel qu’une chute ou un faux mouvement. Le traitement vise essentiellement à soulager les que le syndrome du piriforme ?Le syndrome du piriforme correspond à une irritation ou une compression du nerf sciatique par le muscle piriforme ou muscle pyramidal, le muscle plat des fesses situé près de la hanche, provoquant une douleur au niveau des fesses et/ou de la hanche, et parfois une sciatique ou sciatalgie. En effet, l’inconfort peut également irradier au niveau de la cuisse et du mollet. Il s'accompagne fréquemment d'une lombalgie mal de dos.Le syndrome du muscle piriforme est rare. Il touche davantage les femmes que les hommes et est responsable de 6 % des sciatiques non discales. Il a été estimé, par ailleurs, que près de 6 % des personnes souffrant de lombalgie seraient affectées par le syndrome du donné qu'il s'agit d'un syndrome et que les syndromes n'ont pas une cause unique, les symptômes peuvent ressembler à ceux d’autres troubles. En pratique, le syndrome du piriforme est souvent confondu avec un syndrome sacro-iliaque, une bursite de la hanche, une irritation nerveuse ou encore une hernie sont les causes du syndrome du piriforme ?Lorsque l’on court ou que l’on est assis, le muscle piriforme peut appuyer sur le nerf sciatique sur le côté où il sort de dessous le piriforme pour passer sur les muscles rotateurs de la syndrome du muscle piriforme résulterait ainsi d’une irritation ou d’une compression du nerf sciatique à la suite de différents mécanismes la sollicitation excessive du muscle piriforme par des troubles morphostatiques inégalité de longueur des membres inférieurs, hyperlordose lombaire, flessum de la hanche ;des activités sportives asymétriques, intenses ou répétées course à pied, cyclisme, hockey, escrime, golf, tennis, conduite automobile ;un traumatisme direct tel qu’une chute ou un faux mouvement ;un antécédent traumatique, même ancien, de la région sacro-iliaque ou glutéale région des fesses ;une hypertrophie musculaire ;une myosite ;une bursite locale ;la présence d’un hématome, d’un abcès ou d’une tumeur pelvienne ;des suites postopératoires ou d’injections intraglutéales ;le passage intramusculaire du nerf sciatique ; dans ce cas, on parle de syndrome sont les symptômes du syndrome du piriforme ?Une douleur tenace chronique, des picotements ou un engourdissement commencent au niveau des fesses et peuvent descendre, le long du trajet du nerf sciatique, et atteindre tout l’arrière de la cuisse et du mollet, et parfois le douleur s’aggrave lorsque le piriforme appuie contre le nerf sciatique, par exemple, lorsque la personne est assise sur les toilettes, dans une voiture ou sur une selle de vélo étroite, ou encore lorsqu’elle symptômes peuvent apparaître par intermittence et peuvent être déclenchés par une station assise prolongée généralement, de 10 à 20 minutes, la course à pied, lorsque l’on monte un escalier ou si l’on applique une pression sur le muscle que la chirurgie décompression chirurgicale est rarement nécessaire, le traitement du syndrome du piriforme est symptomatique la personne atteinte d’un syndrome du piriforme doit provisoirement arrêter la course à pied, la bicyclette ou toute activité déclenchant la douleur. Si la douleur s'aggrave en s'asseyant, il est alors nécessaire de se lever, ou si cela n’est pas possible, de changer de position pour éliminer la source de pression autour de la fesse et soulager l'aire douloureuse du siège ;l’application de glace sur les zones douloureuses ou l’automassage peuvent aider ;des exercices d'étirement spécifiques de la hanche postérieure et du piriforme, réalisés plusieurs fois par jour, peuvent être bénéfiques pour soulager le syndrome piriforme et aussi pour en prévenir la réapparition ;une injection de corticostéroïdes dirigée près de l'endroit où le muscle piriforme croise le nerf sciatique est souvent bénéfique ;les anti-inflammatoires non stéroïdiens AINS peuvent également apporter un soulagement temporaire de la Des lecteurs ont trouvé cet article utile Et vous ?Cet article vous-a-t-il été utile ?À lire aussi
Priseen charge du syndrome de Morton par le rhumatologue. Cette prise en charge va permettre de soulager la douleur grâce à une ou plusieurs infiltrations d’anti-inflammatoires dans la zone douloureuse. Dans certains cas, la douleur peut tout de même récidiver si la compression persiste.
La douleur sciatique est causée par une irritation, une inflammation, un pincement ou une compression d’un nerf dans le bas du dos. La cause la plus fréquente est une hernie discale ou un glissement de disque qui entraîne une pression sur la racine du nerf. La plupart des personnes atteintes de sciatique se rétablissent d’elles-mêmes grâce à des traitements et des soins personnels. 1. Qu’est-ce que la sciatique ? La sciatique est une douleur nerveuse due à une blessure ou à une irritation du nerf sciatique, qui trouve son origine dans la zone fessière. Le nerf sciatique est le nerf le plus long et le plus épais presque de la largeur d’un doigt du corps. Il est en fait constitué de cinq racines nerveuses deux de la région lombaire appelée colonne lombaire et trois de la dernière partie de la colonne appelée sacrum. Les cinq racines nerveuses se rejoignent pour former un nerf sciatique droit et gauche. De chaque côté de votre corps, ce nerf traverse vos hanches, vos fesses et descend le long d’une jambe, pour se terminer juste en dessous du genou. Il se ramifie ensuite en d’autres nerfs, qui continuent le long de votre jambe, jusqu’à votre pied et vos orteils. Une véritable lésion du nerf sciatique est en fait rare, il est couramment utilisé pour décrire toute douleur qui prend naissance dans le bas du dos et qui irradie le long de la jambe. Cette douleur a pour point commun une lésion nerveuse, c’est-à -dire une irritation, une inflammation, un pincement ou une compression d’un nerf du bas du dos. Si vous souffrez de sciatique », vous ressentez une douleur légère à forte à n’importe quel endroit du trajet du nerf sciatique, c’est-à -dire du bas du dos, des hanches, des fesses et/ou des jambes. Elle peut également entraîner une faiblesse musculaire dans la jambe, le pied, un engourdissement de la jambe et une sensation désagréable de picotements dans la jambe, le pied et les orteils. 2. Que ressent-on en cas de douleur sciatique ? Les gens décrivent cette douleur de différentes façons, selon sa cause. Certaines personnes décrivent la douleur comme une douleur aiguë, lancinante ou par à -coups. D’autres décrivent cette douleur comme brûlante », électrique » ou lancinante ». La douleur peut être constante ou peut aller et venir. En outre, la douleur est généralement plus intense dans la jambe que dans le bas du dos. Elle douleur peut être plus intense si vous restez assis ou debout pendant de longues périodes, si vous vous levez et si vous vous tordez le haut du corps. Un mouvement corporel forcé et soudain, comme une toux ou un éternuement, peut également aggraver la douleur. I/ La sciatique peut-elle se manifester sur les deux jambes ? Elle ne touche généralement qu’une seule jambe à la fois. Cependant, il est possible que la sciatique se manifeste dans les deux jambes. Il s’agit simplement de savoir où le nerf est pincé le long de la colonne vertébrale. II/ La sciatique survient-elle soudainement ou met-elle du temps à se développer ? La sciatique peut apparaître soudainement ou progressivement. Cela dépend de la cause. Une hernie discale peut provoquer des douleurs soudaines. L’arthrite dans la colonne vertébrale se développe lentement avec le temps. III/ Quelle est la fréquence de la sciatique ? C’est une affection très fréquente. Environ 40 % des personnes aux États-Unis en souffrent au cours de leur vie. Les douleurs dorsales sont la troisième raison la plus fréquente pour laquelle les gens consultent leur médecin. 3. Quels sont les facteurs de risque de la sciatique ? Le risque est plus élevé si vous êtes Vous avez une blessure/une blessure antérieure Une blessure au bas du dos ou à la colonne vertébrale vous expose à un risque accru de sciatique. Vous vivez la vie Le vieillissement normal s’accompagne d’une usure naturelle du tissu osseux et des disques de la colonne vertébrale. Le vieillissement normal peut entraîner un risque de blessure ou de pincement des nerfs en raison des modifications et des déplacements des os, des disques et des ligaments. Vous êtes en surpoids Votre colonne vertébrale est comme une grue verticale. Vos muscles sont les contrepoids. Le poids que vous portez à l’avant de votre corps est celui que votre colonne vertébrale la grue doit soulever. Plus vous avez de poids, plus vos muscles dorsaux contrepoids doivent travailler. Cela peut entraîner des tensions et des douleurs dorsales, ainsi que d’autres problèmes de dos. Manque de force votre noyau » est constitué par les muscles de votre dos et de votre abdomen. Plus votre noyau est fort, plus vous aurez de soutien pour le bas de votre dos. Contrairement à votre poitrine, où votre cage thoracique vous soutient, le bas de votre dos n’est soutenu que par vos muscles. Ayez un travail actif et physique Les emplois qui nécessitent de soulever des charges lourdes peuvent augmenter le risque de problèmes lombaires et d’utilisation du dos, ou les emplois avec une assise prolongée peuvent augmenter le risque de problèmes lombaires. Ne pas avoir une posture correcte en salle de musculation Même si vous êtes en bonne forme physique et actif, vous pouvez être sujet à la sciatique si vous ne suivez pas la forme corporelle appropriée pendant les exercices physiques ou d’autres exercices de musculation. Avoir du diabète Le diabète augmente les risques de lésions nerveuses, ce qui augmente les risques de sciatique. Vous souffrez d’arthrose L’ostéoarthrite peut endommager la colonne vertébrale et exposer les nerfs à un risque de blessure. Mener un mode de vie inactif Rester assis pendant une longue période sans faire d’exercice et en gardant vos muscles en mouvement, souples et toniques, peut augmenter votre risque de sciatique. Fumer La nicotine contenue dans le tabac peut endommage le tissu spinal, affaiblir les os et accélérer l’usure des disques vertébraux. 4. Sciatique pendant grossesse est-il la raison pour laquelle tant de femmes enceintes souffrent de sciatique ? Il est vrai que cette la sciatique est fréquente pendant la grossesse, mais l’augmentation du poids n’est pas la principale raison pour laquelle les femmes enceintes souffrent de sciatique. Une meilleure explication est que certaines hormones de grossesse provoquent un relâchement des ligaments. Les ligaments maintiennent les vertèbres ensemble, protègent les disques et maintiennent la colonne vertébrale stable. Le relâchement des ligaments peut rendre la colonne instable et faire glisser les disques, ce qui entraîne un pincement des nerfs et le développement d’une sciatique. Le poids et la position du bébé peuvent également ajouter une pression sur le nerf. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des moyens de soulager la douleur sciatique pendant la grossesse, et que la douleur disparaît après la naissance. La physiothérapie et la massothérapie, les douches chaudes, la chaleur, les médicaments et d’autres mesures peuvent aider. Si vous êtes enceinte, veillez à suivre de bonnes techniques de posture pendant la grossesse afin de soulager également vos douleurs. 5. Quelles sont les causes de la sciatique ? La sciatique peut être causée par plusieurs conditions médicales différentes, notamment Une hernie discale ou un glissement de disque qui provoque une pression sur une racine nerveuse. C’est la cause la plus fréquente de la sciatique. Environ 1 à 5 % de la population américaine aura une hernie discale à un moment donné de sa vie. Les disques sont les coussinets d’amortissement entre chaque vertèbre de la colonne vertébrale. La pression exercée par les vertèbres peut provoquer un renflement hernie du centre en forme de gel d’un disque en raison d’une faiblesse de sa paroi externe. Lorsqu’une hernie discale touche une vertèbre dans le bas du dos, elle peut faire pression sur le nerf sciatique. La discopathie dégénérative est l’usure naturelle des disques entre les vertèbres de la colonne vertébrale. L’usure des disques raccourcit leur hauteur et entraîne un rétrécissement des passages nerveux sténose vertébrale. La sténose spinale peut pincer les racines du nerf sciatique lorsqu’elles quittent la colonne vertébrale. La sténose spinale est un rétrécissement anormal du canal rachidien. Ce rétrécissement réduit l’espace disponible pour la moelle épinière et les nerfs. Le spondylolisthésis est un glissement d’une vertèbre qui se trouve hors de l’alignement de celle qui la surplombe, rétrécissant ainsi l’ouverture par laquelle le nerf sort. L’extension de l’os vertébral peut pincer le nerf sciatique. L’arthrose Des éperons osseux bords dentelés des os peuvent se former dans les épines vieillissantes et comprimer les nerfs du bas du dos. Lésion traumatique de la colonne lombaire ou du nerf sciatique. Tumeurs dans le canal rachidien lombaire qui compriment le nerf sciatique. Le syndrome du piriforme est une affection qui se développe lorsque le muscle piriforme, un petit muscle situé au fond des fesses, devient tendu ou a des spasmes. Cela peut exercer une pression sur le nerf sciatique et l’irriter. Le syndrome de Piriformis est une maladie neuromusculaire peu commune. Le syndrome de la cauda equina est une maladie rare mais grave qui affecte le faisceau de nerfs à l’extrémité de la moelle épinière appelée cauda equina. Ce syndrome provoque des douleurs dans la jambe, un engourdissement autour de l’anus et une perte de contrôle des intestins et de la vessie. 6. Quels sont les symptômes de la sciatique ? Les symptômes de la sciatique sont les suivants Douleur modérée à forte dans le bas du dos, les fesses et le long de la ou faiblesse dans le bas du dos, les fesses, les jambes ou les qui s’aggrave avec le mouvement, perte de de piqûres et d’aiguilles » dans les jambes, les orteils ou les de contrôle des intestins et de la vessie due à la cauda equina. 7. Comment diagnostique-t-on la sciatique ? Tout d’abord, votre prestataire de soins de santé examinera vos antécédents médicaux. Ensuite, il vous demandera quels sont vos symptômes. Au cours de l’examen physique, on vous demandera de marcher afin que votre médecin puisse voir comment votre colonne vertébrale supporte votre poids. On vous demandera peut-être de marcher sur vos orteils et vos talons pour vérifier la force des muscles de vos mollets. Ce dernier pourra également effectuer un test de surélévation des jambes. Pour ce test, vous serez allongé sur le dos avec les jambes. Ce dernier lèvera lentement chaque jambe et notera le point où commence votre douleur. Ce test permet de localiser les nerfs affectés et de déterminer si l’un de vos disques présente un problème. On vous demandera également de faire d’autres étirements et mouvements pour localiser la douleur et vérifier la souplesse et la force des muscles. En fonction de ce que votre prestataire de soins découvre lors de votre examen physique, des examens d’imagerie et d’autres tests peuvent être effectués. Il peut s’agir de Radiographie de la colonne vertébrale pour rechercher les fractures de la colonne, les problèmes de disques, les infections, les tumeurs et les éperons osseux. L’imagerie par résonance magnétique IRM ou la tomographie assistée par ordinateur CT pour voir des images détaillées des os et des tissus mous du dos. Une IRM peut montrer une pression sur un nerf, une hernie discale et toute affection arthritique qui pourrait exercer une pression sur un nerf. Les IRM sont généralement demandées pour confirmer le diagnostic de la sciatique. Études de la vitesse de conduction nerveuse / électromyographie pour examiner la façon dont les impulsions électriques traversent le nerf sciatique et la réponse des muscles. Myélographie pour déterminer si une vertèbre ou un disque est à l’origine de la douleur. 8. Comment la sciatique est-elle traitée ? ostéopathe sciatique L’objectif du traitement est de diminuer la douleur et d’augmenter la mobilité. Selon la cause, de nombreux cas de sciatique disparaissent au fil du temps grâce à de simples traitements d’autotraitèrent. Les traitements en autosoins comprennent Appliquer de la glace et/ou des compresses chaudes Tout d’abord, utilisez des blocs de glace pour réduire la douleur et les gonflements. Appliquez des blocs de glace ou un sac de légumes surgelés enveloppés dans une serviette sur la zone affectée. Appliquez pendant 20 minutes, plusieurs fois par jour. Passez à un coussin chauffant ou à une compresse chauffante après les premiers jours. Appliquez pendant 20 minutes à la fois. Si vous avez toujours mal, passez des compresses chaudes aux compresses froides, selon ce qui soulage le mieux votre douleur. Prenez des médicaments en vente libre Prenez des médicaments pour réduire la douleur, l’inflammation et les gonflements. Les nombreux médicaments en vente libre de cette catégorie, appelés anti-inflammatoires non stéroïdiens AINS, comprennent l’aspirine, l’ibuprofène Advil, Motrin et le naproxène Naprosyn, Aleve. Soyez vigilant si vous choisissez de prendre de l’aspirine. L’aspirine peut provoquer des ulcères et des saignements chez certaines personnes. Si vous ne pouvez pas prendre d’AINS, vous pouvez prendre de l’acétaminophène Tylenol à la place. Effectuer de légers étirements Apprenez les étirements appropriés auprès d’un instructeur ayant de l’expérience en matière de lombalgie. Faites d’autres exercices de renforcement général, de renforcement des muscles du tronc et d’aérobic. 9. Combien de temps dure une sciatique ? Chaque personne souffrant de douleur sciatique est différente. Le type de douleur peut être différent, l’intensité de la douleur est variante et la cause de la douleur peut l’être aussi. Chez certains patients, un traitement plus agressif peut être essayé en premier lieu. Si au bout de six semaines de traitements comme l’utilisation de la glace, la chaleur, les étirements, les médicaments en vente libre n’a pas apporté de soulagement, il est temps de voir un professionnel de la santé et d’essayer d’autres options de traitement. Les autres options de traitement comprennent Médicaments sur ordonnance Votre médecin peut vous prescrire des relaxants musculaires, tels que la cyclobenzaprine Amrix, Flexeril, pour soulager la gêne associée aux spasmes musculaires. D’autres médicaments ayant une action analgésique peuvent être essayés, notamment les antidépresseurs tricycliques et les médicaments contre les crises d’épilepsie. En fonction de votre niveau de douleur, des médicaments antidouleur sur ordonnance peuvent être utilisés au début de votre plan de traitement. La thérapie physique L’objectif de la physiothérapie est de trouver des mouvements d’exercice qui diminuent la sciatique en réduisant la pression sur le nerf. Un programme d’exercices doit comprendre des exercices d’étirement pour améliorer la souplesse musculaire et des exercices d’aérobic comme la marche, la natation, l’aquagym. Votre médecin peut vous adresser à un kinésithérapeute qui travaillera avec vous pour personnaliser votre propre programme d’étirements et d’exercices d’aérobic et vous recommander d’autres exercices pour renforcer les muscles de votre dos, de votre abdomen et de vos jambes. Injections vertébrales Une injection d’un corticostéroïde, un médicament anti-inflammatoire, dans le bas du dos pourrait aider à réduire la douleur et le gonflement autour des racines nerveuses touchées. Les injections procurent un soulagement de courte durée généralement jusqu’à trois mois de la douleur et sont administrées sous anesthésie locale en traitement ambulatoire. Vous pouvez ressentir une certaine pression et une sensation de brûlure ou de picotement pendant l’injection. Demandez à votre médecin combien d’injections vous pouvez recevoir et quels sont les risques liés aux injections. Thérapies alternatives Les thérapies alternatives sont de plus en plus populaires et sont utilisées pour traiter et gérer toutes sortes de douleurs. Les méthodes alternatives pour améliorer la douleur sciatique comprennent la manipulation de la colonne vertébrale par un chiropracteur agréé, le yoga ou l’acupuncture. Le massage peut aider à soulager les spasmes musculaires qui accompagnent souvent la sciatique. Le biofeedback est une option pour aider à gérer la douleur et à soulager le stress. 10. Quand la chirurgie est-elle envisagée ? La chirurgie de la colonne vertébrale n’est généralement pas recommandée, sauf si d’autres méthodes de traitement telles que les étirements et les médicaments n’ont pas amélioré votre état, si vos douleurs s’aggravent et vous souffrez de graves faiblesses musculaires au niveau de vos membres inférieurs ou si vous avez perdu le contrôle de votre vessie ou de vos intestins. La date à laquelle une intervention chirurgicale sera envisagée dépend de la cause de votre sciatique. L’intervention chirurgicale est généralement envisagée dans l’année qui suit l’apparition des symptômes. Une douleur intense et persistante qui vous empêche de vous tenir debout ou de travailler et qui vous a fait hospitaliser nécessiterait un traitement plus agressif et un délai plus court avant l’intervention chirurgicale. La perte de contrôle de la vessie ou des intestins peut nécessiter une intervention chirurgicale d’urgence s’il est établi qu’il s’agit du syndrome équin de cauda. L’objectif de la chirurgie de la colonne vertébrale en cas de douleur sciatique est de supprimer la pression sur les nerfs qui sont pincés et de s’assurer que la colonne vertébrale est stable. Les options chirurgicales pour soulager la sciatique comprennent Microdiscectomie il s’agit d’une procédure peu invasive utilisée pour retirer les fragments d’une hernie discale qui exercent une pression sur un nerf. Laminectomie cette procédure consiste à retirer la lamelle partie de l’os vertébral ; le toit du canal rachidien qui exerce une pression sur le nerf sciatique. 11. Peut-on prévenir la sciatique ? Certaines sources de sciatique peuvent ne pas être évitables, comme la maladie dégénérative des disques, la sciatique due à une grossesse ou à des chutes accidentelles. Bien qu’il ne soit pas possible de prévenir tous les cas de sciatique, les mesures suivantes peuvent vous aider à protéger votre dos et à réduire vos risques Maintenez une bonne posture Suivre de bonnes techniques de posture lorsque vous êtes assis, debout, en train de soulever des objets et de dormir aide à soulager la pression dans le bas de votre dos. La douleur peut être un signe avant-coureur que vous n’êtes pas bien aligné. Si vous commencez à ressentir une douleur ou une raideur, ajustez votre posture. Ne fumez pas La nicotine réduit l’apport sanguin aux os. Elle affaiblit la colonne vertébrale et les disques vertébraux, ce qui augmente la tension sur la colonne et les disques et provoque des problèmes de dos et de colonne vertébrale. Maintenez un poids sain Un excès de poids et une mauvaise alimentation sont associés à une inflammation et à des douleurs dans tout le corps. Pour perdre du poids ou acquérir des habitudes alimentaires plus saines, renseignez-vous sur le régime méditerranéen. Plus vous vous rapprochez de votre poids idéal, moins vous sollicitez votre colonne vertébrale. Faites de l’exercice régulièrement L’exercice comprend des étirements pour garder vos articulations souples et des exercices pour renforcer votre noyau, les muscles du bas du dos et de l’abdomen. Ces muscles travaillent pour soutenir votre colonne vertébrale. De plus, ne restez pas assis pendant de longues périodes. Choisissez les activités physiques les moins susceptibles de vous faire mal au dos Envisagez des activités à faible impact telles que la natation, la marche, le yoga ou le tai-chi. Protégez-vous contre les chutes Portez des chaussures adaptées et évitez d’encombrer les escaliers et les allées afin de réduire les risques de chute. Assurez-vous que les pièces sont bien éclairées et qu’il y a des barres d’appui dans les salles de bain et des rails dans les escalier. 12. Conclusion a plupart des cas de sciatique ne nécessitent pas de chirurgie. Il suffit généralement de prendre le temps de se soigner. Toutefois, si de simples traitements d’autogestion ne soulagent pas votre douleur, consultez votre médecin. Ce dernier pourra confirmer la cause de votre douleur, vous suggérer d’autres options de traitement et/ou vous orienter vers d’autres spécialistes de la santé de la colonne vertébrale si nécessaire. Listes chiropraticien Vous pouvez allez voir las autres articles Troubles musculo-squelettiques Tests et accessoires
Lapubalgie désigne une douleur localisée au pubis, qui apparaît essentiellement chez le sportif. Il s’agit d’une maladie difficile à diagnostiquer et à traiter correctement.